Le Renouveau ou la Faillite : la France doit choisir !

La politique économique (ou son absence) en France a toujours fait l'objet de débats ô combien passionnés qui font perdre de vue malheureusement les progrès réalisés par nos voisins depuis une trentaine d'années.
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La politique économique (ou son absence) en France a toujours fait l'objet de débats ô combien passionnés qui font perdre de vue malheureusement les progrès réalisés par nos voisins depuis une trentaine d'années. Tout le monde conviendra que l'économie française est en grande difficulté. Les fermetures d'usines déchainent évidemment les passions, une foule de ministres sont "scandalisés" et, dotés de leur super pouvoirs, croient pouvoir empêcher ces licenciements à tout prix. Il serait peut-être temps qu'ils s'attaquent non pas aux conséquences mais aux causes de cette débandade économique.

Tout d'abord, rappelons que le capitalisme est constamment en mouvement, et qu'il n'est pas anormal que des entreprises fassent faillite, cela est même nécessaire, dans la mesure où les entreprises non compétitives sont remplacées par d'autres plus performantes comme l'explique Schumpeter avec son concept de destruction créatrice. Il est également totalement anormal que l'Etat intervienne pour favoriser certains acteurs économiques, cela encourage la création de monopoles ou d'oligopoles très dommageables au niveau du prix ou de la qualité de service rendu pour le consommateur.

Il est facile de voir par exemple que l'introduction d'un nouvel acteur dans la téléphonie mobile a permis en quelque mois de réduire drastiquement la facture téléphonique en France. On oublie trop souvent qu'une saine concurrence est la meilleure façon de garantir et d'améliorer le pouvoir d'achat. Cela permet également un grand dynamisme économique qui pousse à la création d'emplois et de nouveaux champions nationaux. N'est-il pas curieux qu'il n'y ait pas eu une seule nouvelle entreprise intégrant le CAC 40 pendant les 30 dernières années... Où sont les Google, Facebook ou Amazon en France ? Nous sommes dans une économie de rente qui n'est pas du tout adaptée à la mondialisation.

D'où viennent les raisons d'un tel marasme et quelles sont les solutions qui pourraient être apportées ? Tout d'abord, un chiffre essentiel : 56%, c'est la part astronomique du secteur public dans le PIB, seul le Danemark nous dépasse, presque un record du monde ! Ceci ne serait pas si grave si l'on pouvait se prévaloir d'une administration efficace, d'un secteur publique en pointe dans la recherche, l'enseignement supérieur ou investissant avec succès dans les secteurs d'avenir comme les énergies renouvelables, les réseaux de communications ou les biotechnologies. Las, il n'en est rien, dans tous les classements internationaux, nous n'avons fait que régresser dramatiquement au fil des ans, les gouvernements successifs ont voulu occuper l'espace médiatique avec des centaines de pseudo reformes extrêmement complexes qui souvent étaient déjà modifiées ou abandonnées avant même qu'elles soient mises en place ou évaluées.

Prenons le cas de l'éducation (primaire, secondaire et supérieur), son budget représente un tiers des recettes fiscales de notre pays et pourtant nous pointons à la 22ème place dans le dernier classement PISA, loin derrière la Finlande ou la Corée du Sud, alors que ces derniers dépensent moins par élève. Pire encore, une étude de la Cour des comptes souligne que 40% des élèves sortant du primaire ne maitrise pas la lecture, l'écriture ou le calcul.

Que s'est-il passé ? Au lieu d'augmenter le niveau général des élèves nous avons réduit dramatiquement le niveau de nos diplômes (afin de faire en sorte que tout le monde puisse obtenir par exemple le baccalauréat), fait des expérimentations bien malheureuses (mathématiques modernes, méthode globale pour l'apprentissage de la lecture...), réduit les programmes à la portion congrue ou encore dévalorisé continuellement le prestige et l'autorité des enseignants au profit des élèves et parents. Cette baisse de niveau entraine mécaniquement un taux d'échec extrêmement élevé à l'université, et ceux qui réussissent malgré tout à obtenir un diplôme sont malheureusement bien souvent en grande difficulté pour trouver un emploi à la sortie, du fait d'un écart criant entre les enseignements et les qualifications demandées par les entreprises ainsi que de la réputation bien dégradée de nos universités (à part la Sorbonne ou Dauphine) par rapport aux grandes écoles. Là encore, l'Etat n'a pas joué son rôle et maintient le monde éducatif en vase clos sans entretenir de liens avec le monde de l'entreprise. Enfin, nos professeurs travaillent peu d'heures par semaines (15 heures en moyennes contre 43 heures en Allemagne) ce qui explique que l'enseignement secondaire soit 62% (!) plus onéreux en France comparé à l'Allemagne pour des résultats similaires.

Evidemment certaines parties de notre système conservent de très grandes qualités, comme nos grandes écoles, qui sont enviés dans le monde entier, cependant cela ne concerne pas la majorité des diplômés. Pour reconquérir notre place dans le haut du classement, il s'agirait tout d'abord de remobiliser les professeurs, qu'ils retrouvent une rémunération à la hauteur de ce métier pour ainsi attirer les meilleurs mais qu'en contrepartie, ils s'investissent plus, fassent plus d'heures ce qui permettra une plus grande efficacité et de faire des économies. Il faut également revoir de fond en comble la pédagogie dans les IUFM, renforcer la discipline, responsabiliser les élèves, donner beaucoup plus de liberté aux établissements scolaires pour développer des méthodes d'enseignements plus efficaces (lecture, langues étrangères...) et introduire un système de benchmarking qui permettra d'étendre des innovations performantes locales au niveau national. Enfin, le monde éducatif doit s'ouvrir sur son environnement extérieur, multiplier les partenariats avec les entreprises, développer l'apprentissage et introduire plus de flexibilité dans son fonctionnement.

