Dans un revirement de dernière minute, le chef de l'Etat avait annoncé accepter l'idée d'une reprise par la Scop et proposé de faire financer l'opération non directement, mais par des indemnités supplémentaires versées aux quelque 800 salariés.
La Scop rejette cette idée en raison de "l'insécurité juridique" qu'elle présente, disent dans la lettre transmis aux médias Didier Cappelle et Bruno Landy, porteurs du projet.
La solution préconisée par l'Elysée suppose en effet une liquidation qui contraindrait la Scop à négocier de nouveaux accords avec les ports sans garantie de succès, disent-ils.
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