Pressions sur l'Allemagne : que va faire Angela Merkel ?

Le retour du risque de récession outre-Rhin va-t-il décider l'Allemagne à agir ? Inventaire des pressions qui s'exercent sur Berlin et de ses possibles actions...
Angela Merkel entendra-t-elle l'appel pour un plan de relance ?

Plus que jamais, tous les regards se tournent vers l'Allemagne. Alors que la zone euro est menacée d'une troisième phase de récession depuis 2007, Berlin va-t-elle accepter de participer à la relance de l'économie européenne? La question est désormais ouvertement posée, au moment où la politique monétaire de la BCE semble avoir atteint ses limites et où seule l'Allemagne paraît en mesure d'agir sur le plan budgétaire. Mais, ce jeudi, Wolfgang Schäuble, le ministre des Finances fédéral, a une nouvelle fois douché ces espoirs.

La chancelière et son très orthodoxe ministre ne veulent pas entendre parler de relance -autrement dit, de dépenses budgétaires supplémentaires- pour stimuler l'économie. La priorité reste le maintien des objectifs budgétaires fixés par le budget 2015: l'équilibre du budget fédéral pendant cinq ans. La logique de cet équilibre, c'est de faire baisser la dette publique, actuellement à 80 % du PIB, rapidement pour pouvoir mieux préparer le choc démographique prévu dans les années 2020. Mais le gouvernement d'Angela Merkel pourra-t-il résister longtemps aux multiples pressions qui s'exercent sur lui? Pour le savoir, il est sans doute utile de relever la liste de ces pressions.

La pression franco-italienne

C'est très clairement la pression la moins forte qui s'exerce sur Berlin. Depuis des mois, la France réclame une politique plus équilibrée en Europe. L'Italie de Matteo Renzi s'est jointe à cette demande. Mais Angela Merkel a, à maintes reprises, prouvé qu'elle savait ignorer, voire mépriser, ces demandes. Lors du sommet européen du 27 juin, on s'est contenté de rappeler les règles européennes existantes. Ni la volonté affichée de la présidence italienne, ni les suppliques du gouvernement français n'ont fait fléchir Berlin. Le mini-sommet du 8 octobre sur l'emploi a ainsi accouché d'une souris: un simple rappel des mesures en place et un refus allemand d'abonder davantage. Mieux, même: l'Allemagne a rappelé ces deux pays à leurs engagements, et la volonté désormais affichée de la Commission de sanctionner les budgets français et italiens ne peut que conduire à l'affaiblissement de ces demandes. Ce n'est pas cette pression-là qui risque de faire bouger Berlin

La pression de la BCE

Le 22 août à Jackson Hole, Mario Draghi a ouvertement affirmé le besoin d'une action économique coordonnée au niveau européen. Le 4 septembre, il a avoué que « la politique monétaire seule ne peut pas faire remonter l'inflation ». Il a alors réclamé qu'en échange d'une politique monétaire expansionniste et d'une politique de réformes structurelles en France et en Italie, l'Allemagne « utilise ses marges de manœuvres budgétaires ». Implicitement, il mettait même en garde Berlin : ou des investissements ou un rachat massif de dettes souveraines européennes.

La menace de la BCE a de quoi inquiéter Angela Merkel sur le papier. Un rachat illimité par la BCE de dettes souveraines reviendrait à socialiser les dettes européennes, ce que la chancelière a toujours refusé et ce qu'elle ne pourra sans doute assumer qu'avec peine devant son opinion publique. Mais Berlin s'est montrée, en septembre, fort peu impressionnée par les pressions de Francfort. Mario Draghi s'est heurté à un véritable mur.

Le pari du gouvernement allemand, c'est que la BCE bluffe, qu'elle n'osera pas aller jusqu'à cette mesure qui risque d'être retoquée par le Tribunal de Karlsruhe si on prend en compte ses attendus sur le cas de l'OMT. Mario Draghi semble, du reste, avoir clairement changé de ton lors de la réunion du 2 octobre. Depuis, ses exigences de relance fiscale sont clairement moins appuyées que celles de « réformes structurelles » dans les pays comme la France et l'Italie. Angela Merkel semble clairement avoir emporté son bras de fer avec Mario Draghi. La pression de la BCE ne la fera pas avancer.

La pression dans la coalition

Depuis la rentrée, la SPD semble se montrer un peu plus agressive face à Angela Merkel. Sigmar Gabriel, le vice-chancelier et ministre de l'économie social-démocrate, n'hésite plus à critiquer certaines positions de la chancelière. Par ailleurs, si les élections régionales de début septembre n'ont guère donné d'impulsion à la SPD, cette dernière négocie dans le Land de Thuringe la constitution d'une alliance avec les Verts et Die Linke. Un « bloc des gauches » qui est inédit dans un gouvernement régional (de 2010 à 2012, Die Linke a soutenu, en Rhénanie du Nord Westphalie, un gouvernement SPD-Verts sans y participer) et qui, rappelons-le, est actuellement majoritaire au Bundestag. Ce peut être une manière de mettre une pression supplémentaire sur l'aile conservatrice de la CDU/CSU.

Pour autant, la chancelière n'a guère de raison de craindre une forte pression sociale-démocrate pour une relance de l'économie. Même si la SPD est officiellement favorable à plus d'investissements, elle n'en fait pas encore un cheval de bataille au sein de la coalition. Il est vrai que la SPD a déjà beaucoup obtenu de sa coalition (salaire minimum, possibilité de départ à la retraite à 63 ans...) compte tenu de son poids dans cette coalition (il ne manque que trois voix aux Conservateurs pour être majoritaires). Difficile donc de faire encore monter les enchères sur le plan économique. Par ailleurs, la SPD a clairement abandonné le champ de la politique européenne où elle sait que ses positions sont très impopulaires dans l'opinion. Or, la SPD n'est pas vraiment en position de force: elle est revenue dans les sondages à ses plus bas niveaux, en dessous de 25% des intentions de vote. Une partie de son électorat fuit même vers les Eurosceptiques d'Alternative für Deutschland (AfD).