Ensuite, notre système administratif faussement décentralisé cumule les défauts en empilant une myriade de strates avec les communes (36 000 comparé à ... 14 000 en Allemagne avec 20 millions d'habitants supplémentaires !), les communautés de commune, les cantons, les pays, les départements, les régions et l'Etat ! Vous comptez bien, il y a 7 structures dans le millefeuille administratifs (à comparer aux 3 niveaux des Etats Unis par exemple). Ceci conduit évidemment à un croisement des compétences, et des doublons ainsi qu'un manque d'efficacité patent au niveau du service rendu. La comparaison est sans appel par rapport à l'Allemagne, la France en effet emploie 60% de fonctionnaires en plus. Il serait logique de fusionner de très nombreuses communes, supprimer les cantons, pays et départements et de regrouper les régions en six super « Länder » aux pouvoirs étendus en matières de développement économiques. Ceci procurerait de très grandes économies et multiplierait l'efficacité des services rendus.

Par ailleurs, la France est également en retard pour l'automatisation de sa gestion et des taches administratifs sur internet, les pays Scandinaves, Baltes ou certains pays asiatiques comme Singapour ont depuis des années simplifiés grandement les services rendus aux particuliers en simplifiant et en intégrant l'ensemble des procédures sur internet. Il suffit de 30 secondes pour payer ses impôts à Singapour par Internet par exemple. En outre, dans les pays Scandinaves, l'ensemble des dépenses des élus et de l'Etat sont disponibles de manière claire sur internet ce qui accroit considérablement la transparence de l'Etat et le contrôle de la population sur ses élus. Dans le classement de Transparency International qui mesure la perception de la corruption dans l'administration publique et le monde politique, la France se classe à la 25éme place, alors que Singapour et la Finlande caracolent en tête de classement. Là encore, la France perd des points en termes d'attractivité économique et renforce dans la population un sentiment de corruption des élites qui fait le jeu des extrêmes.

Continuons notre revue des handicaps francais avec notre droit fiscal et social, non seulement extrêmement complexe mais qui évolue en plus constamment ce qui représente un véritable cauchemar pour les entreprises qui doivent pouvoir se baser sur un environnement juridique stable afin de pouvoir investir dans de bonnes conditions. Par exemple, le droit du travail comporte un record de 3200 pages, et dont la conséquence est un marché du travail extrêmement rigide et un taux de chômage de 10% (fortement sous évalués du fait des temps partiels subis non comptabilisés). En effet, les employeurs ont peur d'embaucher sachant que si l'économie ralentit, ils seront dans l'impossibilité de licencier. En parallèle, les salariés sont divisés en deux catégories, d'une part les insiders qui bénéficient d'un contrat permanent, de nombreux avantages et une quasi sécurité de l'emploi, et les outsiders qui enchainent les contrats précaires sans espoir d'obtenir ce fameux CDI.

Il s'agirait donc de simplifier le code du travail, avoir un seul contrat de travail (plutôt que les 38 existants), flexibiliser le travail, réduire le salaire minimum trop élevé (qui réduit l'emploi pour les jeunes et écrase l'échelle des salaires), et faciliter les licenciements économiques. Trop souvent en France, lorsqu'une entreprise est en difficulté, il est souvent trop tard, car les mesures de réductions de personnel sont trop longues et coûteuses (avec en plus le souci de grèves paralysantes voir de séquestration de la direction) ce qui au final pousse l'entreprise à la faillite alors qu'elle aurait pu survivre en réduisant les dépenses de personnel dès les premières difficultés rencontrées.

Mais c'est en matière fiscale que nous nageons dans un univers totalement ubuesque, 20% des articles du code fiscal sont modifiés chaque année ! Tant et si bien que même l'administration admet que le code fiscal est devenu inintelligible. La complexité et l'instabilité fiscale et juridique ont un coût non négligeable pour les entreprises puisqu'il représente 3% à 4% du PIB. C'est autant d'investissements qui ne seront pas réalisés. Mais à la complexité s'ajoute le poids de la taxation. Notre droit fiscal comporte de nombreux écueils comme des assiettes trop restreintes (plus de 50% de la population ne paie pas l'IR par exemple), de trop nombreuses niches fiscales (qui coûte 65 milliards d'euros par an) et des impôts trop focalisés sur le travail et pas assez sur la consommation. Ceci alors que toutes les études ont par ailleurs démontré qu'il était plus efficace pour l'économie de réduire les dépenses que d'augmenter la pression fiscale. Faisons clair et efficace, ne pourrions-nous pas simplifier notre fiscalité avec seulement 3 taux de 10%, 20% et 30% pour l'IR, l'IS, et la TVA (la variation de cette dernière se ferait en fonction de l'impact écologique des produits) avec l'assiette la plus large possible, sans aucune niche fiscale et supprimer tout autre formes de taxation. Cela permettrait une augmentation du taux de marge des entreprises, et donc à terme de leur investissements avec des créations d'emplois à la clé.

