Manuel Valls se veut à l'écoute du patronat. Quant au dialogue social...

Le Premier ministre, dans un entretien au quotidien Les Echos, explique pourquoi il reporte le compté pénibilité. Loin de vilipender les organisations patronales, Manuel Valls semble, au contraire, comprendre parfaitement leurs demandes, oubliant au passage le dialogue social.
Jean-Christophe Chanut
Loin d'être en guerre avec le patronat, Manuel Valls est plutôt en phase.

Le patronat a remporté une bataille et a presque remporté la guerre... Avec l'appui de Manuel Valls. L'annonce par voie de presse - ce qui est assez cocasse - du Premier ministre du report, de facto, à 2016 de la généralisation du compte pénibilité sonne comme un ralliement complet de Manuel Valls aux thèses des organisations patronales. D'ailleurs, dans cet entretien au quotidien Les Echos, Manuel Valls se fait le chantre de la politique de l'offre. Il le dit, l'affirme, le répète : la priorité ce sont les entreprises et la compétitivité afin de favoriser l'emploi. Une sorte d'appropriation du fameux théorème de l'ancien chancelier allemand social-démocrate Helmut Schmidt : « les investissements d'aujourd'hui feront les profits de demain qui feront les emplois d'après demain ».

Manuel Valls assume totalement sa politique en faveur de l'offre

Cet entretien du Premier ministre dans Les Echos est a marquer d'une croix blanche. Car au-delà de la polémique sur le compte personnel pénibilité ou la durée minimale des contrats à temps partiel, il vient surtout confirmer et amplifier la fameuse conférence de presse du Président de la République du 14 janvier dernier, annonçant le pacte de responsabilité et la conversion totale à la politique de l'offre.  Manifestement, tant sur la forme que sur le fond, les annonces du Premier ministre montrent que la page de la première partie du quinquennat est définitivement tournée.

Sur la méthode, il est certain que Manuel Valls peut choquer. Du moins si l'on se remet dans la perspective du lendemain de l'élection de François Hollande. Le président se disait alors  très attaché au dialogue social. Toute décision devait être prise après au moins une consultation des partenaires sociaux. Or, Manuel Valls, lui, reste fidèle a ses idées développées durant la primaire socialiste à l'automne 2011.  Il faut un traitement de choc, aller vite. La compétitivité des entreprises, la « règle d'or budgétaire », voire la remise en cause des 35 heures, faisaient déjà partie de son corpus. La droite reconnaissait son réalisme et son  « parler vrai ». Bref son... « blairisme». A gauche, le résultat fut nettement moins concluant. Manuel Valls ne rallia qu'à peine 5% des suffrages lors des primaires mais il eu l'intelligence de se mettre immédiatement au service du future vainqueur, François Hollande.

Des idées minoritaires il y a trois ans, désormais mises en application

Et finalement, ses idées minoritaires il y a encore trois ans, les voilà maintenant mises en application. Elles constituent même l'alpha et l'omega d'un président pressé d'obtenir des résultats économiques et soucieux de donner des gages à l'Europe sur la volonté française d'engager des réformes. Ce n'est donc pas tant Manuel Valls le converti mais davantage François Hollande. Le côté « j'agis à la hussarde » de Manuel Valls ne doit donc pas étonner. Il avait a maintes reprises indiqué vouloir insuffler cette méthode de gouvernement.... Antithèse de celle de son prédécesseur Jean-Marc Ayrault.

Mais là, il fait fort. D'abord, annoncer par voie de presse le quasi report d'une réforme est assez audacieux, surtout quand quelques heures plus tard se tient un conseil des ministres qui aurait été l'endroit idéal pour prendre une telle décision. Ensuite, la loi sur la réforme des retraites a été adoptée en janvier 2014. Elle prévoyait l'application du compte pénibilité à compter du 1er janvier 2015. Soucieux des difficultés pratiques qu'entraînait l'instauration de ce compte, un rapport avait été confié à Michel De Virville, conseiller à la Cour des comptes et ancien secrétaire général de Renault. Un homme qui connaît donc les réalités vécues par les entreprises. Michel de Virville a rendu ses travaux le 9 juin dernier. Il avait veillé à simplifier la mise en place du compte pénibilité. Les six décrets d'application venaient d'être envoyés aux partenaires sociaux pour consultation.