Enfin, l'option du « bloc des gauches » est une chimère au niveau fédéral. Même si c'est mathématiquement possible, Il est impossible dans les faits que la SPD rejoigne une « motion de censure constructive » avec les Verts et Die Linke pour renverser le gouvernement Merkel -comme l'avait fait, en 1982, les Libéraux pour remplacer Helmut Schmidt par Helmut Kohl. Les positions de la SPD et de Die Linke sur l'Europe sont difficilement compatibles. D'autant que, concurrencée par AfD, Die Linke durcit son discours européens. Par ailleurs, une grande partie des Sociaux-démocrates estiment encore inacceptable de gouverner au niveau fédéral avec Die Linke. Le cas de la Thuringe, Land de l'ex-RDA où la SPD est très faible, et Die Linke très forte est particulier. Enfin, une alliance de gauche lors du scrutin de 2017 est loin d'être assurée de la majorité, dans l'optique où AfD entrerait au parlement. Dans ce cas, la SPD préfèrerait sans doute renouveler la « grande coalition » avec Angela Merkel. Bref, cette dernière n'a pas grand-chose à craindre de ses partenaires de coalition.

La pression de politique intérieure

La poussée des Eurosceptiques ne semblent pas se tarir. Les sondages leur donnent désormais de 8% à 10% au niveau national, un score qu'AfD a atteint et dépassé lors des trois scrutins régionaux de début septembre. Mais en réalité, l'influence d'AfD est bien plus vaste que son niveau dans les sondages. Les Eurosceptiques sont devenus une obsession pour la CDU et la CSU. Jeudi, Wolfgang Schäuble l'a confirmé en s'emportant contre ce parti qui serait « une honte pour l'Allemagne ». Mais, du coup, les Conservateurs sont contraints à se montrer fermes sur le plan de la politique européenne. Il ne faut en aucun cas prêter le flanc à la critique eurosceptique en donnant l'impression de mettre en danger « l'argent des contribuables allemands ».

D'autant qu'AfD joue sur des idées fort répandues dans l'opinion: l'excellence du modèle allemand, l'incapacité des autres pays européens à se réformer, la responsabilité budgétaire, la mise en danger du modèle social allemand pour « sauver » les autres pays européens. Cette monopolisation du débat public par les eurosceptiques a clairement conduit à un durcissement des positions allemandes en août et septembre. En théorie, cependant, la pression est désormais moindre puisqu'il n'y a pas de rendez-vous électoraux majeurs outre-Rhin en 2015. Mais la pratique du pouvoir d'Angela Merkel montre qu'elle n'oublie jamais ses intérêts politiques intérieurs, même en dehors des périodes électorales.

La pression légale

L'Allemagne s'est dotée en 2009 d'une règle d'or bien plus stricte que celle du « pacte budgétaire » qu'elle va imposer à la zone euro en 2012. Ce « frein à l'endettement » (Schuldenbremse) limite à partir de 2016 le déficit structurel de l'Etat fédéral à 0,35 % du PIB et interdit à partir de 2020 les déficits structurels des Länder. La marge de manœuvre des Länder pour la relance est clairement nulle car cet objectif est, pour la plupart d'entre eux, très difficile à atteindre. Wolfgang Schäuble envisage de « mutualiser » le déficit structurel autorisé, ce qui serait une façon d'empêcher toute relance puisque la marge de manœuvre de l'Etat fédéral serait dissoute dans les besoins budgétaires des Länder.

Actuellement, la trajectoire de l'Etat fédéral est en effet très favorable. L'équilibre structurel a déjà été atteint, alors que la loi de programmation budgétaire prévoyait en 2014 un déficit structurel autorisé de 1% du PIB. Autrement dit, l'Etat fédéral allemand disposerait d'une marge de manœuvre potentielle de 25 milliards d'euros qui lui permettrait de demeurer dans les clous de Maastricht et de sa constitution.

Le problème est cependant double. D'abord, Wolfgang Schäuble a un rêve, celui d'être le premier ministre des Finances à équilibrer un budget fédéral depuis 1969. Il aura du mal à s'en défaire, mais c'est un obstacle qu'Angela Merkel peut dépasser. En revanche, un autre obstacle se présentera: celui de ne pas pouvoir suivre la trajectoire tracée et revenir à un déficit structurel de 0,35% du PIB en 2016, surtout si la conjoncture se dégrade très fortement et réduit les recettes fiscales. Or, la constitution allemande prévoit des mesures de corrections automatiques en cas de non-respect de la règle d'or. A quoi bon, dans ce cas, dépenser en 2014 et 2015 pour corriger sévèrement en 2016? L'effet d'une relance risquerait de faire long-feu. D'où le refus de Wolfgang Schäuble de revenir sur son plan budgétaire. Reste néanmoins que les marges de manœuvre existent outre-Rhin et qu'elles peuvent être utilisées.

La pression économique

L'économie allemande a fortement ralenti en août et la menace d'une nouvelle récession est désormais réelle. La CDU est le parti de l'économie allemande. Elle ne peut être indifférente à cette évolution. D'autant que les milieux économiques semblent désormais changer de ton, eux aussi. La fédération des industriels (BDI) avait déjà réclamé une politique d'investissements plus agressive de la part de l'Etat fédéral. Jeudi, les grands instituts économiques ont unanimement réclamé une politique budgétaire plus expansive et ont estimé secondaire la question de l'équilibre budgétaire. Ce matin, même le très orthodoxe quotidien économique Handelsblatt estime que l'idée « n'est pas si mauvaise. » Il existe donc très clairement une pression des milieux économiques allemands en faveur d'une relance.

C'est sans doute la pression qui peut être la plus efficace sur Angela Merkel et Wolfgang Schäuble. Si la récession se confirme, sans doute Berlin fera-t-il un geste. Cela risque cependant de prendre du temps. Lors de la faillite de Lehman Brothers, la chancelière avait longtemps freiné des quatre fers devant l'option d'une relance réclamée par la SPD et Nicolas Sarkozy, alors président français. Finalement, un plan de relance avait été monté en janvier 2009, soit cinq mois après le début de la crise. Et pas sans compensation: les conservateurs avaient obtenu l'inscription de la règle d'or dans la constitution. Là encore, tout plan de relance aura des compensations.

Néanmoins, il faut se garder de tout optimisme démesuré. Comme on l'a vu, la seule pression capable de faire bouger Berlin vient... d'Allemagne. Si plan de relance il y a, il sera donc allemand et destiné à l'Allemagne. L'Allemagne ne voulant pas « payer pour les autres », elle concentrera ses efforts sur sa propre économie.

Sans doute y aura-t-il un impact de ce plan sur la croissance européenne. Mais il restera limité. C'est l'avis de la plupart des économistes. Ce plan, on l'a vu, ne pourra dépasser sans doute 25 milliards d'euros en raison de la « règle d'or. » En 2009, 80 milliards d'euros avait été mis sur la table avec un effet limité sur le reste de la zone euro...

