L'analyse des mesures phares de la campagne  : supprimer 500.000 postes de fonctionnaires

Stacian réalise un travail d'analyse inédit dans le cadre de la campagne de l'élection présidentielle 2017 : mesurer les effets précis d'une proposition, dans son économie générale, pour les ménages et les entreprises, en décrivant les différents mécanismes qu'elle entraîne. Stacian utilise pour cela un outil exclusif, le modèle économétrique SIRECO, particulièrement bien adapté à ce type d'analyse très fine des effets d'une réforme économique.
Comment seraient utilisés ces 15 milliards de dépenses publiques ainsi économisées ?

La mesure : supprimer 500 000 postes de fonctionnaires

(>Tout savoir sur le modèle SIRECO: ici ou en pied d'article)

Le programme de François Fillon propose la suppression de 500 000 postes dans les fonctions publiques. Il s'agit ainsi de réaliser, pour le candidat, 15 milliards d'euros d'économies à l'issue du quinquennat en 2022. Un chiffrage strictement budgétaire d'ailleurs validé par d'autres organismes.

La production des services publics concernés ne serait pas affectée, selon le programme de François Fillon : les gains de productivité réalisables dans la fonction publique et l'augmentation du temps travaillé de 35 à 39 heures (le périmètre de la mesure n'étant pas précisé) devant permettre de compenser la diminution des effectifs de 500 000 sur la durée du quinquennat.

Le programme : deux tiers pour la réduction du déficit, un tiers pour les entreprises

Comment seraient utilisés ces 15 milliards de dépenses publiques ainsi économisées ? Pour cela, nous avons retenu l'architecture générale du programme de François Fillon. Celui-ci prévoit en effet quelque 100 milliards d'économies, une hausse de la TVA de deux points et un peu plus de 50 milliards de réduction des prélèvements obligatoires, dont 35 sur les entreprises. De fait, l'équation globale est à peu près à somme nulle pour les prélèvements supportés par les ménages, qui d'un côté acquitteront deux points de TVA supplémentaires et de l'autre seront soulagés d'environ 15 milliards de prélèvements (avec bien entendu des effets de redistribution entre catégories de ménages). Tout se passe donc comme si les mesures ménages se neutralisaient et qu'au total, pour 100 euros d'économies réalisées sur les dépenses publiques, François Fillon entendait consacrer 65 euros à la réduction du déficit et 35 euros à la baisse des prélèvements sur les entreprises (ces 35 euros se répartissant de manière à peu près proportionnelle sur les différents impôts et cotisations qu'elles supportent).

Les hypothèses de la simulation

  • La productivité du travail dans le secteur public augmente mais la production est maintenue constante. L'emploi dans la fonction publique diminue de 500 000. Pour simplifier, on suppose que l'Etat renonce à substituer ces nouveaux fonctionnaires plus productifs qu'auparavant au capital et aux consommations intermédiaires pour réaliser des économies supplémentaires [1]. En effet, le coût de l'heure de travail d'un fonctionnaire diminuant relativement au coût des achats externes et celui de l'utilisation des équipements, l'Etat pourrait économiser davantage en employant plus de fonctionnaires et en réduisant ses achats d'équipements et de prestations externes. Mais ces gisements d'économie n'étant pas annoncés dans le programme du candidat, nous les forçons à 0.
  • L'économie de masse salariale induite (15 milliards) par la réduction des effectifs est distribuée à hauteur de 5 milliards pour la diminution des prélèvements sur les entreprises.
  • Nous retenons quatre grandes familles de prélèvements sur les entreprises : impôt sur les sociétés (IS), CVAE, charges sur les salaires (taxe sur les salaires, versements transports, CNSA, FNAL, etc.) et les cotisations employeurs. Les quatre familles correspondent approximativement à 380 milliards de prélèvements obligatoires sur les entreprises.  Chaque taux de prélèvement est réduit du même pourcentage pour que le total de la réduction appliquée à ces 4 familles soit égal à 5 milliards.