Et patatras, en une phrase dans un entretien, faisant fi des partenaires sociaux et de la concertation, Manuel Valls fait voler en éclats cette construction : globalement, la mise en route du compte pénibilité attendra 2016. Exactement ce que réclamait le patronat qui, d'ailleurs, s'est félicité de la réaction du Premier ministre. Un épisode qui rappelle un peu celui du contrat première embauche, cher à Dominique de Villepin alors Premier ministre, en 2006. Le Président de la République avait promulgué la loi instituant ce CPE mais, devant l'ampleur des manifestations de jeunes, avait décidé que cette loi ne s'appliquerait pas !

Un appel à réformer le Code du Travail

Mieux, dans le même entretien, Manuel Valls souhaite que les partenaires sociaux s'emparent du dossier de la simplification du droit du travail et notamment de la question des seuils sociaux. La aussi, la rupture est brutale. Jusqu'ici, le gouvernement disait « niet » à toute nouvelle initiative sur le terrain des relations sociales. Notamment quand Pierre Gattaz, président du Medef, souhaitait mettre sur la table l'idée d'un sous-Smic pour les jeunes où les demandeurs d'emploi de longue durée ou quand il demandait davantage de flexibilité. Michel Sapin, alors encore ministre du Travail, n'avait de cesse d'affirmer qu'avant de penser à de nouveaux assouplissements il convenait surtout d'attendre la montée en puissance et l'entrée en application de toutes les nouvelles règles issues de l'accord national interprofessionnel (ANI) conclu par les partenaires sociaux le 11 janvier 2013. En d'autres termes, il fallait déjà faire vivre l'ANI 1 avant de songer à un ANI 2. On sent bien que cette position est maintenant dépassée. Fidèle a ses opinions, Manuel Valls est  désormais demandeur d'un nouvelle étape pour davantage de flexibilité. Les temps changent... très vite.

Sur le fond, cet épisode montre que Manuel Valls est tout à fait en phase avec les positions du Medef et de la CGPME. Ce n'est pas simplement pour « sauver la grande conférence sociale » des 7 et 8 juillet qu'il a agi de la sorte. Il est personnellement intimement persuadé qu'instaurer un compte pénibilité ou une duré minimale aux contrats à temps partiel est une ineptie dans le climat actuel. Pour lui, il s'agit de vieilles lunes datant du début du quinquennat. L'heure est maintenant à la mobilisation générale pour les entreprises.

L'alliance objective Valls/Medef

Le Premier ministre demande juste un peu de modération dans leurs demandes aux organisations patronales. Mais, globalement, il a le même souci de libérer les entreprises de toutes « les entraves » possibles. En revanche, la baisse des impôts pour les ménages des classes moyennes, certes annoncée, attendra des jours meilleurs. Ce n'est pas la priorité. Plus globalement, Manuel Valls est intimement persuadé qu'il faut « purger » l'économie française.

Et on sent qu'il se retient. S'il n'avait pas été freiné par les « frondeurs » du PS ou modéré par quelques figures du gouvernement, on peut être certain que le Premier ministre aurait été bien plus loin que les 50 milliards d'économies décidées sur trois ans et qu'il ne serait pas revenu sur le gel de certaines pensions. Déjà, fait inédit, il n'a pas hésité à imposer le gel de la valeur du point d'indice des fonctionnaires jusqu'à la fin du quinquennat. Jamais aucun gouvernement de droite n'aurait osé un tel geste... Et ce petit jeu risque de se poursuivre, le patronat et le Premier ministre y trouvant un intérêt respectif. Ainsi, dès demain, jeudi 3 juillet, le Medef va lancer une nouvelle offensive en faveur de l'apprentissage, en demandant un assouplissement de la législation. Manuel Valls va s'empresser de répondre favorablement à cette demande. D'ailleurs, il a déjà semé quelques jalons dans ce sens dans son entretien au quotidien Les Echos. Tout ceci donne un peu l'impression que dans une sorte d'alliance objective, patronat et Premier ministre se font successivement la courte-échelle !!!

