Confusion et divisions au sommet de l'euro

Le sommet européen de ce dimanche ne suffira pas à résoudre la crise grecque, acter une recapitalisation des banques européennes, réformer la gouvernance de la zone euro et renforcer le Fonds européen de stabilité financière (FESF). Une seconde réunion aura donc lieu le mercredi 26. Les Allemands parlent de sommet en deux phases, les décisions devant intervenir mercredi. La confusion est de mise à tous les niveaux.
Copyright Reuters

"Nous voulons absolument dissiper les incertitudes pour les marchés financiers et ce avant le sommet du G20", des 3 et 4 novembre. Jeudi, la Commission européenne plaçait ainsi la barre très haut pour la réunion des chefs d'Etat ou de gouvernement de la zone euro prévue ce dimanche. Tellement haut qu'elle sera impossible à franchir ce week-end : Paris et Berlin ont reconnu mercredi soir qu'il ne serait pas possible d'arriver à un accord dès dimanche, et annoncé la tenue d'un second sommet mercredi 26. De son côté, un porte-parole du gouvernement allemand parle de sommet européen en deux phases, les décisions devant intervenir uniquement mercredi.

Berlin tient à rassurer en justifiant la tenue de ce nouveau sommet. "Je veux dissiper l'impression que c'est du fait de divergences de position" qu'un nouveau sommet se tiendra mercredi, a déclaré Steffen Seibert lors d'une conférence de presse. "Des décisions n'auraient pas pu être prises dimanche parce que sans discussion et approbation de la commission du Budget, la chancelière aurait dû se rendre à Bruxelles sans mandat sur ces questions", a-t-il expliqué.

La commission du Budget au Bundestag doit en effet examiner toute modification éventuelle du Fonds européens de stabilité financière, l'un des principaux points de division entre la France et l'Allemagne. Le représentant du gouvernement a également démenti l'information du quotiden Bild selon laquelle Mme Merkel aurait déploré en petit comité que "les Français ne bougent pas d'un iota" dans les négociations.

Toutefois, signe de divisions bien réelles, le commissaire européen aux Affaires Economiques, Olli Rehn, a appelé la France et l'Allemagne à s'entendre sur les mécanismes de sauvetage de la zone euro, dans un entretien publié vendredi en Allemagne. "Il est très important que l'Allemagne et la France coopèrent bien et progressent ensemble", a dit le commissaire finlandais au quotidien financier Handelsblatt. Une nouvelle preuve que la confusion règne presque à tous les niveaux.

Pas de report mais un nouveau sommet

La rumeur d'un possible report de la réunion, lancée par le quotidien Die Welt, en raison d'un désaccord sur le fonds de sauvetage européen (FESF), a alerté les marchés financiers. Il n'en est apparemment rien mais le président français et la chancelière allemande ont indiqué dans un communiqué commun jeudi soir que la "réponse globale et ambitieuse à la crise que traverse actuellement la zone euro" pourrait "être adoptée définitivement par les chefs d'Etat et de gouvernement lors d'une deuxième rencontre au plus tard mercredi"... La chancelière a en tout cas renoncé à son discours à ce sujet ce vendredi devant le Bundestag.

Le FMI se désolidarise

A Athènes, un syndicaliste de 53 ans est décédé d'une crise cardiaque au cours des violents affrontements contre la politique d'austérité. Jeudi le Parlement hellène devait voter à nouveau une loi réduisant salaires et retraites, les suppressions de postes dans la fonction publique. La "troïka" formée par la Commission européenne, la Banque centrale européenne (BCE) et le Fonds monétaire international (FMI) et chargée d'estimer la situation économique et financière de la Grèce est de plus désormais divisée. Le FMI ne partagerait pas "l'optimisme" des Européens concernant le niveau d'endettement de la Grèce: "le FMI pense que les estimations par les deux autres membres de la troïka sont trop optimistes" a indiqué une source de l'UE à Reuters.