Surtout, la compensation à ce plan pourrait être une sévérité accrue envers la France et l'Italie sur le plan budgétaire et des « réformes ». Dans ce cas, l'effet du plan allemand sera nul. Le maintien des règles budgétaires européennes et leur stricte application maintiendra un carcan déflationniste sur la zone euro. Il faudrait évidemment réfléchir à une vraie relance au niveau européen. Mais aucune pression ne s'exerce sur l'Allemagne dans ce sens...

Commentaires 174
à écrit le 13/10/2014 à 17:16
Signaler
la France est forte uniquement en afrique lorsqu'il faut piller le sous sol des pays colonisés.

à écrit le 13/10/2014 à 10:01
Signaler
Merci pour cette analyse très pertinente! Surtout la situation en Allemagne me semble très bien analysée (ce que je me permets de dire en tant qu'allemand…). Ceci dît, la clé pour résoudre les problèmes économiques reste, à mon avis, surtout dans le...

à écrit le 12/10/2014 à 21:55
Signaler
La relance par l'injection de milliards dans des travaux d'infrastructure est une absurdité; le nombre d'emplois créés par euro investi est ridicule par rapport à l'euro investi dans des investissements réels effectués par les ménages ( logement, éco...

à écrit le 12/10/2014 à 20:33
Signaler
cette Europe, c'est le monde pourri jusqu'à l'os de la FINANCE! rien, pour l'humain, pour le bien être des individus, rien ! le FRIC est roi pour ces banksters, affairistes, technocrates de tous poils! Désespérant !!

le 12/10/2014 à 21:27
Signaler
Hmmm… quand vous dites "cette Europe" y compris la France ?

à écrit le 12/10/2014 à 18:23
Signaler
que de baratin!!! a force de vouloir les racketter , les allemands vont sortir de l'euro et de l'europe .

le 12/10/2014 à 22:06
Signaler
qu'il le fasse... et le plus tôt sera le mieux

à écrit le 12/10/2014 à 17:16
Signaler
L'Allemagne va disparaitre. D'ici 20 ans à cause de leur industrie automobile. Ils ne font plus d'enfants et sont tous vieux, mais c'est la faute à leurs voitures dont les réglages détruisent les testicules à la longue.

le 12/10/2014 à 18:15
Signaler
NEIN c'est faux, pour nous les enfants coûtent trop cher à élever et en plus ça crie tout le temps!

le 12/10/2014 à 20:06
Signaler
Les Allemands n'ont pas les moyens de faire des enfants car leurs voitures sont toujours en panne. Et ça coute très cher.

à écrit le 12/10/2014 à 15:01
Signaler
Angela Merkel est à bout de son modèle économique et à court d'idées, les allemands voterons SPD la prochaine fois et une Allemagne plus solidaire apparaitra....les déficit structurels comme le déficit des naissances, le prix de l’énergie élevé du à ...

le 12/10/2014 à 17:05
Signaler
Croyez vous vraiment qu'un pays qui a pu absorber le choc d'une réunification est suffisamment stupide pour croire que tour va rester en l'état qu'il ne faut pas s'adapter à son environnement au monde et renouveler son modèle. Cela ressemble plutôt ...

à écrit le 12/10/2014 à 13:35
Signaler
Allez les Franzoze achetez Deutschland, nous souffrir sans aide amis club Med

le 12/10/2014 à 21:29
Signaler
La France est bel et bien finie, Frau Merkel, dans quelques années elle touchera sa fin, on râle parce qu'on ne sait pas faire rien d'autre que raler, raler, raler….

à écrit le 12/10/2014 à 13:17
Signaler
le modèle allemand bat de l'aile!...mais pourquoi cherche-t-on toujours un modèle au lieu de simplement réformer le nôtre par une efficacité accrue.. certes il faut résorber la dette progressivement, reconstruire notre industrie, améliorer notre com...

à écrit le 12/10/2014 à 12:54
Signaler
Bien sûr l'Allemagne devrait jouer la carte de la relance. Ce serait bon pour elle et pour l'Europe. Mais la France doit se bouger et faire ses réformes! A chacun de faire sa part et arrêtons de tout mettre sur le dos des Allemands.

le 12/10/2014 à 17:09
Signaler
Finalement du bon sens. Enfin.

le 13/10/2014 à 10:10
Signaler
Merci Jeff enfin un commentaire sensé parmi toutes les anneries écrites sur ce forum.

à écrit le 12/10/2014 à 12:52
Signaler
Et que pourraient faire les français pour améliore leur données macroéconomiques?

à écrit le 12/10/2014 à 12:29
Signaler
L Allemagne devrait ...! C est tout ce que la plupart des gens savent dire. Et si les français assumaient un peu plus. C est vrai depuis 2 siècles les français se sont habitues a écraser des peuples plus faibles et a s écraser devant les plus forts !

le 12/10/2014 à 12:39
Signaler
M. Deutschland über alles, vous devriez acheter un livre d'histoire.

le 12/10/2014 à 12:56
Signaler
Les victimes de l'holocauste apprécieront. Le négationnisme est d'ailleurs reconnu comme un crime en France. Peut être pas en Allemagne ?

le 12/10/2014 à 16:35
Signaler
"Les victimes de l'holocauste apprécieront." Bien non : elles sont mortes depuis longtemps. " Le négationnisme est d'ailleurs reconnu comme un crime en France. Peut être pas en Allemagne ?" Vous vous êtes embrouillé dans vos cassettes, là....

le 12/10/2014 à 17:05
Signaler
Les victimes de l'holocauste sont certes les personnes disparues et leurs proches et descendants. Vous aussi un peu de rigueur ne vous ferait pad de tord. Enfin sur le négationnisme c'est de l'ironie destinée à faire sentir à Markus qu'il est contr...

le 12/10/2014 à 19:04
Signaler
Votre cynisme nuit à vos commentaires autant qu'à vous même. Cordialement

le 12/10/2014 à 20:10
Signaler
"Les victimes de l'holocauste sont certes les personnes disparues et leurs proches et descendants." Ce sont des vieilles histoires : le passé est le passé, inutile de ruminer cela sur des générations et des générations. "Enfin sur le négation...

le 13/10/2014 à 8:55
Signaler
Les commentaires de certains font froid dans le dos. Nicolas en particulier.

le 13/10/2014 à 9:45
Signaler
Pas a moi c'est cette mentalité francaise a toujours chercher un coupable et pas savoir se remettre en question qui me fait froid dans le dos.

