Grèce : le "non" grec place Angela Merkel au pied du mur

En votant "non", les Grecs ont montré une nouvelle fois leur refus de l'impasse à laquelle a conduit l'austérité. Angela Merkel doit désormais choisir entre la prise en compte de ce vote et l'inflexibilité de son ministre des Finances.
Le "non" grec est un camouflet qui place Angela Merkel face à un choix historique

Désormais, le bluff n'est plus possible pour Angela Merkel. Après une semaine de campagne réalisée dans des conditions inimaginables de banques fermées, d'argent rationné, de retraités angoissés et de matraquage médiatique angoissant, les Grecs ont dit une nouvelle fois « non. » On pourra certes relativiser la portée de ce non par le taux d'abstention. Mais il n'empêche. Dans les conditions décrites ci-dessus, il s'est trouvé plus d'électeurs grecs pour refuser l'ultimatum posé par les créanciers à leur pays que pour l'accepter.

Prêts à prendre le risque du Grexit plutôt que de subir l'austérité stérile

Entre le rejet d'une nouvelle cure d'austérité stérile et le risque du Grexit, les Grecs ont choisi la deuxième solution. Certes, nul en Grèce ne souhaite la sortie de la zone euro, mais le message envoyé ce dimanche 5 juillet à ceux qui, comme Jean-Claude Juncker, Benoît Cœuré ou Jeroen Dijsselbloem, les ont menacés durant une semaine d'une expulsion de l'Union économique et monétaire s'ils votaient « mal », est bien celui-ci : les Grecs sont prêts à prendre ce risque pour ne pas s'engluer à nouveau dans la spirale infernale de l'austérité sans fin.

Le rejet de la logique européenne

Une nouvelle fois donc - la deuxième en moins de six mois -, les créanciers peuvent donc mesurer l'ampleur du rejet des politiques qu'ils ont imposées au pays depuis 2010. Une nouvelle fois, ils peuvent prendre conscience que leur stratégie de la peur ne fonctionne plus en Grèce. Si Angela Merkel a déclaré ce dimanche qu'Alexis Tsipras « lance son pays vers un mur à pleine vitesse », elle doit ce soir reconnaître que, pour la première fois depuis 2010, sa stratégie du pourrissement a échoué. Elle qui déteste trancher se retrouve ce soir face à la nécessité d'un choix. Les autorités grecques sont désormais prêtes à reprendre les négociations : elles n'ont jamais vu le « non » comme un vote de rupture, mais comme un moyen de reprendre la main dans les négociations. Le camp grec est ce soir plus fort de son soutien populaire, mais il tend une main vers les créanciers. Et Angela Merkel doit simplement décider si elle accepte cette main tendue ou si elle la refuse.

Ne rien faire : ouvrir la porte au Grexit

Si elle la refuse, si elle laisse l'affaire, comme elle l'a fait depuis des mois, entre les mains de la BCE et de l'Eurogroupe, donc si elle continue à ne considérer la crise grecque que comme une affaire de technique financière, la Grèce n'aura guère d'autre choix que de sortir de la zone euro. Les banques grecques sont à l'agonie. Les distributeurs sont vides. La BCE doit, lundi 6 juillet, décider de l'accès du système financier grec à la liquidité d'urgence. Si elle n'a aucun signe de la possibilité d'un accord, il est certain qu'au mieux, elle durcira les conditions en abaissant la valeur des collatéraux (garanties) déposés par les banques grecques pour obtenir cette liquidité d'urgence. Alors, le gouvernement grec sera soumis à une économie à l'arrêt complet. Une situation qui peut durer quelques jours peut-être, le temps de rouvrir des négociations et d'envoyer un message à la BCE pour normaliser l'accès à la liquidité. Mais pas plus. Si aucun message d'ouverture ne vient de Berlin, la Grèce devra commencer à émettre une monnaie propre pour permettre le fonctionnement de son économie. La glissade vers le Grexit sera alors inévitable.

Stopper la machine infernale

Angela Merkel peut donc encore décider de stopper la machine infernale. Elle peut accepter le résultat de ce soir et la décision du peuple grec et engager des négociations sur la base de la dernière proposition grecque. Cette dernière, rappelons-le, reprenait l'essentiel du plan du 25 juin rejeté ce soir par les électeurs grecs à quelques exceptions près (maintien du rabais de 30 % de la TVA dans les îles de la mer Egée, suppression plus tardive de la retraite complémentaire pour les plus fragiles, par exemple). Elles sont donc acceptables par les créanciers. Mais Athènes n'acceptait ces sacrifices que dans le cadre d'une restructuration de cette dette insoutenable comme l'a encore reconnu le FMI vendredi 3 juillet. il faudra donc aussi que la chancelière accepte d'en parler.

Les "promesses intenables" d'Angela Merkel

On a beaucoup glosé sur les « promesses intenables » d'Alexis Tsipras. Mais on a oublié une autre promesse intenable : celle d'Angela Merkel faite à ses électeurs de récupérer les sommes versées à partir de 2010 à la Grèce dans le cadre d'une cavalerie financière intenable. La démagogie n'est pas toujours là où on l'attend et Angela Merkel arrive ce soir au bout de ses « promesses intenables. » Elle doit donc accepter de discuter - Athènes ne demande pas davantage - de l'avenir de la dette grecque.