Le FMI et les partenaires de la Grèce dans la zone euro doivent débloquer le versement d'un chèque de 8 milliards d'euros permettant à Athènes d'éviter une faillite à la mi-novembre. Dimanche, les dix-sept pays membres de l'euro doivent surtout se mettre d'accord pour trouver "une solution pérenne pour la Grèce", souligne la Commission, "afin de sortir de cette situation de crise permanente".

Recapitaliser les banques

Une des clés de la sortie de crise pour Athènes est l'éventuel effort supplémentaire «volontaire» demandé aux investisseurs, surtout les banques et les assureurs, détenant des emprunts publics grecs. Il est clair que les dirigeants politiques veulent que les établissements financiers acceptent de perdre plus que les 21% de leur investissement initial en titres grecs, encore faut-il en convaincre un très grand nombre de banques. Cette concession bancaire est évidemment étroitement liée à l'effort de recapitalisation qui leur est demandé.

Ce point semble le moins controversé à la veille du sommet de la zone euro. Au total 100 milliards d'euros d'injection de capital dans les banques européennes est envisagé. Le ratio de fonds propres «core tier one» exigé des banques européennes serait élevé à 9%, soit un peu moins que ce que le FMI réclamait (10%) mais beaucoup plus que les 5 à 6% planchers utilisés pour les "stress tests" bancaires du début de l'été dernier. Mais s'il y a consensus sur la recapitalisation des banques, pour les rendre immunes à un défaut d'un pays de la zone euro et éviter un nouveau cas Dexia, il n'est pas encore clair où elles trouveront l'argent pour renforcer leur capital.

L'effet de levier du FESF en question

Au-delà d'investisseurs privés, la contribution du Fonds européen de stabilité financière (FESF) pourrait être nécessaire pour les Etats qui ne peuvent renflouer eux-mêmes leurs banques, sauf à se mettre eux-mêmes en difficulté...

A un montant maximum de 440 milliards d'euros, le FESF (ou son successeur au plus tard en 2013 le MES, Mécanisme européen de stabilité, à 500 milliards) ne pourra faire face à ces sollicitations. D'où l'idée de le rendre "plus efficient", d'y introduire "un effet de levier" permettant de décupler "la puissance de feu" du fonds à hauteur de 1.000 milliards d'euros.

Mais sur cette "efficience" du FESF, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel sont en désaccord. Leur entrevue de mercredi à Francfort n'a pas permis d'avancer. Ils se retrouveront samedi soir à Bruxelles pour essayer à nouveau.

Commentaires 63
à écrit le 23/10/2011 à 12:26
Signaler
On sort de l'Europe, ou on s'y fond en élisant au suffrage universel un président qui aura quelque pouvoir pour régler les problèmes, car un navire à plusieurs capitaines ne peut que sombrer lamentablement !

à écrit le 23/10/2011 à 7:45
Signaler
Il faut programmer la fin de la zone euro en bon ordre. Les billets de banque sont signés par les gouverneurs de banque centrale nationale. Il est tout à fait possible de revenir à des monnaies nationales, après une phase transitoire où les billets d...

le 23/10/2011 à 15:32
Signaler
Mais alors pourquoi revenir aux monnaies nationales, il suffirait que l'Allemagne quitte l'UE et le problème est résolu!

à écrit le 23/10/2011 à 4:37
Signaler
@ korubo, et il faudra lui accorder des nouveau prêts même après que le Grèce ait fait défaut de 50 à 60%. La dette restante est encore trop importante pour que la Grèce puisse la rembourser par ses propres moyens. En fait la dette de la Grèce contin...

