Hasta la victoria siempre ?

Chaque matin, l'actualité commentée par Marc Fiorentino...

MonFinancier

Che Guevara n'en reviendrait pas s'il était encore vivant. Un rétablissement des relations entre les États-Unis et Cuba: Inimaginable! Ce dernier vestige de l'histoire de l'affrontement entre le monde occidental et le communisme s'effondre après 52 ans. Toujours impressionnant de voir l'Histoire (with un grand H) s'écrire sous nos yeux.

PETIT REBOND DU PÉTROLE
La baisse du pétrole est l'événement économique majeur de cette année 2014. Il a atteint mardi son niveau le plus bas depuis 5 ans avant de rebondir un peu. Ce qui est passionnant dans cette baisse, c'est le fait que tous les économistes, tous les prévisionnistes, tous les stratèges refont mouliner tous leurs modèles pour analyser les conséquences de cet effondrement. Et finalement vous allez voir que l'impact est plus complexe qu'il n'y paraît.

WINNERS AND LOSERS
Il y a quand même clairement des gagnants et des perdants. Du côté des gros perdants, tous les pays producteurs de pétrole, Russie et Iran en tête, ou encore le Nigeria et même la Norvège, du côté des gros gagnants les consommateurs américains et les principaux pays importateurs. Ça c'est pour la lecture la plus évidente. Si on creuse un peu, du côté des perdants on trouve aussi les producteurs de pétrole de schiste mais aussi toutes les énergies alternatives. Les valeurs des groupes de ce secteur se sont effondrées : Vestas dans l'éolien, les producteurs chinois de panneaux solaires ou encore des constructeurs de véhicules électriques.

BAISSE DU PÉTROLE: BONNE OU MAUVAISE NOUVELLE?
C'est là que le débat sur l'impact de la baisse du pétrole devient passionnant. Pour la zone euro, la baisse du pétrole devrait être une excellente nouvelle même si l'impact de la baisse du pétrole a été un peu atténué par la baisse de l'euro. Mais les avis divergent. En effet une baisse du pétrole en période de crainte de déflation peut être une mauvaise nouvelle. La baisse du pétrole accentue la baisse des prix, renforce la peur de la déflation et accentue le report des décisions d'investissement ou la consommation. Sans évoquer aussi l'impact d'un éventuel défaut de la Russie sur les banques européennes. La baisse du...

Lire la suite sur MonFinancier.com

Pour aller plus loin, suivez le cours des marchés en direct

Sujets les + lus

|

Sujets les + commentés

Commentaire 1
à écrit le 19/12/2014 à 10:58
Signaler
Hasta la lucidez,sabiamente ? A quoi sert d'affirmer de l'esbroufe à la nano-seconde sans prendre le temps de la réflexion, arcbouté sur des poncifs fatigants ? Cavaler en bourse serait-ce investir et pas spéculer ? Rejeter l'histoire advenue avec l...

Votre email ne sera pas affiché publiquement.
Tous les champs sont obligatoires.

-

Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.