La responsabilité de la chancelière face à l'avenir de l'Europe

C'est donc un choix difficile pour la chancelière. Si elle refuse d'emprunter cette voie, si elle continue de laisser décider la BCE, l'Eurogroupe et son ministre des Finances Wolfgang Schäuble - qui estime que le Grexit pourrait n'être que « temporaire »  et était sans effet pour l'Europe -, alors elle pourrait devoir aussi en assumer les terribles conséquences. D'abord, pour la Grèce elle-même. Si le Grexit tourne mal, elle devra répondre de l'aggravation d'une situation humanitaire déjà bien dégradée. Ensuite, elle devra savoir qu'elle entrera dans l'Histoire comme celle qui aura défait tout ce que la génération précédente avait construit. L'Union économique et monétaire deviendra un système de taux de change fixe. A tout moment, il sera possible d'en sortir ou de s'en faire expulser. Ce sera une construction dénuée de sens politique. Par ailleurs, pour refuser d'accepter la réalité de l'insoutenabilité de la dette grecque, la chancelière risque de devoir faire face à un défaut unilatéral de la Grèce, et elle et son ministre des Finances devront expliquer aux contribuables allemands que leur rigidité leur a fait perdre des montants bien plus importants que ce qu'ils avaient voulu sauvegarder. Enfin, elle devra assumer les risques qui sont aujourd'hui minimisés peut-être à tort d'un Grexit sur la conjoncture alors qu'un krach boursier se profile en Chine...

Au pied du mur

Ce soir donc, les Grecs placent clairement Angela Merkel face à ses responsabilités. La journée de lundi sera décisive. La chancelière rencontrera François Hollande en soirée. Mais elle devra auparavant faire savoir si elle accepte ou non la réouverture des négociations. Sans son accord, le Bundestag refusera toute discussion. Or, sans feu vert du Bundestag, le MES ne peut pas engager de discussions sur un nouveau programme. La chancelière est donc ce soir au pied du mur.

Commentaires 156
à écrit le 07/07/2015 à 16:07
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Madame Merkel n'est tenue de rien. Elle représente son pays et n'emporte pas la décision. Il faut admettre que certains paraissent faire la décision lorsqu'il y a consensus. Lorsque ce n'est pas le cas, ils rament, comme les autres. La Grèce ne peut ...

à écrit le 07/07/2015 à 12:44
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Attendez 10 ans et vous critiquerez les grecs. Nous Français avons comme principe la critique mais sommes souvent les pires. Continuons à admettre et les absurdités de nos dirigeants et nous seront bientôt … Des grecs comme les autres !

à écrit le 07/07/2015 à 12:29
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L’extréme gauche soutient très fortement la gréce parce qu’ils défendent le même laxisme et politique anti-gestionnaire et suicidaire en France, Hors ils en voient très bien les effets dévastateurs et vrais grandeur en Grèce alors que leur « modè...

à écrit le 07/07/2015 à 12:27
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Extraordinaire : Les méchants sont ceux qui ont aidé la Grèce et prêté leur argent, notre argent ! Les gentils sont ceux qui ont fait un hold up, refusé de réformer pour se redresser, refuser de rembourser leurs dettes, Décidément la démagogie ...

à écrit le 07/07/2015 à 12:25
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les grecs ont voté pour Tsipras qui a fait des promesses électorales contre l’europe et l’euro, mais ensuite veulent bien rester pour avoir notre pour combler leur léthargie et anti-gestion, élu sur des mensonges (comme hollande) Les grecs viennen...

à écrit le 07/07/2015 à 12:18
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Bravo l’extrême gauche, pour autant de clairvoyance, de responsabilité et de défense de l’intérêt des citoyens !! Donc je suggère à chaque ménage d’emprunter dès demain un million d’euros, de continuer à dépenser et gaspiller à tout va et sans auc...

à écrit le 07/07/2015 à 9:59
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Si bien compris l'article les allemands ont plus à perdre que les grecs ! A voir ?

à écrit le 06/07/2015 à 18:54
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ILS FAUT RENEGOSIER ?LE PEUPLE GREQUE EN DISSANT// NON// ONT DEFENDU LEURS DIGNITES ???

à écrit le 06/07/2015 à 18:36
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Hollande a convoqué Merkel a Paris pour qu'elle s'explique enfin sur les ratés de la négociation avec les grecs.il était temps que la France tape du poing sur la table et ramène les deux protagonistes a plus de modestie!

le 06/07/2015 à 19:30
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Hollande a frappé du poing sur la table... Hi, hi... Rien que pour ça cela valait le coût de la crise grecque

le 06/07/2015 à 22:29
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Quand de la gelatine frappe du poing, cela provoque des éclaboussures

le 06/07/2015 à 23:05
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J'espère que Merkel a rappelé au prophète de la solidarité qu'en 2010, la solidarité européenne a déjà sauvé les banques françaises engagées avec 55 mds € d'une façon démesurée en Grèce. C'est une solidarité mal pensée si les Européens séduisent les...

à écrit le 06/07/2015 à 14:08
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Merkel ne va rien faire de différent, la majorité de ses électeurs et autres instances nationales la soutenant. Etant donné que l'épisode grec lui a servi de test en vraie grandeur, les risques à venir concernant le Portugal, l'Espagne, l'Italie puis...

le 06/07/2015 à 17:10
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Pas mal votre analyse , franchement je n'avais pas envisager cette solution , mais je trouve quelle est très visionnaire et que effectivement cela risque bien d'arriver car l'Allemagne locomotive de l'Europe doit en avoir raz le bol de tirer certains...

à écrit le 06/07/2015 à 13:32
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"Chaque parti communiste est libre d'appliquer les principes du marxisme-léninisme et du socialisme dans son pays, mais il n'est pas libre de s'écarter de ces principes s'il entend rester un parti communiste. [...] L'affaiblissement d'un maillon quel...

à écrit le 06/07/2015 à 12:18
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Tiens bon Angie. on t' aime

à écrit le 06/07/2015 à 11:36
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L'austérité c'est un peu comme un retour au DRACHME sans le drachme. Ce modèle est valable pour toutes les économies du "SUD". Maintenant que les grecs ont goûté aux bienfaits d'une monnaie unifiée et "forte" ,je comprends que les facilités de caisse...

