Eric Heyer (OFCE) : "250.000 personnes en sureffectifs dans les entreprises"

Alors que le secteur marchand a encore perdu 34.000 emplois au deuxième trimestre, 56.000 autres destructions sont à craindre en 2014, estime Eric Heyer, économiste, directeur adjoint à l'Observatoire français des conjonctures économiques. Mais elles seraient compensées par la création de 96.000 postes dans le secteur non marchand.
Eric Heyer (OFCE): 56.000 emplois seraient encore détruits en 2014 dans le secteur marchand

La France a encore perdu 34.600 postes dans le secteur marchand au deuxième trimestre, selon un étude de la Dares (service statistiques du ministère du Travail). L'emploi a continué son déclin dans l'industrie (-19.000, après - 11.700 au premier trimestre, ainsi que dans le tertiaire (-7.800). Un effet notamment de la contraction de l'emploi intérimaire. Eric Heyer, économiste, directeur adjoint à l'Observatoire français des conjonctures économique (OFCE), explique ce que pourrait être la tendance de l'emploi pour cette fin d'année et en 2014.

 

La Tribune - Quel regard portez vous sur la situation de l'emploi en cette fin d'année 2013?

- Eric Heyer. Notre analyse à l'OFCE est qu'aujourd'hui les entreprises sont en sureffectifs. D'après nos modèles économétriques, ce sont 250.000 emplois de plus qui auraient pu être détruits depuis la crise de 2008. Et cela est corroboré par les enquêtes de conjoncture de l'Insee auprès des entreprises: ces dernières répondent en masse qu'elles pourraient produire plus sans recruter. Il y a donc de grosses réserves de productivité.

 Comment expliquer ce phénomène?

- En France, il y a environ un décalage de trois trimestres entre des éléments affectant la production et les conséquence sur l'emploi. Dans certains pays c'est plus rapide, en Espagne par exemple, et d'en d'autres c'est plus long. Ainsi, en Allemagne, il faut tabler sur six trimestres. Or, la crise a été très forte en 2008, puis un rebond est intervenu en 2010, aussi les entreprises n'ont finalement pas licencié aussi fortement que l'on pouvait le croire. Puis nouvelle cassure à la fin du deuxième trimestre 2011. Et c'est maintenant que les entreprises commencent à s'ajuster... Aussi, de deux choses l'une: soit la croissance redémarre mais elle se fera sans nouveaux emplois dans le privé. On peut commencer à créer des emplois avec 0,9% de croissance (ce qui est attendu en 2014) mais avec les fameux sureffectifs, il en faut en vérité 1,5%. Soit il n'y aura pas de croissance et de nombreux licenciements interviendront.

Mais les contrats aidés peuvent venir compenser le déficit de créations spontanées d'emplois?

-  A l'OFCE, nous avons calculé que l'année 2013 se terminerait sur la destruction de 91.000 emplois nets. Pour 2014, Il y aurait encore 56.000 destructions d'emploi dans le secteur marchand mais 96.000 créations dans le secteur non marchand, soit un solde net positif de 40.000 emplois.

Quelle serait l'influence sur le taux de chômage?

- La population active croît encore spontanément de 116.000 personnes. Donc, avec 40.000 créations de postes, il y aura une progression minimum de 76.000 demandeurs d'emploi. On table sur un taux de chômage en France métropolitaine qui atteindra 10,9% fin 2014, contre 10,6% à la fin de cette année. Ceci dit, François Hollande peut tenir son objectif de stabiliser les entrées à Pôle emploi d'ici la fin de 2013, tout dépendra de la montée en charge des emplois aidés. Si le gouvernement met le paquet sur quelques mois, le chômage baissera, d'autant plus que la durée des contrats aidés a été portée de sept à huit mois, voire même à douze mois dernièrement. Mais combien de temps durera cette éventuelle baisse du chômage?

 Le travail dominical permettrait-il de créer des emplois?

