La compétitivité, une panique collective suicidaire

La course à la compétitivité mène les pays européens, dont la France, dans le mur. Une autre mondialisation est à inventer affirme Jean-Claude Werrebrouck, ancien professeur à l'université de Lille 2

La grande presse internationale se félicite des succès croissants des pays de l'Europe du sud qui rétablissent parfois de façon spectaculaire leur balance extérieure et contribuent ainsi à la levée des doutes sur la possible pérennité de l'euro. Toute la zone euro serait ainsi sur le chemin d'une nouvelle compétitivité, et ce d'autant que l'Allemagne s'apprête à frôler pour l'année 2013 un excédent de 200 milliards d'euros.

Le résultat d'une compression de la demande intérieure

Il faut pourtant noter que cette compétitivité nouvelle n'est pas celle de la productivité physique du travail. Ce ne sont pas les investissements de modernisation, qui en Espagne, en Italie, ou ailleurs encore, effacent les déséquilibres extérieurs ou relancent les excédents. C'est à l'inverse la compression de la demande intérieure qui en est responsable : hausse de la TVA et des prélèvements publics en général, baisse des salaires et flexibilité salariale, stagnation ou diminution des prestations sociales (retraites, soins médicaux, etc.). Cette compression développe deux effets : une baisse des importations même sans diminution de la propension à importer, et une hausse des exportations reflétant la diminution du coût du travail.

 Avant, le marché intérieur prédominait

A l'époque de l'Etat-Nation, donc avant la mondialisation telle qu'elle s'est manifestée, une telle stratégie était peu concevable tant le marché intérieur constituait l'essentiel des débouchés pour la plupart des producteurs. Il existait même un État providence, qui veillait au bon développement du marché intérieur et venait quasiment garantir les débouchés. En sorte que la recherche de compétitivité par chacun, passait par un développement de la productivité physique du travail, laquelle découlait d'investissements massifs de modernisation et d'innovation.

Et, les gains de productivité régulièrement générés, étaient partagés entre les principaux acteurs, afin de lisser la demande intérieure le long d'un trend croissant : entreprises sous la forme de profits supplémentaires, salariés bénéficiant de hausse de salaire, et État dont le Trésor directement branché sur la croissance bénéficiait à taux inchangés d'une manne fiscale croissante.

La partie la plus importante de la demande intérieure, correspondait à la masse salariale comme coût complet du travail (charges sociales incluses). Ainsi à l'époque de l'Etat-Nation, la masse salariale, vrai coût de production, était symétriquement une aubaine : un marché, et donc un débouché. De quoi développer la Grande Distribution dans sa configuration nationale.

Aujourd'hui, le marché mondial l'emporte

A l'époque de la mondialisation, le marché intérieur est remplacé par le marché mondial. La masse salariale comme débouché n'est plus une variable décisive. Par contre, elle reste un coût qu'il faut comparer aux autres coûts salariaux des pays partenaires à la mondialisation.

En mondialisation, la double qualité coût/débouché disparait progressivement. Dans le même temps, le coût d'opportunité des investissements d'innovation et de modernisation, monte en raison des taux de salaire très faible rencontrés dans ce qui va devenir les pays émergents : il vaut mieux fabriquer en Chine plutôt que de se lancer dans la robotisation. La concurrence devenue mondiale, ramène ainsi progressivement la productivité à la seule dimension compétitivité par les coûts.

Une crise potentielle de surproduction

A l'échelle planétaire, la production peut augmenter, mais les demandes internes de chaque nation doivent être comprimées pour se maintenir à flot dans l'océan de la concurrence. La demande mondiale, ne peut augmenter au rythme de l'offre mondiale, et donc nous sommes entrés, dès le début de la mondialisation, dans une crise potentielle de surproduction.

 Cette dernière n'est pas immédiatement visible : les vieux États moins gavés de ressources fiscales, s'endetteront auprès de plus jeunes jouissant de la loi d'airain des salaires ; les salariés de ces mêmes vieux États verront leur pouvoir d'achat maintenu, d'abord par la baisse de prix des importations maitrisée par la grande distribution mondialisée, mais aussi par le recours à l'endettement.