à écrit le 06/07/2015 à 11:31
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Romaric Godin toujours plus délirant... 1 - l'austérité n'a été stérile qu'en Grèce. Bizarrement ca marche ailleurs (Irlande, Portugal,...). Sans doute parce que payer ses impot là bas n'est pas une option superflue et que les citoyens n'attenden...

le 06/07/2015 à 12:21
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Allez, citez moi un seul pays d'Europe ou ça a marché. Et avec des chiffres exacts s'il vous plait, pas les prévisions dont les journaux nous abreuvent. On va bien rigoler (portugal, italie, espagne, irlande : chute du PIB malgré les délirantes estim...

le 06/07/2015 à 17:12
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Non, non! Je les ai vu bosser à réparer les routes par 40 au soleil. Ils bossent! Enfin, quand ils ne sont pas au chômage ou suicidés de désespoir... Ils ont été victimes de la collusion d'un système politique mafieux et de grandes banques US po...

à écrit le 06/07/2015 à 11:27
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Angela Merkel serait responsable de la situation en Grèce et bientôt de la situation en Italie ou même en France. Non, la Grèce est responsable de sa situation par son incapacité à se réformer, tout comme la France ou l'Allemagne, ne pas tirer la con...

le 06/07/2015 à 14:10
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angela merkel et son gouvernement ont une responsabilité monumentale dans cette crise. d'abord car ils ont choisi dès 2008 /2010 de ne pas vouloir s'occuper de la situation en Europe. Il faut rappeler que la crise vient des USA et s'est propagé en Eu...

à écrit le 06/07/2015 à 10:43
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Bravo à l'auteur de l'article qui depuis des mois nous livre un point de vue bien différent de ce qu'on pouvait lire dans la plupart des publications .

le 06/07/2015 à 11:32
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Absolument. Un des, si ce n'est l'article le plus complet dans la presse, qui permet de prendre conscience des cartes en main que possèdent les divers acteurs et de pouvoir esquisser un déroulement des évènements futurs. Et tout cela gratuitement. Ne...

à écrit le 06/07/2015 à 10:20
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C'est surtout la Grèce qui est au pied du mur!!!

à écrit le 06/07/2015 à 10:16
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Il reste encore une solution pour Merkel, soit déclarer le référendum illégal comme n'ayant pas eu l aval des politiciens de l UE, soit le déclarer invalide au prétexte qû un problème de nature technique n'est pas de la compétence des citoyens, sauf ...

à écrit le 06/07/2015 à 9:21
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Exit !!!!! effectivement, il eu la gueule de bois .

à écrit le 06/07/2015 à 9:19
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Cette victoire du «Non» n'est pas non plus sans réveiller des souvenirs amers en France. Elle a lieu quasiment dix ans après une autre victoire du «Non», cette fois dans notre pays (ainsi qu'au Pays-Bas). Il s'agissait alors, en 2005, du projet de Tr...

le 06/07/2015 à 10:16
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Pour votre gouverne, il existe des differences NOTAVLEs entre le TCE et le traité de Lisbonne. ce qui ne change pas concerne essentiellement ce qu ietait déja présent dans les traités précédents et qui ne faisaient pas l'objet du référendum de 2005. ...

le 06/07/2015 à 12:08
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Je me souviens que dès les premiers article, le TCE affirmait que le système économique de l'UE était :"la libre concurrence non faussée". Même les US n'ont pas cela dans leur constitution. Seule l'URSS avait gravé dans sa constitutionson système éco...

le 06/07/2015 à 12:09
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Je me souviens que dès les premiers article, le TCE affirmait que le système économique de l'UE était :"la libre concurrence non faussée". Même les US n'ont pas cela dans leur constitution. Seule l'URSS avait gravé dans sa constitutionson système éco...

le 06/07/2015 à 12:43
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Peut importe... l'essentiel était que les Français étaient opposés à l'entrée dans cette Europe. La même question a été posée à l'ensemble des pays de l'UE Nul doute que si le Traité de Lisbonne avait été soumis à referendum, la réponse aurait été la...

le 06/07/2015 à 14:24
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Bof, comme d'habitude les politiciens français s'étaient servis d'un vote européen pour faire de la politique interne, en négligeant complètement les impacts du vote. Au final, la plupart des gens ne comprenaient rien au TCE. Objectivement, ce n'e...

à écrit le 06/07/2015 à 9:12
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Attention Mr Godin, l'union monétaire n'est et n'a toujours été qu'un système de change fixe. En effet l'euro est une collection de monnaies nationales homonymes s'échangeant à un cours bloqué et conventionné de 1 pour 1.

à écrit le 06/07/2015 à 8:27
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" Elle doit donc accepter de discuter - Athènes ne demande pas davantage - de l'avenir de la dette grecque." Ah bon? Moi je pensais que les Grecs avaient ENCORE besoin de quelques milliards (30-40, on n'est plus à un milliard près) pour redresser la ...

à écrit le 06/07/2015 à 7:50
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Comme le naufrage et la banqueroute de la France, sera la conséquence des 40 années de présidence UMP et PS...

à écrit le 06/07/2015 à 7:41
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L' Europe n'est pas une union politique. Les Grecs, ces faussaires qui ne paient pas l'impot, accumulent les déficits, et se font financer par les autres pays Européens, n'ont rien à y faire !

à écrit le 06/07/2015 à 7:24
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Les français ne veulent pas non plus d'une Europe qui privilégie les financiers aux populations. Nous voulons une Europe des peuples. Beaucoup de français n'ont jamais quitté l'hexagone de leur vie et nous ne voulons pas payer pour le déficit des aut...