Les résultats : une réforme qui stimule l'activité et creuse légèrement les inégalités

L'effet brut de cette réduction des effectifs des fonctions publiques donne bien lieu à une économie de 15 milliards d'euros. La réduction du déficit budgétaire et les réductions d'impôts qui en découlent ne sont pas neutres sur la consommation, la compétitivité et l'investissement, et vont stimuler l'économie. SIRECO permet de décrire précisément les effets de cette mesure.

     1 - Un effet de stimulation de l'économie au global

L'économie de 15 milliards libère autant de ressources qui viennent irriguer l'économie privée. La réduction du déficit public réduit d'autant les fonds utilisés à son financement pour les agents privés, qui peuvent être soit consommés soit investis. La réduction des impôts sur les entreprises diminue le coût d'utilisation des facteurs de production et augmente la rentabilité du capital, en encourageant l'investissement, les embauches et les entrées de capitaux étrangers qui viennent financer l'économie.

Une partie du revenu des ménages qui est libérée du financement du déficit public est consommée. Ainsi, la consommation augmente de 0,25%.

La rentabilité du capital augmente très légèrement grâce à la baisse de l'IS et des autres impôts sur les facteurs de production. Ceci encourage les ménages à augmenter très légèrement leur taux d'épargne et les étrangers à investir davantage en France. Au final, l'investissement aura augmenté de 1%, le stock de capital de 0,11% et la rentabilité du capital de 0,04%.

La production de toutes les branches de l'économie augmente de 0,3% (en volume) et la balance commerciale se dégrade très légèrement de 0,11% en raison d'une augmentation de l'activité, de l'investissement et de la consommation (qui stimule les importations). Les baisses d'impôts sur les entreprises permettent de réduire les coûts dans la plupart des branches ce qui permet une légère amélioration de la compétitivité-prix.

Les suppressions de postes dans le public augmentent la pression sur les salariés moyennement et peu qualifiés dans les négociations salariales. Ceci entraîne une légère modération de leurs salaires (-1,5 -1,3 respectivement pour les moyens et moins qualifiés contre +2,9% pour les plus qualifiés) et une petite augmentation du taux de chômage de ces deux catégories de travailleurs. La hausse des prestations sociales qui en résulte est compensée par la hausse de la TVA et des accises résultant de l'augmentation de l'activité d'une part et de la baisse des prestations versées aux catégories les plus aisées grâce à l'amélioration de leur situation sur le marché du travail.

    2 - Des effets redistributifs entre ménages au profit des plus qualifiés et des détenteurs de capitaux

Les effets globaux cachent des trajectoires différenciées selon les types de ménages. En effet, la réduction des effectifs des fonctions publiques de 500 000 postes impacte davantage les classes moyennes et les classes modestes, car c'est parmi elles que se recrutent pour l'essentiel les fonctionnaires. Par conséquent, la demande de travail pour les classes intermédiaires et modestes se réduit et elle n'est pas totalement compensée par les branches privées de l'économie. Et ceci d'autant plus que le coût du capital diminue, encourageant ainsi une très légère substitution du capital au travail peu et moyennement qualifié, alors que le travail qualifié dont les classes aisées sont pourvoyeuses bénéficie d'une quasi-complémentarité avec le capital.

Ainsi, le chômage des plus qualifiés diminue de 0,3 point, contre une hausse de 0,2 point pour les moyennement qualifiés et de 0,6 point pour les moins qualifiés.

De plus, les classes les plus aisées sont celles qui bénéficient le plus directement de la réduction des déficits. En effet, ayant une propension plus forte à épargner, ce sont elles qui détiennent la plus grande partie des actifs dans l'économie, dont la dette de l'Etat. Ce sont elles qui financent le plus les déficits à travers leur épargne, ce sont donc elles qui voient le plus de ressources libérées lorsque le besoin de financement de l'état diminue.