Ainsi, en trois ans à peine, « Monsieur 5% du PS » s'est retrouvé Premier ministre et mène la politique qu'il souhaite de longue date. Bel exercice rendu possible par les circonstances. Mais la résistance à gauche s'organise. On l'a vu avec le mouvement des « frondeurs » et nous allons sans doute assister à de nouveaux épisodes entre le partisan de la politique de l'offre et ceux qui restent persuadés qu'une autre politique s'avère possible, basée sur des mesures mieux ciblées - en faveur des entreprises les plus exposées à la concurrence internationale - et le souci de préserver le pouvoir d'achat des moins favorisés. Mais sous la Vè République, il est difficile à un groupe de députés de mettre sa majorité en danger en ne votant pas un texte fondamental comme la loi de finances. Il va donc y avoir des soubresauts mais pas de vraie révolte. Manuel Valls a les mains libres jusqu'en 2017 pour mener sa politique de l'offre. Avec la bénédiction du Président de la République. Reste a attendre les résultats

 

    

Jean-Christophe Chanut
Commentaires 55
à écrit le 04/07/2014 à 7:02
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C'est un sarko bis , sans les talonnettes. Un seul objectif: détricoter l'organisation sociale de la France comme nous le demandent nos ex ennemis l'Allemagne et l'Angleterre.

à écrit le 03/07/2014 à 18:05
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ouais, quant au dialogue social, il s'assoit dessus lui aussi! il vise 2017, ce n'est pas dans ses soucis du moment, pour lui, tout va très, très bien ...

à écrit le 03/07/2014 à 16:08
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Demande des conseils à sega elle va t'aider car tu pédales dans la paella.

à écrit le 03/07/2014 à 15:56
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Merci de bien vouloir stabiliser votre site c'est compliqué de terminer un texte.

le 03/07/2014 à 18:06
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je vous rejoint, c'est véridique.

le 03/07/2014 à 20:01
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Moi aussi c'est très pénible !

à écrit le 03/07/2014 à 15:23
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Et si ce n'est pas demain, ce sera après demain. Baisses d'impôts et de taxes pour tous, plein emploi pour tous, transports publics merveilleux pour tous, automobilistes non surtaxés pour tous, bonheur pour tous.... Promis juré.

à écrit le 03/07/2014 à 10:27
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Pour sûr, les écoutes c'est leur truc...

à écrit le 03/07/2014 à 9:53
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aucune crédibilité de la part de nombreux FRANCAIS hé oui

à écrit le 03/07/2014 à 9:30
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Il faudrait peut être dire à montegourde qui a inventé pour les voitures françaises le volant carré et les roues en béton, pour pas qu'elles crèvent, qu'il évite de rouler à 170 km heures dans Paris. Pourtant tu veux laver plus blanc que blanc mais c...

à écrit le 03/07/2014 à 9:04
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C est toujours du molassonage, du baratin et encore du baratin, en attendant rien a changé en matière d emploi, charges, impôts, droit du travail,... Chômeurs désolés pour vous, rien ne bouge. La France a l arrêt sur sa pente savonneuse .

à écrit le 03/07/2014 à 8:07
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Comme si les problèmes étaient franco-français!! Ils ont les mains liés par le dogme de Bruxelles et donc incapable de donner des solutions pragmatiques au niveau local.

le 03/07/2014 à 15:35
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c'est sur que c'est la faute de bruxelles, du fmi, de la banque mondiale qui n'arrete pas de nous dire a nous bons français depuis trente ans "vous déconnez grave"...mais bon c'est très français ça on rejette la faute sur les autres c'est compréhensi...

à écrit le 03/07/2014 à 7:49
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Il serait même aux écoutes que ça ne m étonnerait pas

le 03/07/2014 à 9:26
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ce mlatin, aux infosde bonne heure, ce serait le premier à se fiche du code de la route, en roulant comme un malade, mais, eux, on ne les épingle pas! "Justice', tu parles!!!!!

à écrit le 03/07/2014 à 7:48
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Ce gouvernement socialiste qui fait les poches des retraités. Ha, ha, ha..............

à écrit le 03/07/2014 à 7:22
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diviser pour régner est d un autre temps pour tous les francais

à écrit le 03/07/2014 à 7:22
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Manolo ira jusqu'à se renier pour être candidat en 2017. L'archétype du politicard ! Une sorte de Flamby mais encore plus visqueux ...

