Sciences Po est-elle un modèle pour l'école francaise ?

marie-claire à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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sciences-po n'est pas un modèle! Elle favorise certains au détriment des élèves méritants appartenant aux classes moyennes.que devient le mérite?

dsl à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Peut-etre parce qu'un IEP, a fortirori une Ecole Libre, n'a jamais ete une grande ecole...

Norton à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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non, Sciences Po ne me parait pas un modèle car les élèves qui y accèdent autrement que par la voie traditionnelle peuvent fort bien obtenir leur diplôme mais sont toujours identifiables par l'employeur simplement en consultant le CV et en regardant...

ragot à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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non c'est du bidon

Coligny à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Sciences-Po n'existe plus, je veux parler de l'Ecole libre des Sciences Politiques, il n'y a plus que l'IEP qui est devenue une super-fac dont les enseignements ont un contenu essentiellement idéologique en particulier depuis que M.Descoings, sociali...

grincheux à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Le president Sarkozy a raison de choisir les meilleurs , qui ne connais pas science po ?

lucterius à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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La vraie transformation de notre enseignement ne se fera que le jour où on comprendra enfin que l'enseignant ne doit plus être à la fois juge et partie (C'est lui qui enseigne et c'est lui qui évalue son enseignement). J'expose cette conception sur ...

michel76 à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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A chaque fois que j'ai pu voir ou entendre ce monsieur, la conclusion a toujours été la même: ce monsieur est purement est simplement un trotskiste ! Rien d'autre à en dire...

Arnold à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Bof, Descoings donne tout simplement dans la démagogie ! Il était certes temps de démocratiser sciences pipo car cette école ne faisait qu'entretenir un petit monde auto-centré dominateur et sûr de lui, certain d'appartenir à l'élite, mais je ne suis...

zizou à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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science-po, un modèle pour l'école, j'en ai une barre de rire!!!! sciences-po c'est je fume au café flore pour refaire le monde bien au chaud et bien loin des réalités entre nous avec en plus qques parachutés des banlieues, enfin bref certainement pa...

daryl à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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On ne peut même plus accéder à Sciences Po en tant qu'en auditeur libre. L'accès à la bibliothèque est fortement limité. Léon Blum pourrait-il entrer à Sciences Po aujourd'hui?

JLP75 à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Bonjour Sciences-Po n'est pas un modèle, mais c'est encore mieux : une source libre d'idées, d'expérimentations et de connexion de réseaux, notamment en rapprochant les lycées de Seine Saint Denis et le monde l'entreprise. Il ne peut y avoir de modèl...

ouvronslesgrandesecoles.org à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Signez le Manifeste du la Diversité dans les Grandes Ecoles publié par l'UEJF dans Libération! www.ouvronslesgrandesecoles.org Faites tourner et Signez!

EtuScPo à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Etudiant à Sciences Po Grenoble, j'ai obtenu mon bac avec mention très bien 17,2/20 et des appréciations toutes plus bonnes les unes que les autres de la part de mes enseignants. J'ai eu 20/20 en Histoire-Géographie ainsi que des résultats tous équi...

Crystof à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Quelle absurdité ! Sciences POT ne forme que des moulins à parole et des administratifs. La France a besoin de gens qui font de vrais métiers: ingénieurs, médecins, artisans, ouvriers et j'en passe. Prendre cette école pour modèle c'est privilégié le...

NoModel à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Il n'y a que des rageux sur ce forum. Dîtes de quelle école vous êtes qu'on rigole.

bebereulnanar à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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@EtuScPo Si votre dossier était truffé de fautes de français comme "toutes plus bonnes les unes que les autres", pas étonnant que vous soyez relégué à l'IEP de Grenoble. En fait, on aurait dû vous faire redoubler le CM1

dan à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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on repose tous la question pourquoi mr descoing a viré ALAIN SORAL Ce grand sociologue et visionnaire de l'état français car sur tous sujets il ne s'est jamais trompé a+ un lecteur d'orleans

antonin à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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IEP Paris n'a effectivement plus rien à voir avec l'Ecole libre que nous avons connue. L'effectif d'une part, la qualité des enseignants et des élèves d'autre par, ne sont pas comparables.

Rien ne vaut l'X à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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A Pipo on confond maintenant participe passé et infinitif. Comme partout, au Figaro plus qu'ailleurs.

retraite à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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un homme de siences po pour obtenir de meilleurs résulta oh la la l'erreur!!!!!!et d'arssque fait-il ???en tout etat de cause ramasse sa paye sans faire son boulot un inutile, a congedier rapidement dans son foyer????

Illyrien à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Sciences Po. n'est sûrement pas un modèle pour notre système éducatif mais Richard Descoings est un exemple pour les dirigeants de nos écoles, aussi grandes à l'intérieur qu'elles sont petites à l'extérieur. Sans être la tornade dont ont besoin nos é...

retraite à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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helas non!!!cette école de renomée mondiale devient bien triste???.diviser pour mieux régner est employer ici par zebulons la sautiquette le despote!!!enlevons un de ses dirigeant de façon substile,pour le replacer plus ailleur!!!!

Louis à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Je suis sidéré par les commentaires recueillis ici. D'abord, les idées de Richard Descoings ne sont pas vraiment de gauche, il s'agit plutôt d'un centrisme mou. Ensuite, quand je vois que l'on fait encore aujourd'hui l'apologie de Jouvenel qui était...

