Chômage, croissance, dette, énergie... les principales déclarations de François Hollande

François Hollande s'est exprimé ce mardi en conférence de presse. Il a longuement défendu le rapport Gallois sur la compétitivité, évoqué le chômage, la croissance, l'Europe mais aussi les gaz de schiste. Retrouvez en 16 citations clés les principales déclarations du Président de la République lors de cette intervention.
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Six mois après son élection, le chef de l'Etat a donné sa première conférence de presse. Quelque 400 journalistes étaient attendus sous les ors du palais de l'Elysée de 17 heures à 19h30 ce mardi. Chômage, Compétitivité, budget, énergie... sur les questions économiques, de lourds dossiers s'entassent sur le bureau du président qui ont été évoqués lors de cette intervention.

En voici les grandes lignes:

L'analyse de la situation

? "Une alternance change le pouvoir mais elle ne change pas la réalité"

Dans son discours d'introduction, François Hollande relève que "la situation est grave". Il rappelle que le chômage n'a "cessé de croître depuis 17 mois", que la dette se creuse, que la "France est au 17e rang pour son industrie de la zone euro". Six mois après son arrivée au pouvoir, il évoque rapidement les premiers travaux du gouvernement, avec les décrets sur la réduction de 30% de leur rémunération, l'augmentation des allocation de rentrée scolaire, le rétablissement partiel de la retraite à 60 ans, mais aussi les projets de loi de budget pour 2012 et 2013. "Une politique n'est pas une accumulation de propositions ou de mesures aussi fortes soient-elle".

? "Nous vivons bien plus qu'une crise, nous vivons un changement du monde"

"C'est pourquoi, depuis six mois, j'ai fait mes choix et je m'y tiens sans avoir besoin de prendre je ne sais quel tournant, je ne sais quel virage car ces choix sont conformes à mes engagements, à mes principes et surtout, aux intérêts de la France", lance le chef de l'Etat en réponse aux critiques, à gauche, portant sur une apparente inflexion de sa politique.

Les grandes orientations

? "12 milliards d'économies par an"

Revenant sur la réduction des déficits prévue pour les années à venir, suite à une question, François Hollande concède que les économies atteindront "12 milliards d'euros d'économies par an". Il s'agit des 50 milliards sur cinq ans évoqués plus tôt, auxquels il faut ajouter les 10 milliards supplémentaires du pacte de compétitivité. Des économies que le président compte faire en réduisant les effectifs dans la fonction publique, sauf dans l'éducation nationale. "La question est de savoir comment nous nous organisons. Cela commence dans chaque administration, y compris dans cette maison", indique-t-il.

? "Toute ma politique c'est une mobilisation contre le chômage"

"Ce sera la priorité du quinquennat, ce sera ma priorité", affirme le président socialiste qui reconnaît que "ce n'est pas la première fois qu'un "président fait cette promesse". Mais "tout n'a pas été tenté", affirme-t-il. François Hollande met en particulier en avant les "emplois d'avenir" et les "contrats de génération".

Plus généralement, François Hollande affirme qu'il souhaite que "les jeunes vivent mieux dans cinq ans qu'aujourd'hui". Il rappelle qu'il compte réitérer cet exercice de la conférence de presse "tous les 6 mois et toutes les fois qu'il sera nécessaire."

Le rapport Gallois et le pacte de confiance

? Louis Gallois " a été utile pour fournir une évaluation incontestable"

A plusieurs reprises, François Hollande a défendu le rapport présenté par l'ancien patron d'EADS sur la compétitivité. Il a plusieurs fois justifié son choix de confier cette mission à "un grand industriel", au fait des questions franco-allemandes. François Hollande estime ainsi que toutes les forces politiques du pays, qu'ils "soient de droite et de gauche" - sauf plusieurs exceptions comme sur les gaz de schiste - , "ont trouvé ce diagnostique juste". Le texte aurait à cet égard servi de "prise de conscience".