à écrit le 12/10/2014 à 10:47
Signaler
Vous pouvez noter, l'Europe de demain : plus d'Union Européenne, l'Allemagne et quelques pays du l'est européen fera partie de l'Eurasie, ou de l'eurobrics, avec la Russie, la Chine et les pays du BRICS, la France, l'Espagne et l'Italie avec quelques...

le 12/10/2014 à 12:56
Signaler
Peut-être que n'existira même pas cette "Europe à deux vitesses" dont on parle. Il va rester l'Allemagne et ses associés Russie et Chine, etc, et puis la "vieille Europe" en faisant les beaux yeux aux anglo-saxons, dans une OTAN appauvrie et en jouan...

le 12/10/2014 à 21:31
Signaler
Décidément, votre boule de cristal n'est pas made in France ! bravo !

à écrit le 12/10/2014 à 9:43
Signaler
Ali Baba : vous me faites bien rigoler. Vous devriez aller demander aux Anglais, aux Danois, Suedois, Polonais etc et meme aux Suisses de mutualiser d urgence leurs dettes avec celle de la France, de l Italie, Grèce etc … Vous verrez bi...

à écrit le 12/10/2014 à 9:28
Signaler
Éviter les marque henkel, fa douche, nivea, senseo, la maison verte, et ce qui est fabrique en Allemagne. Achetez plutôt français comme linvosges, elgydium dentifrice, pétrole hahn, bic, le slip francais, l'arbre vert lessive, vigor. Ce.

le 12/10/2014 à 10:40
Signaler
J'ai eu des Peugeot (605 puis 607) pendant 15 ans et elles tombaient souvent en panne. Excédé, après avoir été longtemps franchouillard dans mes achats, je suis passé chez BMW et depuis, aucune panne.

le 12/10/2014 à 10:49
Signaler
Et pour les bonnes voitures, celles qui durent et qui sont les plus fiables, qu'est-ce que vous nous suggérez ?

le 12/10/2014 à 11:56
Signaler
"Et pour les bonnes voitures, celles qui durent et qui sont les plus fiables, qu'est-ce que vous nous suggérez ?" = ce ne sont surement pas les voitures allemandes!!

le 12/10/2014 à 12:57
Signaler
"Et pour les bonnes voitures, celles qui durent et qui sont les plus fiables, qu'est-ce que vous nous suggérez ?" = ce ne sont sûrement pas les voitures FRANÇAISES!!

le 12/10/2014 à 13:00
Signaler
Et moi j'ai fait exactement l'inverse que vous...parce que les voitures françaises sont plus fuables, moins chères à l'achat et en entretien. Et cela me permet d'avoir beauvoup plus d'argent. Bref j'ai arrêté d'être frimeur et bobo.

le 12/10/2014 à 21:33
Signaler
Vous avez raison, il faut qu'on commence à s'habituer à la pauvreté, à vivre en comptant les sous, en serrant la ceinture…. finalement la frime c'est pour ceux qui en ont les moyens, pas pour nous.

à écrit le 12/10/2014 à 9:20
Signaler
Je crois que l'Allemagne est en train de rentrer dans le "monde réel". Pour l'instant en effet, elle a bénéficié d'un profil d'État marchand, sans armée et sans expansion démographique, cette structure particulière lui a permis de faire des économies...

le 12/10/2014 à 10:47
Signaler
L'expansion démographique n'a AUCUN intérêt, rappel...

le 12/10/2014 à 12:55
Signaler
Ali Baba : vous me faites bien rigoler. Vous devriez aller demander aux Anglais, aux Danois, Suedois, Polonais etc et meme aux Suisses de mutualiser d urgence leurs dettes avec celle de la France, de l Italie, Grèce etc … Vous verrez bie...

à écrit le 11/10/2014 à 23:30
Signaler
L'Allemagne fuit ses responsabilités. Elle a fait ses réformes et mis en place un dumping social avec Hartz grace à l'Europe qui a l'époque soutenait la croissance. Et refuse aujourd'hui de renvoyer l'ascenseur. Mais la déflation sui guette l'europ...

le 12/10/2014 à 9:24
Signaler
L'alemagne joue a fond le carte du cynisme national. On le voit bien au sein des forums ou groupes européens. Si des represailes étaient faites par les autres, cela les calmerait.

le 12/10/2014 à 13:04
Signaler
Faites comme moi. N'achetons plus de marque allemande. Pour info je me duis équipé il y a 3 ans en Siemes. La moitié des appareils en panne juste après la garantie. Maintenant j'achète français.

à écrit le 11/10/2014 à 22:54
Signaler
"Dans 10 ans, la France sera la locomotive de l'Europe et non l'Allemagne, assure le Daily Telegraph" L'économie française n'est pas en si mauvaise santé. Elle serait même en passe de doubler celle de l'Allemagne, si l'on en croit The Daily Telegrap...

le 12/10/2014 à 9:58
Signaler
@Daily C'est vrai qu'une fois déjà, on a sauvé l'Angleterre de la banqueroute mais un article si pleinement gentil avec la FRANCE, ça fait longtemps, ah ces rosbifs, décidément....!

le 12/10/2014 à 10:51
Signaler
Le miracle économique allemand dure depuis les année 50. Par ailleurs la France est en récession depuis 20 ans, avec des investissements quasi nul et une population en augmentation, mal éduqué, mal formé, peu productive : aucune chance de passer d...

le 12/10/2014 à 12:48
Signaler
L'Allemagne, sur 20 ans, se classe 156e sur 166 pays pour la croissance, juste derrière l'archipel des Tonga dans le Pacifique, et aux côtés de pays comme l'Italie, le Portugal, l'Ukraine, Haïti, ou la Grèce.

le 12/10/2014 à 13:01
Signaler
Les experts anglo-saxons ont l'habitude de dire que la France est un pays qui voyage en 1 ère classe avec un ticket de 2 ème. Jusqu'aujourd'hui les autres pays en ont fermé un oeil car il avait des enjeux qui leur intéressait, mais depuis quelques mo...

le 12/10/2014 à 16:26
Signaler
1. Et ? La RFA partait de très haut, et à du se coltiner les RDA. 2. Les français sont encore plus nul. Après, si vous pensez comme moi que leur modèle dit "Rhénan" est mauvais, vous avez raison. Mais au moins eux font des effort pour passer a...

le 13/10/2014 à 1:42
Signaler
On s'en fout, libéralisme ou pas, on va enfumer l'Allemagne, et ca ne prendra pas 10 ans comme le prédit le Daily Telegraph, tout juste 3 ou 4 ans.