Etudiant à SciencesPo à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Je suis très surpris du niveau (j'ose le mot) de haine à l'égard de SciencesPo qui transparait au travers de ces quelques commentaires. Je suis aussi saisi par les nombreuses erreurs et approximation ; idées reçues et préjugés. Je suis étudiant à S... Je suis très surpris du niveau (j'ose le mot) de haine à l'égard de SciencesPo qui transparait au travers de ces quelques commentaires. Je suis aussi saisi par les nombreuses erreurs et approximation ; idées reçues et préjugés. Je suis étudiant à SciencesPo, et je me propose donc, à partir de la modeste vision intérieure de SciencesPo que je prétends avoir, de commenter ces commentaires et, évidemment, de répondre à la question posée par l?article de la Tribune. D?abord, beaucoup d?entre vous semblent penser que SciencesPo ne serait que vent, paroles, débats interminables au Café de Flore (que j?aimerais être assez riche pour pouvoir y débattre !) et ne formerait pas grand-chose de concret. Je veux dire ici que SciencesPo a conclu des doubles-diplômes avec de nombreuses excellentes universités à travers le monde, parmi lesquelles HEC, Polytechnique, la Freie Universität de Berlin, l?University of Columbia (à NYC), la London School of Economics (LSE), Georgetown, la Bocconi à Milan, et je pourrais ajouter que, chaque année, de nombreux étudiants de Harvard, Princeton (et j?en passe) passent un an à SciencesPo dans le cadre de leur année à l?étranger. Ainsi, à moins de postuler que ces universités aiment le vent, ou que ces universités soient elles-mêmes du vent (ce qui contredirait certains commentaires), SciencesPo n?est pas du vent. Ensuite, d?aucuns semblent convaincu que SciencesPo, « ce n?est plus ce que c?était ». Mais, qu?est-ce qu?était SciencesPo (il y a 20 ans) ? Un établissement qui ne prenait que les meilleurs élèves des lycées parisiens, et, donc, les progénitures des élites parisiennes, ce qui aboutissait à une reproduction organisée de l?élite sociale, et était tout à fait contraire à l?esprit républicain d?égalité des chances. Grâce à M. Descoings et à sa réforme du mode d?entrée à SciencesPo, des élèves de « province », qui sans cela n?auraient jamais pu rentrer à SciencesPo à cause des trop grandes inégalités entre lycées parisiens et lycées de province, peuvent, moyennant l?obtention d?une mention très bien (et je défie quiconque d?arguer que c?est facile) accéder à cette école. Et par ailleurs, grâce à la procédure CEP, des élèves de ZEP, défavorisés par l?inégalité flagrante entre lycées parisiens et lycées de banlieues, mais méritant (et je prétends, à moyenne équivalente, qu?on l?est plus quand on est fils d?ouvrier que d?ingénieur ou de médecin), peuvent accéder à SciencesPo. Je ne répondrai même pas au pathétique commentaire de cette étudiante de l?IEP Grenoble. Quant au commentaire de « daryl », je veux juste dire que SciencesPo n?est pas le Collège de France, et qu?il n?a pour mission, a priori, que d?éduquer ses étudiants. Enfin, je réponds à la question posée par cet article : « Sciences Po est-elle un modèle pour l'école française ? ». Je ne sais pas si SciencesPo peut être un modèle pour les lycées, mais je suis convaincu que que SciencesPo peut être un modèle pour les universités et grandes écoles françaises. Dans l?économie mondiale de la connaissance qu?est la notre, il faut que le système d?éducation supérieur français s?adapte aux systèmes supérieurs des autres États. Or, quel est-il ? Les systèmes chinois, américain, anglais, japonais, néerlandais, suisse (etc) sont basés sur des Universités puissantes, indépendantes, avec au moins 7000 étudiants, qui recrutent leurs étudiants à Bac + 0 et avec certains critères de diversité (d?ailleurs Barack Obama, qui est tant aimé en France, n?aurait jamais était admis à Harvard sans ces procédures parallèles pour les étudiants qui ne sont pas blanc et fils d?ingénieur). Or, SciencesPo est le seul (ou l?un des seuls) établissement d?enseignement supérieur français) qui a se modèle. Et je crois qu?il faut le propager. C'est-à-dire : mettre fin au système Universités/Grandes Écoles, (parce que les Universités sont trop désargentées, manquent de gouvernance et de bons élèves et parce que les Grandes Écoles sont trop petites, élitistes et anti égalité des chances), et suivre les critères que j?ai énoncés au paragraphe précédant. Voilà, Amitiés à tous.

et oui à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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l'education national est pourri jusque là moelle arretons de proteger se troupeau de gens qui se prenne pour des cerveaux ont les paye pour 18 h par semaine et se plaigne tous le monde sait que le nombre de reussite au bac est piper , il suffit de...

Marx à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Je ne connais ni sciences-po Paris , ni son patron,pour ces raisons je ne permettrais pas de jugement comme le font vos commentateurs. Mais leurs commentaires de pseudo élites montrent bien à quel point elle est en décomposition, si ces chroniqueurs ...

superpapi à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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je cite : "qui sait produire produit, qui ne sait pas produire enseigne, qui ne sait pas enseigner enseigne les enseignants, qui ne sait pas enseigner les enseignants fait de la politique".....

Réponse de pedro7 le 28/08/2014 à 16:09

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L'elegance du herisson

Julie à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Science po reste une bonne école et elle est aujourd'hui ouverte à plus de monde, de toutes origines sociales. Un IEP comme Toulouse le prouve. Si science po Paris reste élitiste, les IEP de Province le sont moins. Science po Paris fait payer très ch... Science po reste une bonne école et elle est aujourd'hui ouverte à plus de monde, de toutes origines sociales. Un IEP comme Toulouse le prouve. Si science po Paris reste élitiste, les IEP de Province le sont moins. Science po Paris fait payer très cher son concours, la ville est chère, le concours est tard et demande donc à des familles non boursières, non aidées mais pas forcément riches pour autant, si leur enfant est pris, de trouver un logement à la dernière minute, et donc plus cher... trop cher. Contrairement à ce que bebereulnanar écrit, ce n'est pas parce qu'on fait des fautes qu'on est relégué dans des IEP de province. Ces derniers proposent des options que science po Paris n'a pas, ils permettent de suivre des études dans un cadre moins cocooné qu'à Paris, ils ont des partenariats originaux et plus spécialisés et, si vous avez besoin d'une référence "pariscentriste", beaucoup de profs de science po Paris viennent y enseigner. La scolarité y est moins chère. Certes les cours ne sont pas filmés et disponibles sur la base interne du site, certes les locaux ne sont pas forcément aussi beaux. Mais ces IEP ne sont pas de moins bonne qualité que Paris et ils ne sont pas, comme Paris, des usines à penser car ils laissent une certaine liberté que permet une administration moins usinière. Cessez de mépriser ces IEP. Grenoble est un des meilleurs de province, connu pour son Master Europe et son ouverture sur l'UE. Lyon dispose d'une très bonne filière monde arabe et Afrique. Lille est une très bonne carte d'entrée à l'école de journalisme. Bordeaux prépare très bien à l' école de Magistrature. Aix est réputé pour sa filière monde arabe, Strasbourg pour son ouverture européenne et Toulouse, enfin, en pleine remontée et réforme, offre une formation variée mais solide, de la gestion des risques au journalisme en passant par les problèmes de développement et d'intégration sociale. Quand le gouvernement revalorisera-t-il les IEP de Province en leur proposant, à eux aussi, de participer aux réformes de l'enseignement? Ces IEP sont vitaux pour la province et ils favorisent eux aussi l'intégration sociale, non seulement, comme à Paris des jeunes défavorisés mais aussi des élèves issus des classes moyennes, non boursiers, mais qui ne peuvent pour autant s'offrir Paris et dont on se fiche éperdument à Paris puisqu'ils ne servent à rien en terme d'image.