Ainsi, le revenu des classes aisées augmente de 1,8%, gonflé par la hausse des salaires des plus qualifiés (+2,9 points) et la hausse de la rentabilité du capital et des profits, alors que le revenu des classes intermédiaires se contracte de 0,5 point et celui des classes modestes baisse de 0,2 point. Ceci est calculé après les effets compensatoires des prestations publiques qui amortissent la hausse du chômage par une augmentation des allocations chômage.

La légère augmentation de la part des classes les plus aisées dans les revenus contribue à une hausse du taux d'épargne global des ménages de 0,22 point, en complément de l'effet de rentabilité décrit ci-dessus et qui incite à épargner plus. D'ailleurs, c'est essentiellement le taux d'épargne des classes les plus aisées qui augmente (+0,08 point), celui des autres groupes sociaux étant pratiquement stable (respectivement +0,03 et 0,015 point).

La consommation des plus aisés augmente de 1,8 point alors que celle des groupes intermédiaires et modestes diminue légèrement, de 0,4 et de 0,1 point respectivement.

Le prix de la consommation des plus aisés diminue davantage que celui des deux autres catégories, mais les effets sont marginaux (-0,13, -0,1 et -0,09 point). Ceci traduit le fait que le prix des biens de première nécessité baisse marginalement moins que le prix des autres biens et services.

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NOTE

[1] Dans un horizon de long terme dans lequel se situe cette analyse les mécanismes de substitution entre travail, capital et consommations intermédiaires jouent significativement. Cet effet concerne même le secteur public, comme le confirme l'analyse économétrique sur données de long terme : lorsque le prix relatif de la valeur ajoutée par rapport aux consommations intermédiaires (CI) augmente, le secteur public a tendance à externaliser sa production (les CI augmentent par rapport à la VA dans le mix de production du secteur public).

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PROCHAINS ARTICLES À VENIR :

(2) La suppression de la taxe d'habitation pour 80% des ménages.

(3) La sortie de la France de l'euro.

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ENCADRÉ

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Présentation du modèle SIRECO

SIRECO, SImulateur de REforme ECOnomique, est un modèle économétrique développé par l'économiste Michal Zajac et utilisé en partenariat avec Stacian dans le cadre de différents travaux.

Ce modèle est particulièrement bien adapté à la mesure des effets détaillés des propositions de réformes économiques et sociales.

A quoi sert le modèle SIRECO ?

SIRECO est une sorte de laboratoire de l'économie française qui permet de simuler, comme on le ferait dans une expérience, l'effet des réformes économiques : qu'arriverait-il si on diminuait tel ou tel impôt par exemple ?

  • Les équations de SIRECO décrivent les principaux comportements économiques des entreprises et des ménages: consommation, investissement, production, flux de capitaux étrangers, exportations, importations, paiement des impôts et taxes...
  • Ces équations forment comme un laboratoire pour effectuer des expériences sur l'économie : le modèle simule ce qu'il arriverait au système économique (croissance, emploi, revenu des ménages, etc.) si on en modifiait un ou plusieurs éléments (taxes, réglementation, technologie, etc.)

Pourquoi un modèle pour étudier les réformes économiques ?

Parce qu'en utilisant un modèle on tient compte d'un fait essentiel : l'économie forme un système dont les différentes composantes interagissent entre elles.

  • Les composantes de l'économie forment un système, c'est-à-dire qu'elles interagissent les unes avec les autres : par exemple, baisser les impôts diminue les recettes de l'Etat mais en même temps incite à entreprendre plus d'activité économique ce qui finit par augmenter les recettes de l'Etat.
  • Ne pas prendre en compte le système et considérer les différentes composantes comme si elles n'interagissaient pas, expose à de fausses conclusions :
    • Par exemple, on pourrait conclure qu'il faut augmenter massivement les salaires car les salariés consommeraient plus, ce qui doperait la croissance et l'emploi.
    • Ce raisonnement ne prend pas en compte l'effet des salaires sur les coûts des entreprises : une trop forte hausse des salaires diminuera la rentabilité des entreprises, les poussant à baisser leur production et à licencier.
  • Un modèle recrée le système que forment les composantes de l'économie et permet donc de prendre en compte les multiples interactions qui existent entre elles.