à écrit le 11/10/2014 à 13:21
Signaler
L'Allemagne se voit coincée en Union Européen, voilà la réalité. Elle tisse depuis un bon moment des liens avec la nouvelle Route de la Soie en Eurasie. L'Allemagne marche vers le prochain bloc qui fera vraiment le poids face au bloc atlantiste : l'E...

le 11/10/2014 à 15:08
Signaler
Je pense que vous êtes passés superficiellement sur les graves et profonds événements que se déroulent depuis plusieurs mois en Europe de l'Est et au Moyen Orient. Car vous auriez sinon vu l'Allemagne tenté d'écraser son voisin Russe en promouvant u...

le 11/10/2014 à 15:22
Signaler
L'Allemagne coincée entre l'Eurasie et l'Otan se dévoile comme étant le nain démographique d'une région qu'elle pensait dominer...

le 11/10/2014 à 15:58
Signaler
Pas d'accord avec vos propos, Gertrude et Bob. Ce serait ignorer la stratégie des chancelleries dite "une main fait le contraire de ce que fait l'autre". D'abord il n'a pas eu de présence massive de l'armée allemande dans ces régions dont vous citez....

le 11/10/2014 à 17:36
Signaler
A Helmut, si il n'y a pas eu comme vous dites de présence massive de l'armée allemande dans cette région c'est que les Allemands n'ont pas de capacités militaires susceptibles de pouvoir intervenir de façon sécuritaire. En résumé, les prétentions gé...

le 11/10/2014 à 19:25
Signaler
C'est le même cas de figure pour l'armée française que n'a que deux Rafales en Lituanie, une présence plutôt symbolique. Je pense que les prétensions géopolitiques de l'Allemagne dans l'est de l'Europe se limitent aux échanges commerciaux et c'est to...

à écrit le 11/10/2014 à 12:54
Signaler
Certains souhaite que l'Allemagne quitte l'euro pour qu'on puisse enfin dévaluer et s'endetter encore plus. Le problème, c'est que l'europe du nord suivra l'allemagne, et que l'espagne, le portugal et la grèce, qui ont accepté de profondes réformes ...

le 11/10/2014 à 13:12
Signaler
Enfin un commentaire sensé !!!

le 11/10/2014 à 13:48
Signaler
Déficits abyssaux en Grèce et au Portugal et 1/3 de la population sous le seuil de pauvreté. .. effectivement c'est le sens du progrès économique que de régresser socialement.

le 11/10/2014 à 20:02
Signaler
une façon très rétrograde de voir les choses, en effet !! +1

le 12/10/2014 à 9:18
Signaler
A cause de l'Allemagne, l'on assiste a un repli identitaire.

le 12/10/2014 à 10:54
Signaler
Personne ne vous interdit de suivre vis lubbies sociales, mais pas avec l'argent des autres.

le 12/10/2014 à 11:04
Signaler
Venir mendier de l'argent aux allemands provoque chez vous un " réflexe", visiblement pas celui de la HONTE..

le 12/10/2014 à 11:59
Signaler
et vous n'avez pas honte de faire travailler des immigrés à des taux horaires de 4-5 euros bruts de l'heure et de faire du dumping social?

le 12/10/2014 à 16:28
Signaler
"et vous n'avez pas honte de faire travailler des immigrés à des taux horaires de 4-5 euros bruts de l'heure et de faire du dumping social?" C'est à cela que sert l'immigration mon cher, et c'est pour cela que les immigrés émigres. On ne force p...

le 12/10/2014 à 17:43
Signaler
remarque les immigrés viennent en Allemagne mais ne restent pas très longtemps, normal, ils ont pas envie de faire le sale boulot des allemands en étant payés une bouchée de pain! Mais personne ne vous empêche, mon cher, à émigrer en Allemagne...

le 12/10/2014 à 18:24
Signaler
@Nicholaus AH BON ,croyez vous sincerement que le dumping social n existe qu en Allemagne et pas en France ??

le 12/10/2014 à 20:10
Signaler
en France, nous avons un salaire minimum, personne ne travaille pour 4-5 euros bruts de l'heure.

le 12/10/2014 à 20:12
Signaler
Les immigrés partent ? Ah bon ?? Je ne le vois pas dans la rue en tous cas..

le 12/10/2014 à 22:04
Signaler
pourquoi vous habitez à Berlin?

à écrit le 11/10/2014 à 10:50
Signaler
Nein und Nein, je ne lâcherais pas un centime à ces fainéants de franzoze!

à écrit le 11/10/2014 à 10:24
Signaler
On peut avoir une récession et conserver malgré tout une balance commerciale positive. L'Allemagne malgré la crise russe conserve le marché chinois essentielle sa balance commerciale. Le gros problème de l'Allemagne est sa dermographie, mais sa popul...

à écrit le 11/10/2014 à 10:02
Signaler
Perso, je pense que Merkel va débuter ses séances de gym, somme toute, l'hiver s'approche et elle ne voudra pas rater ses vacances en montagne pour faire du ski.

à écrit le 11/10/2014 à 9:23
Signaler
@ludwig ya ya !!

à écrit le 11/10/2014 à 8:58
Signaler
Beaucoup voudraient voir l'Allemagne dégringoler comme la France. Laissez-moi rire... Le problème de la démographie se résout déjà par l'arrivée massive d'immigrants européens diplômés en quête de travail. Les bureaux de recrutement saturent. En Fran...

le 11/10/2014 à 9:10
Signaler
@Polo Le made in Germany est de moins en moins une référence, VW perd ses positions en Europe en Russie aux USA à l'exception de l'Allemagne et de la Chine, regardez les chiffres 2014 à date! L'avenir de la FRANCE passe par une sortie de l'Union p...

le 11/10/2014 à 10:42
Signaler
Vous trouvez que les status des travailleurs étrangers que l'Allemagne accueil est viable? Quand ces travailleurs réaliserons ils vont devoir partir de ce pays qui les virera pour ne pas avoir a leur payer leur retraite mais ce sera trop tard!!!

le 11/10/2014 à 12:01
Signaler
des immigrés qui ne resteront pas en Allemagne très longtemps, sans oublier la faiblesse structurelle de l'investissement, quelques soucis en perspectives pour l'Allemagne

le 11/10/2014 à 12:19
Signaler
+ 1000000000

à écrit le 11/10/2014 à 8:42
Signaler
Admettons que la situation entre les 2 pays soit inversée ; j'entends déja les anti-allemands actuels retourner leurs arguments.