Professeur à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Personne ne se demande jamais pourquoi il y a une différence entre les lycées de Paris et les lycées de banlieue ? Ca, c'est étrange. Tant qu'on ne voudra pas voir quelle est cette différence, il n'y a aucune chance pour que les choses changent. Fond... Personne ne se demande jamais pourquoi il y a une différence entre les lycées de Paris et les lycées de banlieue ? Ca, c'est étrange. Tant qu'on ne voudra pas voir quelle est cette différence, il n'y a aucune chance pour que les choses changent. Fondamentalement, la différence est simple : à Paris, dans les lycées dits prestigieux et dans les grandes villes de province, les élèves ont droit à un enseignement tout à fait classique, con et académique. Dans les autres lycées, on envoie tous les élèves dont on ne sait que faire - tous les élèves qui n'ont pas du tout un niveau suffisant pour suivre les programmes. On demande aux professeurs d'être modernes et compréhensifs : traduction " pas trop de travail, pas trop de sales notes, rien de trop classique, c'est trop dur pour eux vous comprenez bien ". Ces impératifs arrivent directement des corps d'inspection. Quand on cessera avec l'idée qu'il faut que tous suivent des études longues, on arrêtera d'engorger les lycées avec des élève qui ralentissent, forcément, tous les autres. Quand on rendra aux enseignants la capacité d'orienter leurs élèves, on retrouvera des filières qui ont du sens : pour l'instant, vont dans les filières ceux qui le veulent, qu'ils aient le niveau ou pas. Quand on rendra la capacité de correction du baccalauréat,sans sujets si difficiles qu'ils sont impossibles à noter, sans consignes de correction qui donnent des points sans que le sujet n'ait été traité, vous aurez des bacheliers capables de suivre dans le supérieur. Le problème essentiel est qu'on vend du vent - c'est un choix politique, et aucun enseignant ne l'approuve. Il faut du chiffre : on donne du chiffre, du papier, du diplôme - pas un professionnel ne peut s'étonner des résultats ensuite. Vu le parcours et les premières déclarations du sieur Descoings, je suis sûre qu'il va empirer le problème, parce que c'est un monsieur qui n'aime pas les filières professionnelles, comme tous les dirigeants de l'Education Nationale depuis 40 ans, et qui, comme les autres, va continuer dans la destruction de cette orientation-là, qui a été performante, jusqu'au moment où des crétins diplômés l'ont transformée en filière-poubelle avec des élèves qui faisaient peur aux autres. Maintenant, si quelqu'un peut m'expliquer pourquoi l'éducation nationale garde des élèves violents, agressifs - avec leurs camarades d'abord et surtout, qui ne viennent pas en cours, qui trichent, qui ne s'intéressent pas une seconde aux cours et qui les détruisent pour tous les autres, ça me ferait bien plaisir, parce qu'un des gros problème qu'il y a, c'est celui-là. Or, après 16 ans, il me semblait que la scolarité n'était plus obligatoire ? Mais en ce moment, l'éducation est un droit et ne comporte aucun devoir pour les élèves. Même pas celui de respecter la scolarité des autres. Avec ça, aucune chance de réussir et d'avoir des classes qui fonctionnent....

Gil à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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"Quelle absurdité ! Sciences POT ne forme que des moulins à parole et des administratifs. La France a besoin de gens qui font de vrais métiers: ingénieurs, médecins, artisans, ouvriers et j'en passe. Prendre cette école pour modèle c'est privilégié l... "Quelle absurdité ! Sciences POT ne forme que des moulins à parole et des administratifs. La France a besoin de gens qui font de vrais métiers: ingénieurs, médecins, artisans, ouvriers et j'en passe. Prendre cette école pour modèle c'est privilégié le futile à l'utile, le paraître à l'être." Directeur d'hôpitaux, journalistes dans tous les domaines, analystes des problèmes de société, cadres d'entreprise, travailleurs en ONG, ce ne sont pas des vrais métiers? Ce n'est que du vent? Contrairement à ce que vous semblez penser ici, science po est loin de ne former que des fonctionnaires! Beaucoup sortent de science po pour bosser dans le privé. Science po propose une formation extrêmement variée. Il n'y a qu'à en juger par le nombre de masters. Faites un tour sur les sites des différents IEP pour en juger par vous-mêmes. Je suis moi-même à Science po Toulouse et je rejoins Julie sur le jugement qu'elle a émis sur cet IEP. J'y suis depuis 3 ans déjà et j'y rencontre majoritairement des jeunes curieux, intéressés, passionnés, dans un IEP qui offre des bourses aux non boursiers les moins favorisés, qui facilitent également l'année de mobilité à l'étranger par ce biais. Je connais beaucoup de jeunes dans d'autres IEP de province. Certains veulent travailler dans le social, pour la construction d'une Europe plus proche des gens, d'autres veulent travailler à l'étranger, dans des pays qui les passionnent. Il faut arrêter avec ce discours du "avant c'était mieux". C'était mieux parce qu'il n'y avait aucune diversité et que le système des concours protégeait en fait les plus riches? On râle alors que science po se démocratise peu à peu. Il n'y a pas que Paris, regardez autour de vous, en Province. L'accès des boursiers est facilité. Et les jeunes qui sont dans ces IEP sont intéressés par le fonctionnement de la société. Ce ne sont pas les futurs technocrates ou politiques véreux que vous décrivez. Ils sont là par intérêt et curiosité. On n'apprend pas à couillonner les gens ou à parler avec une langue de bois. On peut aussi suivre des cours sur l'économie du développement, sur les mécanismes d'intégration sociale, sur l'égalité inter-sexe dans la société etc... On y forme des journalistes, des analystes etc... Tous ne deviendrons pas des élus. Je compte personnellement bosser pour la société et contre l'ignorance et le racisme pour tout ce qui touche à l'Islam, à l'islamisme et au terrorisme. Je suis d'accord, il faut des travailleurs sociaux, des métallurgistes, des cordonniers et des commerçants... mais pourquoi ne pas laisser des jeunes étudier ce qu'ils désirent? Pour faire les études que je veux faire, où devrai-je aller? Science po n'est pas forcément un modèle et il n'y en a pas. Il n'y a que des écoles, des formations, qui doivent et qui tentent de permettre à tous de trouver sa voie. J'ai trouvé la mienne, elle ne correspond pas du tout à la description que vous en faites. D'autre part, nos profs sont excellents et passionnés. Ceux que j'ai ne sont pas des profs payés 18h par semaine, ce sont aussi des chercheurs amoureux de leur métier.Pas tous certes, comme tous les étudiants ne sont pas que là par passion, certains sont là pour le prestige du nom, je vous l'accorde. Mais en va-t-il autrement dans les écoles d'ingénieurs? PS: Monsieur "et oui", je serai d'accord sur le fait que le bac est pipé si vous me dites que vous l'avez eu avec les fautes que vous faites en écrivant ici. Science po n'est pas un modèle, pas plus qu'aucune autre école. Plus que Monsieur Descoings, ce sont tous les présidents de grandes écoles, de Fac, d'IUT, de BTS, de BEP et j'en passe qu'on devrait consulter.