Quant à notre système de protection sociale qui est plébiscité à raison par une majorité de français, il n'a guère évolué depuis sa mise en place, et est devenu hors de prix. Comment se fait-il que l'Allemagne qui possède un système d'assurance maladie similaire ait un budget excédentaire pour des performances similaires alors que notre déficit de la branche maladie sera encore de 15 milliards d'euros cette année ! Le système d'assurance maladie a en effet fait sa mue en Allemagne, l'encadrement y est plus strict, l'usage des générique généralisé, les remboursements basées sur ces derniers, des hôpitaux publiques qui ont amélioré leur performance en se basant sur les cliniques privées... De même, au niveau de la retraite, il est tout de même incroyable qu'avec le vieillissement de la population et l'allongement de l'espérance de vie, l'âge de départ à la retraite soit encore situés à 60 ans dans le secteur privé et même moins dans le secteur public, alors que dans le même temps il est de 67 ans en Allemagne ! Par ailleurs, nos allocations chômage sont bien trop généreuses et ne devrait être qu'un palliatif limité à un an (contre jusqu'à 3 ans aujourd'hui) et inférieur au salaire minimum, cela renforcerait la motivation des chômeurs pour retrouver un emploi rapidement et réduirait le coût pour la collectivité (la différence au niveau des charges sociales est par exemple de 2 points de PIB avec l'Allemagne).

Enfin, l'Etat non content d'imposer une pression fiscale presque confiscatoire trouve le moyen de n'avoir jamais équilibré son budget depuis 1974 et d'avoir vu sa dette passer de 20% à 90% ce qui aujourd'hui le met en danger de banqueroute alors que les intérêts de la dette seuls représentent d'ores et déjà la totalité des recettes de l'impôt sur le revenu ! Ceci inquiète au plus haut point les investisseurs nationaux et internationaux, notamment après la perte de la note AAA par S&P et réduit encore leur visibilité et donc leur propension à investir. Il suffirait que les marchés financiers perdent confiance dans la capacité de la France à rembourser sa dette pour que les taux d'intérêt augmentent sensiblement. Ce fort besoin en financement de la part de l'Etat mais également des collectivités territoriales (encore renforcé par la faillite de Dexia) entraine une raréfaction des crédits à destination du secteur privé qui réduit d'autant leurs investissements et la création d'emploi.

Au niveau du développement économique, l'Etat français est probablement un anti modèle (on se souvient de la vague de nationalisations au début des années 80, de Renault, de la quasi faillite d'Air France ou encore des péripéties bien couteuses pour les contribuables du Crédit Lyonnais). Par ailleurs, nos entreprises sont en règle générale spécialisées dans le moyen de gamme, qui est sévèrement concurrencé par les pays émergents. Cette situation n'est pas inéluctable et d'autres pays l'ont brillamment prouvé. Prenons l'exemple de pays comme la Corée du Sud (un des pays les plus pauvres au monde dans les années 60 et aujourd'hui ayant un PIB par habitant tout juste inferieur a la France) et Singapour (dont le PIB par habitant est presque égal à 2 fois celui de la France). Ces pays combinent une économie de marché libérale avec une planification économique par l'Etat en partenariat avec les entreprises. L'Etat dresse une stratégie pour l'avenir en misant sur les futurs secteurs porteurs, en effectuant une remontée des filières de production, un remplacement progressif des importations et une montée en gamme. L'Etat investit également de façon importante dans la recherche scientifique afin de renforcer la capacité des entreprises à innover. Il y a une vraie cohérence de stratégie entre l'Etat et les entreprises. C'est ainsi que la Corée du Sud a investi massivement dans l'industrie lourde dans les années 70 (et est aujourd'hui leader par exemple dans la fabrication de navires) ou dans les technologies de l'information dans les années 90 avec des champions nationaux comme Samsung. Singapour s'est lui également lancé avec succès dans l'électronique, la chimie, dans le domaine financier (notamment en gestion de fortune) ou les bio technologies, et tire profit d'être le premier port au monde en terme de volume ainsi que d'une main d'œuvre très bien formée. Il est intéressant de noter que l'un des rares secteurs en expansion en France est celui du luxe, secteur où le prix est secondaire et où l'image du produit conditionne le reste. Par ailleurs, il est également étrange de constater que nous n'ayons pas créer un véritable secteur moteur dans les énergies renouvelables, mis en place une politique ambitieuse de rénovation des logements par l'intermédiaire de nouvelles normes plus drastiques, ce qui aurait permis de créer des centaines de milliers d'emplois, réduire notre consommation d'énergie (et donc notre dépendance aux importations d'énergie) et progressivement obtenir un avantage compétitif dans ce secteur (à l'instar des pays scandinaves ou de l'Allemagne).

La France est donc aujourd'hui à la croisée des chemins, soit elle refuse la mondialisation, se renferme sur elle-même ou fait le minimum d'ajustements pour tout juste garder la tête hors de l'eau et le déclin voir la faillite est assuré. Soit elle renait, se réforme radicalement, tire parti de la mondialisation, et de ses qualités indéniables (son infrastructure, ses ingénieurs et scientifiques de haut niveau, une géographie au cœur de l'Europe et de grandes entreprises mondialement connues) et devient un vrai moteur économique en Europe.

(Les opinions développées dans cet article sont propres à l'auteur)
(*) Arnaud Malfoy est diplomé de l'ESC Bordeaux avec une specialité en Finance, Arnaud Malfoy travaille dans les services financiers depuis 7 ans, vivant tour à tour à Montréal, Londres et New York. Après avoir débuté dans la filiale leasing de Renault en Angleterre, il rejoint comme analyste la platforme de trading électronique Tradeweb à la City de Londres puis au siège à New York où Il est désormais Vice President au sein du departement Info Management. Passionné par l'économie, la géopolitique, et les cultures étrangères, il organise régulièrement des évènements de networking cosmopolites à New York.