à écrit le 06/07/2015 à 6:58
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Romaric Godin je tiens à vous rendre hommage, vous exercez votre métier avec une grande honnêteté. c'est rare sur la question de la dette de la Grèce. Mais les faits sont têtus. L'audit internationale de la dette rendra ses résultats la démocratie...

à écrit le 06/07/2015 à 6:12
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pour manipuler des masses il faut laisser quelque chose a perdre. quand la majorite n a plus rien a perdre d autres si peu qu ils finissent par ne plus etre concernes et une minorite outrageusement opulente et des politiques ouvertement corrompus, al...

à écrit le 06/07/2015 à 4:13
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pour une fois qu'un peuple a le droit de s'exprimer sur l'avenir (bon ou mauvais , je ne lit pas l'avenir) , on ne peut que saluer son courage , ainsi que celui de leur dirigeants , qui par son referendum , laisse entrevoir une lueur d'espoir a tous ...

à écrit le 06/07/2015 à 2:53
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Laissons la les rancœurs et les discours anti quoi que ce soit. Les points positifs de ce référendum sont d'une part que le scoe sans appel ne laissera pas une société grecque fracturée sans réelle majorité et d'autre part la recherche éventuelle d...

à écrit le 06/07/2015 à 1:28
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crazy people!

à écrit le 06/07/2015 à 0:28
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La Gréce continue de montrer , avec une grande détermination, le chemin de la Démocratie à l'Europe! C'est dommage que la France avec le passé prestigieux qu'elle a, ne participe pas à cette entreprise plus que difficile !

le 06/07/2015 à 1:25
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et le Bundestag va aussi montrer, avec une grande détermination, le chemin de la Démocratie, puisqu'il doit donner, en tant que dépositaire des droits des élécteurs et contribuables allemands, son accord sur tout reglement avec la Grèce. Idem pour le...

à écrit le 06/07/2015 à 0:27
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Le problème grec montre la féodalisation du peuple grec par l’esclavage par la dette extérieure conduite par des gouvernements qui vendent leur pays à l’étranger, en France, on vend obligations et la bourse. Ne parlons pas du problème des retraites a...

à écrit le 06/07/2015 à 0:10
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A en voir la profusion de troll anti grecs réunis sur ce sujet, on peut constater que le vote NON a du en énerver plus d'un. Et rien que ça c'est jouissif :)

le 06/07/2015 à 0:32
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+1 et +1 pour les excellents articles de Romaric Godin qui changent d'une certaine pensée économique monolithique actuelle.

à écrit le 06/07/2015 à 0:04
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Il y a des leçons de l'histoire qu'il serait bon de ne pas oublier : Pousser un peuple vers la misère ( cas de l'Allemagne dans les années 30 ) a conduit, par le passé, ce pays à se tourner vers des dirigeants ou dictateurs dont les solutions propos...

à écrit le 05/07/2015 à 23:59
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La démocratie, ce serait un référendum dans tous les pays de la zone euro, et pas seulement en Grèce

à écrit le 05/07/2015 à 23:38
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En fait, la Grece devrait vendre quelques iles (la Crete? ) ce qui permettrait d'effacer la dette. Les grecs sont quand meme culottes. 1. On depense sans compter pendant 10 ans 2. On appelle l' Europe au secours car on ne peut pas payer sa dette ...

à écrit le 05/07/2015 à 23:35
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C'est bien plus simple que cela, tant à force de balivernes devient simple et évidente la véritable question. Elle est dans ce que doit et peut être une Europe relativement unie et ce qu'on a fabriqué. Il s'agit de la constitution d'un ensemble démoc...

à écrit le 05/07/2015 à 23:31
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Du temps de Sarko, la France avait son mot à dire. Depuis que Hollande est là, la France n'existe presque plus. Déplorables socialistes...

le 06/07/2015 à 0:04
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Ben voyons, c'est pile le contraire, Sarko était NUL en politique internationale ! Sarko était le toutou de Merkel, il a mis un bazar pas possible en Libye juste parce qu'il s'en voulait d'avoir laissé Kadhafi planter sa tente à l'Elysée, et n'a pas ...

le 06/07/2015 à 0:04
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Du temps de Sarko, la France avait son GROS mot à dire ...

le 06/07/2015 à 0:43
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Déplorables socialistes certes mais du temps de Sarko on a bafoué un référendum ce qui ne vaut guère mieux.

le 06/07/2015 à 7:27
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C'est pas Sarkozy qui avait au peuple français, "je vous écoute, mais je ne vous entends pas" ? C'est Sarkozy qui nous a entrainé dans cette Europe alors que le référendum de 2005 avait exprimé le refus d'une Europe des financiers.

à écrit le 05/07/2015 à 23:24
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les grecs ne pourrons jamais remonter à la surface . C'est un pays qui ne vit que sous perfusion permanente et où les riches ne payent pas d'impôts et où tous trafiquent . Qui veut se ruiner pour une mafia ? faisons un référendum de la zone euro !

le 06/07/2015 à 5:22
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Tres bien dit. Rien a ajoutez.

le 06/07/2015 à 5:34
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Ben voyons en France et en Allemagne les plus riches payent leurs impots comme les multinationales.... Les regimes de retraites sont equitables entre les hauts fonctionnaires et le reste de la population Francaise..... OH Roi mon Roi ne vois tu rien ...

à écrit le 05/07/2015 à 23:23
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Si mardi accord il y a et que la BCE donne de l'argent et qu'un 3 ème package est accordé à la Grèce alors le Haircutt sera pour les déposants Français et les détenteurs d'assurance vie après les présidentielles de 2017.Donc a bon entendeur salut.

à écrit le 05/07/2015 à 23:18
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Question: quand l'Allemagne, sa BCE, ses 3% et ses retraités vont-ils quitter la Zone Euro? L'euro allemand n'est pas celui de l'Europe, Depuis 2008 Calamity Merkel dirige l'Europe et l'emmène dans le mur pour sauver sa particularité. Sarkozy comme H...