Galbraith, casseur de conservateurs à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Je ne sais pas vraiment à quoi rime ce débat auquel participent de nombreuses personnes qui visiblement ne font que répandre la sagesse populaire. Etudiant à sciences-po depuis le début de l?année je n?ai ni l?impression d?avoir été formaté ni même d... Je ne sais pas vraiment à quoi rime ce débat auquel participent de nombreuses personnes qui visiblement ne font que répandre la sagesse populaire. Etudiant à sciences-po depuis le début de l?année je n?ai ni l?impression d?avoir été formaté ni même d?entendre du vent à longueur de journée. Je ne sais pas si les nombreux commentateurs qui arguent dans ce sens ont une vague idée de ce qu?il s?y passe vraiment ou s?ils ne font que répéter ce qu?ils ont entendu ; la sagesse populaire gouverne. Issu d?une famille des classes moyennes, j?ai intégré l?Ecole sur examen sans passer par une prépa d?été, juste en sacrifiant mes vacances au travail, preuve que la possibilité de réussir en travaillant dur y est possible. Il est vrai que certains étudiants appartiennent à un milieu social des plus privilégiés et ont peu conscience des réalités humaines, le partenariat ZEP a pour mérite d?introduire une grande diversité des étudiants ce qui est vraiment bénéfique. Pour information, les élèves entrés sur Convention d?Education Prioritaire auraient tendance à réussir un peu mieux que les autres. Pour ceux qui estiment que l?Ecole libre des sciences politiques était tout de même meilleure, je ne suis pas habilité à leur répondre puisqu?en 1945 je n?étais pas né. Je trouve relativement difficile de comparer sciences-po avec un établissement qui a disparu depuis plus de 60 ans. Sciences-po compte parmi les plus éminents enseignants français (Badie, Fitoussi, Généreux, Duhamel, Winock, Rémond jusqu?à son décès). Ce n?est pas de la faute de sciences-po s?ils n?égalent pas leurs illustres prédécesseurs. Enfin pour répondre à tous les individus qui estiment que toutes ces choses ne servent à rien qu?il faut les congédier, je pense que le problème n?est pas le supposé archaïsme des grandes écoles ni même l?hypothétique incapacité de nos dirigeants et enseignants mais ces individus en question qui ne savent faire que critiquer. S?il y a quelque chose qui va mal en France, c?est peut être ça. La critique unilatérale est la seule réaction à la proposition, l?innovation. Qui sont ces gens pour parler ainsi de choses qu?ils connaissent à peine ? Que proposent-ils en retour ? Pas grand-chose. Non c?était mieux avant, c?est tout ! Tous les enseignants, tous les administrateurs ne servent à rien ! Tous ceux qui proposent quelque chose sont des démagogues ! Est-ce comme ça que la France peut avancer ? Si la France est relégué au rang de « puissance moyenne » cela tient plus à ces mentalités qu?à d?éventuelles défiances de nos institutions. Réfléchissez-y !

petitout à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Mr Descoings, « Démagogue », vous ne cesserez de l?être aux yeux des intellectuels élitistes. « Troskiste 11O % à gauche », vous le serez toujours pour les réactionnaires primitifs. « Bling-Bling » continueront de penser de vous les commu... Mr Descoings, « Démagogue », vous ne cesserez de l?être aux yeux des intellectuels élitistes. « Troskiste 11O % à gauche », vous le serez toujours pour les réactionnaires primitifs. « Bling-Bling » continueront de penser de vous les communistes révolutionnaires. « Gauchiste caviar » restera l?attribution du socialiste historique. « Centre mou » pour les sociaux-démocrates désillusionnés et enferrés dans leurs contradictions idéologiques (Vive le libéralisme ! Mais, non aux déboires qu?il génère?) Enfin, il est là une certitude : vous trouverez toujours des grincheux pour remettre en question votre volonté de réformes et leurs mises en pratique. Car, en vérité, vous le savez : s?opposer est toujours plus facile que proposer? Conduire le changement est plus délicat que critiquer les chamboulements qu?il provoque? Réformer, c?est abattre la stabilité du passé, contrecarrer l?ordre du présent, et s?ouvrir aux incertitudes de l?avenir. Aussi, bien que le citoyen affirme que « les reformes sont nécessaires » il continue de s?effrayer envers quiconque tente d?impulser toute dynamique d?évolution. Mais, n?allons, pour autant pas croire, que le peuple citoyen est frileux ou peureux. Bien au contraire. Comme le disait l?un de nos professeurs qui aimait se complaire dans son intellectualisme élitiste: « la France a besoin de « prégnance décisionniste ». Autrement dit, il faut des hommes et des femmes d?action. Le peuple français l?a d?ailleurs bien compris en votant pour notre président actuel. Et, je dois confesser que ce dernier, vient de grandir dans mon estime personnelle, après qu?il vous ait engagé à coordonner cette tâche difficile qu?est la nécessaire réforme des lycées. Comme vous avez su le montrer pour Sciences PO, nous savons que vous avez les épaules et les reins solides pour remplir cette fonction. Car, qui mieux que vous saurait motiver, à l?échelle nationale, les décisions qui ont permis de couler le ciment social et républicain au sein de votre maison parisienne. Discrimination positive (pour permettre de garantir la mixité sociale), échelonnements progressifs pour les droits de scolarité (ce qui offre la possibilité aux élèves des classes populaires de suivre un cursus scolaire, sans n?être plus perturbés par la nécessité de trouver un emploi étudiant complémentaire), ouverture des cycles délocalisés (afin de favoriser les bains culturels et linguistiques entre les étudiants) et signatures d?accords avec les universités internationales les plus prestigieuses (dans le but d?assurer le prestige de Sciences Po à l?extérieur?), telles ont été les réformes que vous avez su insuffler à votre maison. Comme la nouvelle tâche qui va être la votre, cette volonté de chamboulement s?est révélée un chemin semé d?embûches. Ce sont, quoi qu?il en soit, les difficultés que rencontre tout homme politique dont vous avez la carrure? Nous avons, en effet, en souvenir ces phrases terribles, (que vous rapportez dans votre dernier livre), de certains parents d?élèves offusqués que vous ouvriez « Sciences Po aux arabes ». Vous avez su passer outre ces viles attaques, pour imposer ce qu?il vous semble être le projet éducatif optimum : des enseignements de qualité, pour des débouchés professionnels variés, offerts à des étudiants venus de tous les horizons sociaux et culturels. Car, sans votre foi dans l?égalité des chances, Sciences Po ne serait encore qu?une école de la reproduction sociale, ainsi comme l?avait tant décrié le sociologue Bourdieu. Il manque encore, afin de parachever la démocratisation de sciences Po, d?imposer le concours d?entrée, début juillet et non fin août. Cela limitera de la sorte le nombre de candidats ayant réalisé des prépas d?été, et assurera d?autant plus l?égalité républicaine? Merci quoi qu?il en soit, Monsieur Descoings pour ce que vous avez su apporter à votre institution parisienne, et bon courage pour ce qui vous reste désormais à remplir pour toutes les générations de lycéens à venir? Aussi, Mr Descoings, continuez à être, « démagogue », « bling-bling », « troskyste 110 % à gauche? », « centre mou? », etc ; tant que vous continuez de vous battre pour ce que nous souhaitons tous : la valorisation de l?enseignement public et sa démocratisation. Nous ne voulons pas d?une école élitiste, ni à l?inverse d?une école dévoyée, mais d?une école de qualité pour l?ensemble des élèves... Celle qui permettra à chacun de se construire le meilleur projet professionnel, quel que puissent avoir été les déterminants culturel, social et économique d?origine.

whynot à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Les élites françaises formées en France souffrent d'une forme de consanguinité : elles sont issues des mêmes milieux et ont fait les mêmes écoles. C'est pourquoi la France manque de créativité dans les solutions à mettre en ?uvre et est incapable de ...

cclair à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Sces Po ne forme à aucun métier sauf celui de fonctionnaire. Pour étre avocat, c est la fac de droit. Pour le reste, ce sont d'autres études préliminaires. Aujourd hui nos jeunes ont besoin d'avenir et cela passe par un métier, pas par des études de ...

ldx à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Je pense que pour engager des réformes nous devrions faire confiance à besencenot,sud rail eux au moins ils ne sont pas ringard n'est ce pas que c'est ce que vous voulez chers lecteurs?

nn à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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faites cesser l'hypocrisie sur le recrutement des élèves. Mon fils à qui on avait dit d'avoir mention très bien au Bac et un "dossier atypique", n'a pas été reçu sur dossier. Il a obtenu au bac S 18,2 de moyenne, présenté 4 langues vivantes (chinois,...