Mais pas question pour autant de confier un portefeuille ministériel à Louis Gallois "La politique c'est déjà difficile pour les politiques", lance le chef de l'Etat. "Ce n'est pas un métier, mais c'est une expérience", précise-t-il. Et d'ajouter : "le pire serait de le faire entrer dans le gouvernement mais ce ne sera pas le cas".

? "Le décrochage productif c'est le mal français"

Après avoir expliqué qu'il avait demandé à Jean-Marc Ayrault d'agir "à marche forcée" pour redresser le pays, avec 50 milliards d'euros d'économies prévues sur cinq ans, François Hollande en vient à la compétitivité. Il défend le rapport remis par Louis Gallois - "un homme de bien" - le 5 novembre. Réfutant l'idée qu'il était commandé pour ne pas être appliqué, le chef de l'Etat argue que son "pacte" sur la compétitivité a été présenté le lendemain. Il justifie notamment les 20 milliards d'euros d'allègements fiscaux accordés aux entreprises.

Concernant le coût du travail, François Hollande estime que "le coût du travail, n'est pas tout, mais c'est tout sauf rien". Ces 20 milliards n'étaient donc "pas un cadeau" selon lui, mais "un levier qui offre au système productif un moyen de traverser la crise". "Cette mesure, qui a fait parler, aura un effet immédiat", affirme-t-il. Le président a insiste également sur les contreparties offertes, notamment une évaluation du dispositif au niveau national à laquelle participeront les partenaires sociaux.

? "La fracturation hydraulique est une atteinte considérable à l'environnement"

Concernant les gaz de schiste, "Il y a eu une loi en 2011 - je rappelle que j'ai été élu en 2012 - qui interdit l'exploitation et l'exploration des mines d'hydrocarbures. (...) ", explique François Hollande. 'La recherche continue sur d'autres techniques", ajoute-t-il. "J'ai fixé le cap et je m'y tiens." A cet égard, François Hollande évoque la conférence environnementale de septembre au cours de laquelle il a signifié son refus d'explorer et d'exploiter les gaz de schiste en France pour le moment. Il réfute en outre toute pression "de telle ou telle force politique", en réponse aux critiques qui voyaient dans ce refus de la fracturation hydraulique une concessions aux Verts.

? Le taux de TVA sur la restauration sera fixé "une fois pour toutes" à 10%

Concernant la "restructuration" de la TVA, François Hollande évoque le "feuilleton" du taux de TVA sur la restauration. Celui-ci sera fixé "une fois pour toutes" à 10% indique-t-il après avoir expliqué à nouveau que le taux "normal" et intermédiaire seraient réévalués au 1e janvier 2014 pour "qu'en 2013" rien ne soit "demandé aux Français".

? "Je continuerai à dire que nous avons besoin de plus de croissance"

Défendant d'une part la nécessité de réduire les déficits pour "ne pas mettre en péril la signature de la France" vis-à-vis de ses partenaires européens, François Hollande rappelle aussi son engagement pour la croissance. "Quel est le sens de mon action au niveau européen si ce n'est celui-là?", interroge-t-il. Il évoque ensuite le cas des Etats-Unis où "Barack Obama doit briser le mur de la dette" tout en étant "convaincu qu'il convient de mettre de la croissance".

Puis le chef de l'Etat fait un lapsus, parlant d'abord de 3% de croissance au lieu de 3% de déficit maximum, l'objectif à atteindre. Pour y parvenir "nous allons tout faire pour avoir [les] 0,8% de croissance" sur lesquels table le gouvernement pour son projet.

L'Europe

? "Je suis pour une Europe à plusieurs vitesses"

Le chef de l'Etat se prononce "pour que certains pays puissent aller plus vite que d'autres, c'est le sens de la taxe sur la transaction financière".

Il affirme par ailleurs que "l'éclatement a été une hypothèse" mais que "nous ne l'avons pas voulu". "Dès lors nous devons aller plus loin", ajoute-t-il. "Nous allons préparer la grande échéance : après l'union bancaire, il faudra faire vivre l'Europe politique", annonce-t-il.

