Sortie progressive ou accélérée du nucléaire ? Les leçons du choix allemand

François Lévêque est professeur d’économie à Mines ParisTech. Il publie prochainement "Nucléaire On/off, analyse économique d'un pari" aux éditions Dunod.
François Lévêque

La France s'interroge sur le rythme de fermeture de ses centrales nucléaires, tantôt pressée de fermer la plus vieille d'entre elles[1], Fessenheim, tantôt envisageant de prolonger leur durée de vie officiel à 50 ans[2], tantôt encore décidée à plafonner leur production[3]. En attendant l'expression d'un choix politique clair, l'exemple de l'Allemagne qui a longtemps hésité entre une extinction rapide ou progressive de son parc nucléaire est instructif.

Rappelons le déroulement des faits au-delà du Rhin. A la fin des années 1990, après seize ans de pouvoir fédéral dominé par le parti chrétien-démocrate, le SPD emporte les élections et forme une coalition pour gouverner avec les Verts. Il ne s'agit plus de promettre la sortie du nucléaire, mais de la réaliser. En 2002, un amendement à la loi atomique est voté : il prévoit un quota de production résiduelle par centrale, qui, une fois consommé, entraîne l'arrêt définitif de l'exploitation. Le dernier réacteur nucléaire allemand devra s'éteindre en 2022.

Différer la fermeture des réacteurs existants

L'opposition chrétienne démocrate dénonce cette sortie accélérée du nucléaire. Elle promet de rallonger la durée de fonctionnement des réacteurs dès son retour au pouvoir, afin de modérer les hausses du prix de l'électricité et de laisser un temps raisonnable à la mise en œuvre d'un nouveau plan énergétique fondé sur les énergies renouvelables.

La droite allemande considère le nucléaire comme une technologie de transition nécessaire, avant que le déploiement des éoliennes, des panneaux solaires, des unités de biogaz, des mesures d'efficacité énergétique et des lignes à haute tension ne devienne suffisamment massif. Il ne s'agit pas à ses yeux de promouvoir la construction de nouveaux réacteurs, seulement de différer la fermeture de ceux qui existent.

Tripler la production d'énergie renouvelable à l'horizon 2050

Revenu à la tête du gouvernement, le parti chrétien démocrate, allié aux libéraux, s'emploie à mettre en œuvre son programme de transition nucléaire. Il s'inscrit dans un cadre d'ensemble qui prévoit, de diviser par deux, à l'horizon 2050, la production nationale d'électricité et de tripler la production d'électricité renouvelable. La sortie définitive du nucléaire est programmée pour 2036 avec la fermeture de Neckarwestheim 2, dernière centrale en activité. La sortie est reportée par le même mécanisme que celui qu'avaient mis au point le SPD et les Grünen : l'octroi aux opérateurs d'un quota de production résiduelle, sauf que cette fois il est plus élevé d'environ 1800 TWh. Le plan de sortie progressive est adopté en décembre 2010.

Trois mois plus tard, la catastrophe de Fukushima Daiichi bouleverse la donne. Un arrêt immédiat des sept centrales les plus vieilles est aussitôt décidé et le redémarrage d'une huitième est suspendu. Dès l'été 2011, un nouvel amendement à la loi atomique est adopté. Il abroge le supplément de volume autorisé de 1800 TWh et établit une date butoir de fermeture pour les neuf centrales encore active. Le choix d'une sortie accélérée du nucléaire l'a donc finalement emporté sur la sortie progressive. Quelles sont les conséquences économiques de cette décision ?

 Des kWh bon marché remplacés par des kWh chers à produire

Sur le plan microéconomique, l'accélération du calendrier se traduit par une perte sèche qui se chiffre en dizaines de milliards d'euros pour la société allemande. Son origine est simple : l'électricité qui ne sera plus fournie par les centrales nucléaires doit être remplacée par des kWh qui coûteront plus cher à produire.

On a en effet d'un côté des centrales déjà construites largement amorties et dont l'allongement de la durée de vue ne réclame que des investissements supplémentaires modérés tandis que d'un autre les nouvelles capacités doivent surgir de terre, qu'il s'agisse de centrales thermiques ou d'installations d'énergie renouvelable[4].

Selon une estimation de Jan Horst Keppler, les 1800 TWh d'origine nucléaire auraient coûté 30 milliards d'euros à produire si la sortie accélérée n'avait pas été décidée. Cette somme se décompose pour un tiers en dépenses de combustible et d'exploitation et deux tiers en investissements de jouvence. Elle correspond à un coût de 17 centimes d'euros par kWh.