Lune à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Le problème de fond c'est que la France n'a jamais su sortir de son modéle de Cour, hérité de l'Ancien Régime. Depuis on assiste à une reproduction de cette Cour via les Grandes Ecoles. Il faudrait casser ce systéme de classement et respecter chaque ...

dsd257 à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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C'est assez pitoyable. Il n'y a sans doute personne pour réfléchir à ce que doit être l'élitisme républicain en dehors d'un énergumène communicant en la personne de Richard Descoingts. Ce sont des fadaises, pour réussir, il faut travailler, apprendr...

delphine à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Quelque soient les conclusions de Richard Descoings, les enseignants seront dans la rue. Même s'il propose de doubler les salaires et doubler les effectifs, les revendications seront qu'il faut quadrupler l'un et quintupler l'autre, lycéens manipulés...

TCE à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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La bonne maîtrise du macroéconomique, des aspects sociaux économiques et sociaux politiques sont des plus. Mais on doit constater, qu?il faut y ajouter bien d?autres choses bien plus importantes pour créer des développements économiques, et du p... La bonne maîtrise du macroéconomique, des aspects sociaux économiques et sociaux politiques sont des plus. Mais on doit constater, qu?il faut y ajouter bien d?autres choses bien plus importantes pour créer des développements économiques, et du profit. Science Po répond sans doute bien aux premiers aspects, mais que dire des seconds ? Avec la crise financière et l?insuffisance des développements économiques, on constate que les financiers savent plus ou moins spéculer en bourse, et exploiter les statistiques, mais que ce n?est pas souvent qu?il savent anticiper, en intégrer dans leurs analyses, les réalités technico commerciales, et technico scientifiques, comme ci les fonds de commerces étaient éternels, comme ci on pouvait se faire une opinion avec les résultats du passé, le niveau d?endettement, la part consacrée à la R&D ( quand on sait que l?on peut parfois dépenser beaucoup d?argent en R&D en pure perte) et de vagues rumeurs. Et on a encore pratiquement jamais vu de financiers et de maîtres des administrations, savoir prévoir les retournements brutaux de situations commerciales et industrielles, qui avec la mondialisation et les progrès technico scientifiques, et les évolutions de plus en plus rapides, peuvent survenir de plus en plus souvent de manière très inattendue. Il n?y a pas de solutions miracles pour cela, mais on pourrait y réfléchir un peu plus, pour au moins faire moins mal qu?avec les habitudes inadaptées et irrationnelles du passé. Utiliser, des critères de sélection pour les investissements? C?est le plus souvent technocratique et abstrait, et c?est souvent passer à côté d? opportunités intéressantes. Utiliser les veilles technologiques ? Totalement illusoire aujourd?hui, quand celles-ci de plus en plus souvent révèlent avec beaucoup d?années de retard des technologies qui sont alors déjà plus ou moins dépassées. Avoir recours aux ingénieurs et aux scientifiques ? Encore faut-il que l?ingénieur puisse disposer de réelles compétences professionnelles et de bien autre chose que le savoir théorique d?école, qui ne lui permets pas m^me de comprendre et discerner encore moins maîtriser suffisamment les évolutions techniques et scientifiques plus récentes et complexes. Encore faut-il que le scientifique, puisse s?intéresser un peu plus au concret industriel financier et commercial. Avoir recours aux commerciaux ? S?ils ne comprennent trop peu au contenu technique, que pourront-ils vraiment gérer, décider et prévoir ? Et qui et comment va-t-on coordonner les domaines financiers, industriels, technico commerciaux et scientifiques ? Les données macroéconomiques, ne permettront plus à elles seules de le faire. D?où le désarroi, que l?on cache quand le savoir approprié manque et le recours aux gourous pour interpréter les rumeurs. En posant la bonne question du savoir enseigné, on est encore loin des bonnes réponses. Mais c?est un bon début et on pourra creuser.

papy7581 à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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"Il ma sera une fois de plus démontré qu'.........aucune institution ne peut être réformée si ses membres n'y consentent" (Ch.de Gaulle, parlant de l'Ed.Nationale, Mémoires d"espoir, p180) La décision de Mr. Sarkozy est politicienne; on ne réformrra...

Lili91 à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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C'est absurde, quelle relation directe entre le Lycée et des adolescents et Sciences Po. la France souffre déjà beaucoup de ses grandes écoles et plus spécialement de ses politiciens de "métier" formés à l'ENA et Sciences Po et qui ont perdu (ou ja...

béber à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Le Directeur de « Sciences »-po a été un des initiateurs de la discrimination « positive » à la française. Mais qu?y a t-il de positif à ce que le mérite ne soit plus l?unique clé de la réussite ? D?ailleurs, les américains, initiateurs de ce systè...

pivain_jeanclaude à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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il s'agit d'une mission de concertation sur la réforme du lycée. Pourquoi de telles attaques sur Sciences Po et sur son dirigeant qui sera le chef de file de cette mission ? Il serait plus judicieux de s'interroger de qui seront composés les membres ...

