Diaporama Quelle ville va profiter du Brexit ?

5. Bruxelles

La capitale belge se hisse à la 5ème place grâce à ses loyers imbattables : 1.519,33 euros en moyenne pour un 2 pièces haut de gamme dans le centre, alors qu'ils flirtent voire dépassent largement 2.000 euros dans les autres villes du classement. Principal point négatif pour Bruxelles, l'aisance en anglais, la langue étant maîtrisée par seulement 38% des habitants.  (Crédits : FRANCOIS LENOIR)

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C'est un sujet qui revient depuis le "oui" au référendum sur la sortie du Royaume-Uni de l'Union Européenne le 23 juin 2016 : vers quelle autre place financière les entreprises et autres traders se reporteront-ils ? Si, contrairement à ce qui est évoqué par ci par là, la grande désertion n'est pas encore garantie, certains d'entre eux pourraient tout de même opter pour un autre destination. 

La startup Movinga, plateforme numérique consacrée au déménagement, a dressé un baromètre européen des villes de l'après-Brexit, en se plaçant du côté des employés. En sont sortis deux top 5, un pour les travailleurs européens du secteur bancaire et un autre pour les travailleurs européens des startups. C'est le premier classement auquel nous allons nous intéresser car il fait écho à notre précédent article sur le sujet. Première constatation : Paris et Francfort, pourtant annoncées comme les villes les mieux placées, ne font pas partie du top de Movinga. 

Le classement des villes les plus attractives pour les employés de la City se base sur onze critères, parmi lesquels des critères assez classiques comme le taux maximum d'imposition sur le revenu, la maîtrise de l'anglais ou le prix des logements haut de gamme. D'autres, en revanche, sont plus surprenants, comme le tarif d'une adhésion à une salle de gym de luxe, les prix moyen des pressings ou le nombre total de boutiques Burberry à l'intérieur de la ville...

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