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Commentaires 111
à écrit le 02/06/2013 à 9:48
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Du bien moche "french bashing". Il ne voit que le négatif. On en connaît des tas comme cela, qui viennent par la suite ou au même moment profiter de ce qu'il dénonce. ...Cela sent le "pétainisme " , heureusement, tous les expats ne sont pas comme ç...

à écrit le 31/05/2013 à 10:22
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voir le livre de Simone Wapler : pourquoi la France va faire faillite Moi je m'en fous , je prendrais ma retraite au Maroc avec 20% d'abattement sur les impôts tout en bénéficiant de la sécurité sociale

à écrit le 30/05/2013 à 11:31
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c ette analisse et nul =OOOO

à écrit le 28/05/2013 à 19:54
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Trop lol Tony, j'ai aimé, vraiment. La photo avec le copyright déchire tout. ;-)

à écrit le 28/05/2013 à 16:03
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C?est du travail de naufrageur, de pirate, de fossoyeur ! Nous avons là des ânes bêtes et méchants, des bestioles à la Rastignac !

à écrit le 28/05/2013 à 16:00
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La faillite, c?est la honte, la loose, l?opprobre nationale !

à écrit le 28/05/2013 à 15:52
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Dans les phénomènes précédents, l?Etat ne paye plus le personnel? En Espagne les fonctionnaires sont dans la rue !

à écrit le 28/05/2013 à 15:48
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N'est-on pas entrain d'assécher les entreprises en capital étranger. Si le gouvernement taxe les profits, c'est le CAC qui va dérouiller! Ne risque-t-on pas des petites fuites? Chez les agences, on est en négatif. Tic tac...

à écrit le 28/05/2013 à 15:38
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Contre la faillite, ne devrait-on pas manifester ? Comme si y avait pas déjà assez de chômeurs et qu?on était trop riches ! Le gouvernément fait de l?immobilisme, il attend la croissance mondiale qui existe puisqu?elle est de 3,5%. Qu?est-ce que c?es...

à écrit le 28/05/2013 à 15:31
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Je dirais même plus la renaissance. On dit qu?on n?a pas soigné la production et la construction d?entreprises, mais qu?on a fait des fonctionnaires sur la dette. Ce qui nous pose le problème des engagements de retraite, on nous parle de 1000 milli...

à écrit le 27/05/2013 à 22:34
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En lisant que les professeurs allemands assurent 43 heures de cours, je doute du sérieux de ce monsieur, de la fiabilité de son information. De la com plus que de l"information maîtrisée, à l'instar de l"enseignement des écoles de commerce.

le 28/05/2013 à 20:30
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tout à fait d accord avec vous. je ne sais pas non plus d où il sort ce chiffrepour les professeurs en France.

à écrit le 26/05/2013 à 3:26
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Les équivalentes des entreprises américaines modernes, existent en France, mais elles sont juste "petites". Facebook -> copainsdavant( bien plus ancien); google->plusieurs petites boites qui n'ont jamais dépassé la micro start-up car sans aucune visi...

à écrit le 23/05/2013 à 14:09
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Comment ne pas souscrire globalement à cet article et à son auteur , tout en regrettant que beaucoup de commentateurs doutent encore de sa véracité Comme je doute , moi ,que nos politicards de tout bord se tirent une "balle dans le pied" en vot...

à écrit le 21/05/2013 à 23:19
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entre l'utra-liberalisme ici presenté ou la faillite, la france doit choisir une autre voie

à écrit le 21/05/2013 à 21:53
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Les enseignants français travailleraient 15H/semaine et les Allemands 43h? C'est qui ce mec?

à écrit le 21/05/2013 à 20:14
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Ce n'est pas gâtant d'avoir une caserne de pompiers, une salle polyvalente, un centre technique municipal et ainsi de suite tous les 5 kms. Il y a des exemples à la pelle.

à écrit le 21/05/2013 à 18:17
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Voilà une nouvelle manifestation de l'idéologie actuelle qui dégrade le pays depuis les années 1980. Ainsi, par exemple, prétendre que 36.000 communes est un handicap comparativement à nos voisins révèle une réelle méconnaissance des réalités et une ...

à écrit le 21/05/2013 à 17:12
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La question n'est plus de dresser de nouveau le constat de notre déclin, lu depuis dix ans dans des centaines d'articles, des dizaines de livres et de multiples rapports, dont ceux de la Cour des comptes. Non, la question est de trouver comment parve...

le 21/05/2013 à 19:45
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Le déclin français est totalement en prise avec l'Europe, les pays dans l'Europe depuis 20 ans ont un taux de chômage en croissance de 3 points, ceux restés en dehors sont en baisse de 1 !!!!. L'Europe est une ineptie entretenue, une tour de Babel ...

à écrit le 21/05/2013 à 15:30
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"Tout d'abord, rappelons que le capitalisme est constamment en mouvement, et qu'il n'est pas anormal que des entreprises fassent faillite, cela est même nécessaire, dans la mesure où les entreprises non compétitives sont remplacées par d'autres plus ...

à écrit le 21/05/2013 à 15:21
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Cet article reflète la réalité de notre société qui est a la dérive malgré les talents et les compétences qui sont nombreux . Mais les politiques publiques conduites depuis près de 40 ans sont un échec et la France est a la limite du dépôt de bilan. ...

à écrit le 21/05/2013 à 14:48
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2 nouvelles qui nous concernent de prés: La CAF Réunion à déboursé pour l'année 2012 1 milliard et 600 millions d'euro d'allocations. 83 % des bénéficiaires ne travaillent pas(population 850.000) Par rapport aux autres Pays de la CE,la France,grace ...

le 21/05/2013 à 16:44
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Eh oui, et la France a sans doute choisi son emblème, le coq, parce que c'est un animal qui continue à chanter même avec les pieds dans la m...! Ici, le temps qu'on se rende compte de quelque chose d'évident, qu'on l'admette pleinement et qu'on en f...