Une sortie du nucléaire qui coûterait 63,8 milliards d'euros

A l'inverse, avec la sortie accélérée faisant appel à de nouvelles capacités, le kWh passe selon l'auteur à 52 centimes d'euros, soit un coût total de 93,8 milliards d'euros pour 1800 TWh. Avec ce jeu d'hypothèses, la sortie accélérée coûte donc 63,8 milliards à l'Allemagne.

Naturellement d'autres suppositions peuvent conduire à diminuer ou à augmenter ce montant. On peut penser par exemple que le remplacement de la totalité du manque à produire de 1800 kWh ne s'impose pas : la demande a fléchi à cause de la crise économique et la construction de nouvelles centrales à gaz et à charbon était déjà en partie sur les rails avant la décision d'accélérer la sortie du nucléaire.

Avec un remplacement pour 80% seulement de la production perdue, la perte microéconomique revient à 50,4 milliards d'euros. Inversement, le coût de production des capacités de substitution pourrait être supérieur à 52 c€/kWh. Ce serait le cas si le kWh nucléaire était remplacé par des kWh produits par des fermes éoliennes marines et des panneaux solaires plutôt que par des centrales à gaz ou à charbon, les énergies renouvelables étant plus chères. Si on retient un montant de 20 % plus élevé, la perte atteint 82 milliards d'euros.

Un bilan macroéconomique vraisemblablement négatif

Sur le plan macroéconomique, la sortie accélérée du nucléaire entraîne, nous semble-t-il, plus de désavantages que de d'avantages. Notre réponse n'est pas ici catégorique car elle n'est pas éclairée par le résultats de travaux de modélisation et le recul historique manque encore pour prendre l'exacte mesure des conséquences de ce choix sur l'emploi, l'inflation et la croissance économique.

Seuls les effets immédiats sont aujourd'hui observables. On note par exemple sans surprise une croissance des investissements dans l'énergie hors nucléaire, une réduction des effectifs du secteur nucléaire, une baisse de la valeur des entreprises électronucléaires ainsi qu'une augmentation du prix de l'électricité payé par les consommateurs. Cette dernière est spectaculaire.

En 2013, 24 milliards d'euros seront prélevés sur la facture d'électricité des ménages allemands pour payer les subventions aux énergies renouvelables, soit une hausse de près de 50% par rapport à l'année précédente, une multiplication par 2,5 par rapport à 2010 et un surcoût annuel de 185 € pour une famille moyenne.

Tous ces effets observables sont cependant délicats à démêler de ceux de la transition vers les énergies renouvelables, déjà largement entamée avant la décision de sortie rapide du nucléaire et de ceux de la crise qui entraîne une réduction de la demande d'énergie. Ils ne peuvent pas être tous imputés au seul choix de l'accélération de la sortie du nucléaire.

Difficile d'apprécier avec certitude les effets macroéconomiques

Dernière complication, les effets des chocs de prix et des bulles d'investissements doivent être replacés dans le temps long qui peut en inverser les signes ; un gain immédiat en emplois se traduisant par exemple par une perte d'emplois sur la longue durée. Il est donc aujourd'hui difficile d'apprécier avec certitude les effets macroéconomiques du scénario de sortie accélérée du nucléaire en comparaison du scénario de sortie progressive.

On peut cependant avancer que le bilan macroéconomique sera vraisemblablement négatif. Pourquoi ? Tout simplement parce que l'on entrevoit les pertes possibles de la marche forcée sans entr'apercevoir de bénéfice tangible crédible leur faisant contrepoids.

Du côté de l'emploi, on assistera à une destruction plus rapide de ceux de la filière nucléaire, avec des possibilités de reconversion moindre qu'avec un calendrier de sortie progressive car la formation réclame du temps. Pour la filière des énergies renouvelables, un appel d'air aura lieu avec une demande tout à coup plus forte, mais l'inertie liée à la formation joue aussi et devrait empêcher d'en tirer parti.

Côté infrastructure, les énormes besoins d'investissements dans les réseaux électriques représentent la difficulté majeure. Des milliers de kilomètres de nouvelles lignes à haute tension doivent traverser l'Allemagne. Il s'agit de relier les capacités éoliennes du Nord aux besoins de consommation du Sud, où sont aussi installés les deux tiers du parc nucléaire.