à écrit le 22/10/2011 à 16:10
Signaler
"L'effet de levier du FESF en question" "sauvetage de la zone euro," mais qui a écrit cet article? Tu parles d'un levier s'il n'y a que 20% de l'emprunt qui est garanti. Sacré fausse couche que les Merkozy nous présentent là. Et ce n'est pas la zone...

le 22/10/2011 à 19:50
Signaler
Au même temps que la Grèce fait défaut de paiement de 50 à 60 pourcent de sa dette on lui accorde un nouveau prêt de huit millards d'euros.... c'est la politique des irresponsables.

à écrit le 22/10/2011 à 14:54
Signaler
Moi aussi j'aimerais comme les grecs ne jamais payer mes impôts et prendre ma retraite l'âge de 50 ans dans une cabane ensoleillée mais construite sans permis au bord de la mer méditerranéenne pour ensuite prendre des emprunts bancaires pour ma conso...

à écrit le 22/10/2011 à 9:51
Signaler
Il faut constater un defaut de paiement de la GRECE. Des assurances garantiront alors la gabegie de nos dirigeants. Qui va souscrire au capital des Banques si les dividendes ne suivent plus. C'est un peu facile pour nos dirigeants d'effacer ainsi les...

à écrit le 21/10/2011 à 20:20
Signaler
C'est effectivement la fin d'une époque. "L'enrichissement rapide des pays émergents entraine de facto l'appauvrissement du reste du monde". (livre genre vérités qui dérangent "les corps indécents") Une nouvelle ère s'ouvre avec de nouveaux rapports...

le 22/10/2011 à 8:36
Signaler
Dans le passé, aucune redistribution mondiale des cartes, ne s'est faite de manière négociée, sans le passage obligé par un terrible chaos. Et le pire est devant nous. Personne aujourd'hui, ne peut arrêter un système devenu fou, par la propre volonté...

à écrit le 21/10/2011 à 19:11
Signaler
La France va sombrer dans le chaos total d'ici décembre, nous aurons des élections anticipées sauf si nous attaquons l'Iran. Les déficits sont tels qu'ils ne sont pas remboursables ni pour les Grecs ni pour la France. La solution sera alors la guerre...

à écrit le 21/10/2011 à 17:07
Signaler
Rappelons que sur les 1650 milliards , nous avons pas moins de 1100 qui ne sont que des intérêts ; Qui se sucre au passage , Les « marchés » bien sur au premier chef les banques .Si nous n?avions pas mis en place depuis 1973 cette « machine » a faire...

à écrit le 21/10/2011 à 15:24
Signaler
Nous allons instaurer un impôt spécial de 10.000 euros par habitant. Et tout sera OK.

le 21/10/2011 à 15:49
Signaler
N'est ce pas logique de demander à ceux qui ce sont enrichi grâce au système de payer maintenant qu'il ne fonctionne plus ???

le 21/10/2011 à 20:35
Signaler
N'oubliez pas nos politiques que l'on pourrait aussi surnommer les "rois fainéants et incompétents" ces gens généreusement entrenus par le contribuable qui sature de payer, de se serrer la ceinture pendant que ces braves s'empriffrent d'indemnités mu...

à écrit le 21/10/2011 à 14:55
Signaler
Nous sommes en période électorale donc le pb de la dette et ses solutions passent pour la France passent après le bulletin de vote il est clair que l'Allemagne n' pas ce pb en 2012. Deplus la France cherche à faire payer à nos amis d'outre Rhin notre...

à écrit le 21/10/2011 à 12:57
Signaler
Le seul défaut qui serve à quelque chose c'est le défaut total! Le fait est que ceux qui prêtent de l'argent croient que cet argent prêté leur appartient encore alors qu'en vérité cet argent, comme il ne sera jamais remboursé n'existe plus. Et aucun ...

à écrit le 21/10/2011 à 12:09
Signaler
encore un coup pour rien qu'ils sont nul c politicars de M MAIS EN PLUS BIEN SA COUTE C SOMMET QUI SERVENT A RIEN

à écrit le 21/10/2011 à 11:55
Signaler
La purge c'est pour quand ?