à écrit le 21/05/2013 à 13:45
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Quelles "réussites", quels "progrès" (surtout mondiaux et climatiques, quand les gens se répètent d'année en année, en collectivités compactes qui font égrégores retournés au pire sous... peu ! Alors que l'Univers nous demande depuis tout temps de n...

à écrit le 21/05/2013 à 13:32
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Encore un défenseur de la mondialisation qui vient nous faire la morale... Un de plus... A part l'Allemagne leader sur des créneaux technologiques anciens où elle est la meilleure, tout le monde coule en Europe, les anglais, espagnols, italiens, gre...

à écrit le 21/05/2013 à 13:22
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Pourquoi ces articles sortent-ils maintenant, tout comme les pigeons? Pourquoi soudain, cette poussée de spécialistes de l'économie? Alors que Hollande est là depuis seulement un an et la droite a été aux manettes pendant 10 ans? Et pendant 10 ans, c...

le 21/05/2013 à 14:35
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Ce document reprend assez fidèlement la politique de rupture de Sarko. Mais Sarko s'est mis à dos toute l'administration dont il n'était pas issu. Il s'est retouvé seul et a du s'engager personnellemnt dans une "hyperprésidence" avec la complicité d'...

le 21/05/2013 à 14:40
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exact, à croire que la France est trop endetté et pas assez competitive depuis uniquement le 6 mai 2012 ou que tous ces liberaux ou patrons aient attendu l'election d'un socialiste pour que la France prenne un virage liberale. Mais Hollande est malh...

le 21/05/2013 à 15:13
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Pour mener une politique considérée comme de Gauche en france il faut disposer de marges de manoeuvres budgétaires et pouvoir la financer avec plus d'argent des autres or dans les deux cas on est au bord de la rupture, ça va être difficile. Les benni...

le 21/05/2013 à 17:09
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Une politique de gauche signifie redistribution à tout va. Nous n'en avons plus les moyens. il serait temps que les Français comprennent et fassent les bons choix économiques, plutôt que de systématiquement depuis 40 ans choisir la voie de la facilit...

à écrit le 21/05/2013 à 13:08
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excellent article, mais on sait tout cela, alors pourquoi la France ne réagit pas ? Quand la majorité electorale bénéficie de l'Etat Providence (51% des foyers ne paient pas l'impôt) la démocratie est piégée. Il faudra que ce chiffre repasse sous les...

à écrit le 21/05/2013 à 12:58
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a fait un choix : on continue d ajuster par petits bouts en repoussant encore a plus tard les reformes difficiles .tous les présidents ont fait ca, certains pouvaient devaluer, relancer , dépenser, aujourd hui on ne peut plus le faire c est pourquoi ...

à écrit le 21/05/2013 à 12:45
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Malheureusement rien tout cela ne sera entrepris avec l'équipe actuelle. Son chef applique ses cours de l'ENA du siècle dernier. La France va continuer de décliner jusqu'au jour où tout explosera.

à écrit le 21/05/2013 à 12:10
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IL FAUT REFORMER LA FONCTION PUBLIQUE ET COLLECTIVITÉS TERRITORIALES INUTILES OU EN DOUBLONS ET SA COHORTE PLÉTHORIQUE D'AGENTS PUBLIQUE AVEC LICENCIENT SEC? PRIVATISATION ENTREPRISES PUBLIQUES CHU, SNCF, RATP, EDF, ÉDUCATION NATIONALE, PÉNITENCIER E...

le 21/05/2013 à 14:06
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MILLE FOIS RAISON.....mais impossible depuis 30 ans les syndicats avec leurs pouvoirs de blocage et la rue ont réussi a imposer leurs methodes ...aucun gouvernement a ose dire la héritée et résister le mal est fait l égoïsme a...

à écrit le 21/05/2013 à 11:56
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Avec l'UMPS le choix est vite fait!, ils ont choisi la faillite et la paupérisation du peuple.

le 21/05/2013 à 13:11
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Le pire serait le choix de la démagogie !

le 21/05/2013 à 13:40
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Du populisme pour être précis, la démogagie nous y sommes déjà depuis un bon moment.

le 21/05/2013 à 15:42
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Lorsque quelqu'un est à court d'arguments pour défendre une idéologie qui vous conduit dans le mur, il qualifie ses adversaires politiques de "populistes". Mais concrètement et personnellement je préfère le pragmatisme des populistes au dogmatisme de...

à écrit le 21/05/2013 à 11:52
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le changement, c'est maintenant... Laisonns un peu de temps à notre actuel gouvernement, beaucoup de décisions vont dans le bon sens, mais n'auront d'effets que dans les années à venir. Même si il doit faire plus, un virage a été amorcé. Mais si e...

le 21/05/2013 à 12:47
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Le fait des reduires le nombre de sorcières est nécessaire surtout quand les sorcières n ont aucun prédateurs.....c est comme les sangliers au bout d un moment ils font tellement de dégâts a la collectivité qui il faut organiser des battus. Alors pou...

à écrit le 21/05/2013 à 11:45
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Bravo pour votre article. Beaucoup pense la même choses mais qui pour porter le projet nos politiciens sont pourri pas leur système a bout de souffle Pas un seul a la hauteur. Il ne vous reste plus qu a vous présenter au présidentielle cher mon...

à écrit le 21/05/2013 à 11:44
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Merci pour ce document de quelques pages qui n'est ni rédigé par un énarque (ça ferait 120 pages) ni par un économiste rémunéré par l'état français. L'état français médaille d'argent des prélèvements en tous genres a une bonne chance de décrocher la...

