Les notaires voient des signes de sortie de crise dans l'immobilier francilien

Selon la chambre des notaires d'Ile-de-France, les prix des appartements anciens, au deuxième trimestre, ont baissé de 7,9% en un an sur la région, de 7,8% à Paris, de 9,3% en grande couronne et de 7,1% en petite couronne. Mais l'activité se redresse.

De timides signes de sortie de crise constatés au deuxième trimestre permettent d'écarter la crainte d'un effondrement des prix de l'immobilier francilien, annonce ce jeudi la Chambre des notaires d'Ile-de-France. "Les volumes de ventes se sont redressés un peu, mais sont restés très en deçà de ceux enregistrés à la même période de l'an passé, tandis que le mouvement de baisse des prix (...) s'est étendu à Paris (...), sans pour autant se transformer en chute brutale", commentent les notaires.

Les signes de "frémissement" constatés au printemps "devraient se traduire au cours du troisième trimestre sur les volumes de transactions et permettent de laisser penser que les prix des logements ne s'effondreront pas".

Selon l'indice notaires-Insee, les prix des appartements anciens ont baissé de 7,9% en un an sur la région, de 7,8% à Paris, de 9,3% en grande couronne et de 7,1% en petite couronne. La baisse est plus accentuée sur les maisons anciennes, dont les prix ont baissé de 13% en petite couronne et de 10,8% en grande couronne, précisent les notaires.

En ce qui concerne l'activité, le deuxième trimestre a marqué un retour à une situation plus normale qui devrait se poursuivre au troisième, après la "panne" de début d'année. L'activité reste toutefois limitée, marquant un recul de 24% sur un an sur l'ensemble de la région, contre 42% au quatrième trimestre 2008 et premier trimestre 2009, précise la Chambre. Selon les indicateurs provisoires, cette baisse ne serait plus "que" de 14% du mois de juillet.

Pour la fin de l'année, les notaires prévoient une poursuite du "lent redressement" des volumes de transactions et maintiennent leur prévision de baisse des prix dans une fourchette de 9% à 12%, "ce qui signifie que la baisse de 2009 est pour l'essentiel inscrite dans les chiffres du premier semestre".

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Commentaires 11
à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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ne voyant pas intervenir cette fameuse chute des prix, les acheteurs ne pouvant différé leur projet immobillier se resignent enfin à continuer à acheter plus cher que ça ne le devrait... il n'y a pas de loi du marché quand la plupart des acteurs n'on...

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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chute des prix continuera. C'est inéluctable n'en déplaise aux notaires qui pour moitié vivent des mutations qu'ils effectuent. Il y a peu encore cette même corporation criait bien haut qu'il n'y aurait pas de correction des prix.Voila, voila elle es...

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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Superbe article qui cite des chiffres sur les baisses, donc des faits comparés a des dires non verifies c'est a dire aucun chiffre cite sur le supposé fremissement ou redressement des ventes ... La Tribune, du vent du vent et du lobbying ....

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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merci de nous expliquer ce qui en l'espèce peut jouer sur les prix si ce n'est la loi du marché. D'autres forces obscures seraient-elles en oeuvre? Y'aurait-il un complot des forces de l'argent?

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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Il y a un an les volumes de vente avaient déjà fortement chuté vs 2007. Il est donc normal que la chute des volume actuelle soit moins importante vs 2008 ! Le volumes des ventes actuels est revenu à un niveau moyen historique longue durée (cf site du...

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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j'ai acheté mon appartement en ile-de-france en 2000 avant le passage à l'euro et cette hausse infernale des prix ! j'espère sincèrement que cette analyse est fausse ! je trouve purement scandaleux que des ménages soient obligés de s'engager sur 25 v...

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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SUPERBE COPIER COLLER D'UN DOSSIER PRESSE FAXE PAR LES NOTAIRES...VOUS ETES JOURNALISTE OU DACTYLO!!!!!!

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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Juste une chose, La chambre des notaires d'Ile de France n'existe pas. MDR

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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Avant nos pères travaillaient et nos mères restaient à la maison (payée sur 15 ou 20 ans grand maxi) pour s'occuper des enfants. Maintenant les 2 membres du couple travaillent, mais on peut plus acheter son logement sauf pécul de papa/maman, et ce mê...

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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Ce que ne dit ni votre "article" ni la Chambre des notaires de Paris, c'est que c'est la plus grosse baisse des prix depuis 1995. Continuez à jouer du clairon...

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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Le plus ridicule est le titre! Tous les chiffres de l'article font état d'une baisse marquée des prix de l'immobilier mais le lecteur est invité à retenir que "les notaires voient des signes de sortie de crise" (bien évidemment, aucune donnée tangibl...

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