à écrit le 03/07/2014 à 7:21
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Si Valls veut que des emplois soient crées, il doit dialoguer avec le patronat. S'il veut augmenter les rigidités et le nombre de chomeurs (+5 millions aujourd' hui), il doit dialoguer avec les syndicats qui ne sont pas du tout représentatifs en Fran...

le 03/07/2014 à 9:15
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Encore une pleureuse qui fraternise avec la gauche. Pour se faire du fric il mangerait leur ....

à écrit le 03/07/2014 à 7:16
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Faut arrêter d'opposer les entreprises aux salariés. Les Français ont parfaitement compris que s'ils voulaient des emplois il faut que les entreprises françaises puissent sortir la tête de l'eau.

le 03/07/2014 à 8:43
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Vous croyez que les français l'ont compris ?

le 03/07/2014 à 9:26
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Rien à foutre des entreprises je n'achète pas français. Les patrons pensent à leur compte en banque, l'intérêt général ils n'en n'on rien à foutre. Seuls les naïfs font semblant d'y croire. D'ailleurs vous qu'avez vous fait, rien comme les autres mai...

le 03/07/2014 à 11:00
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bien sur mais une categorie d intouchables accroches a des privileges veulent gagner du temps

le 03/07/2014 à 13:47
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@vous deux: C'est sûr qu'avec des individus de votre trempe, on est sûr de ne pas s'en sortir! Les patrons, ne vous en déplaise, pensent d'abord à leur entreprise et à leurs salariés, avant leur compte en banque. Certains mêmes, et plus nombreux qu'o...

le 03/07/2014 à 16:02
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Votre vision des patrons ressemble à la vie chez les Bisounours. Eye-liner un peu d'élégance et dite les salariés et non mes salariés, ce ne sont pas des machines. Pour l'intérêt général vous n'en avez rien à foutre, le seul intérêt c'est le votre ma...

le 03/07/2014 à 16:07
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Votre trempe consiste à exploiter les salariés et à vous faire de l'argent sur leur dos. Vous voyez mon patron est au boulot à 14 heures il n'a pas le temps pour faire autre chose. Il y a les patrons de pacotille et les vrais patrons. Pour le bien co...

le 03/07/2014 à 16:36
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Je suis salarié et pas votre salarié, je ne suis pas une petite chose. Arrêtez de donner des leçons et continuez à vous engraisser mais ne nous faites pas croire que l'intérêt commun vous intéresse. Arrêtez de penser que les autres sont stupides, on ...

le 03/07/2014 à 16:40
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Les français ne dont pas stupides puisqu'ils achètent étrangers. Moi je suis frontalier avec l'Allemagne et tout vient de ce pays, même ma cuisine, ils sont venus l'installer 25% moins chères alors on est pas si été que ça contrairement à votre idée ...

le 03/07/2014 à 16:45
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Je n'ai jamais demandé de sortir quiconque de la mer.. Je m'occupe de moi et de mes intérêts, je fais comme vous je m'occupe que de mes affaires, les autres je m'en fout royalement. À la seule différence que vous vous voulez vous donner bonne conscie...

le 03/07/2014 à 17:12
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Ça ressemble à du lyon69

à écrit le 03/07/2014 à 7:04
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Droite, gauche n'a plus vraiment d'importance car les remèdes sont connus et communs quelques soient la couleur du parti. Ce qui compte c'est le courage politique des cadres politiques. S'opposer aux aveugles des extrêmes aux dogmes du FN ou de Melan...

à écrit le 03/07/2014 à 7:02
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Un bon point pour le gouvernement Valls. Le pragmatisme a été plus fort que l' idéologie socialiste et syndicaliste. On évite une catastrophe initiée par ces même socialistes. Il faut simplifier la vie des entrepises et pas la compliquer. Ce sont les...

le 03/07/2014 à 8:49
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Le nombre moyens d'heures de travail effectuées en une année par les gens qui travaillent n'est pas inférieur en France à la moyenne de l'OCDE. Par contre il y a beaucoup de disparités sur les modalités de ces heures : en France peu de temps partiels...