à écrit le 05/07/2015 à 23:10
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Qu'elle que soit l issue du bras de fer entre la minuscule Grèce et les 18 autres pays de la zone Euro, c est une claque magistrale à l arrogance des nantis grecs, les grands fraudeurs et apôtres du clientélisme, clientélisme dont les ramifications ...

le 05/07/2015 à 23:52
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Les nantis grec n'ont jusqu'ici en RIen souffert du gouvernement Tsipras (Varoufakis refusant oar exemple l'imposition des armateurs). Par ailleurs les nantis de Grece ont tous deja viré leur argent en dehors de Grece, avec pour consequence qu'en cas...

à écrit le 05/07/2015 à 23:03
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Ce referendum est un parfait exemple de la démocratie athénienne, où seuls les citoyens avaient le droit de vote, donc avec exclusion des esclaves, des femmes (et oui), et des étrangers (barbares, métèques....les autres quoi!).

le 06/07/2015 à 0:06
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Quel rapport ?

le 06/07/2015 à 10:49
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A mon avis il a voulu dire que ce référendum aurait dû être élargit à l'ensemble des citoyens européens et non réservé aux seuls grecs..

à écrit le 05/07/2015 à 22:59
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Marrant. Pas un seul commentaire pour dire qu'un accord sera trouvé la semaine prochaine probablement lundi. Et pourtant c'est ce qui va se passer

le 05/07/2015 à 23:27
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Hollande peut très bien laissez tomber les grecs en contrepartie de la mansuétude des Allemands sur notre propre déficit.

à écrit le 05/07/2015 à 22:56
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Attendez.. si je me souviens bien... c est le gouvernement grec qui a besoin d argent... non? Alexis...Yanis... demain faudra changer de ton, va falloir demander de l argent! Beaucoup d argent...a des creanciers surlesquels vous avez beaucoup crac...

le 05/07/2015 à 23:57
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Je ne sais pas ce que vous avez fumé, mais çà m'a l'air assez chargé en hallucinogènes... Naphtaline ? L'équilibre comptable n'a pas changé d'un iota, mais cet équilibre n'est ni l'alpha ni l'oméga de la situation. En revanche, le rapport de force ...

le 06/07/2015 à 10:45
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Si on prête à la Grèce c'est justement pour éviter le défaut de paiement. Le solde primaire de la Grèce est positif, si demain ils ne payent plus la dette ils auront suffisamment d'argent pour financer leur budget. Par contre ceux qui vont pleurer, c...

à écrit le 05/07/2015 à 22:55
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Du grand n'importe quoi cet article, encore un qui a rien compris à l'histoire ! Le plus marrant : "elle devra savoir qu'elle entrera dans l'Histoire comme celle qui aura défait tout ce que la génération précédente avait construit", comme c'était d...

le 06/07/2015 à 1:00
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Revoyez votre copie, c'était en 1981 et c'est Giscard qui a donné le feu vert. Il savait que la Grèce ne pourrait pas suivre, mais c'était bien calculé. Les banques françaises et allemandes était à sec. C'était un bon moyen de les renflouer.

le 06/07/2015 à 9:14
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vous confondez Union européenne Et zone euro qui a été créé a la fin des années 90 la grece ne l a rejoins que quelques années plus tard sous l'impulsion de Jacques Chirac. Si la Grèce faisait partie de l'UE sans faire partie de la zone euro le pro...

à écrit le 05/07/2015 à 22:53
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Et la France qui va perdre 40 milliards d'euros car les grecs ne nous rembourserons jamais. Les dettes du Portugal, Espagne , Italie et France ne sont pas supportables , il va aussi falloir les restructurer comme pour la Grèce. En plus Hollande ne r...

à écrit le 05/07/2015 à 22:38
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Et la première retombée du référendum grec ne s'est fait pas attendre: l'euro baisse face au dollar, et cela après des résultats partiels ! on verra demain comment vont réagir les marchés.

à écrit le 05/07/2015 à 22:38
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La Grèce peut remercier Pigasse qui defend bec et ongle le principe du défaut de paiement. On constate enfin les limites de Merkel. Tsipras a compris ces limites et a avancé ces pions. Je fais le pari que la Grèce va rester dans l'Europe et l'Euro. M...

le 05/07/2015 à 23:33
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Et si Tsipras n'était que l'idiot utile des créanciers qui avaient décidé de virer la Grèce mais avaient besoin d'un pretexte???

à écrit le 05/07/2015 à 22:38
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Voilà, c'est clair... Non...! les grecques ne rembourseront pas l'argent emprunté ... ! même que c'est validé par le peuple... Oui , il sont prêts à renégocier la finalité du Non...! c'est mal parti pour les créanciers et nos impôts ......!

à écrit le 05/07/2015 à 22:25
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Moi je demande un referendum sur le soutien a la Grèce ou non. Apres tout ce sont mes impôts futurs et ceux de mes enfants qui vont servir a rembourser les sommes que l'on va emprunter pour donner a la Grèce. Français reveille toi, la rebellion grec...

le 05/07/2015 à 23:28
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Les emprunts russes, les emprunts russes ah les emprunts russes

le 06/07/2015 à 0:26
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+1

le 06/07/2015 à 4:57
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Vous pointez le doigt sur une bien triste réalité et cela devrait vous révolter et vous faire réfléchir au problème autrement : Ce n'est pas aux Grecs qu'il faut s'en prendre, mais à un système financier qui prête aux Etats avec intérêts et en gar...

le 06/07/2015 à 14:44
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Alors la, jeremy, bravo! j'ai rarement lu un commentaire aussi clair et donnant les elements du probleme: responsabilité (banquiers et politiques), systeme financier destine a voler les peuples (creation monetaire et dette d'etat), mise en parrallele...