à écrit le 21/05/2013 à 11:40
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Plaidoyer pour plus de libéralisme, moins d'administration, de social ,le tout au nom de la croissance, de la compétition mondiale ! Soit il faut des réformes mais pas seulement au niveau de l'Etat et c'est là que cet article montre ses limites mêm...

le 21/05/2013 à 12:08
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Je crois que n'avez pas bien lu cet article ou peut n'avez voulu n'y voir que des choses négatives à votre foi en un état omniprésent. Relisez le attentivement tout y est notamment pour les banques/ pourquoi sommes nous entre leurs mains incapable de...

le 21/05/2013 à 12:45
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@ jeanto2 Je ne suis pas pour un Etat tout puissant mais pour un Etat garant de l'intérêt général ce qui n'est pas la même chose, vous en conviendrez ! (un Etat totalitaire se fiche de ses citoyens voire la Chine, la Corée du Nord ..pour ne citer...

le 21/05/2013 à 15:05
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Pff comme si l'abrogation de la loi de 73 était la solution à tous les maux... "L'Etat doit reprendre la création monétaire aux banques privées" N'importe quoi, la création monétaire hors BCE se fait via la distribution de crédit aux particuliers & ...

à écrit le 21/05/2013 à 11:29
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ce n'est pas en achetant des drones américains qu'on arrangera les choses..

à écrit le 21/05/2013 à 11:27
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je pense que le choix est déjà fait... ce sera la faillite. En tout cas, c'est la trajectoire (pour reprendre un terme à la mode) qu'a choisie notre gouvernement

à écrit le 21/05/2013 à 11:24
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Le problème de la France est qu'elle réussit moyennement sans jamais à avoir à se remettre en cause. Un peu comme un élève potentiellement brillant qui sans travailler arrive à avoir la moyenne. Pas très motivant... Sauf que le niveau des examens va ...

à écrit le 21/05/2013 à 11:24
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Le problème de la France est qu'elle réussit moyennement sans jamais à avoir à se remettre en cause. Un peu comme un élève potentiellement brillant qui sans travailler arrive à avoir la moyenne. Pas très motivant... Sauf que le niveau des examens va ...

le 21/05/2013 à 12:02
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Jeff: l'article, (mais c'est indéniable!) dit le contraire: dans les domaines (santé, service public, éducation, retraites) l'élève doit fournir des efforts bien plus important que par exemple nos voisins : +62 % de coûts pour l'éducation avec des ré...

à écrit le 21/05/2013 à 11:16
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M. Malfoy, je crois que vous faites erreur quand vous écrivez : "N'est-il pas curieux qu'il n'y ait pas eu une seule nouvelle entreprise intégrant le CAC 40 pendant les 30 dernières années " . Vous oubliez GEMALTO, brillante réussite française dans l...

le 21/05/2013 à 11:49
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tombent sous le poids de la fiscalite comment voulez-vous qu'elles embauchent !

le 21/05/2013 à 14:12
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@ valdo et chori : Gemalto est la fusion de plusieurs entreprises oeuvrant dans la carte à puce telles que Gemplus ou la division cartes de Schlumberger et qui ont été créées voici plus de 30 ans, donc l'article n'est pas faux sur ce point.

à écrit le 21/05/2013 à 11:14
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"Pas eu une seule nouvelle entreprise intégrant le CAC 40 pendant les 30 dernières années..? Et Gemalto en décembre dernier ? Et sûrement un certain nombre d'autres au cours de ces 30 "piteuses" ? Soyez un tout petit peu plus objectif !

à écrit le 21/05/2013 à 10:44
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Mouais... Il faudrait d'abord commencer par gérer les services publics. J'entends par là se demander pourquoi avec plus d'argent la France fait moins bien... Cela permettra de baisser impôts et taxes et donnera un peu d'air au consommateur et aux ent...

à écrit le 21/05/2013 à 10:38
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Cette description de la France est tout à fait juste. En fait, ce n'est qu'une mise à jour du "Mal Français" d'Alain Peyrefite, publié en ....1975. Depuis, pas grand chose n'a changé sinon en pire, surtout au niveau de l'éducation, de plus en plus nu...

à écrit le 21/05/2013 à 10:29
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La problématique de genre de comparitif d'une performance socio-économique, c'est qu'elle mène à faire une tartine. Dans les classements internationaux, (que ce soit la qualité de l'éducation, santé, qualité de vie en ville, des jeunes, des vieux, sa...

le 21/05/2013 à 11:20
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Pour une fois je vous rejoint. Il faut des réformes de bon sens. Un système administratif et fiscal simple et STABLE serait un excellent coup de pouce pour notre pays.

à écrit le 21/05/2013 à 10:27
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Excellent passage en revue des problématiques qui sclérosent la France de longue date. Juste un bémol sur le benchmarking avec les pays scandinaves, leur réussite est aussi le fait d'un consensus social particulier que nous ne saurions répliquer en ...

le 21/05/2013 à 13:33
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D'accord, mais il y a d'autres bémols. "Il est également totalement anormal que l?État intervienne pour favoriser certains acteurs économiques" : si je ne m'abuse, l?État américain est bien intervenu aussi pour sauver les banques et l'industrie autom...

à écrit le 21/05/2013 à 10:23
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Ok pour les handicaps .... Ou sont les forces a developer maintenant ?

le 21/05/2013 à 10:49
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En français on domine encore la plupart des pays.

le 21/05/2013 à 11:38
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Effectivement, et en réalité les français savent que tous arguments mal orthografiés et conjugués sont invalidés par la force de ce constat. (developper: 2 p j'ai tendance à mettre plutôt 2 l;-) Ainsi , nous nous dominons entre nous! Cela reste en ...