- Ce que montrent toutes les études, c'est que l'éventuel surplus d'activité le dimanche vient du tourisme. Aussi, de nouvelles ouvertures dominicales ne devraient concerner que les zones touristiques. Mais il y a-t-il une demande inassouvie des touristes?

Quant à l'ouverture des grosses enseignes le dimanche, cela se ferait aux dépens de l'emploi dans les petits commerces, car les grandes surfaces ont davantage de possibilités de réaliser des gains de productivité.

 

 

 

 

Commentaires 61
à écrit le 14/11/2013 à 18:46
Signaler
Eric Heyer fait partie de ces rares économistes qui ont un béguin pour l'économie administrée...pour noël offrons lui un bonnet rouge !

à écrit le 14/11/2013 à 16:59
Signaler
Un sujet pour La Tribune qui intéresserait, je pense beaucoup de lecteurs: La liste et les coûts des employés OFCE, Conseil économique et social, instituts diverses ... Elles apportent quoi au final ?

le 15/02/2014 à 13:31
Signaler
Rien si non engendrer des chômeurs comme au CNRS faire de la recherche sur la flexibilité des queues de vache

à écrit le 13/10/2013 à 15:36
Signaler
et il ose dire que bien que les entreprises soient pour l'ouverture le dimanche, ainsi que les clients et les employés, il faut l'interdire ? au nom de quelle idéologie dictatoriale gauchisante ? car dire que les enseignes ont plus de gains de produc...

le 14/11/2013 à 15:07
Signaler
Vous pouvez même ouvrir les supermarché 7 jour sur 7, ce n'est pas pour autant que je ferai plus de courses pour remplir mon frigo. Et croyez vous que je depenserai plus en bricolage parce que les enseignes seront ouvert le dimanche ? Non !!!!! Et pe...

à écrit le 13/10/2013 à 15:32
Signaler
il est comme un médecin qui fait une saignée (les impôts) mais ignore ce cancer de l'économie et de l'emploi qu'est la dépense publique, surtout la mauvaise dépense, ces dizaines de milliards signalés par tous les rapports. il soigne avec des plantes...

à écrit le 13/10/2013 à 12:39
Signaler
les emplois aidés ne sont pas des emplois marchands, tirés par les entreprises, mais des emplois dans le secteur public (désapprentissage et handicap pour pourvoir ensuite travailler), et donc financés par les impôts supplémentaires qui tuent l'emplo...

à écrit le 13/10/2013 à 12:18
Signaler
si on applique les méthodes des payes du sud, efficacité des services publics, des politiques, professionnalisme, recherche du concensus, de l'intérêt général, volonté de réformes de fond pour faire utile et efficace, rationalisation des organisation...

à écrit le 13/10/2013 à 12:14
Signaler
ce soit disant économiste n'a aucune objectivité dans son analyse, c'est un économicien qui sous couvert de discours économiste se cantonne à faire de la propagande en gommant toutes les vérités fondamentales apolitiques. A ce titre, son discours est...

à écrit le 13/10/2013 à 12:07
Signaler
heyer passe son temps à faire de la propagande socialo et non de l'analyse de fond, en récusant les plus grandes évidences. Et il est contre la réduction de la dépense publique qui permettrait de baisser les impôts, taxes, donc augmenter le pouvoir d...

le 13/10/2013 à 14:49
Signaler
+ 1000, marre de ces commerciaux de la gauche déguisés en "économistes" et qui tentent de nous manipuler avec des mensonges éhontés, des énormes contrevérités pour faire diversion et éviter de voir les vraies causes et solutions structurantes majeure...

à écrit le 11/10/2013 à 20:02
Signaler
il y a encore un element qui peut fafforisse les entreprisses etrangeres a s installees en france c est que la france na pas d ouragans comme l amerique; ou de cataclismes comme le japon ,? les pays touchees c es dernieres annees ont calculer la...

le 13/10/2013 à 10:12
Signaler
VERITE Si je vous décode bien le malheur des uns fait le bonheur des autres,ça s'appelle pas la double peine ce type de raisonnement ?.