à écrit le 21/10/2011 à 10:12
Signaler
Il faut toujours connaître ou mieux encore prévoir le coup d'après. Vu la situation des pays du Sud de l'Europe (France incluse naturellement, on eut placer la Belgique position d'attente car ce pays va vers un très probable scission) et de l'Irlande...

à écrit le 21/10/2011 à 9:57
Signaler
la génération politique au pouvoir actuellement est la plus médiocre de tous les temps, leur créneaux foutre les population européennes toujours plus dans la merde et garder leur job en usant du populisme médiatique!

à écrit le 21/10/2011 à 9:09
Signaler
Recapitaliser avec quel argent? Emprunts d'Etat? Fonds spéciaux? Actionnaires actuels ou nouveaux? Sans doute un peu tous. Déjà, un dividende exceptionnel uniquement en titres cette année serait possible. Après, ce serait un option comme d'habitude....

à écrit le 21/10/2011 à 9:03
Signaler
Humour quand tu nous tiens! De sommets en sommets la crise économique devient une vraie montagne infranchissable. Reste le sommet de l'entêtement à poursuivre un système économique qui a besoin d'être fortement corrigé. Ce sommet égalera-t-il le somm...

à écrit le 21/10/2011 à 9:01
Signaler
Assez ! La valse des centaines de milliards pour le FESF continue.C'est à qui lancera la dernière enchère. Vous avez dit 400 ,non moi je dis 1.000, 1500 voir 2.000 milliards.Nos gouvernants jouent avec des dés comme au Monopoly de l'argent dont ils ...

à écrit le 21/10/2011 à 8:55
Signaler
pourquoi parler de confusion. vous feriez mieux de parler de discussions constructives mais difficiles. la gravité de la situation, les enjeux importants, tout cela ne peut pas se régler en claquant des doigts, comme Mr Hollande l'a dit dans sa campa...

le 21/10/2011 à 11:06
Signaler
Gloria in excelsis Deo tu solus Dominus, Amen.

à écrit le 21/10/2011 à 8:29
Signaler
Mme Boutin travaille déjà sur le projet de monnaie secondaire, à 10000 euros par mois!!!!!!!!

le 21/10/2011 à 9:30
Signaler
elle a resolu le problem de sa dette :-)

à écrit le 21/10/2011 à 8:29
Signaler
Il n'y a pas d'information fiable mais tout les médias savent qu'il y a de la confusion et de la division au plus haut niveau de l'Europe. La presse voudrait sans doute que la politique soit en harmonie avec l'ouverture des marchés du lendemain.

à écrit le 21/10/2011 à 8:24
Signaler
avant les prochaines réunions, il serait mieux que la France se présente UNIE,pour soutenir la meilleure solution.Donc que Sarkozy invite l'opposition PS de Hollande, la nouvelle gauche de Mélanchon ,le centre de Bayrou ,à travailler avec son équip...

le 21/10/2011 à 11:13
Signaler
Et ça va servir à quoi de faire un sommet de sommets? Sarkozy a voulu le pouvoir pour lui tout seul, laissez-le se démm.....

le 21/10/2011 à 11:25
Signaler
Que viennent faire mélanchon et bayrou dans i'expression incontestable de l'immense majorité des Français ? Si vous pensez que des guignols sont le plus à même de vous représenter, libre à vous mais évitez de parler au nom des 19 % des Français qui p...

à écrit le 21/10/2011 à 8:16
Signaler
Un peu d'objectivité s'il vous plait. La diplomatie est une chose difficile et chacun doit défendre son point de vue avant d'en arriver à un consensus nécessaire. Le problème est qu'il manque une véritable gouvernance de l'Europe. Du coup lesz décisi...

le 21/10/2011 à 9:01
Signaler
Enfin un peu de bon sens, merci.