à écrit le 05/07/2015 à 22:25
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Jeroen Dijsselbloem, Wolfgang Schäuble et Martin Schulz devraient démissioner, ils sont les principaux responsable de ce qui se passe en Grèce.

le 06/07/2015 à 0:11
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Ah bon quelle blague. Qui vit plus cher que ses revenus et ne veut pas changer et taxe ses voisins ?

à écrit le 05/07/2015 à 22:23
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Romaric Godin je crois que vous prenez vos rêves pour de la réalité. Tout d'abord les créanciers représentent 18 pays Européen et une bonne centaines d'autres à travers le FMI. Également ce n'est pas Angela Merkel qui a lancé un chantage en cours de ...

le 06/07/2015 à 0:01
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Lisez, ou, mieux, allez voir "Le marchand de Venise". Si vous l'avez déjà lu, relisez-le : quelque chose vous a échappé...

le 06/07/2015 à 14:35
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Les grecs sont installes bien a l'aise, dos appuyé au mur, et regardent tranquillement les allemands faire les pieds au mur lol.

à écrit le 05/07/2015 à 22:22
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Mr Godin, Avec vos amis cotisez-vous pour financer a fonds perdus la Grece. Perso j espere que Merkel ne lachera rien. Et la qu ellez vous dire? Vos analyses c est du n importe quoi. Losque l on doit quelque chose on rembourse. On ne laisse pas aux ...

à écrit le 05/07/2015 à 22:21
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Belle lecon de l'histoire ou l'idealisme apparait la ou on ne l'attendait pas. L'allemagne ne pliera jamais. Reste a savoir si nous serons assez bêtes ou couards pour accepter.

à écrit le 05/07/2015 à 22:21
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Qui sommes nous pour donner des leçons aux grecs alors que la France ne veut ni réformer son système de retraite ni celui de la sécurité sociale ni celui du chômage ni celui de l emploi... Qui voudrait voir la tva augmenter ou les pensions de retrai...

à écrit le 05/07/2015 à 22:17
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V

à écrit le 05/07/2015 à 22:15
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54% de votants dans un pays où le vote est obligatoire et sur une question aussi importante ! Etonnant, étonné !!!

le 06/07/2015 à 7:28
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Bonjour, Sur ce site http://www.greekcrisis.fr/ vous verrez que certains n'ont pas les moyens de se déplacer vers le bureau de vote.

à écrit le 05/07/2015 à 22:14
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Mr Hollande, avec son principe du consensus, va se faire manipuler alors qu'il recherche du prestige pour sa réélection!! Il veut être au centre de l'histoire que l'on lui impose mais il ne trouve pas le centre de ce qu'il doit faire!

à écrit le 05/07/2015 à 22:13
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La situation est claire ? LES GRECS ONT CONFIRMÉ CE QU'ON SAIT DEPUIS ... PLUS DE DEUX MILLE ANS ? ILS NE REMBOURSENT JAMAIS LEURS EMPRUNTS ? Pour ceux qui pensaient que ça avait changé ? Ben non ? C'est pareil ? Dame ON NE ON NE CHANGE PAS U...

le 06/07/2015 à 13:25
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Sauf qu'aucun Etat ne rembourse réellement ses dettes. A chaque période, cela se termine par une déclaration unilatérale de banqueroute. C'est la puissance supérieure de l'Etat sur les investisseurs privés. Bon la différence de cette période avec ...

à écrit le 05/07/2015 à 22:05
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Pas du tout au pieds du mur, si elle veut troller Tsipras comme il a trollé l'Europe elle peut faire son propre referendum en Allemagne. "Voulez vous continuer le plan de sauvetage de la Grèce: Oui/non" Je prédit 80%.... et c'est aussi ça la démocr...

à écrit le 05/07/2015 à 22:04
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si dette de guerre il y a, que l'Allemagne commence par la rembourser à la Grèce et la boucle sera bouclée.

à écrit le 05/07/2015 à 22:00
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Les européens ont proposé : aides contre réformes. Les grecs ont répondu : Oxi...on en veut pas ! Très bien... on a qu'à s'en tenir là ! Quand la Grèce reviendra à la table des négociations, Angela pourra toujours soumettre à référendum en Allemagn...

à écrit le 05/07/2015 à 21:59
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Donc si on comprend bien Godin: les caisses sont vides, les banques grecs au bord de la faillite, et la Grece est en position de force pour quemander davantage d'aide apres avoit dit un immense m.... Aux citoyens de la eone euro et a leeur giuverneme...

le 05/07/2015 à 22:39
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Mes condoléances à vous aussi. Et désormais…. le Pole Emploi ? ;-)

le 05/07/2015 à 23:28
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@@KidA: que vient faire pole emploi la dedans? Ou al Rsvc'est que vous etes incapable de contra argumenter.

à écrit le 05/07/2015 à 21:58
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les grecs ont voté contre l'Euro. on peut les comprendre et il est temps d'arrêter cette mascarade. qqu'ils sortent de l'euro et cela ne doit pas les empêcher de rester dans l'Union européenne. la zone euro sortira renforcée et que l'on trouve ...

à écrit le 05/07/2015 à 21:53
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Les citoyens grecs ont fait le travail que les dirigeants français n'ont pas su ni voulu faire... Et pourtant, qu'est-ce qu'ils font comme dettes et déficits nos élus et dirigeants... Y compris d'ailleurs ceux qui se sont montrés les plus virulents c...

à écrit le 05/07/2015 à 21:42
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... je peux vous dire que les Grecs sont très sereins et savent qu'ils vont encore pouvoir gratter quelques milliards. Très surs d'eux les Grecs. Il serait injuste vis a vis de l'espagne et du Portugal de leur céder.