le 03/07/2014 à 9:13
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Encore une pleureuse qui fait du pied à manolo. Il faudrait que les patrons bossent un peu, je travaille dans un golf parisien et ils passent leur journée à rien foutre,le parcours, le bar et jà bouffe et après ils viennent nous donner des leçons. Fa...

le 03/07/2014 à 9:28
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Vrai ! les patrons faignants et exploiteurs, il y en a plus qu'on ne le croit, et qui payent avec des peanuts leurs employés....

le 03/07/2014 à 16:49
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Il faut bien qu'ils payent leur bateau et leur 4/4. Ensuite il y a les frais de bouche, ils ne connaissent pas LIDL et les vacances dans les pays exotiques il faut bien les payer, c'est pourquoi manolo un peu de courage taxe un maximum. Je pourrai vo...

à écrit le 02/07/2014 à 23:19
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Valls est à la fois mauvais à tout et bon à rien ; Globalement, Valls est autant désastreux pour la gauche politique que pour la France.

le 02/07/2014 à 23:37
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Parce que vous avez l'impression que la droite a été plus utile pour réformer le pays? Si dans les années 2000 Chirac et Sarkozy avaient fait les mêmes réformes que l'Allemagne on en serait pas là.

le 03/07/2014 à 7:02
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Valls Hollande ne sont que des jumeaux de Chirac Sarkozy Raffarin DeVillepin Fillon, tous sans aucun sens de la Nation, de vrais politicards qui inspirent le dégoût le plus profond ...

le 04/07/2014 à 2:58
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jeff la reforme de l'allemange date de miterant alors histoire polique cherche il n'a rien foutu

à écrit le 02/07/2014 à 23:07
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Copain comme cochon avec ses petits copains.

à écrit le 02/07/2014 à 21:51
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Encore une baisse de pantalon devant le grand patronat ! lamentable ce gouvernement!!Valls "aboie" beaucoup, mais fait comme son supérieur : pas grand chose, des blablas, et voilà! pauvres FRANCAIS !!

le 03/07/2014 à 9:30
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...il fait comme son supérieur : pas grand chose..", tout en lorgnant la place "qu'elle est bonne" !

à écrit le 02/07/2014 à 21:37
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Tout travail est pénible , vive le farniente, créons aussi un compte repos ou l on notera les activités hors travail, qui se traduirons pas des jours supplémentaires de travail

à écrit le 02/07/2014 à 20:55
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Manuel Waseline le bien nommé !!

à écrit le 02/07/2014 à 20:48
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Manuel, va t'acheter une Dacia !!!!

à écrit le 02/07/2014 à 19:46
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arrêtez avec vôtre "gauche" ça n'a jamais été valable enfin "rentable" plutôt ! la dette de la France ne fait que croître depuis Mitterrand certes il à changé pas mal de choses mais mais au bénéfice de la dette...et depuis aucun politique n'a les cou...

le 02/07/2014 à 21:48
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Entre Mitterand et Hollande, la gauche a connu combien de président?

le 03/07/2014 à 8:55
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L'impression de ce que les fonctionnaires ne créent pas de richesses vient de ce que les services publics sont gratuits. C'est pourquoi il faut les faire payer (et transformer corrélativement l'impôt en "impôt négatif" pour la seule solidarité entre ...

à écrit le 02/07/2014 à 18:52
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Enfin la preuve qu'il fait bien partie de la droite !

à écrit le 02/07/2014 à 17:32
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On a eu 30 ans pour faire du dialogue social, ça n'a pas marché. Que le politique décide et agisse!!!

à écrit le 02/07/2014 à 17:27
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Je précise que cette note prévoit une augmentation immédiate et progressive de l'énergie et d'utiliser cette contribution pour réduire les prélèvements sociaux.

à écrit le 02/07/2014 à 17:16
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Si Manuel Valls voulait se faire un nom pour la postérité, il devrait proposer de financer les retraites par une taxe sur l'énergie; cela permettrait de réduire le chomage et de retrouver un minimum de croissance, comme le propose la note n°6 du cons...

le 03/07/2014 à 9:33
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Les retraités sont payées par les générations montants. Ce système fonctionne si elles bossent. Vu ton commentaire vers 17 heures, tu devrais te mettre un peu au boulot feiignasse et il n'y aura plus de problème dans ce domaine.

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