Là encore, l'inertie est forte. Les projets d'infrastructures de transmission électrique mettent des années à se concrétiser à cause des fortes oppositions locales qu'ils rencontrent. La sortie progressive butait déjà sur ce problème, le choix d'aller plus vite ne fait que le rendre plus critique.

Le bénéfice est à chercher davantage du côté d'un sursaut collectif

Le seul espoir de bénéfice repose sur l'idée d'un sursaut collectif. L'accélération de la sortie du nucléaire, en accentuant le défi que pose la transformation énergétique, souderait et mobiliserait plus encore la population allemande ; l'effort collectif plus intense et plus productif se traduirait par une compétitivité plus grande de l'Allemagne dans l'ensemble des industries et des métiers des énergies du futur.

Ce scénario est le seul qui permettrait de réconcilier l'intérêt macroéconomique avec le choix en faveur d'une sortie accélérée du nucléaire. Un tel espoir est cependant mince, sinon vain. Accélérer une substitution oblige en effet à faire plus appel aux technologies déjà disponibles, y compris en les important, et moins à investir dans la R&D pour prendre de l'avance sur la compétitivité de demain.

Moins de déchets radioactifs contre plus d'émissions atmosphériques polluantes

Le bilan de la précipitation allemande ne saurait être complet sans une évaluation des coûts économiques environnementaux. Là encore, la sortie progressive aurait été plus favorable. Ce résultat ne vaut cependant que sous l'hypothèse, dont le contenu est plus loin précisé, d'absence d'accident nucléaire.

Rappelons d'abord qu'en régime normal, la sortie du nucléaire, quel que soit son rythme, ne peut au mieux qu'être neutre en termes d'émissions dans l'atmosphère, en particulier de CO2. C'est le cas lorsque les kWh électronucléaires sont remplacés en totalité par des kWh produits également sans émissions, par exemple par des éoliennes, des panneaux solaires ou des mesures de sobriété énergétique.

Un tel scénario était possiblement à la portée de la sortie progressive ; la sortie accélérée l'a placé hors d'atteinte. Une substitution neutre au nucléaire exige en effet des avancées technologiques qui ne sont pas encore réalisées. La production solaire et éolienne d'électricité étant intermittente, son développement massif doit être accompagné de moyens complémentaires, par exemple des moyens de stockage ou des centrales à charbon propres grâce à la capture et la séquestration dans le sous-sol des émissions produites.

A défaut de ces avancées, l'Allemagne recourt aujourd'hui non seulement à des installations polluantes, les centrales à gaz, mais aussi à des installations très polluantes, les centrales au charbon et au lignite. L'accélération de la sortie du nucléaire se déroule en effet dans un contexte européen de prix du charbon importé faible et d'un prix de marché du carbone déprimé. Le gaz de schiste a inondé le marché américain supprimant un débouché pour le charbon indigène qui s'écoule alors à bas prix en Europe.

Le bas prix du carbone ne pénalise pas l'électricité produite à partir de charbon

Quant au prix intérieur de la tonne de carbone, il est devenu si bas qu'il ne pénalise plus la production électrique à partir du charbon ou du lignite qui émet pourtant environ deux fois plus de dioxyde de carbone que le gaz par kWh. Depuis 2011, les centrales allemandes au charbon et au lignite ont augmenté leur production de plus de 10% et leurs émissions atmosphériques ont augmenté d'à peu près autant.

Dans le même contexte, la sortie nucléaire progressive n'aurait sans doute pas non plus été neutre. Cependant, elle se serait soldée, comparativement à la sortie accélérée, par une augmentation moindre puisque moins de kWh nucléaires auraient été remplacés par des kWh gaz et surtout charbon. Donnons une illustration numérique.

Dans l'hypothèse où les 1800 TWh de nucléaires en moins se traduisent par 500 TWh de plus produits par les moyens conventionnels dont moitié charbon et moitié gaz, environ 135 millions de tonnes de CO2 de plus seront rejetées dans l'atmosphère du fait de la sortie accélérée. En prenant la valeur tutélaire du carbone retenu dans le rapport Rocard, à savoir 32 €/t on obtient un coût monétaire de 4,3 milliards d'euros.

Par ailleurs, si l'on tient compte des autres émissions polluantes du gaz et surtout du charbon, il faut ajouter selon les estimations basses de la grande étude européenne ExternE environ 10 milliards d'euros de plus.