à écrit le 21/10/2011 à 8:07
Signaler
C'est qui Sarkozy et Merkel ? Les patrons de toutes l'Europe ? Les 24 autres pays on s'en tapent ? Ils se racontent de sacré belles histoires ces deux là ! Il va bien falloir si faire "ca ne marche pas", les banquiers ont créés une croissance virtuel...

à écrit le 21/10/2011 à 7:48
Signaler
revenons aux fondamentaux ..;qui empruntent pour conbler les déficits : les Etats les régions...les communes. Vers qui se tounent ils ? les contribuables et les banques. Et maintenant on devrait recapitaliser les banques qui ont prété aux etats commu...

à écrit le 21/10/2011 à 6:52
Signaler
La RFA souhaite sortir au plus vite de cette zone pourrie. Elle entrainera de facto le Benelux, l'Autriche et la Finlande. Le plus logique serait que les pays non éligibles sortent d'eaux-mêmes. Mais comme les banques (notamment françaises) sont moui...

le 21/10/2011 à 8:47
Signaler
les banques mouillées, c'est certain, mais qui les a poussé dans l'eau en ne gérant pas les budgets et en bouclant leurs fins de mois par des emprunts ?

à écrit le 21/10/2011 à 6:23
Signaler
Mais la seule solution serait que les états arrètent de s'endetter sans limite ! Une gestion saine avec des économies drastiques dans les dépenses, le tout sans accapler d'impôts les citoyens afinh de préserver leur pouvoir d'achat. Cela c'est lasolu...

le 21/10/2011 à 7:42
Signaler
D' accord avec vous, Bouchy. Helas, nos dirigeants de droite et de gauche rivalisent d'ingenosite pour trouver de nouveaux impots. Dans leurs tetes de non gestionaires, ils ont deja depense cette future mane.......pour le bonheur de la France et des ...

le 21/10/2011 à 7:47
Signaler
Il fallait peut-être voter autrement depuis plusieurs années ?????

à écrit le 20/10/2011 à 22:20
Signaler
Les marchés (c'est-à-dire les populations) ne veulent plus payer pour des Etats qui dépensent inconsidérément l'argent qui ne leur appartient pas. La décroissance des Etats socialistes est inéluctable.

le 21/10/2011 à 4:44
Signaler
Vous rêvez. Les Etats vont au contraire se transformer en des monstres prêts à tout dévorer pour subsister !

à écrit le 20/10/2011 à 21:26
Signaler
l'anschluss est de retour ... mais nous avons la ligne Maginot ! Là où ça queute c'est que l'on espère la croissance pour contenir la dette . Nenni , la croissance c'est fini pour longtemps et avec ou sans élections

à écrit le 20/10/2011 à 21:14
Signaler
pourquoi prendre de l'argent publique (donc notre argent à nous contribuables) pour recapitaliser des banques, qui auraient pu le faire au lieu de distribuer des dividendes historiquement hautes ainsi que des bonus records aux traders??? C'est encore...

le 21/10/2011 à 4:43
Signaler
C'est d'autant plus amoral que la PMI/PME X ou Y, quand elle défaille, n'a le soutien de personne et fait faillite pour de bon. L'Europe des oligarchies s'effondre et Monsieur Barroso la pleure...Il faut dire qu'il pourrait finir par en perdre sa pla...

à écrit le 20/10/2011 à 20:53
Signaler
Tôt ou tard, Jacques Sapir verra son hypothèse réalisée : L'euro implosera, et nous reviendrons à nos devises nationales. N'en déplaisent aux euro béats lavés du cerveau qui ne peuvent concevoir une Europe sans Euro....

le 20/10/2011 à 21:33
Signaler
Une Europe des états, qui finiront par se faire la guerre et enclencher la 3ème guerre mondiale...

le 20/10/2011 à 22:17
Signaler
Non, pas la guerre mais l'Europe des Nations, celle que nous aurions du faire depuis longtemps si un Mr Delors n'avait pas mis en place cette Commission et voulu faire un état fédéral de pays aux cultures et histoires si différentes qu'elles ne pourr...