On ne vit pas au dessus de ses moyens?

Simplement, cet endettement public et privé sera pris pour ce qu'il n'est pas : une fête à laquelle il faudrait mettre fin, car selon un solide adage de vieux bon sens, nul ne saurait durablement vivre au-dessus de ses moyens. La finance qui a fait de la dette son miel, en devient victime, et la crise financière annoncerait ainsi qu'il faut siffler la fin de la récréation.

Cette « erreur de lecture » est précisément ce qui accélère la recherche éperdue de compétitivité et le suicide collectif. Face à l'incendie qui n'existe pas, mais auquel tout le monde croit, il faut tous se précipiter dans un mouvement mimétique vers la même sortie : la « porte compétitivité ». Les plus habiles s'en sortiront peut-être mieux que les autres ( Allemagne ? Chine ? ). Mais le désastre de la mondialisation sera une dure réalité collective.

Quelques questions naïves

Il est aujourd'hui fait pression sur la France, toujours trop lente, dit-on, dans des réformes dont on ne dit pas facilement qu'elles sont pour l'essentiel une réduction du coût du travail. La France serait ainsi encore plus suicidaire que les autres, qui eux tentent leur chance dans la lutte pour atteindre la sortie, et ne pas mourir dans l'incendie.

La France - insuffisamment véloce - risque donc de mourir dans l'emballement et la précipitation mimétique vers la « porte compétitivité ». Elle est pourtant aussi le siège de quelques mauvais esprits capables de poser de grosses questions naïves.

 Ainsi :

Que se passerait-il par exemple si la « fête » dépensière s'arrêtait dans le monde ?

Que se passerait-il si le budget fédéral américain était rééquilibré en dépensant moins ?

Comment vivraient les fournisseurs de denrées alimentaires (Wall-Mart aux USA) qui se rémunèrent des « food- stamps » distribués à 47 millions de personnes ?

Comment vivrait le complexe militaro industriel américain, ses milliers d'entreprises et ses millions de salariés ? Qu'en serait-il pour Lockeed Martin ,Boeing, Northrop Grumman, General Dynamics, Raytheon, United Technologies, etc. ?

Que fera t-on des médicaments qu'on ne pourra plus produire en France ou ailleurs, faute de déficit de la Sécurité Sociale ou de la suppression américaine du "médicaid et du médicare" ? Qu'en sera-t-il pour Pfizer, Roche, Novartis, Sanofi, Bayer, etc. ?

Comment vivront les médecins français dont chaque consultation développe une dette nouvelle de 2,5 euros ?

Comment la grande distribution française vivrait cette chute des revenus de substitution payés sur de la dette publique et qui fait parfois l'essentiel du chiffres d'affaires de certaines unités ?

Comment dans un univers devenu aussi déprimé, l'industrie allemande pourrait-elle continuer à  engendrer plus de 6 points de PIB de surplus extérieur ? Qu'en serait-il pour BMW, Daimler, Wolkswagen, Bosch, Siemens, Basf, etc. ?

La liste pourrait s'allonger à l'infini.

La dette, produit de la mondialisation

Est- il est possible d'aller plus loin dans la naïveté ? Comment ne pas s'étonner que dans les vieux pays, les infrastructures de base (ponts, routes, voies ferrées, etc.) bénéficient d'un investissement net négatif, les dépenses d'entretien ne couvrant pas l'amortissement nécessaire, (Allemagne, Etats-Unis, France, Grande Bretagne, etc.) alors même que les moyens matériels de les entretenir sont abondants, non utilisés (carnets de commandes dégarnis, sous-emploi, etc.), voire même font l'objet de plans sociaux (sidérurgie) ?

