Cliquez ici pour découvrir le communiqué dans lequel le géant bancaire britannique dévoile ce vendredi l'origine et la nature des investisseurs qui se sont arraches hier la dette grecque via l'émission obligataire de 5 milliards d' euros lancée hier par Athènes. Elle avait fait l'objet d' une demande atteignant seize milliards d' euros.
 

Dans le détail, HSBC révèle qu'après les investisseurs grecs (pour 20%), ce sont les Britanniques et les Allemands qui ont été les plus gourmands en titres obligataires helléniques (20% et 14%). Les Français n'arrivent qu'en sixième posiition avec 7,5% après les zones Asie et Europe du nord. Les Américains ne représentent que 1% de la demande.

Par type d'investisseurs, les gestionnaires de fonds représentent 39% du total, loin devant les banques (24,5%) et les assurances (24,5%), suivis par les banques centrales (7%).