à écrit le 11/10/2013 à 13:28
Signaler
250.000 personnes en sureffectifs dans les entreprises et moi et moi et moi !

à écrit le 11/10/2013 à 12:56
Signaler
Cette prposition est complètement stupide . . . et pourquoi pas virer tout le monde pendant qu'on y est ? Au lieu de sureffectifs il faudrait plustot parler de sursalaires de tous ces dirigeants qui croulent sous des salaires indécent, des retraites ...

à écrit le 11/10/2013 à 12:16
Signaler
"montée en charge des emplois aidés". Le gouvernement se comporte comme un syndicat "anglosaxon" : contrôler des embauches par des aides d'une part et d'autre part empêcher les entreprises étranglées d'avoir d'autres emplois à proposer.

à écrit le 11/10/2013 à 11:43
Signaler
Combien d'employés en trop a l'ofce?ah j'oubliais,ce sont des fonctionnaires alors tout va bien!

à écrit le 11/10/2013 à 6:25
Signaler
Bonjour la bureaucratie :"56.000 destructions d'emploi dans le secteur marchand mais 96.000 créations dans le secteur non marchand". Qui crée la croissance et la richesse? Celui qui est dans les champs ou celui qui est dans un bureau de la coopérat...

le 11/10/2013 à 7:17
Signaler
Les "bureliers" du privé sont de plus en plus touchés par les plans sociaux.

le 11/10/2013 à 9:45
Signaler
Qui crée la croissance et la richesse ? La créativité et le travail bien sur ! Le travail et la créativité manuels comme seules réponses ? Foutaise.

le 11/10/2013 à 12:17
Signaler
Si "burelier" est un travail productif, autant élever la fabrication de cocotes en papier et le surf sur internet au rang de compétences stratégiques ...

à écrit le 10/10/2013 à 22:45
Signaler
Le souci de ces quelques chiffres est qu'ils relatent essentiellement d'une tendance des grandes entreprises ou enseignes. Or, on ne le répète toujours pas assez, les PME sont le réel tissu économique de ce pays. Et il y a une reprise, due au débloc...

le 11/10/2013 à 7:34
Signaler
Les commandes pleuvent : j'aimerias bien que vous me donniez vos sources. Ceci m'intéresserait, car je n'ai pas du tout les mêmes données que vous..

le 11/10/2013 à 9:48
Signaler
Vous avez raison, en cas de reprise de l'activité, les PME ont des difficultés de financement.

le 14/10/2013 à 22:11
Signaler
@Reprise : Source = Mes clients.

à écrit le 10/10/2013 à 22:36
Signaler
Emplois aidés = déficit = impôts en plus = baisse fictive des chômeurs. La seule solution c'est que les emplois marchands progressent par une baisse des coûts des charges sociales

à écrit le 10/10/2013 à 21:22
Signaler
Je commence à avoir des doutes sur la pertinence des analyses de l'OFCE.

le 10/10/2013 à 22:14
Signaler
Je pense que l'OFCE est lucide. Toutes les grandes organisations (administrations et grandes entreprises) ont d'immenses gisements de productivité avec les NTIC et la robotique. Les petites organisations, elles, ne créeront des emplois que si le coût...

à écrit le 10/10/2013 à 21:05
Signaler
De qui se moque t on ? les emplois aidés sont des emplois fictifs , ils ne doivent bien sûr ne pas être comptabilisés

le 10/10/2013 à 22:09
Signaler
Vous faites erreur. A terme tous les emplois inférieurs au salaire médian seront aidés car ils sont presque tous au-dessus du marché. Il vaut mieux qu'une personne touche un salaire plus une aide plutôt que seulement une aide. Dans tous les cas ça co...

le 10/10/2013 à 23:47
Signaler
Non, il ne vaut mieux pas qu'une personne touche une aide quand cette aide est financée à crédit. Y A PLUS DE SOUS ! on peut mépriser les petits boulots allemands ou les Mcjobs américains mais au moins ils ne coûtent rien à l'état (même si en Allemag...

le 11/10/2013 à 2:04
Signaler
Si en plus votre population s'accroît on creuse avec de bulldozer.

le 11/10/2013 à 7:19
Signaler
J'adresse de ce pas un mail à votre boss pour lui suggérer de vous passer en mini job afin de retrouver un peu de marges.

le 11/10/2013 à 9:47
Signaler
je crois qu'il faut faire un exercice de bascule intellectuel : le rôle de l'état n'est pas de se substituer au secteur privé pour l'emploi (surtout lorsqu'il n'en a pas les moyens), mais de créer les conditions pour que celles-ci puissent se dévelop...