Pourquoi SIRECO et pas un autre modèle ?

SIRECO est très flexible, et permet donc de simuler facilement et rapidement différents scénarios. En se focalisant sur les effets ultimes à long terme d'une réforme, le modèle permet de différencier ces effets selon le niveau de vie des ménages et par branche de l'économie.

  • De nombreuses institutions possèdent leurs modèles qui reposent sur des partis pris différents. Celui qui sous-tend SIRECO, c'est de se focaliser sur les effets ultimes à long terme d'une réforme pour ne pas compliquer l'interprétation des résultats par la présence d'effets de court terme complexes et transitoires.
  • Grâce à sa simplicité du traitement de la manière dont l'économie réagit dans le temps, SIRECO propose une description très précise des composantes de l'économie : il permet de différencier les effets d'une réforme par niveau de vie des ménages et par branche de l'économie.

SIRECO est complété par une analyse d'économistes, car tous les aspects d'une économie ne peuvent être modélisés. L'économiste interprète les résultats du modèle, en les corrigeant le cas échéant de ce que le modèle n'a pas pu prendre en compte.

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Commentaires 24
à écrit le 20/04/2017 à 12:02
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Si chaque Français ayant une fiche de paye était redevable de l’impôt sur le revenu...il n'y aurait plus de soucis. Avec comme minimum un taux égal au cout du traitement d'une fiche d’impôts. Le cout d'un fonctionnaire serait nul.

à écrit le 19/04/2017 à 14:21
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Il convient tout d'abord d'être prudent à l'égard de l'utilisation de modèles économétriques reposant sur des mesures politiques. Cela étant, les résultats donnés par le modèle n'apparaissent pas concluant au regard de la portée de la mesure et de c...

à écrit le 19/04/2017 à 14:14
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Ce qui est urgent pour le prochain Président de la République c'est de revoir toutes les grilles indiciaires et d'avancement dans l'armée, gendarmerie, police et autres fonctionnaires, en les revoyant à la baisse en raison du recul de l'âge de départ...

à écrit le 19/04/2017 à 13:58
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Dans tout les cas il nous faut faire des economies.... Moins de sociale ( donner de l'argent à ne pas travail ), et en échange favorisé l'apprentissage ... De même la réorientation des postes de fonctionnaire me semble important, moins de gratte papi...

à écrit le 19/04/2017 à 13:04
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La suppression de 500 000 fonctionnaires OK mais pas les professeurs, hopitaux ou police. Ce sont surtout ces agences fantômes qui font double ou triple emplois sur un même sujet qu'il faut supprimer. Ces agences fantômes dans lesquelles si les média...

le 19/04/2017 à 14:30
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ce sont des phantasmes!

à écrit le 19/04/2017 à 11:43
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Lu dans Capital, le soutien du bismuth au filou. "Au risque de discorde au sein de la droite" ! Avec des amis comme ca, c'est l'echec. Les francais auront micron et la droite va s'atomiser.

à écrit le 19/04/2017 à 11:40
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il est très facile d'augmenter la productivité des fonctionnaires:soit augmenter la prime de présence,soit instaurer le "fini-parti" pour toute la fonction publique.les suppressions de poste sont démoralisantes et inefficaces

le 20/04/2017 à 9:34
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"Il es très facile",; bof, si c'était si simple, cela serait fait. Le fini/parti n'augmente pas la productivité si on n'augmente pas graduellement les activités à faire. Il faut un management incitatif plus fort, avec une individualisation des sala...