Il est donc vrai, que la dette publique et privée sert à maintenir la production (croissance proche de zéro) mais qu'il faudrait qu'elle soit encore bien plus importante, pour assurer l'investissement porteur de croissance. Oui, la dette devenue insupportable, et pour les créanciers et pour les débiteurs, est toutefois très insuffisante pour assurer la croissance. Et cette dette n'est bien que le produit de la mondialisation qui transforme toute la demande intérieure en simple coût à réduire.

 Se poser la question de l'avenir des émergents

Et si le raisonnement est vrai, toujours très naïvement, il faut se poser la question, de l'avenir des émergents eux aussi en concurrence, et qui devront eux même rapidement freiner leur demande intérieure avant même son épanouissement. La Chine devient un pays beaucoup trop cher du point de vue de nos importations. De quoi être moins enthousiaste sur l'avenir des croissances miraculeuses des émergents.

Et, au terme de la simple évocation de ces quelques grosses questions naïves, on pourrait peut-être se dire que la fête reste belle grâce à la dette et à sa belle croissance, et qu'elle pourrait encore être plus belle si sa croissance était encore plus rapide, si la machine à fabriquer de la dette était encore plus puissante. Hélas, cette dernière manque de carburant faute de créanciers suffisamment hardis.

Cesser de penser à l'envers

 Alors il faudra en finir avec la forme prise par notre mondialisation.

Malheureusement, pour paraphraser Einstein, nous pensons probablement collectivement comme un marteau, et tous les problèmes, dans ce contexte, y prennent la forme d'un clou. Ici, étrange logiciel qui fait apparaitre une production excédentaire, comme des dépenses trop importantes. Pourquoi continuer de penser à l'envers ?

La France a peut-être - au moins en théorie -autre chose à faire que de se précipiter vers les « Portes de la compétitivité » devant lesquelles s'amoncèlent les cadavres. Et là encore, on pourrait poser de grosses questions naïves à ceux qui veulent davantage encore comprimer la demande intérieure de la France : que deviendraient les nouvelles - et si éblouissantes - exportations espagnoles, Irlandaises, italiennes, grecques, etc ?

Oui, il est possible de construire un autre monde, mais comment s'extirper d'une mondialisation source de tant de dislocations planétaires ? Comment ne pas mourir dans l'incendie, même si on ne se précipite pas avec les autres vers les « portes de la compétitivité" ?

 

 

 

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Commentaires 39
à écrit le 20/04/2015 à 17:26
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Je crois que l'analyse de Monsieur Werrebrouck est rigoureuse et qu'elle nous amène à réfléchir sérieusement sur les formes d'une mondialisation,il parle bien d'une autre mondialisation. C'est évident qu'il ne faut pas interdire les échanges mais do...

à écrit le 09/10/2013 à 8:06
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On en revient toujours au même problème: comment financer des dépenses publiques représentant 57 pour cent du PIB, dépenses en grosse partie locales, avec d impôts, representant 47 pour cent du PIB, qui doivent être génèrés par la sphère privée, insc...

à écrit le 08/10/2013 à 22:52
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La recherche de la compétitivité allant jusqu'à une baisse importante du coût du travail ne s'arrêtera pas et ne doit pas s'arrêter. Elle doit d'ailleurs être étendue à l'administration. Déjà si ainsi les prix (ou les redevances pour l'administration...

à écrit le 08/10/2013 à 20:51
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Vous dites : "il faut tous se précipiter dans un mouvement mimétique vers la même sortie : la « porte compétitivité ». Moi je dis (pour la France) : il faut tous se précipiter dans un mouvement mimétique vers la même sortie : "la sortie de l'UE par ...

à écrit le 08/10/2013 à 20:39
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Cette course à la compétitivité nous la subissons déjà depuis 2008. Et la solution à long terme , qui consiste à faire converger les revenus des classes moyennes et ceux des couches défavorisées, en diminuant (beaucoup) les premiers et en augmentant ...

le 08/10/2013 à 22:54
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Sauf si on se décide enfin à dissocier revenu et salaire...