à écrit le 11/10/2014 à 8:14
Signaler
Elle peut lever les sanctions imposées par les USA contre la Russie pour affaiblir l europe ou declencher une guerre en europe salvatrice pour l eco mondiale...on rase tout et on reconstruit. Pour le moment le petrole de crimee leur echappe et ca i...

à écrit le 11/10/2014 à 2:38
Signaler
Angela va redire la même chose ! Les derniers de la classe qui ne font aucun effort et pleurniche de jalousie doivent d'abord réformer leur pays Bricoler la monnaie faire des dettes n'a jamais rendu un pays efficace et performant Notre problème es...

à écrit le 11/10/2014 à 1:03
Signaler
Il n'y a plus qu'à attendre la fête de la bière... à Munich of course...!

à écrit le 11/10/2014 à 1:00
Signaler
Avec toute cette pression, elle va pouvoir aller bosser chez Heineken.

à écrit le 10/10/2014 à 23:18
Signaler
Cette Allemagne qui a un semblant de prospérité qui n'est pas pérenne, lui donne un avantage relatif (salaires de misère, natalité en berne,épouvante de l'inflation....), faible chômage, car les jeunes adultes sur le marché du travailk sont peu nombr...

le 11/10/2014 à 9:01
Signaler
Et pourtant par centaines de milliers, de jeunes diplômés européens vont y travailler....

le 11/10/2014 à 12:20
Signaler
pour l'instant, POLO, pour l'instant.......!

le 12/10/2014 à 10:55
Signaler
Ouais, tandis que nous avec nos jeunes des cités, on est vachement le futur et puis c'est tout, na!

le 12/10/2014 à 12:57
Signaler
c'est vrai que en Allemagne tout va bien, surtout à Hambourg ou les manifestations kurdes dégénèrent...

le 12/10/2014 à 16:29
Signaler
"c'est vrai que en Allemagne tout va bien, surtout à Hambourg ou les manifestations kurdes dégénèrent..." Ca va certainement ébranler la puissance de l'économie allemande, ça !

le 12/10/2014 à 18:13
Signaler
Ca va certainement ébranler la puissance de l'économie allemande, ça ! = leur économie est au plus bas depuis 5 ans, faut se renseigner!

le 12/10/2014 à 20:14
Signaler
Ca va vachement les rendre plus souple, faut se renseigner !

à écrit le 10/10/2014 à 22:54
Signaler
L'Allemagne comme on ne la décrit pas dans la presse française, c'est un pays vieillissant, des infrastructures usées, une dette considérable, des travailleurs pauvres par millions et des coalitions molles qui gouvernent en épiciers. Ouvrons les yeux...

le 13/10/2014 à 10:22
Signaler
Bon voyage alors on vous souhaite beaucoup de plaisir avec vos nouveaux copains anglais. Allez bye bye et bisous.

à écrit le 10/10/2014 à 22:49
Signaler
Comme Madame "NEIN" est intransigeante, il suffirait aux français (premier client de l'Allemagne) de ne plus acheter allemand... si leur économie continue de plonger, elle finira bien par changer de politique économique.

le 10/10/2014 à 23:18
Signaler
pas faux !

le 11/10/2014 à 8:17
Signaler
Je ne voudrais pas etre votre partenaire...vous coulez donc...je dois couler car cela m arrange....Francais pure souche. ...et pourquoi comme un grand et adulte que vous etes vous ne sortez pas de l eau (europe)?...Trouillard...pure souche

le 11/10/2014 à 8:56
Signaler
moi je suis très content de mes MERCEDES, et de électroménager MIELE et SIEMENS

le 11/10/2014 à 10:18
Signaler
Je vous rappelle que les économies sont interdépendantes...baissez un peu la tête Mme NEIN...la contagion peut vite se propager...question : l'Allemagne vend à l'Allemagne uniquement ? Vit elle en autarcie ? Si les pays autour d'elle toussent, elle t...

le 11/10/2014 à 10:45
Signaler
@der, il n'y a pas de partenariat et d'amitié franco-allemand, la France est un concurrent économique de l'Allemagne, point barre.

le 11/10/2014 à 10:47
Signaler
Vous demander aux allemands de vous offrit gratis leurs produits, ils refusent.

le 11/10/2014 à 12:24
Signaler
chacun regarde son interet, l'Allemagne la première, loin des flonflons que promettaient "L'EU! rappelez vous, solidarité, échanges, chômage en baisse et tout le St Frusquin! et que voit-on? chacun tire la couverture à soi! la France DEVAIT GARDER SA...

le 11/10/2014 à 14:25
Signaler
+1000000

le 12/10/2014 à 10:58
Signaler
La souveraineté c'est de la métaphysique, et ce n'est pas cela qui va rembourser nos dettes ou faire revenir les riches en France... Par ailleurs réclamer n'importe quoi fait passer pour un fou, pas pour quelqu'un de sérieux qui, justement, défend...

à écrit le 10/10/2014 à 21:52
Signaler
Angela devrait enfin comprendre que la France est l'exemple à suivre: un pays qui augmentent depuis des années en moyenne sa dette d'environ 5 % du PIB annuel et qui dégagent un croissance annuelle en moyenne de 0,5 %; Angela, faites comme nous: dé...

le 10/10/2014 à 21:58
Signaler
un pays qui dégage et qui augmente...oui Elle n'y adhèrera pas: 10 EUR de dette fraîche contre 1 EUR de croissance; Pourquoi personne en France n'interroge pas Sapin sur cette drôle de performance?

le 10/10/2014 à 22:12
Signaler
Votre ironie passe assez mal, désolé de vous le dire. De plus, vous prenez le problème à l'envers : c'est la faiblesse de la croissance (due à l'austérité) qui entraîne le déficit budgétaire, pas l'inverse.

le 10/10/2014 à 22:40
Signaler
sérieusement; comment est-ce possible?; oui les taux sont faibles (nous disons quoi? Merci Angela et... Mario) Mais un endettement qui qui ne résulte presque en rien qu'une dette nouvelle, c'est vraiment exceptionnel! Qui pourra nous expliquer ce mas...

le 10/10/2014 à 23:22
Signaler
+++++++++++ !!

le 11/10/2014 à 12:05
Signaler
c'est assez simple de comprendre que le déficit actuel n'est pas issue d'investissements publics nouveau non ?

le 11/10/2014 à 22:37
Signaler
clem; un retour sur investissements publics ne se fait en un quart de seconde. Le budget d'un état même lorsqu'il dérape, se constitue d'un élément majeur, la redistribution des richesses produites issue de la production intérieur. Une relance donc d...

le 12/10/2014 à 16:32
Signaler
" Le budget d'un état même lorsqu'il dérape, se constitue d'un élément majeur, la redistribution des richesses produites issue de la production intérieur." La distribution du fric volé aux créateurs de richesse n'est en rien un "élément central" d...