à écrit le 10/10/2013 à 19:36
Signaler
Des emplois subventionnés ne sont pas des emplois, mais une hausse des prélèvements obligatoires. Seulement voilà, il faudra tondre un oeuf.

le 10/10/2013 à 21:24
Signaler
Tant qu'il y aura des retraités imposables et des contribuables , la source de recette est inépuisable , il suffit par exemple de retarder de quelques mois la revalorisation du montant des pensions , et une nouvelle recette est dénichée : j' ai son...

à écrit le 10/10/2013 à 19:14
Signaler
1ère remarque : il n' y aucune raison que la croissance soit supérieure l'année prochaine à ce qu'elle sera cette année (i.e. autour de zéro, au mieux), surtout avec les hausses d'impôts et du chômage qui sont prévues. 2ème remarque : la seule soluti...

le 10/10/2013 à 20:23
Signaler
"il n' y aucune raison que la croissance soit supérieure l'année prochaine à ce qu'elle sera cette année (i.e. autour de zéro, au mieux), surtout avec les hausses d'impôts" : Si les baisses d'impôts sur les retraités, les héritiers et détenteurs d'im...

le 10/10/2013 à 22:17
Signaler
@@KIKI : Bonnes remarques

le 10/10/2013 à 22:39
Signaler
la cellule riposte du PS est en forme, mais les démonstrations sont toujours aussi discutable! Les efforts de redressement des finances publiques seraient crédibles si l'overdose fiscale s'accompagnait d'un ajustement radical (modernisation) des ser...

le 10/10/2013 à 23:41
Signaler
@@ KIKI : attendez, vous êtes en train de m'expliquer que les hausse d'impôts favorisent la consommation et l'investissement ? A part ceux qui ne payent pas d'impôts, je ne vois pas qui peut soutenir ce genre d'âneries. Quant à diriger l'épargne vers...

le 10/10/2013 à 23:53
Signaler
@KIKI : 1) Au contraire, il est certain que la croissance de 2014 sera meilleure que la croissance de 2013 (sauf défaut des américains). En effet, l'Europe est repartie, ce qui va mécaniquement entraîner la France et ajouter 3 ou 4 points de croissan...

le 10/10/2013 à 23:59
Signaler
@KIKI : 2) Les emplois aidés ne sont utiles que pour le redémarrage. Hors, en 1), nous avons vu qu'en 2013, la croissance sera suffisamment soutenue (grâce à l'Europe) pour limiter le besoin en emplois aidés. Bien sur, la croissance ne va pas être dé...

le 11/10/2013 à 6:38
Signaler
Si le sureffectif est de 250,000 postes dans les entreprises privées, alors de combien de centaines de milliers (et probablement bien au delà du million) l'est-il dans le secteur public???

à écrit le 10/10/2013 à 19:10
Signaler
au moins les macroeconometres commencenta s'interesser au micro... bon debut; dur de valider ces chiffres par contre le process sous jacent est bien la...