à écrit le 21/05/2013 à 10:17
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Un enième exercise de pensée néo-libérale. D'abord l'auteur se plaint que l'état ait une trop grande part de l'économie, et après il demande que l'état soit plus présent dans le financement des entreprises. En gros, il veut un transfer des ressources...

le 21/05/2013 à 10:41
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Il faut réfléchir un peu sur l'inégalité sociale. Dans une certaine mesure, elle est le réel MOTEUR de la croissance ! Regardez la Chine, avec ses 80 députés milliardaires en dollars et ses taux de croissance à deux chiffres. A l'inverse, dans un pay...

le 21/05/2013 à 10:49
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Dans une économie en voie de développement les entrepreneurs individuels prennent des risques insensés. En cas d'adversité, mauvaise récolte ou autre, c'est la ruine de la famille, souvent définitive. Le développement permet une mutualisation des ris...

le 21/05/2013 à 11:18
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Yves et collectif, j'ai l'impression que pour vous l'économie est un jeu à somme nulle (et d'autre part la croissance de la Chine est due en grande partie à la construction d'infrastructure, ce qui est déjà fait en France). La Chine a des milliardair...

le 21/05/2013 à 12:13
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un pauvre consomme (mal, et trop de produits chinois) et un riche investit..redistribuer, c'est aller contre l'investissement. Après, c'est une question de dosage..

à écrit le 21/05/2013 à 10:14
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Beaucoup de "bla bla" ultra nationaliste, rien d'autre !

le 21/05/2013 à 10:29
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Manifestement vous ne savez pas ce qu'est le nationalisme et émargez parmis les invendus due notre système scolaire.

à écrit le 21/05/2013 à 10:02
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"40% des élèves sortant du primaire ne maitrise pas la lecture, l'écriture ou le calcul". Apparemment vous en faites partie... ("maitriseNT").

le 21/05/2013 à 11:03
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Non, le sujet du verbe maitriser est 40% et non pas élèves, le verbe doit donc être conjugué au singulier

le 21/05/2013 à 16:05
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@Jp : Vous faites aussi partie des 40 % sortis du primaire sans maîtriser l'écriture :-) "Quarante pour cent" sont un pluriel, forcément puisqu'il y en a quarante ! Le verbe qui suit l'expression d'un pourcentage peut au choix de l'auteur être accord...

le 21/05/2013 à 19:39
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Et bien, devant un tel puits de science, j'admets bien volontiers mon erreur et je vous remercie de m'avoir appris quelque chose. J'ai, en effet, toujours pensé que 40% était un ensemble (=l'ordre de grandeur est de 40%) et non pas un nombre (=ils ét...

à écrit le 21/05/2013 à 10:00
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Notre futur ce sont les chances pour la France toujours plus nombreux. Pas de soucis. L'avenir est bien assuré.

à écrit le 21/05/2013 à 9:59
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C?est vite vu, c?est l?Europe du Sud : récession, déficit, chômage, sous-compétitivité? la croissance à l?envers ! Le but serait la diminution du PIB où la croissance par la dette qui réduit le niveau de vie. Ubuesque.

à écrit le 21/05/2013 à 9:51
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Certaines remarques sont certes justes mais pour ramener de l'argent dans les caisses il faut aussi taxer tout ce qui a été mis à l'abri dans les paradis fiscaux avant de taxer les pauvres sur leur consommation et mettre encore plus la tête des sans ...

le 21/05/2013 à 10:14
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Il n'y a pas a taxer plus qui que ce soit. C'est la presse et la télé qui nous bourre le crâne! Les leviers sont dans le 1 000 feuilles, nb d'élus, cumul divers et niches C des efforts structurels saint. Qd je parle d'effort je ne parle pas de dérem...

le 21/05/2013 à 13:22
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D'accord pour dégraisser le mammouth mais les fraudeurs aux impôts sont passibles de 7 ans de prison , je vous signale ... sans parler des multinationales qui échappent aux impôts (pour le moment) en toute légalité grâce à des montages ...

à écrit le 21/05/2013 à 9:40
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Encore un article écrit par l'"élite" auto-proclamée, qui prétend, encore et toujours, que le monde entier nous envie nos grandes écoles. L'auteur ne s'est, sans aucun doute, jamais frotté à la véritable concurrence à l'étranger - où nos "grandes éco...

le 21/05/2013 à 10:04
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Avant d'écrire des fadaises, il serait intéressant de lire le CV de l'auteur : il est vrai que pour certaines personnes (non passées par les grandes écoles) Montréal, Londres et New York sont des trous de province où ne sévit pas la concurrence inter...

à écrit le 21/05/2013 à 9:38
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Clairement la candidature d'Arnaud Malfoy à Bercy devrait être examinée par le président FH. Ce serait bénéfique pour la France.

à écrit le 21/05/2013 à 9:34
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En effet, c?est un pays archaïque qui a rejeté le progrès technologique, la modernité et l?augmentation du niveau de vie. Nous avons un Etat surdimentionné par rapport à l?OCDE ce qui conduit au déficit de compétitivité et d?innovation. C?est un pays...

à écrit le 21/05/2013 à 9:29
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+ 1 000 000 Oui à tout. Mais ils ne feront rien.

le 21/05/2013 à 10:06
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Les mesures sont certainement très pertinentes, par contre il n'y a rien sur la faisabilité politique et sur la façon de commencer à mettre en oeuvre ce beau programme... C'est bien là que le bât blesse, car comment forcer les français à boire la pot...

