G20 : pour DSK, la priorité est de nettoyer le système financier

Débarrasser le système financier de ses actifs pourris doit être la priorité des gouvernements, selon le directeur général du Fonds monétaire international.

Tout à leur querelle sur la priorité à donner à l'action internationale, les leaders du G20 sont en train de passer à côté de la véritable urgence, selon Dominique Strauss-Kahn: nettoyer le système bancaire des ses actifs toxiques, qui risquent d'aggraver et de prolonger la récession mondiale.

Pour le directeur général du Fonds monétaires international (FMI), interrogé par le Financial Times, "on ne peut guérir (de la crise, ndlr) tant qu'un nettoyage du secteur bancaire n'aura pas été réalisé. Il met en avant l'expérience de son institution dans plus d'une centaine de crises bancaires.

Il ajoute que "les Etats-Unis (?) insistent, à juste titre, sur la relance de l'économie et l'Union européenne insiste, également avec raison, sur l'importance de revoir la régulation du système financier".

Commentaires 5
à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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La BNP et la Société Générale ont dejà provisionné les retraites indecentes de leurs principaux dirigeants. Dans 6 mois, les banques auront dejà trouve les moyens d'eviter tout ce qui se decident au G20 en terme de limitation des remunerations: on va...

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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A en croire DSK il faut assainir le système financier des produits toxiques! Très bonnes idées ! Mais qui va acheter ces produits ? Les banques centrales (donc le contribuable)? Les investisseurs, les banques ? Si c'est le contribuable (comme l'a d...

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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Un peu plus d'argent pour les PREDATEURS du FMI et sa va continuer à puer malgré le soi-disant nettoyage de DSK ....

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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reprendre les "reines" au niveau des banques par l'état.Purger ces établissements des responsables afin de redonner du crèdit au petites et moyennes entreprises et aux particuliers.

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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EN fait, le FMI pense qu'il faudrait nationaliser le tout, et voir quelle sont les pertes réelles : aucun de nos banquiers ne veut vraiment faire l'inventaire de ses titres toxiques et voir ce que le sous-jacent vaut réellement... Alors laissons le...

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