à écrit le 10/10/2013 à 18:27
Signaler
EN ECONOMIE RIEN N EST SURE? mais l amerique a passe son bras de fer si elle repart ,nous repartiron , se ne seras jamais plus une croissacnce des trentes derniere annees mais la france a beaucoup d atout n otament dans l inovation est les nouvelle...

le 10/10/2013 à 19:09
Signaler
vous n'allez rien repartir du tout, pour la simple et bonne raison que plus personne n'a envie de rien chez vous ( et par hasard le jour ou ca changera, mais la rien n'est moins sur, vous vous rendrez compte des deficits de projets, de financements, ...

le 10/10/2013 à 19:23
Signaler
Oui l'amérique va repartir un peu : après le shutdown et le 1.6 % en 2013 (si il y a accord), on peut esperer 2.6 %, en 2014, ce qui en soit n'est pas top pour les USA avec leur forte démographie.Sauf que eux vont repartir avec un dollar faible,et no...

le 10/10/2013 à 20:11
Signaler
@Vérité @churchill Je pense que vous avez en grande partie tous les deux raison. A court terme, la situation ne repartira pas en France et nous risquons de connaître encore plusieurs années de croissance très faible, par contre il suffit d'une ruptu...

le 10/10/2013 à 20:24
Signaler
@chris oui, description réaliste et scénario plausible.

le 10/10/2013 à 21:39
Signaler
@Cerise ... une rupture technologique majeure pour relancer l'économie mondiale ... Je suis un adepte de Christiansen mais de là à faire de l'impact des disruptive innovations un effet planétaire, alors là vous allez très loin dans votre excès d'opti...

le 10/10/2013 à 22:22
Signaler
Les ruptures technologiques ont un solde global d'emplois toujours négatif. Elles apportent de la richesse oui, mais pas d'emploi. Le problème sera d'expliquer par quels mécanismes ces richesses seront consommées...

le 10/10/2013 à 22:44
Signaler
@Paulo Oui, peut-être ... mais si nous regardons les avancées dans tous les domaines nano, bio, cybernétique et autres ... les projets de marchés inter-continentaux ... la mobilité géographique croissante ... nous avons la possibilité de connaître ...

le 10/10/2013 à 22:50
Signaler
@Théophile ... par de nouveaux emplois qui émergeront ensuite ? ... par une refonte de notre modèle de société ? difficile de prévoir, pour ma part.

le 10/10/2013 à 23:45
Signaler
@Théophile : je vous rejoins sur le solde négatif pour l'emploi, si on prend le téléphone fixe que le mobile a déboulonné c'est sur que la rente de France Telecom a fondu et qu'ensuite ce sont des milliers de gens qui ont du quitter le payrol (ou ne ...

le 10/10/2013 à 23:47
Signaler
Sans aller chercher aussi loin que les États Unis, et si vous ne croyez pas à la reprise durable de la France, ne perdez tout de même pas de vue que l'Europe redémarre. Hors l'Europe est le terrain de jeu commercial privilégié de la France. Cela va n...

le 11/10/2013 à 10:01
Signaler
Hélas non ... Ce n'est pas m'a conviction ... Pourquoi ? Car plus personne à l'étranger ne considère la France comme une option pour investir ... J'ai encore eu un exemple cette semaine ...

le 11/10/2013 à 10:49
Signaler
@Paulo : Heureusement, vos mauvais exemple ne font pas une généralité. La France reste l'un des pays les plus attractifs, et cela se ressent concrètement dans les chiffres européens, que cela vous plaise ou non. C'est mécanique, et c'est comme ça dep...

le 11/10/2013 à 11:29
Signaler
@Mecatroid Le rebond de l'économie européenne est très timide et très fragile. Certes l'Allemagne et ses voisins du nord tirent la balance commerciale de la zone euro à la hausse et l'Espagne a réalisé dernièrement quelques avancées commerciales en ...

le 11/10/2013 à 12:21
Signaler
@Mecatroid : je pense que vos lunettes roses vous empechent de voir la réalité ... Je ne travaille qu'à l'étranger et dans différents pays. Le discours est quasiment le même depuis déjà plusieurs mois : Il serait plus qu'inconscient de développer ou ...

le 15/02/2014 à 7:54
Signaler
La France n'a pas de dette : la situation d'un pays par rapport aux autres s'appelle la balance des paiements : elle se décline en sept parties dont la balance commerciale est la plus importante. celle de la France est fortement déficitaire, celle de...

Votre email ne sera pas affiché publiquement.
Tous les champs sont obligatoires.

-

Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.