le 21/10/2011 à 5:59
Signaler
@paul62580 les etats unis ont ete fondés par des europeens, des chinois, des indiens et toute sorte d'autre peuples et ils n'ont aucun probleme a vivre ensemble

le 21/10/2011 à 6:55
Signaler
Les etats-unis ont connu leurs guerres civiles et cela fut à une époque où les gens se contentaient de peu et ou les systèmes sociaux n'existaient pas. Aujourd'hui, pensez vous sérieusement que les francais, ou autre pays, accepteraient de supprimer ...

le 21/10/2011 à 11:44
Signaler
Les grandes nations fédérales ont toujours accouché dans la douleur (USA, URSS, Chine, République Française, etc.). Une confédération d?états indépendants géographiquement proches est certainement préférable à un fédéralisme imposé par une oligarchie...

à écrit le 20/10/2011 à 20:32
Signaler
Pour abattre la spéculation, menaçons de supprimer les licences des banques qui trafiquent avec ces Paradis fiscaux avec une taxe progressive qui augment avec le temps mis à sortir des paradis et en quelques semaines 60 000 milliards reviendront d...

à écrit le 20/10/2011 à 20:31
Signaler
"Nous voulons absolument dissiper les incertitudes pour les marchés financiers" : c'est cela la démocratie ? Tout faire pour les marchés, sans penser à ce que pense la population, qui va pourtant payer (on parle de plus de 1000 milliards, soit de quo...

le 20/10/2011 à 21:15
Signaler
+1

le 21/10/2011 à 7:07
Signaler
Les banques sont à l'origine de la crise de la dette ? Que je sache se ne sont pas les banques qui dirigent les pays démocratiques mais les élus du peuples qui depuis plus de trente ans empilent de la dette et votent année après année des budgets dé...

le 21/10/2011 à 9:47
Signaler
Vous perdez votre temps@ Jean. Jean melange tout et ne veut pas en demordre; Selon lui tout est de la faute des banques, des marches qui n'ecouteraient pas le peuple.Il ne propose jamais rien ,se contentant de tout critiquer. Si je l'ai compris, ce ...

le 21/10/2011 à 12:11
Signaler
@Alan John Le culte de l?argent vous rend-il heureux? Signe des temps ou pas, nous vivons la fin d?une époque, celle de l?argent facile, de l?énergie bon marché, de la consommation à tout va, des guerres fratricides et des dépenses collectives inutil...

le 21/10/2011 à 12:52
Signaler
mais je suis tout a fait d'accord avec vous, Jacques. J'ajouterais qu'il n'est ecrit nul part que l'Occident doit vivre mieux que les autres. Vous avez 100% raison, c'estplus qu'une crise, c'est la fin d'une epoque. Pourquoi devrait on depenser des m...

à écrit le 20/10/2011 à 20:11
Signaler
Ah ! le camp des ultralibéraux, le dernier carré des croyants aveugles aux vertus des "marchés purs" agonise devant la dure épreuve des faits. Leur échec est total. Mais c'était de la théologie pure de croire comme ils l?ont cru à un fondement soli...

le 20/10/2011 à 20:49
Signaler
Pas mieux. Lisez aussi M Werrebrouck : http://www.lacrisedesannees2010.com/

le 21/10/2011 à 12:17
Signaler
Le bons sens est la chose du monde la mieux partagée. J'adhère à 150%.

à écrit le 20/10/2011 à 20:07
Signaler
Recapitaliser les banques, avec quoi ? Avec un surplus de dette publique qui mettrait les Etats à genoux. Non ! En faisant appel aux investisseurs privés ? Ils n'en veulent pas! Alors, messieurs les Chamanes de tous bords, expliquez-nous, arrêtez vos...

Votre email ne sera pas affiché publiquement.
Tous les champs sont obligatoires.

-

Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.