à écrit le 21/05/2013 à 9:25
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Bonjour Mr Malfoy, bonjour à tous, Monsieur, dans votre article vous faite un constat clair d?une partie (la liste et hélas beaucoup plus longue) des disfonctionnements bien connus du système Français. Cependant votre expérience internationale vous ...

à écrit le 21/05/2013 à 9:23
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faites suivre cette excellence analyse à tous nos responsables politiques, syndicaux et patronaux. Monsieur le président c'est le moment de faire preuve d'OFFENSIVE !!!!!

le 21/05/2013 à 10:07
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J'ignorais que nous avions un président. C'est qui déjà ?

le 21/05/2013 à 11:53
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l homme invisible

à écrit le 21/05/2013 à 9:19
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un article qui est très vrai , surtout les poupées russes administratives une plaie , sur le plan fiscal bravo , les niches aides , et la rente que cela induit , là encore bravo , oui il y'a pas eu de nouvelles sociétés au sein du CAC40 depuis 30 ans...

à écrit le 21/05/2013 à 9:18
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Dans cette description, il manque une cause fondamentale de déclin et de perte de confiance dans l'avenir... mais on doit y être moins sensible à NY City qu'à Vitry-sur-Seine.

à écrit le 21/05/2013 à 9:15
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Un peu facile quand on ne connait ou ne veut plus connaître son pays... Le "french bastingage" c'est déjà nul, mais c'est pire encore de la part des expats.

le 21/05/2013 à 9:35
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Faire l'autruche et se cacher de la vérité est encore pire.

à écrit le 21/05/2013 à 9:10
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et oui, beaucoup seraient d'accord avec tout cela, ..si ce n'est que personne ne souhaite changer de système. il suffit de soulever la question de la protection sociale pour entendre à droite comme à gauche la nécessité de réformer le système..pour l...

à écrit le 21/05/2013 à 8:58
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Mr les lois actuelles vous permettent de trahir votre pays et d'ecrire des articles depuis New York . Le peuple francais n'est pas dupe

le 21/05/2013 à 10:35
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Vive les soviets ! Vive Lénine ! Le peuple rassemblé vous condamne en coeur, vous qui avez compris que le peuple de gauche vous prendra tout, jusqu'à votre âme et votre honneur !

le 21/05/2013 à 11:18
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Arrêtez de stigmatisé le "peuple" de gauche. L?empilement administratif, un code du travail touffu, une instabilité fiscale permanente....je ne vois pas trop en quoi la droite au pouvoir ces 10 dernières années a changé quoi que ce soit. C'est la cl...

à écrit le 21/05/2013 à 8:50
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Tout est dit. Mais il ne se passera rien. La philosophie de nos politiques est l'égalitarisme en aucun cas l'efficacité économique. Ils veulent un impôt redistributif jamais proportionnel. Pour être réélu, il faut diviser les français. De plus, nos ...

à écrit le 21/05/2013 à 8:48
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On est tous d'accord avec Mr Malfoy : qu'il revienne donc en France pour nous aider à changer les choses.

à écrit le 21/05/2013 à 8:43
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avant de discourir , arrêtons donc de faire des erreurs grossières .Faire l'ISF et taxer le capital comme le travail, s'est s'assurer qu'il n'y aura plus de capital.. Et plus de capital c'est comme dévitaliser une dent. Cela ne dure qu'un temps, et ...

à écrit le 21/05/2013 à 8:43
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Je partage votre opinion mais ca fait 30 ans que tout le monde sait déjà ce que vous dites. Les Français sont contents puisqu?ils continuent de voter pour les mêmes. La destruction créatrice de Schumpeter est une ânerie qui nous a coûté beaucoup de s...

le 21/05/2013 à 9:30
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et n'oublions pas l'éducation universitaire ou les premières années sont ceux qui capitulent le plus et donc le cout pour le contribuable est énorme par eleve , cela fait 30 ans que cela dure et l'état eponge cela , des eleves déçus de filières , des...

le 21/05/2013 à 10:37
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Mais l'université n'est pas faite pour les étudiants. Elle est faite pour les enseignants, pour leur assurer des postes et des budgets... Il n'est nul besoin que ça serve à quoi que ce soit.

à écrit le 21/05/2013 à 8:22
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Toutes ces remarques sont évidentes; petit détail de taille "notre modèle d'intégration" est un échec majeur, il ne faut pas se mentir. Toute cette liste est connue depuis 40 années alors on peu rêver; le déclin de l'Empire Romain a subit exactement ...

le 27/05/2016 à 1:37
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Je n'ai pas souvenir que les "acquis"(rien n'est acquis on le voit bien aujourd'hui) sociaux n'ai jamais été octroyé spontanément par le grand patronat ou les gouvernements. ils me semblent que notre modèle social est le résultat de luttes. Ce qui es...

à écrit le 21/05/2013 à 8:16
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la faillitte reenchantee dans la justice, c'est maintenant, et c'est pour tous

à écrit le 21/05/2013 à 8:06
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Un seul mot : Bravo et même Bravissimo !!! Mais quel messie prendra de telles mesures salvatrices en France ? Quel nouveau parti politique innovant non issue de l'Ena proposera de telles solutions ? Tous les partis existants proposent toujours plu...

le 21/05/2013 à 10:38
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Ce que vous attendez, en fait, c'est un gouvernement fort, pour ne pas dire autoritaire, qui puisse s'asseoir sur les corporatisme...

le 21/05/2013 à 11:32
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vous ne comprenez pas grand chose à la question à ce que je lis ...

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