à écrit le 05/07/2015 à 21:42
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Il est assez stupéfiant de constater à quel point les Français n'ont rien compris à l'histoire !

à écrit le 05/07/2015 à 21:37
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Sale temps pour ceux qui ont des assurances vies et aiment leurs sous !

à écrit le 05/07/2015 à 21:32
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La Grece ses exprimer pour un rejet du plan d'aide Europeen, ils ne souhaite pas notre aide car nous demandons des réformes structurelles..... Bien leur choix est simple pas de réforme donc pas d'aide à nouveau de notre pare..... Ils devrons quitter ...

le 05/07/2015 à 22:17
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Il faut souligner le courage des grecs !!! Enfin un peuple qui a su s insurger contre l avilissement du fmi et de la bce. L Europe se construit ensemble et nous continuerons a la construire avec les grecs.

le 05/07/2015 à 23:47
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C'est qui nous? Un quarteron de penseurs du Marais?

à écrit le 05/07/2015 à 21:31
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J’espère qu'il va y avoir un referendum en France , pour savoir les français souhaitent continuer a prêter au peuple grec. On verra ce que diront, en France les chantres politiques du référendum grecque sur cette proposition.

à écrit le 05/07/2015 à 21:29
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LE "NON" ÉTANT DONNÉ GAGNANT AU RÉFÉRENDUM GREC, LES DIRIGEANTS DE SYRIZA S'EMPRESSENT DE CONFIRMER QU'UN ACCORD AVEC LES CRÉANCIERS EURO-ATLANTISTES EST IMMINENT... IL N'A JAMAIS ÉTÉ QUESTION DE SORTIR DE L'EURO. === -------------------------------...

à écrit le 05/07/2015 à 21:29
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L'empire Allemand est LE vrai passager clandestin de l'Europe monétaire, car l'euro n'est qu'un Mark bulldozer fait pour annihiler les autres économies.

à écrit le 05/07/2015 à 21:25
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Vous oubliez juste une chose, Angela Merkel n'a aucun mandat pour avancer sur les differents points que vous mentionnez. Elle n'est ni presidente ni premier mistre ni rien du tout de l'Europe. Elle est en revanche chancelliere d'un peuple qui souhait...

à écrit le 05/07/2015 à 21:21
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Autant l'article d'hier était mesuré, autant celui d'aujourd'hui reprend les travers d'un homme engagé politiquement qui semble oublier qu'on l'attend sur métier de journaliste et non sur ses convictions personnelles. Donc la pression est sur Angela ...

le 05/07/2015 à 23:29
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Bien d'accord, on attend de La Tribune des analyses plus équilibrées, Godin est le porte parole de Tsipras, rien de plus

à écrit le 05/07/2015 à 21:19
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Romaric Godin je crois que vous prenez vos rêves pour de la réalité. Tout d'abord les créanciers représentent 18 pays Européen et une bonne centaines d'autres à travers le FMI. Également ce n'est pas Angela Merkel qui a lancé un chantage en cours ...

le 06/07/2015 à 14:20
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SI votre raisonnement est aussi bon que votre utilisation du français, tout se passera bien pour la Grece.

à écrit le 05/07/2015 à 21:17
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Bon si on supprime la grandiloquence completement inutile, on va dire que pour une fois, je suis plutot d'accord avec Godin. Lundi, tout le monde s'assoit autour de la table. On reprend le plan de la semaine dernière avec 2 3 arrangements, les créanc...

à écrit le 05/07/2015 à 21:17
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Je pense qu'Angela Merkel n'a plus la main pour négocier un rééchelonnement de la dette. En effet, le Bundestag, parlement Allemand composé de 598 députés élus au suffrage majoritaire, veulent un Grexit. Selon les traités, toute décision de UERSS doi...

à écrit le 05/07/2015 à 21:16
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Ben si on suit la logique de la BCE la semaine dernière pas de réévaluation de l'ELA..... Sinon leur choix de la semaine dernière est un choix politique....

le 05/07/2015 à 23:28
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Le réveil a sonné: eeeeh oui, la BCE fait de la politique!

à écrit le 05/07/2015 à 21:09
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La parole des grecs aillent la valeur qu'elle a, on peut leur proposer : un prêt contre une hypothèque sur des valeurs grecs (territoire, biens divers,...). Bien entendu, s'ils tiennent parole, ils ne perdront rien ! Sinon....

à écrit le 05/07/2015 à 21:09
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La France gauchiste préfèrerait les Grecs aux Allemands? Ce sera son choix. La France adore l'échec et s'habitue bien à l'odeur de la corruption. Les usines ne sont pas en Grèce. Ce pays risque la grande misère plus un coup d'état militaire. C'est l...

à écrit le 05/07/2015 à 21:06
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Elle peut toujours proposer un contre référendum au peuple allemand... c'est démocratique aussi !

à écrit le 05/07/2015 à 21:04
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Les Grecs ont le choix entre l'austérité et l'austérité. Même si l'UE accepte les dernières propositions grecques et une restructuration ou annulation partielle de la dette, ça reste l'austérité, car l'annulation de la dette ne change rien dans l'imm...

le 06/07/2015 à 7:34
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Ils ont le choix entre la pauvreté libre et la pauvreté soumise. ça s'appelle la souveraineté.