ser. à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Comme d'habitude, ceux qui n'ont pas vécu l'expérience Sciences Po sont ceux qui en parlent le mieux...Normal, il faut savoir prendre un peu de recul et avoir de la hauteur de vue. Analysons un peu statistiquement les différents commentaires. J'y ... Comme d'habitude, ceux qui n'ont pas vécu l'expérience Sciences Po sont ceux qui en parlent le mieux...Normal, il faut savoir prendre un peu de recul et avoir de la hauteur de vue. Analysons un peu statistiquement les différents commentaires. J'y vois plusieurs catégories: 1- ceux qui ne semblent pas avoir le niveau 2- ceux qui font état d'excellent résultats au BAc mais n'ont pas été sélectionnées et le regrettent 3- quelques étudiants de Sciences Po Pour ces deux premières catégories, le jugement semble être le même: - SCiences Po est un concentré de nantis + quelques heureux bénéficiaires d'une discrimination positive 'ZEP' - on n'y fait pas grand' chose (par exemple par rapport aux Ecoles d'Ingénieurs ou les facultés de médecine)... La catégorie 1 aura été orientée vers d'autres voies, pas forcement inadaptées à son cas La catégorie 2 peut regretter sa situation... mais a toutes les chances d'avoir trouvé une formation de qualité équivalente (HEC, Polytechnique, London Business School,... La catégorie 3 rassemble quelques étudiants de Sciences Po qui me semblent défendre honnetement l'Ecole qui les acceuille, ce qui laisse penser qu'ils ont au moins quelques capacités d'expression, d'argumentation et de synthèse...à défaut de pouvoir résoudre des intégrales triples ou développer des séries de Fourrier. Alors maintenant discutons: - S'il n'y avait de formations supérieures que celle de Sciences Po, la vie serait impossible - S'il n'y avait que des ingénieurs Polytechniciens, ce serait pareil. Alors dans une Société, il faut une diversité de compétences, de formations, de niveaux d'excellence. A ce que j'ai pu voir, les étudiants de Sciences Po recoivent un enseignement très riche, apportant une grande ouverture d'esprit, développant une capacité de communication et d'argumentation, le tout avec une allure très soutenue. Ceci étant, ils ne sauront jamais développer une transformée de Laplace, et ce n'est pas bien grave... Père (heureux) de deux enfants, l'un étudiant en école d'ingénieur et l'autre à SP, ayant été l'un et l'autre honnêtement sélectionnés (et refusés par d'autres établissements), je pense pouvoir trouver les commentaires extrêmes tout à fait éloignés de la réalité...

EtuScPo à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Affligeant de voir que l'orthographe est un motif de censure pour certains esprits étroits. Il me plaît de faire autant de fautes d'orthographe que je veux et de continuer dans cette voie si c'est pour voir des imbéciles de votre accabit m'en tenir r...

Un modeste organisateur de la journée Dédicace à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Dan, peut-être qu'Alain Soral a été viré tout simplement parce qu'il n'a pas été invité. J'imagine que s'il entrait chez vous en vous, Cher Dan, sans votre autorisation et ce, dans l'unique objectif de vous insulter, vous feriez de même. Quant aux n...

antoine à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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ecole reservee aux enfants de fonctionnaires a 70 pour cent

fanfan à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Entrée à l'IEP dans les années 80, j'ai été frappée par l'homogénéité du recrutement. Fille d'agents de maîtrise, j'étais bien seule au milieu de "grands noms". Quant à la diversité euh zéro pointé. L'ouverture aux établissements ZEP me paraît saine ...

bsergean à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Qu'on ne pete pas les grandes ecoles, c'est un systeme qui marche bien (pour bien former les gens). Apres ce qui est moins bien c'est la culture du diplome, qu'on ne laisse pas a sa chance a quelqu'un qui n'a pas le diplome X ou mais je pense que c'...

Just nice à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Si vous n'êtes pas satisfait de la tournure que prennent vos vies et carrières professionnelles reprenez vos études au lieu de médire sur Science Po ou autres... Les "moulins à parole" distinguent notre pays de sociétés comme Cuba ou la Corée du Nord...

samarinda à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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j'ai lu avec grand plaisir la grande tirade de l'étudiant de S.po qui m'a fait sourire pour plusieurs raisons. J'ai passé 17 ans à l'étranger dans une quarantaine de pays (indus,pauvres et v.de dévelp.) j'ai cotoyé différentes nationalités et je n'ai...

Question à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Les grandes écoles à la française et surtout leur diplomés passent leur temps à se regarder le nombril parfois 20 ans aprés le précieux sésame. Mais qu'ont ils réellement fait?Combien parmi ces diplomés ont créé leur propre entreprise ? Les parachuta...

mariotte à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Bonjour,moi-même ancienne élève de science-po Toulouse, j'ai au début été très intéressée par la lecture de tous ces messages, puis très vite ennuyée ils sont tellement loin de la réalité de la vie. C'est pour cela que je souhaite vous faire part de ... Bonjour,moi-même ancienne élève de science-po Toulouse, j'ai au début été très intéressée par la lecture de tous ces messages, puis très vite ennuyée ils sont tellement loin de la réalité de la vie. C'est pour cela que je souhaite vous faire part de mon expérience, de ce que l'on devient quand on sort de Science-Po car c'est de cela qu'il devrait s'agir pour nos jeunes, pas du status d'une école. Je ne suis pas capable de dire ce qu'est devenu le système éducatif français ni de porter des jugements sur le choix du directeur de Science-Po Paris pour travailler sur l'avenir de l'éducation française car j'ai quitté la France après avoir fini Science-Po, mais je peux dire que mon seul regret aujourd'hui est d'avoir fait un diplome si loin des réalités de la vie, d'avoir été dans une école qui, en tous cas de mon temps, était le reflet de l'organisation centraliste et bureaucratique de la France, où l'on cherche à accéder une école pour son nom sur son CV bien plus que pour la connaissance de cette école. J'ai adoré faire mes études à Science-Po mais il faut savoir que pour beaucoup (comme cela était mon cas)lorsqu'on fait Science-po Toulouse, c'est parqu'on n'a pas pu faire Science-Po Paris ou une école de commerce, et qu'on sait qu'on a besoin de ce titre sur son CV. C'est tout. Ce n'est pas par choix mais parce que c'est le reflet de la société Française. Les diplomes avant tout. Sans diplome on n'est rien. J'habite en GB depuis 5 ans et j'ai vécu en Allemagne au paravant pendant 14 ans. Là-bas Science-Po n'a rien a voir avec la version française, c'est une discipline comme une autre, pas un titre attaché à un établissement. Du coup l'équivalence ne m'a rien apporté. En GB, on juge les gens sur ce qu'ils sont et sur leurs expériences professionnelles, par sur leur diplomes. Si je n'avais pas été trilingues et n'avaient pas eu 10 ans d'expérience dans quelque domaine que ce soit (choses complètement négligées à Science-Po: pas de stage et une seule langue étrangère enseignée par un prof d'histoire à l'époque), je n'aurais jamais trouvé aussi facilement de travail et fait tant en Allemagne qu'en GB une si belle carrière (deux carrières différentes, l'une dans la finace, l'autre dans l'industrie automobile, également une chose impossible en France). Mon frère, lui, n'a jamais eu de diplôme. Il a quant même réussi une très belle carrière en France mais ne sera jamais directeur régional parce qu'il n'a pas de diplôme. C'est vraiment n'importe quoi. A l'étranger on se moque de la France, car c'est bourré de fonctionnaires. Même dans des entreprises soi-disant privé comme PSA on ressent la mentalité fonctionnaire: on ne prend aucun risque, on se réfère au paragraphes xy,on se bat pour ses avantages sociaux, c'est chacun pour soi, et la vie de l'entreprise personne ne s'en soucie. La France souffre de cette mentalité et l'éducation avec. La réforme de l'éduction c'est les entreprises qui devraient la faire. Quant à Science-Po, l'éducation y était passionnante, certes mais en fait là sans doute plus qu'ailleurs se sentent bien les gens qui aiment apprendre, connaitre un peu tout sur tout mais rien en profondeur, rien de ce que sont les vrais défi de la vie quotidienne. Je me rapellerai toujours ce que nous a dit notre directeur à l'époque: "vous êtes ici pour apprendre à lire, écrire et parler". De ce point de vue, Sciences Po est une école fabuleuse et je pense que ma vie a bien profité de cette phrase qu'aucun de nous ne pouvait comprendre à l'époque: non, Sciences-Po (en tous cas Toulouse) n'était pas un bourage de crâne et une façon de manipuler les esprits bien au contraire. Science-Po nous a appris à lire entre les lignes, à penser par nous même, à exprimer nos pensées (même si aujopurd'hui je ne peux me venter de mon style après avoir vécu si longtemps à l'étrnager). Donc, oui, Sciences-Po est une école qui forme des penseurs libres. Non, Sciences-Po ne nous forme pas à la réalité de la vie. Science-Po, en tous cas à mon époque, formait des penseurs, des fonctionnaires, des critiques, des journalistes. C'est ce que fait Science-Po dans les autres pays. Si Science-Po doit participer à la réforme de l'éducation, donc à l'avenir de nos enfants et de notre Pays, alors j'espère de tout coeur que Scienc-Po a changé depuis que j'en suis parti (excuserles fautres d'orthographes pour ceusx qui y sont sensible. Nobody is perfect et je n'ai pas le temps de me pencher la dessus. Le contenu de mon message est plus important). Bonne chance à mon pays bien aimé et à leurs dirigeants.