à écrit le 19/04/2017 à 10:52
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Ce n'est que des suppositions, des estimations. Il faut prendre cela avec des pincettes. L'impact ne sera peut être pas bon mais ce n'est pas 500000 personnes au chômage, vu que c'est le non remplacement de fonctionnaires qui partent à la retraite. ...

le 19/04/2017 à 11:18
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"D'orientation libérale, l'Institut Montaigne est proche du patronat et de l'UMP" ben oui on s'en doute bien du coup hein mais quel est l'intérêt de demander au patron de Candia quel est son lait préféré svp ? https://fr.wikipedia.org/wiki/In...

le 19/04/2017 à 21:38
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Et alors ça ne veut pas dire que leur travaix sont totalement nul. Il faut lire leur rapport et c'est plutôt cohérent. Et une majorité d'economiste d'orientation diverse indique que les projets de macron et de fillion sont les seuls â peu près viabl...

le 20/04/2017 à 9:35
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@citoyenblasé, On demande au patron de candia comment on fait du bon lait, cela parait une meilleure idée que de demander à la Patrouille de France

le 20/04/2017 à 15:29
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"@citoyenblasé, On demande au patron de candia comment on fait du bon lait, cela parait une meilleure idée que de demander à la Patrouille de France" C'est pas de ça dont je parle encore une fois, recommencez svp. Heu non ne recommencez pas déso...

à écrit le 19/04/2017 à 10:43
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C'est désolant quand on se fige sur des nombres. 500 000, mais ventilés dans quelles branches, sections, métiers ? C'est pas homogène "'fonctionnaire'". Nombreux pensent "administratifs". On va se plaindre qu'à la DGCCRF il y a de moins en moins d'i...

à écrit le 19/04/2017 à 10:10
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lui qui a supprimer 10000 postes de policiers et gendarmes ,heureusement qu’Hollande a réparé ces erreurs ce qui a permis aujourd'hui de nombreuses arrestations et a prouvé hier qu'il fallait au contraire plus de policiers plus de service du rensei...

à écrit le 19/04/2017 à 9:53
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Pourra t'il le faire de sa cellule de la prison de la santé

à écrit le 19/04/2017 à 9:44
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Et s'enrichire en volent l'etat et les francais comme fillon

à écrit le 19/04/2017 à 9:05
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Moins de fonctionnaires en France, pour plus de création de poste dans l'UE de Bruxelles qui n'est qu'une simple zone administrative! Cela reviendra bien plus cher!

le 20/04/2017 à 9:40
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La fonction publique européenne c'est une fonction publique centrale de haut niveau, de 35 000 personnes effectif très limité pour administrer l'UE. La fonction publique visée en France, ce sont plutôt les "grandes masses" plutôt moins qualifiées, q...

à écrit le 19/04/2017 à 8:57
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travail à moins 32h, absentéisme élevé, service rendu au contribuable médiocre, grève à répétition injustifié, sur effectif, manque de résultats et objectifs... les fonctionnaires et entreprises publiques ruinent notre pays il est urgent de réformer ...

à écrit le 19/04/2017 à 8:48
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La police, pourtant conspuée comme tous les fonctionnaires dans les discours du candidat Fillon, montre toute son utilité ce jour. Ce n'est pas la sous-traitance par des entreprises de surveillance et des caméras qui assureront la sécurité des Franç...

le 20/04/2017 à 9:43
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La police est utile, cela ne veut pas dire qu'elle est efficace. La sous traitance permet au contraire d'améliorer la sécurité des français, car elle permet de recentrer les policiers sur leurs missions principales. Par exemple, la Ville de Paris ...

à écrit le 19/04/2017 à 8:34
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"La consommation des plus aisés augmente de 1,8 point alors que celle des groupes intermédiaires et modestes diminue légèrement, de 0,4 et de 0,1 point respectivement." Voilà, il va donner de l'argent à ceux qui épargneront, certains dans des par...

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