à écrit le 08/10/2013 à 19:28
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"J'ddevrais ppas bboire aautant"... "Mmais j'aaime çça..." "C'eest ppas bbien hhein...?"

à écrit le 08/10/2013 à 19:03
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Votre " article " est parsemé du même mot , en diverses occurences..." naïve ". D'abord , ce qui est réel n'est pas naïf , et doit être comptabilisé comme tel dans un processus économique. Ensuite , vous consacrez une très grande partie de votre ar...

le 08/10/2013 à 20:34
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J'aime tous ces gens qui reprennent des économistes... avec du vent. En vrac : vous prêchez le faux ( ah oui ? où ? en quoi ? ); Insulte à 2 balles ( méconnaissance de ce qui relie la micro et la macro); le pire : "aucune équation, aucun algorithme" ...

le 08/10/2013 à 22:14
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@Croquignol: une table des occurrences pour définir l'exception culturelle serait truffée du mot "naïf"ou "naïveté" etc. Je pense que l'étroitesse de l'esprit fait émerger cette chanson de la naïveté. Vous ne dites pas ce qui est faux dans cette arti...

le 08/10/2013 à 22:22
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"Aucune équation , aucun algorithme n'a encore été capable de prédire la fin de l'endettement. " Je trouve au contraire qu'il a raison. Apparemment , Croquignol est persuadé que les QE seront illimités. Prêcher le faux et le vrai : si , constatable ...

le 08/10/2013 à 23:16
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Pour résumer la conclusion de ce texte alambiqué et peu clair ( ce qui se conçoit bien s'écrit simplement )...je dirais qu'on ne peut pas changer ce monde , parce qu'on ne peut revenir en arrière sur la mondialisation. Le problème , tel qu'il aurait ...

à écrit le 08/10/2013 à 18:53
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C'est certain pourquoi être compétitif? On devrait fabriquer des sabots et des charrettes à 100000 euros pièces et payer les ouvriers qui les fabriquent 20000 euros la semaine, là c'est sur on serait sauvé. Encore un qui n'a pas compris que dans une ...

le 08/10/2013 à 23:19
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Ce qui va être intéressant ce sera de voir la suite des évènements quand le Capitalisme se sera à son tour auto-détruit.....

le 09/10/2013 à 4:14
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Ouh la ! Vous allez bousculer ses certitudes : la "croissance infinie", le "ruissellement",la "main invisible", tout ça, tout ça ...

à écrit le 08/10/2013 à 18:34
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En réalité il n'existe pas de compétition internationale. Le G20 est là pour se partager le gâteau entre amis. La compétitivité n'est qu'un alibi pour que les riches deviennent encore plus riches. On nous raconte que les pays en développement nous fo...

à écrit le 08/10/2013 à 18:12
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Ne vous inquiétez pas JC, lorsque les adversaires n'ont pas d'arguments à vous opposer, ils diabolisent. Certains vous ont déjà rapproché de Lepen, d'autres ont directement sauté vers la peste brune. C'est dire le poids des arguments pour défendre le...

à écrit le 08/10/2013 à 17:48
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Et donc? Votre solution? On reste dans le registre "faut pas faire comme ça, mais par contre je ne sais pas comment faire autrement... mais faut pas faire comme ça!!!".

à écrit le 08/10/2013 à 17:08
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Il est toujours utile de parler d'économie. Il est toujours mieux de donner des solutions puisque c'est le rôle des économistes qui n'est pas celui des commentateurs sportifs. Jean-Claude Werrebrouck semble oublier deux points essentiels : Le premier...

à écrit le 08/10/2013 à 17:02
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encore un sympathisant de marine lepen ?

le 08/10/2013 à 17:22
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auriez vous des doutes?