à écrit le 10/10/2014 à 21:42
Signaler
Les Allemands sont jusqu'au boutistes . Ils sont allé au bout de l'Impérialisme au 19ieme siècle, du Fascisme au 20 ieme siècle, et ils iront au bout du capitalisme au 21 ieme siècle. Ils gèrent l'Europe comme une gigantesque copropriété (une somm...

le 10/10/2014 à 22:37
Signaler
Très intéressant !+ UN !

le 12/10/2014 à 16:34
Signaler
"Ils sont allé au bout de l'Impérialisme au 19ieme siècle, du Fascisme au 20 ieme siècle, et ils iront au bout du capitalisme au 21 ieme siècle. " On a du mal à voir l'impérialisme des allemands par rapport a celui de la IIIéme République, ni le ...

à écrit le 10/10/2014 à 21:31
Signaler
L'Allemagne pense à ses intérêts avant tout. L'Europe est une illusion. La France sombrera car enfermée dans son système marxiste. Il ne reste qu'à quitter ce pays si on le peut. La messe est dite.

le 10/10/2014 à 22:09
Signaler
Analyse un peu courte, non ?

le 11/10/2014 à 0:06
Signaler
il faudrait justement faire le contraire, se serrer les coudes, arrêter de s'auto-critiquer et acheter français en priorité.

le 11/10/2014 à 10:25
Signaler
La France souffre de ses "castes" qui ne veulent surtout rien perdre...notamment les professions réglementées, politiques,...ensuite, bien souvent, nous les Français, sommes prétentieux, réagissons dans l'urgence et l'improvisation...Dommage, parce q...

le 11/10/2014 à 12:06
Signaler
salut !

le 11/10/2014 à 14:26
Signaler
AMEN !!

à écrit le 10/10/2014 à 21:11
Signaler
Angela doit sortir de la zone euro, ce qui permettra de rester entre latins : français, italiens, grecs, espagnols, tout ça, tout ça

le 11/10/2014 à 14:27
Signaler
tout à fait!

le 11/10/2014 à 16:23
Signaler
Nous on a le sens de l’humour, contrairement aux allemands : l’inversion de la courbe du chômage, les vrai faux pourfendeurs de fraude fiscale ( Cahuzac, Thevenoud), l’ile aux aveugles grecs, le bunga bunga italien. Au moins on rigole bien.

le 13/10/2014 à 10:25
Signaler
Vous avez raison il faut vraiment avoir le sens de l'humour Pour choisir comme pseudo le nom d'un fabricant de chiotte.

à écrit le 10/10/2014 à 21:00
Signaler
l'Allemagne un modèle a suivre prendre exemple sur ce qui réussisse pas sur ce qui sont en faillite

à écrit le 10/10/2014 à 20:16
Signaler
A lire les débilités anti allemandes qui circulent, on reproche à l'Allemagne une très grave faute: vouloir arrêter de dépenser plus que ce qu'on gagne . C'est élémentaire !. C'est ce que devrait faire tout gouvernement ! Les économistes au petit pie...

à écrit le 10/10/2014 à 19:38
Signaler
La solution n´est pourtant pas si compliquee. prendre l´exemple sur l´Allemagne qui avec 40% d´habitants en plus a 10% de fonctionnaires en moins (90 millions contre 65millions d´habitants et 5,7 millions de fonctionnaires contre 6,2 millions en Fr...

le 10/10/2014 à 20:57
Signaler
Toujours le même leitmotiv sans fondement.

le 11/10/2014 à 7:25
Signaler
Je rajouterai pour être complet qu'on doit comme en Allelagne diviser le montant des retraites par 2 et créer un salaire minimal 30% plus bas que le notre....ça s' appelle le progres social et en Grèce cela a permis de tuer le malade.

le 11/10/2014 à 10:51
Signaler
Plus vous ralentissez les reformes, plus elles seront dures - et ca fait 20 ans que vous bloquez tout...

le 11/10/2014 à 11:07
Signaler
Le couplet sur les mechants plan d'austerite est une grosse ficelle usée. Les programmes d’austérité sont la contrepartie des dizaines de milliards d'euro prêtes a un pays qui ,ayant fait absolument n'importe quoi (y compris truquant ces comptes) pen...

le 11/10/2014 à 14:09
Signaler
Vous êtes hors sujet. ...mon commentaire veut mettre en lumière que l'allemagne mène l'europe dans une politique déflationniste mortelle pour notre économie. Le dumping social s' il est profitable aux exportations est dangereux pour la consommation....

le 12/10/2014 à 11:00
Signaler
Le dumping sociale des USA, Terrible pour ses habitants, ah ah ah ah !!!

à écrit le 10/10/2014 à 18:50
Signaler
La retraite !,comme thatcher ou aliot marie qu'elle parte soulager ses bouffes de chaleur au tirol

le 10/10/2014 à 19:05
Signaler
Grande classe et pas mysogine du tout, tout en nuance et intelligence. Vous avez la lourdeur que l'on reproche aux allemands comme quoi.

à écrit le 10/10/2014 à 18:49
Signaler
La retraite !,comme thatcher ou aliot marie qu'elle parte soulager ses bouffes de chaleur au tirol

à écrit le 10/10/2014 à 18:34
Signaler
L'Allemagne ne changera rien et sera la cause de l'explosion de l'Euro par son intransigeance. Par deux fois, ce pays a ravagé l'Europe, la troisième n'est pas loin. Il suffit de lire les rapports du FMI qui annonce une récession majeure en Europe si...

le 10/10/2014 à 18:48
Signaler
Etre fort ne s'improvise pas le discours grandiloquent et prétentieux des petits marquis désargentés que nous sommes n'impressionne plus personne. Avec l'Allemagne la France a trouvé son méchant. Tellement facile

le 10/10/2014 à 19:49
Signaler
désolé, mais Nein" n'a PAS TOUT à fait TORD!

le 12/10/2014 à 16:37
Signaler
"L'Allemagne ne changera rien et sera la cause de l'explosion de l'Euro par son intransigeance. " Heu, qui est "intransigeant" depuis 20 ans et dépense sans compter ? Vous vous scandalisez que la RFA ne veuille pas se suicider ? Personne d'autr...