MangeurVasqué à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Bonjour, je suis étudiant à sciences po et j'aimerais témoigner en faveur de vous tous "petites gens", qui vous posez tant de questions sur la valeur de cette institution qui forme ces élites dont vous soupconnez l'incompétence. Et bien oui, on no...

Parisien à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Je tiens juste à rappeler que Sciences-Po n'est pas, officiellement, une grande école. Il ne faut pas mélanger tous les problèmes. Les procédures d'admission sont différentes et les problèmes posés le sont également, à mon avis, mis à part la questio...

JCB à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Quoi de commun entre les Grandes Ecoles Scientifiques et les IEP, si ce n'est qu'elles forment une élite. Disons pour clarifier le débat que le contenu socioculturel des formation scientifiques est tres faible, ce qui n'est pas le cas d'une formation...

Zaza à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Un personnage politique, certainement pas un manager ou un homme de projets. Où est l'ambition ? Sinon celle de reproduire les effets de manche de Sciences Po.

Laure à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Bonjour à tous, Tout d'abord, je constate que Sciences Po est un sujet très passionnel qui semble déchaîné les foules et anéantir toute analyse. Ce qui me semble difficile c'est d'appliquer aux études secondaires, un modèle créé pour l'université. C... Bonjour à tous, Tout d'abord, je constate que Sciences Po est un sujet très passionnel qui semble déchaîné les foules et anéantir toute analyse. Ce qui me semble difficile c'est d'appliquer aux études secondaires, un modèle créé pour l'université. C'est mon premier point. Et je pense qu'une partie de la réflexion sera de voir qu'est-ce qu'on peut prendre du modèle sciences po et qu'est-ce qui n'est pas adapté à l'école. Ensuite, je trouve que Richard Descoings prend un gros risque et je salue ce courage - on peut l'adorer, le détester, trouver son image haissable, je tiens à faire remarquer que c'est un homme qui essaie d'aller de l'avant, de faire bouger les choses: certaines mesures prises pour sciences po m'ont parues formidables, d'autres m'ont moins plues. Mais on ne peut pas lui reprocher de ne rien faire, de ne pas réfléchir à une optimisation du modèle. Et il a été reconnu pour cette capacité à réformer. Je trouve donc intéressant de le prendre en chef de file et suis d'accord pour dire qu'il faut aussi s'intéresser à l'ensemble de son équipe pour en dégager les forces et les faiblesses. Ce que je veux dire maintenant concerne mon école - car, oui, je suis étudiante à Sciences Po Paris, en quatrième année (master). J'ai souvent souri aux commentaires faits sur l'école et je me rends compte que beaucoup de monde n'est pas vu ce qu'est devenu Sciences Po. Tout d'abord, on ne devient pas que politicien en sortant de l'école. On n'est même pas obligé de prendre une carte dans un parti politique. Moi-même je ne suis affiliée à aucune association politique. Ensuite, on fait beaucoup de choses: il y a un premier cycle où l'on peut expérimenter beaucoup d'enseignements électifs: de l'opéra aux aspects légals des fusions acquisitions accompagnés d'un socle commun de connaissances fondamentales: économie, droit, institutions politiques françaises et étrangères, droit communautaire, sciences sociales, histoire. En master, on peut se spécialiser en finance, en international business, en RH, en markéting, en journalisme, en communication, en affaires publiques, en affaires européennes, en affaires internationales, faire de la recherche. Aujourd'hui, le master affaires publiques qui est selon la formule consacrée "la voie royale pour l'ena" commence à intégrer les changements de la société et donc il y a des filières spécialisées qui se sont crées en phase avec l'évolution de la société: AP Santé, AP Energie, AP culture, AP en alternance - car, oui, tout le monde ne fait pas et ne veut pas faire l'ena. Les choses changent. Nous sommes tenus de faire des stages (deux maintenant dans la totalité du cursus et l'année de césure est fortement conseillée pour certains masters), nous sommes tenus de partir à l'étranger pour voir comment c'est ailleurs. Et je peux vous dire que même certains étudiants qui bénéficient des bourses ont passé une année à l'étranger à New York ou dans d'autres capitales mondiales à fort pouvoir d'achat et que d'autres, plus aisés, ont passé leur année en chine, en russie, en inde. Ce que je veux dire, pour éviter tout malentendu, c'est qu'il n'y a pas de règles. Alors, oui, je suis d'accord, il reste toujours ceux dont papa maman a le réseau, ceux qui sont vraiment très riches et qui n'ont pas besoin d'en foutre une. Mais je vous rassure il en existe dans toutes les facs/ universités/iut en France et encore mieux il en existe dans toutes les universités/écoles dans le monde. Et il y a même des très riches qui sont très sympas et qui bossent beaucoup et qui doivent leur succès qu'à leur labeur et leur talent. Encore une fois, on rencontre toute la société à Sciences Po comme partout. Enfin, je veux revenir sur un dernier point. L'employeur quand il prend votre cv en main, ne regarde pas où vous avez eu votre BAC, il regarde où vous avez eu votre diplome. Mais ce n'est pas tout: il regarde quelles langues vous parlez, quels loisirs vuos avez, quelles expériences associatives ou professionnelles vous avez eu. Il ne faut donc pas tout mélanger. Et quand l'étudiant a terminé sciences po et a déjà eu un job, on ne regarde même plus son école. Voilà, c'est un peu long. Mais je trouve important de montrer ce qu'est Sciences Po aujourd'hui, une école qui évolue et qui n'est pas si mal!