A propos des relations avec ses partenaires européens, il estimait un peu plus tôt que la relation franco-allemande "n'est pas fondée des leçons ou alors sur les leçons de l'histoire." "L'Allemagne doit faire preuve de solidarité et ce n'est pas facile quand un pays à fait autant d'efforts pour être ce qu'il est aujourd'hui", reconnaît-il avant de mentionner la période électorale à venir pour Angela Merkel. Une situation qui expliquerait en partie les positions divergentes de l'Allemagne et de la France au sujet du règlement de la crise européenne et en particulier en Grèce. Il se donne un autre objectif: "ce que nous avons à faire la chancelière et moi, ce n'est pas de monter nos opinions publiques les unes contre les autres. Nous devons approfondir l'Europe."

? "La Grèce a fait l'effort qui lui a été demandé"

François Hollande appelle notamment l'UE et le FMI à soutenir la Grèce après le vote d'une nouvelle politique d'austérité.

"La Grèce ne peut pas faire davantage que ce qui lui a été exigé", martèle le président de la République. "Reste une question posée au FMI et aux Européens", ajoute-t-il. "Comment accorder un délai sans que ça coûte davantage aux Etats ?" Une question à laquelle François Hollande dit être actuellement en train de travailler afin de "ne pas avoir à repasser devant les parlements" et trouver les "techniques de refinancements" adéquats. "Il est temps de le faire", conclue-t-il sur ce point.

? "Je considère que les manifestations ne vont pas mettre en cause nos politiques mais plutôt les soutenir mais je ne veux pas la récupérer"

Au sujet des mouvements sociaux prévus au lendemain de cette intervention à l'échelle européenne, le mercredi 14 novembre, François Hollande considère que les mots d'ordre correspondant à la ligne qu'il défend. Il pointe en particulier la "coordination des politiques économiques européennes", la demande d'une "politique de croissance" et "la recherche d'autres moyens que l'austérité, la solidarité".

La "Méthode" Hollande

? "Le premier responsable, c'est moi"

A propos des sondages, dans lesquels chute le président, François Hollande tacle à demi-mot son prédécesseur en affirmant qu'il ne commande pas de sondage, ce qui "contribue aux économies". Il dit ensuite assumer les erreurs. "On fait toujours des erreurs", lance-t-il à cet égard. Il estime en outre que, contrairement à d'autres présidence et gouvernements, aucun "couac" n'a encore conduit à un remaniement.

? "Plus c'est difficile, plus l'apaisement est indispensable"

En réponse à une question sur la pertinence du concept de "présidence normale", François Hollande défend sa méthode. "J'avais dit que le pays avait besoin d'apaisement, je le crois encore", répète-t-il. Le chef de l'Etat se dit en outre "respectueux des partenaires sociaux". Un peu plus tôt, il a appelé les syndicats à un "compromis historique". Pour lui, sa "méthode n'a pas échoué pour le moment".

L'occasion lui est en outre donnée de défendre son Premier ministre. "Il est sérieux, il est loyal, il est concret", vante-t-il.

? "Je n'ai pas tardé"

"Trouvez-nous un gouvernement qui ait aussi rapidement pris des décisions sur sujet qui minent notre économie", se félicite François Hollande. Il évoque à cet égard la dette et la "question industrielle et productive". "Je n'ai pas attendu la mi-mandat" pour cela, contrairement à d'autre gouvernements socialistes, se défend-il.

Politique étrangère

? "la France reconnaît la Coalition nationale syrienne comme la seule représentante du peuple syrien

La politique étrangère fait partie des sujets mineurs de cette intervention qui a laissé une large place à l'économie. Une annonce majeure toutefois: la France reconnaît la légitimité de l'opposition syrienne.

Commentaires 57
à écrit le 14/11/2012 à 16:03
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hollande a choisi de parler dans son palais (ça interpelle beaucoup de pays) à 17h parce qu'il a fait une conférence pour les journalistes, sachant que les journalistes ont voté à plus de 70% hollande, qu'ils sont très polis et très complaisants à ne...