à écrit le 05/07/2015 à 21:03
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Il commence déjà à y avoir des taxis qui affichent "We accept Drachmes". Moi-même j'accepte que mon épargnes en Grèce en € soit transformé en drachme. Tout sera fait pour faciliter ce gouvernement grec à réussir. Le NON est pour l'instant à pl...

le 05/07/2015 à 23:32
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Le materiel necessaire a l'impression de Drachme a ete detruit. La mise en place d'une nouvelle monnaie prendrait au bas mot 6 a 8 mois. Mais surtout d'icîla l'epargne grec aurait disparu, comme en temoigne les plans du gouvernement grec qui ont dilt...

le 06/07/2015 à 9:13
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KidA, en direct de l'imprimerie nationale grecque (ou de ce qu'il en reste, d'après lui). Sans deconner, vous etes risible, vous parlez de tous les sujets comme si vous étiez un expert, et a chaque fois c'est faux, de meme que vos prévisions s'avere...

à écrit le 05/07/2015 à 20:58
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Merkel doit répondre avec un référendum en demandant aux allemands si ils ont d'accord pour un haircut de la dette grecque.

le 05/07/2015 à 23:17
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Quoiqu'il arrive il y aura haircut. La question est voulez-vous ou non négocier le haircut ?

à écrit le 05/07/2015 à 20:57
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Frau Merkel, si vous voulez sauver votre emploi alors faites la paix avec la Russie. Autrement, Auf Wiedersehen ! :-)

à écrit le 05/07/2015 à 20:57
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irresponsabilité de M.Tsipras, irresponsabilité des médias, mon Cher M.Godin..Tsipras, et le peuple grec vient d'abdiquer son indépendance: son sort dépend maintenant de la BCE, assise sur des règles durcies de par la volonté de nos François Hollande...

à écrit le 05/07/2015 à 20:52
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Enfin...

à écrit le 05/07/2015 à 20:46
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Ce n'est pas Tsipras qui doit sortir, ce sont Merkel, Schauble, Junker, Schulz, Sarkozy ( et une floppée de leurs larbins journalistes ) qui doivent sortir !

le 05/07/2015 à 23:34
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On voit donc bel et bien tout le respect que cous portez a la democratie, puisque selon vous les gouvernements elus democratiquement en qeurope doivent degager pour non conformite avec vos idees.

à écrit le 05/07/2015 à 20:43
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Vous parlez de démocratie ? L'Europe compte 450 millions d'européens, quand seulement 17 millions s'exprime et veulent impose leurs décision. J'appelle cela de la dictature. N'oublions pas que les créanciers c'est vous et moi et les 433 millions d'eu...

à écrit le 05/07/2015 à 20:41
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je ne veux plus payer avec mes impôts et toutes les taxes sur mes achats et mon entreprise. Je ne veux plus payer pour les armateurs grecs qui ne paient pas d'impôts pour les commerçants qui ne paient pas la TVA pour les fonctionnaires dont les condi...

le 05/07/2015 à 22:23
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Oui! Vous avez raison, il faut que la France sorte de l'UE, de l'euro et de l'OTAN!

à écrit le 05/07/2015 à 20:38
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Que Mme Merkel fasse la même chose que TSIPRAS. Qu'elle lance un référendum dimanche prochain pour savoir s'il faut dégager les grecs ou pas de l'euro. C'est la seule solution possible. La démocratie allemande serait-elle inférieure à la démocratie...

le 05/07/2015 à 22:04
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desole mais la constitution allemande ne prevoit pas la possibilite d organiser des referendums. dans d autres pays de l ue oui......

le 06/07/2015 à 11:00
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@ grexitz, Un referendum avec une telle question ne serait pas légal, ce n'est ni à l'Allemagne, ni à Mme Merkel, ni aux Allemands de décider s'il faut dégager les grecs ou pas de l'euro. Il n'y a que les Grecs eux même qui peuvent décider s'ils veu...

à écrit le 05/07/2015 à 20:36
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On peut se demander quelle sera la base des negotiations sachant que la question a laquelle les grecs n'est pas juridiquement plus valide du fait de l'expiration du second plan d'aide. Dans ces conditions, on peut vraiment douter qu'un accord puisse ...

à écrit le 05/07/2015 à 20:35
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Merci Monsieur Godin pour vos articles d'une grande honnêteté ! Faut les entendre tous ce soir retourner casaque sur LCI et sur toutes les chaines d'Europe....C'est à mourir de rire Ce soir, l'euro du fric est déjà mort ! Les sans dents vous reme...

le 05/07/2015 à 21:47
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Sans vouloir etre desagreable, il me semble que les sans dents font la queue pour recuperer quelques misables euros gentillement donnés par le contribuable européen (allemand majoritairement). Pas sur qu'ils remercient Tsipras tres longtemps. Apres l...

le 05/07/2015 à 22:03
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Martine, cette article n'est pas honnête pour un journaliste C'est de la propagande. Le bon côté c'est qu'il nous permet de comprendre en profondeur ce que pense le peuple Grec et une partie de la gauche de la gauche. Pour le reste les sans dents A...

à écrit le 05/07/2015 à 20:35
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Contrairement à Mollande, Merkel "en a", elle aura donc le courage de virer ces ingrats de Grecques de la zone Euro!

à écrit le 05/07/2015 à 20:29
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Sauvons avant tout la zone euro, les grecs ont fait un autre choix respectable, c'est à eux de l'assumer au lieu de nous demander tous les jours de payer leurs errements

à écrit le 05/07/2015 à 20:28
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En ce qui concerne le taux d'abstention, il faut rappeler que les grecs inscrits sur les listes électorales mais vivant a l’étranger (plus de 2 millions) n'ont pas, malgré les nombreuses promesses faites toutes ces années, de solutions pour voter.

le 05/07/2015 à 21:51
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Aegean proposait des vols sup partant au matin et revenant le soir... Donc pas d'excuse pour ne pas aller voter.

le 06/07/2015 à 2:14
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Tout le monde n'a pas les moyens de payer un billet d'avion

le 06/07/2015 à 2:14
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Tout le monde n'a pas les moyens de payer un billet d'avion

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