à écrit le 10/10/2014 à 18:17
Signaler
De toute façons ,tout se décide a Bruxelles aujourd'hui,Merkel ne fera pas illusion longtemps

à écrit le 10/10/2014 à 17:43
Signaler
L ECONOMIE CEST SIMPLE QU EN LE BUJET BAISE ?LES DEPENSES DOIVENT BAISE AUSSI? IL FAUT POURSUIVRE LES REFORMES LENTEMENT MAIS SUREMENT C EST POUR CELA QU ON VOTE. AFIN QUE LA FRANCE SE RELEVE???

à écrit le 10/10/2014 à 17:21
Signaler
Les Allemands ne changeront rien. Une fois qu'ils ont décidé avoir raison, c'est définitif. C'est ce que j'ai appris pour avoir distribué les produits d'entreprises allemandes qui n'étaient pas exempts de défauts. Leur fierté les conduisaient systém...

le 10/10/2014 à 17:33
Signaler
je travaille en Allemagne, depuis environ une dizaine d'années, et je fais le même constat que vous. Ils se croient meilleurs que tout le monde et je ne parle pas du mépris qu'ils ont envers les français.

le 10/10/2014 à 17:59
Signaler
+ UN ! il n'y a que "QUI" , qui ne change pas d'avis? ...question à 10 eur, mais on connait la suite, non?....

le 11/10/2014 à 11:02
Signaler
@Frontalier = je me demande alors pourqoui vous restez travailler la bas !

le 12/10/2014 à 11:24
Signaler
je ne fais que décrire une réalité, ils embauchent des immigrés car ils n'ont pas d'autres choix. Naturellement, que je vais rester, pas par envie mais par obligation.

à écrit le 10/10/2014 à 17:05
Signaler
NE PAS ACHETER ALLEMAND. INTERPELLER LES KOLABOS ROULANT EN MADE IN GERMANY MADE IN L'EST. Nota : Interpeller est la forme poli de ce que je pense .

à écrit le 10/10/2014 à 15:59
Signaler
l'idéal serait que les allemands rachètent notre dette.

le 10/10/2014 à 16:29
Signaler
c'est precisement ce qu'ils ne veulent pas, ni directement, ni via la bce ( en l'etat actuel si l'allemagne devait racheter de la dette ca serait de la dette... espagnole!)

le 10/10/2014 à 16:32
Signaler
.... et que la marmotte mette le chocolat dans le papier d' aulu !!!!!! ;o))

le 11/10/2014 à 7:27
Signaler
Et que les français arrêtent d'acheter du merde in germany.

à écrit le 10/10/2014 à 15:22
Signaler
La France n'a rien à faire dans l'Europe Fédérale d'Allemagne ! Les anglais ont tout bon : il faut suivre leur exemple !

le 10/10/2014 à 15:35
Signaler
Les résultats de l’Angleterre et ceux de la France ne sont pas les mêmes... et la dette que nous avons est en euro !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

le 10/10/2014 à 15:55
Signaler
+ UN

le 10/10/2014 à 18:57
Signaler
80% de la dette a etait libelee en francs

le 12/10/2014 à 11:02
Signaler
Et vous voulez être payé en francs ?

à écrit le 10/10/2014 à 15:00
Signaler
C'est quand c'est la France et l'Italie qui font des "pressions" sur l'Allemagne qu'Angela Merkel bâille.

à écrit le 10/10/2014 à 14:47
Signaler
Les politiques de relance sont parfois intéressantes et ont été plus qu’utilisées ces dernières années( par l'allemagne aussi contrairement à ce que laisse croire certains). Malheureusement elles sont le plus souvent néfastes car les politiques en p...

à écrit le 10/10/2014 à 14:37
Signaler
Tant que la confiance entre les deux plus grands pays de la zone Euro ne reviendra pas, la situation aura du mal à évoluer. Il faut impérativement que la France tienne (enfin) ses engagements pour déverrouiller la situation. Ce n'est pas à l'Allemagn...

à écrit le 10/10/2014 à 14:10
Signaler
Et la pression internationale? FMI, USA etc.?

à écrit le 10/10/2014 à 14:07
Signaler
ou l'arroseur" arrosé".....

à écrit le 10/10/2014 à 14:03
Signaler
Je pense qu'elle ne va rien faire car elle pense qu'il n'y a que l'austérité qui puisse faire de la croissance. Donc on attendra que l'économie européenne s'effondre et que les électeurs allemands renvoient madame à ses études !!!!

le 10/10/2014 à 14:30
Signaler
y a aucune austerite en france, contrairement a ce que vous faites semblant de penser!

le 10/10/2014 à 15:01
Signaler
effectivement et heureusement qu'il n'y a pas de l'austérité telle que les portugais, les espagnols, les grecs la vivent car on serait avec un chômage à plus de 15 %.

le 10/10/2014 à 15:04
Signaler
Vouloir imposer de l'austérité aux Français équivaut à faire les Français penser comme des Allemands ou comme des nordiques européen. Mission impossible. Notre comportement est plus proche de celui des Italiens, des Espagnols plutôt.

le 10/10/2014 à 15:24
Signaler
@précision La question traité ici est au niveau européenla France fait de l'austérité , moindre qu'ailleurs au Sud je vous le concède bien volontiers mais ses petites mesurettes font déjà pleurer dans les chaumières françaises. passez les français à ...

le 10/10/2014 à 16:58
Signaler
vous n'oubliez personne??? vous êtes très indulgent pour ces mafieux, et les énarques, que leur réservez vous??? !!on vous écoute !

le 10/10/2014 à 18:01
Signaler
ouais, autrement dit, toujours le peuple, et les autres"? ++++++++ sont exemptés !comme d'hab.

le 10/10/2014 à 19:07
Signaler
Que se passera-t-il en France quand la droite aura repris le pouvoir et appliquera son programme c'est à dire de 110 à 150 milliards d'économie selon que l'on choisise NS, FFou AJ !!!

à écrit le 10/10/2014 à 14:02
Signaler
Angela , elle va racheter les portiques écotaxe à Hollande et son ex !

Votre email ne sera pas affiché publiquement.
Tous les champs sont obligatoires.

-

Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.