à écrit le 14/11/2012 à 15:54
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1700 milliards de dette, 100 milliards de déficit du commerce extérieur, 3 millions de chômeurs, trés grande difficulté à rembourser les intérêts, la dépense publique la plus importante et la plus inefficace d'europe qui tue l'emploi de façon massive...

à écrit le 14/11/2012 à 11:35
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"La fracturation hydraulique est une atteinte considérable à l'environnement",soit; mais si en plus, tout le monde se met a en extraire, le prix de l'énergie va baisser au point que cela ne vaudra même pas la peine de polluer pour en avoir!

à écrit le 14/11/2012 à 11:15
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Dans la production de gaz de shiste, il me semble sage de temporiser pour une simple raison: "Si tout le monde se met a en produire, le prix de l'énergie sera si bas que cela ne vaudra pas la peine de polluer pour en obtenir!

à écrit le 14/11/2012 à 10:35
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Hollande ne veut pas réduire la dépense publique en fermant des administrations publiques et en licencient des fonctionnaires et revoir leurs status comme la fait le Canada et La Suède qui aujourd'hui s'en portent très bien. On va droit dans le mur !...

le 14/11/2012 à 19:27
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mais vous êtes impertinent, propos déplacés ! vous n'avez pas entendu les discours sur les valeurs, le rassemblement !! tous ensemble, il y en a besoin. Il faut que les travailleurs de force du privé qui financent l'incurie et dépenses sans limite de...

à écrit le 14/11/2012 à 9:08
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Tant que l''on n'adaptera pas l'Euro au niveau de notre économie "la plus faible", nous ne serons pas compétitif par rapport au pays hors zone qui adapte leur monnaie a leur économie!

à écrit le 14/11/2012 à 9:04
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N'ayant pas compris la finalité de la conférence de FH , qui ne fait-à mon avis - que reprendre des faits connus et surtout tenter de se justifier vis-à-vis de l'opinion publique , il est préférable d'attendre plutôt qu'engager une polémique stéril...

à écrit le 14/11/2012 à 7:49
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ne pas oublier la forme de delinquance des ets bancaires envers les personnes agées

à écrit le 14/11/2012 à 7:38
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Le retour de la lutte des classes: il y a les politiques et les autres. On peut être un grand (!) patron et ne pas pouvoir accéder à la "classe'"politique. Il est vrai qu'on trouve davantage de déserteurs et de bouchers du genre humain dans le monde ...

à écrit le 14/11/2012 à 2:46
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"la politique c'est pas un métier c'est une expérience" Quand on voit l'état catastrophique du pays on est ravi de l'expérience de ceux qui nous ont amené à ce désastre. Et ce n'est qu'un tout début.

à écrit le 13/11/2012 à 23:00
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Hollande a reconnu que l'augmentation des dépenses publique n'avaient pas augmenter la qualité du service public ... quel aveu !! SI J'ETAIS DE GAUCHE J'AURAIS GRAVE LES BOULES DE M'ETRE FAIT COCUFIER SI VITE ... mais bon, on les avait prévenus .....

à écrit le 13/11/2012 à 21:19
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Bon me voilà rassuré , d après le chef de l état français , tout est sous contrôle !! Donc le chômage, la délinquance et la fuite de capitaux qui flambent , Ben c est voulu !!!! Euhheu

à écrit le 13/11/2012 à 20:17
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Allez François ! Tout comme Nicolas, tu ne sais faire qu'une chose : utiliser la méthode Coué !

le 13/11/2012 à 20:43
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Il fera le contraire de Nicolas une politique de droite !!! C'est le changement !!!

à écrit le 13/11/2012 à 20:06
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J ai écouté une grande partie de sa prestation ..Il a plusieurs fois employé le mot de justice et rien sur les privilèges des sénateurs et autres députés , rien sur la différences des traitement entre salaries du privée et fonctionnaires ( retraite ...