Laure à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Et je tiens à rajouter pour la personne qui parlait des avocats, qu'aujourd'hui Sciences Po Paris compte deux formations très dynamiques en droit: droit économique et carrière judiciaire. Et qu'un accord est passé: les étudiants peuvent accéder aujou...

bonsens à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Tres simplement : ScPo est un Institut, comme il en existe des centaines au sein des Universites, qui a developpe un programme interessant plusieurs disciplines et dont la renommee vient de la reussite de ceux qui l'ont frequente (du snobisme de cert... Tres simplement : ScPo est un Institut, comme il en existe des centaines au sein des Universites, qui a developpe un programme interessant plusieurs disciplines et dont la renommee vient de la reussite de ceux qui l'ont frequente (du snobisme de certains, de l'envie d'autres et du gout de tous pour le particularisme - les juristes disent "j'ai fait Assas", les medecins "Cochin ou rien", on est issue "d'une Parisienne", "je me souviens quand j'etais en MBA a truc", "dans le train (pardon TGV) pour Strasbourg"...) Cette reussite est-elle due a leur origine sociale?, a l'ecole qu'ils ont frequentee ensuite?, a eux? La seule vraie critique que l'on peut faire a ScPo c'est qu'elle sert pour de nombreux etudiants a preparer un concours. Ainsi, est-il plus efficace de faire ScPo que la fac de droit pour etre magistrat. Or, une formation universitaire (au sens de post bac, le terme etude superieure ne voulant rien dire) peut-elle se contenter de donner des rudiments (meme tres consequents) d'un panel "utile" de matiere ? On ne forme pas une pensee conceptuelle grace a des "trucs" ou astuces. On ne connait pas une demarche ou methode de pensee (juridique, sociale, economique,...) sur la base de quelques matieres clefs d'un programme de concours. La critique de ScPo c'est qu'elle prepare a tout mais ne forme a rien. Or, apres 22/23 ans il est trop tard pour se former l'esprit, l'ecole integree ensuite ne servira a rien sinon a apprendre a reproduire des methodes de reussite d'un concours de note de synthese a des problematiques reelles. Mais dans le monde reel, il n'y a ni correcteur, ni note, ni "les reponses dans le prochain numero". ScPo au Lycee? Du bon sens, plutot. Au lycee, je faisais du Grec et du Latin, je lisais beaucoup, j'adorais les cours d'histoire-G, les profs nous sortaient au musee et voir des spectacles, je voyagais a l'etranger, le sport etait obligatoire et gare a ceux qui sechaient, il y avait une aumonerie (comprendre : la reconnaissance du spirituel qui peut etre athee ou agnostique), des concours d'eloquence, des cours de theatre, des spectacles (sketch, musique, cirque) etaient organises par et pour les eleves,... on travaillait aussi (mais si c'est ca qu'il faut reintroduire au Lycee...). J'oubliais, il n'y avait pas de "syndicat lyceen", ni de manifs. On avait une conscience politique et pas politisee. Idem pour nos profs qui ne cherchaient pas a passer au 20h pour reclamer des "moyens". Et qu'on ne dise pas que ce lycee a l'air des beaux quartier, car les lycees sont tous dote de moyens identiques, et les lyceens sont tous pret a faire du sport, des voyages, de la musique,... En clair, il n'y a pas de truc juste du bon sens.

europe à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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je suis assez étonnée des idées reçues sur Sciences Po qu'expriment un certain nombre d'entre vous. J'avoue que j'en suis d'autant plus étonnée que la société française a tellement évoluée en 10 ans , que certaines de vos remarques ne correspondent p... je suis assez étonnée des idées reçues sur Sciences Po qu'expriment un certain nombre d'entre vous. J'avoue que j'en suis d'autant plus étonnée que la société française a tellement évoluée en 10 ans , que certaines de vos remarques ne correspondent plus du tout à notre temps...J'ai moi même intégré Sciences Po mais après avoir fait un double cursus universitaire à l'université de Dauphine et de la Sorbonne. D'abord, au risque d'en choquer plus d'un , de ces trois étalissement universitaires, c'est bien Dauphine qui est le plus inégalitaire dans son recrutement et dans sa validation des diplômes. Tout s'achète dans cette fac, en partie, les profs et pourtant elle a très bonne renommée. Les élèves sont d'une incorrection à l'égard des profs qui n'a d'égal que celle que l'on peut trouver parfois dans nos pires banlieues défavorisées; Quant à l'enseignement, il est assez désastreux. A la Sorbonne, en fac d'histoire, j'ai trouvé des professeurs admirables, une préparation aux concours de tous types exceptionnels et des étudiants motivés( ceux qui ne le sont ont la décence de ne pas venir.) Quant à Sciences Po, tous les enseignements ne se valent pas, c'est certain, mais depuis sa réforme qui comprend notamment un stage plus des projets professionnels, c'est une école qui permet d'appréhender le monde réel de l'entreprise ou de la fonction publique. J'en parle d'autant plus en connaissance de cause que j'ai d'abord travaillé dans les finances locales en France en tant que fonctionnaire et ensuite je suis partie aux Pays Bas où là j'ai exercé en tant que fiscaliste dans une multinationale. Sciences Po apprend à travailler vite à ses étudiants, à se former sur n'importe quel sujet et il me semble que c'est bien là la clef de la réussite aujourd'hui. L'esprit critique également est important pour faire progresser une entreprise. Mon employeur aux Pays Bas qui était américain , a été sidéré de ma capaicité d'adaption à mon poste et reconnaissait tout à fait les mérites du savoir-faire français. Il faut savoir qu'aux Pays Bas par exemple, le pays manque cruellement de main d'oeuvre qualifiée, et qu'en dehors de la maitrise de l'anglais, ils ne maitrisent pas grand chose sauf pour leurs fiscalité (mais ça, c'est un autre débat!). Mon mari a par ailleurs fait une grande école d'ingénieur et n'a pas cessé de se plaindre de l'incapactité de ses profs à lui fournir une formation à jour et adaptée à la réalité du monde d'aujourd'hui. Il a ensuite travaillé aux Etats Unis puis est revenu en France pour faire un DEA réseaux à l'université Pierre et Marie Curie, qu'il a très apprécié. Je ne pense pas que M. Descoings soit forcément la meilleure personne pour réformer notre école mais il peut peut-être faire en sorte que nos élèves se sentent plus armés pour réagir vite face à une situation économique fluctuante qui demande sans cesse plus d'adaptabilité ( l'apprentissage des langues étant l'un des points à développer et la capacité à l'auto-formation).

Bastou à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Pour Info, l'ecole libre des Sciences Politiques a été réformée en 45 par ce cher CDG (Antonin, promo 1924?), depuis, les choses ont évoluées...et Sciences Po aussi, fort heureusement. Quelques données quantitatives (je vous laisse le soin d'en extir...

Bastou à écrit le 09/10/2009 à 13:41

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Soral grand visionnaire? En matières de propos péremptoires et autres lieux communs c'est certain...ce serait presque burlesque s'il ne représentait pas ce les idées de l'extrême droite (pas celle de LE PEN, non non, celle de son ancien mentor, vous ...

France

Sciences Po est-elle un modèle pour l'école francaise ?

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