L'énergie nucléaire n'émet ni CO2, ni microparticules polluantes, mais elle produit des déchets radioactifs. Les 1800 TWh d'électricité nucléaire en moins du scénario de sortie accélérée impliquent mécaniquement une moindre quantité de déchets produits et donc à retraiter, transporter et stocker. La quantité correspondante est de l'ordre de 40.000 m3 dont 1400 m3 de déchets à durée de vie très longue devant être enfouis sous des couches géologiques profondes.

La gestion des déchets nucléaires a évidemment un coût. Il est estimé aujourd'hui à environ 0,1 c€/kWh, soit 1,8 milliards d'euros pour les 1800 TWh. En l'absence d'accident dans cette phase aval du cycle nucléaire, le coût environnemental se réduit à ce coût technique.

Un risque d'accident effroyable moindre non un accident effroyable évité

Venons-en donc enfin à l'hypothèse d'absence d'accident. Fukushima-Daichi a fait prendre conscience à l'Allemagne qu'elle n'était pas à l'abri d'un accident nucléaire majeur, c'est-à-dire d'un rejet massif d'éléments radioactifs contaminant l'atmosphère ou les eaux, gelant de vastes superficies de terres et entraînant même peut-être la perte de vies humaines. Le Japon est un pays techniquement avancé et une catastrophe nucléaire s'y est pourtant produit. C'est un des principaux arguments avancés par la commission des sages, nommée par Angela Merkel, qui s'est prononcé pour l'accélération de la sortie du nucléaire. Fermer plus tôt les réacteurs permet évidemment de réduire le risque d'accident.

De ce point de vue si l'accélération de la sortie évite un accident majeur en Allemagne (qu'il ait été causé par la fusion du cœur d'un réacteur ou l'attaque de terroristes s'en prenant à un convoi de transport de déchets), il n'y a pas photo : le gain économique de la sortie progressive s'évanouit. Lorsque la décision allemande d'accélérer a été prise, les premières estimations du coût de l'accident de Fukushima Daiichi s'élevaient déjà à une centaine de milliards de dollars.

Mais le risque ne se réduit pas aux dommages. Il est le produit du dommage de l'accident et de la probabilité de l'accident. L'accélération de la sortie du nucléaire ne permet pas d'éviter un coût environnemental certain mais d'éviter un coût multiplié par la malchance d'accident.

La faible probabilité qu'un accident majeur se produise

Appliquons sur un coin de table ce raisonnement à la décision allemande. A très grand trait, la probabilité d'un accident majeur est d'un millionième par année de fonctionnement d'un réacteur, ou dans le jargon 10-6/an.réacteur. La précipitation de l'Allemagne se traduit par une moindre durée d'exploitation des réacteurs de l'ordre de 12 ans en moyenne, soit une durée d'exploitation cumulée en moins de 200 an-réacteur pour l'ensemble du parc.

Supposons que le dommage s'élève à 100 milliards d'euros. Sous ces hypothèses, le risque ainsi évité est de 20 millions d'euros. La perte économique de la sortie accélérée réapparaît car ce montant est très inférieur au seul coût microéconomique estimé plus haut.

Le résultat d'un bilan négatif de l'accélération dont nous avons dit précédemment qu'il ne valait que dans l'hypothèse de l'absence d'accident peut être ainsi reformulé : il est valide en tenant compte de l'évaluation du risque d'accident tel qu'il est calculé par les experts spécialistes de la sûreté nucléaire.

 Un événement rare qui amplifie considérablement l'aversion des individus au risque

Toutefois la décision allemande de l'accélération repose sur le risque perçu par le public et non sur le calcul d'ingénieurs et de scientifiques. Or l'accident nucléaire majeur, à l'instar de l'attaque terroriste ou de la catastrophe naturelle est un événement rare et effroyable et les travaux de psychologie expérimentale ont montré que cette caractéristique amplifie considérablement l'aversion des individus au risque.

Ils ont aussi établi que l'émotion que déclenchent les images de catastrophe, faisait perdre de vue le dénominateur qui définit la fréquence d'un accident. La différence entre une malchance sur 100 ou 1 malchance sur 10.000 disparaît.