à écrit le 13/11/2012 à 19:56
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A part que la France est sauvé par 6% sur les charges sociales, que le maire de Sevran gère très bien (c'est pas ce que dit la cour des comptes), que la décentralisation est super donc ca va apporter des nouvelles compétences , comprendre chéquier in...

le 13/11/2012 à 20:19
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Oui, il suffit de voir la gestion des collectivités territoriales par le PS pour voir qu'ils ne font pas milieux que l'UMP. Droite, gauche, même combat !

le 13/11/2012 à 20:50
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j'ai pas vu d'elus de droite se mettre en greve de la faim pour ne pas devoir augmenter les impots locaux !

à écrit le 13/11/2012 à 19:56
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Mon devoir est de permettre le changement. Un vrai changement. Je suis candidat à l?élection pré-sidentielle pour redonner con?ance aux Français et faire redémarrer le progrès. Il a encore beaucoup de tracail a voir les sondages

à écrit le 13/11/2012 à 19:54
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"nous vivons bien plus qu'une crise, nous vivons un changement du monde " pour les politiques certes , mais pour les chômeurs, SDF, employés, salariés, retraités, rien ne change , ou plutôt tout s'empire, tout tout a continué , licenciements, misère,...

à écrit le 13/11/2012 à 19:40
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durant 5 années il n'a pas vu la crise maintenant aux manettes il s'en sert ,Question vitesse faut croire qu'il est bloqué sur les rapports courts ,l'art de ce servir de la marche arrière.

le 13/11/2012 à 20:46
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la crise en france n'a commence qu'en juin 2012, avant c'est sarkozy qui etait incompetent car s'il avait vote une loi qui interdit le chomage le deficit commercial, les marges a moins de 28% des entreprises, etc... rien ne serait arrive..... mainten...

à écrit le 13/11/2012 à 19:39
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haaaaaaaaaa wiiiiiiiiiiiiii c'est vrai c'est les 35H !!!!!!!!!!!!!

à écrit le 13/11/2012 à 19:39
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Cap sur l'iceberg du Titanic.

à écrit le 13/11/2012 à 19:37
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L'art de parler pour ne rien dire. L'expert français s'appelle François Hollande.

à écrit le 13/11/2012 à 19:37
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Que l'on soit pour ou contre ... ce que je ne comprends pas c'est l'heure de sa conférence ... histoire qu'on ne le voit pas ???

à écrit le 13/11/2012 à 19:33
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attention au pomo de vitesse , si il glissse il pourrait se blesser.

à écrit le 13/11/2012 à 19:22
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comme vitesse il choisit la marche arrière ?

à écrit le 13/11/2012 à 19:21
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"" "la situation est grave"."" <-- celle la aussi est bonne !!!!!!! il y a 6 mois, il n'y avait aucun probleme, c'est juste sarkozy qui etait incompetent! quel rigolo !

à écrit le 13/11/2012 à 19:19
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"" ?Plus c?est difficile, plus l?apaisement est indispensable?"" <- disent ils apres avoir seme la haine pdt 10 ans ( avec en point d'orgue la primaire) en montant les francais les uns contre les autres!!!! vache, c'est culotte !

à écrit le 13/11/2012 à 19:08
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le maire qui fait une greve de la fain est une comunne dotee de es sommes des plus confortable de FRANCE moi je connais quand on a 110 balles on depens 80 mais pas dans des associations de deseuvres 'chez moi c'est positif!

le 13/11/2012 à 20:01
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Voila le rapport de la cour des comptes http://www.ccomptes.fr/content/download/43964/700047/version/2/file/IFR201215.pdf le début de la table des matières (pour les plus faignants) : 3.1.2. Des charges de fonctionnement importantes et non maîtrisées...

à écrit le 13/11/2012 à 19:06
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"la politique c'est pas un metier c'est une experience" ,il se fout de nous, ils sont vraiment mauvais , c'est quand meme une experience rémunéré 20000 euros par mois (avec tous les avantages de la république) quel bande de tocard

à écrit le 13/11/2012 à 18:59
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18h45 excuser moi , j'ai une grosse envie ,ben benheuem je vous ai menti sur toute la ligne

à écrit le 13/11/2012 à 18:56
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Je regarde même pas car il est mauvais , plus mauvais il n'y a pas .