à écrit le 08/10/2013 à 16:37
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ah! il y a bien quelqu'un qui s'en rend vraisemblablement compte? Un mi-ra-cle ! non! Marine est au courant, elle ! vive la vague bleu Marine, ils finiront par se rendre compte que sur PAS mal de points, elle a parfaitement raison !

le 08/10/2013 à 17:10
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La peste brune veut apparaître comme le sauveur ! éternel recommencement ....maintenant ils l'appellent marine !

le 08/10/2013 à 17:37
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ouais! toujours la diabolisation! mieux vaut être dans la m..de actuelle, c'est bien mieux ! on a des c...illes , ou on en a pas pour essayer autre chose.....mais c'est vrai, qu'il vaut mieux prendre racine dans la médiocrité, et se complaire dans l...

le 08/10/2013 à 17:51
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+ 1

le 08/10/2013 à 18:12
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Ah, avoir des c...illes ! ça c'est un programme !

le 08/10/2013 à 19:12
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c'est évident! c'est un sacré chouette programme, ouais !! il n'y a que grâce "à leur aide, qu'on peut envisager, tout et je dirai " même plus".. à Simon & belle couleur +++

le 08/10/2013 à 19:34
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Pour l'instant c'est la peste rouge & rose... La "peste brune" vaut bien celle d'Harlem dégout qui n'a toujours pas remboursé sa dette !

à écrit le 08/10/2013 à 13:53
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la mondialisation n'est que la spécialisation du travail à l'échelle de la planète, dans le but de mieux utiliser nos ressources et nos talents pour mieux vivre. Et cela marche, il n'y a jamais eu si peu de pauvres et de morts la faim dans le monde a...

le 08/10/2013 à 17:35
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Les salaires en Allemagne sont plus élevés qu'en France (même si 80% des Français croient la propagande des rémunerations de 1 EUR l'heure et 400 EUR le mois ...) et ce ne sont pas du tout les coûts de travail qui font que la France va si mal.

le 08/10/2013 à 17:59
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je vous propose un travail en Chine payé 450 euros par mois (c'est bien parce que vous êtes français) qui demande des compétences techniques (mais vous serez formés) et aptitudes comportementales certaines (rigueur, sérieux, dynamisme, auto contrôle,...

le 08/10/2013 à 18:08
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Moi je suis un pauvre paysan chinois qui crève de faim dans son village et je trouve votre proposition tout à fait intéressant.

le 08/10/2013 à 18:09
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@ Parfait très bonne description , ça donne, en effet, une envie soudaine de sauter sur l'opportunité...

le 08/10/2013 à 23:11
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Quand vous évoquez l'Allemagne, vous faites erreur car vous comparez les salariés de l'industrie (ingénieurs, techniciens, ouvriers). Le pb de l'industrie est un pb de compétitivité hors coût d'abord et aussi d'investissement. Ces salariés de l'indus...

le 09/10/2013 à 4:17
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Ah bon ? Ils sont communistes aussi à l'OCDE et au BIT ? On m'aurait menti ? Ils sont donc partout ! Damned !

le 09/10/2013 à 21:13
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Votre propos vigoureux repose sur une affirmation: l'amélioration de la situation de l'ex tiers-monde est le fait de la mondialisation. Sans elle, les pauvres le seraient toujours. Cette affirmation n'est crédible que si elle repose sur une démonstra...

le 10/10/2013 à 10:13
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@ Mr Werrebrouck : Mon propos est Rigoureux (pas vigoureux). L'amélioration des conditions matérielles humaines est liée à l'augmentation de la production des richesses matérielles par être humain, c'est à dire à l'augmentation de la productivité hum...

le 10/10/2013 à 10:24
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@ Mr Werrebrouck. je me permet de vous faire remarquer que mes propos semblent parfaitement rigoureux (essayez de contredire une seule de mes affirmations) et repris quasiment mot pour mot (et parfaitement dans l'esprit) de "L'action humaine" , que v...

à écrit le 08/10/2013 à 13:33
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Comment osez vous attaquer le dogme de la mondialisation heureuse? Veuillez rapidement remettre votre tête dans le sable! Malheureux!! Vous allez bientôt donner raison à Marine ou à l'UPR sur le mauvais chemin prie par notre pays et cela en confiant...

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