à écrit le 13/11/2012 à 18:49
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le compte n'y est pas, si on revient à un déficit de 3 % inatégnable, cela fait 60 Milliards de déficit en 2013... 12 milliards par an cela fait a mon avis donc 48 Milliards en plus d'impot et ceci pour a peine arriver à un résultat ZERO avec 95 % de...

à écrit le 13/11/2012 à 18:48
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Hormis l'incantation, ce président de pacotille ne sait pas faire grand chose....

à écrit le 13/11/2012 à 18:31
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il est assez incroyable après avoir durant sa campagne indiqué que la crise n'existait pas puis il y a peu encore indique qu'elle était presque finit, il nous indique aujourd'hui que c'est plus qu'une crise mais un changement du monde. concernant le...

à écrit le 13/11/2012 à 18:13
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Toujours le même bla-bla ... à force on s'en lasse de cette politique gérant la crise bourgeoise . .

le 13/11/2012 à 18:41
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La croissance pour la croissance ? Qui dit croissance dit aussi croissance du CO2. Ne vaudrait-il pas mieux parler de croissance du niveau de vie, ce qui veut dire stopper les investissements lourds et coûteux pour construire des infrastructures et s...

à écrit le 13/11/2012 à 18:09
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C'est le pays joyeux des rires et des cerises, des monstres gentils, oui c'est un paradis.

à écrit le 13/11/2012 à 18:09
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Toujours la même dégaine !! Costard Taty étriqué cravate de travers !!! Belle image de la France !!

à écrit le 13/11/2012 à 18:04
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Il mange trop de nutella .

à écrit le 13/11/2012 à 17:50
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Baisse de 30% des remuneration : ça as ete retoqué par le conseil constitutionnel et ça n'as pas ete representer. 50MDS d'economies en 5ans : C'est ce qu'il faudrait faire chaque année pendant 5ans... Politique de mobilisation contre le chomage : H...

le 13/11/2012 à 18:31
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“Je n’ai pas tardé“ : aller vite est une chose, faire bien en est une autre... "Fracturation hydraulique": ok il faut d'autres techniques, tu fait quoi pour les trouver? Tu fais quoi pour financer les recherches? T'attends qu'on achÚte notre ...

à écrit le 13/11/2012 à 17:45
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A lire les forums il est de plus en plus pitoyable. Pas un mot des "35 heures" qui ont mis la pays sur les genoux et sur lesquelles malheureusement Sarkozy n'est pas revenu. Le bling bling était plus intéressant.

le 14/11/2012 à 7:16
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Vous avez raison. Plus que les 35 heures, ce sont les congés payés et les jours de repos obligatoires qui ont anéanti la valeur travail. Et je ne vous parle même pas de l'interdiction du travail des enfants qui a définitivement ruiné l'industrie fran...

le 14/11/2012 à 10:33
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mdr guy

à écrit le 13/11/2012 à 17:41
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Même que parfois elle sont rétroactives les hausses !!!!!!!!!!

à écrit le 13/11/2012 à 17:34
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Les hausses d'impots c'est toujours sur l'année en cours, par contre les baisses de dépenses c'est toujours dans les cinq ans à venir...

à écrit le 13/11/2012 à 17:31
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La baisse de 30 % de leur rémunération a été retoqué par le sénat je crois me souvenir .. sont ils revenus à la charge ?

le 13/11/2012 à 19:33
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Par le conseil constitutionnel pour info !

à écrit le 13/11/2012 à 17:24
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Il a grossit, il profite le queniot

le 13/11/2012 à 17:34
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C est qui le chef a l' elysées ? effectivement, a ce rythme dans 4 ans, il passe plus dans les portes.

le 13/11/2012 à 19:39
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la critique est facile donner vos idees pas vos critiques qui sont inutiles franchement

le 14/11/2012 à 15:52
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La critique est facile je te l'accorde, je te prie de m'excuser mais j'ai beaucoup de mal à lui adresser des compliments et je ne suis pas le seul. Je sais que l'on ne construit rien avec des critiques, mais au moins il sait que la majorité des Franç...

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