En bref, nous sommes spontanément prêts à dépenser des sommes considérables pour réduire les accidents rares et effroyables. Il appartient bien sûr aux décideurs politiques d'agir en tenant compte, soit du risque perçu, soit du risque calculé, soit encore d'un mélange des deux. Le choix politique des élus allemands en faveur de l'accélération de la sortie du nucléaire repose sur la première option.

Quand la France décidera de clarifier sa politique nucléaire à l'égard du parc existant, elle saura grâce à l'exemple allemand que fermer des réacteurs nucléaires en bon état de marche prématurément est économiquement coûteux en termes microéconomique, macroéconomique et même pour l'environnement.

[1] La fermeture de Fessenheim en 2016, soit un peu avant son quarantième anniversaire, est un engagement pris par François Hollande lorsqu'il était candidat à l'élection présidentielle. Il l'a réitéré à plusieurs reprises depuis son accession à la Présidence de la République.

[2] D'après le Journal du Dimanche du 13 octobre 2013, l'Etat français envisagerait l'allongement de la durée de vie des réacteurs jusqu'à 50 ans.

[3] Le Président de la République François Hollande a déclaré à la conférence environnementale du 20 septembre 2013 que la "future loi de programmation sur la transition énergétique posera le principe d'un plafonnement à son niveau actuel de notre capacité de production nucléaire".

[4] Notons que cet écart de dépenses en capital s'observe également sur les kWh à économiser. Les mesures d'efficacité énergétique, par exemple l'isolation des logements, sont en effet également gourmandes en investissement.

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Commentaires 85
à écrit le 27/10/2014 à 21:42
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Une centrale nucléaire n'explose pas et en France les risques sont les plus minimes possibles. Nos réacteurs sont les plus sûrs et reconnus mondialement comme tel, et je ne vois pas pourquoi on continuerait à étudier l'énergie nucléaire si on voulait...

à écrit le 24/10/2013 à 15:11
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Vous oubliez de dire que le nucléaire est une technologie sûr tant que sa ne pète pas,je trouve déplorable de prendre autant de risque, si i un accident majeur arrive il faut évacuer un pays et d'autres pays aux alentours ont aussi des conséquences, ...

le 24/06/2015 à 4:13
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Laisse tomber thom12, les 2 premiers travaillent pour EDF

à écrit le 24/10/2013 à 10:56
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Voici 4 bonnes raisons qui font que les Allemands vont persister dans leur Transition Energétique: ---- 1° Le surcout pour les consommateurs reste raisonnable car les Allemands sont économes dans leur consommation électricité, en moyenne 30% de moins...

le 25/10/2013 à 19:00
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Vos 4 raisons sont séduisantes (elle séduisent même Gaz de Pshit), mais ce ne sont que des chimères. En effet : - vous dites que le surcoût de la facture d'électricité allemande est raisonnable car ils consomment 30% moins que nous. Soit. Mais s'il...

à écrit le 22/10/2013 à 11:22
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Vous faites bien de remarquer que les 25 % de l'énergie produite par le nucléaire ne seront pas remplacés, ni par les moulinettes qui massacrent les oiseaux migrateurs, ni par les panneaux-miroirs aux alouettes. Ils seront remplacés par les centrale...

le 22/10/2013 à 13:19
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C'est sur, ça saute aux yeux, l'Allemagne prend le chemin d'un désastre économique et écologique tandis que la Jeanne d'Arc (radioactive) Française sauvera le monde...mieux vaut en rire !

le 22/10/2013 à 14:32
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Pas tout à fait : le début est exact, l'Allemagne prend bien le chemin d'un désastre économique (cout du kWh exorbitant), écologique (pollution par la combustion massive du lignite) mais aussi industriel : les énergies aléatoires développées massivem...

le 23/10/2013 à 0:30
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C'est sur un gouvernement qui autorise de prolonger des centrales atomiques sans même prendre la peine de consulter son autorité de sureté nucléaire, soit disant la seule habilité à donner ce genre d'autorisation, ça démontre une fois de plus la coll...

le 23/10/2013 à 9:50
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L'Autorité de Sûreté Nucléaire conservera toujours le droit d'arrêter une centrale qui ne répond plus aux exigences de sûreté, car elle est juridiquement totalement indépendante du pouvoir. Vous confondez, car visiblement vous n'êtes pas très informé...

le 24/10/2013 à 10:54
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A bon alors on a le droit de décider qu'on amortirait comptablement une centrale nucléaire 20 ans de plus même si l'ASN pourrait ordonner sa fermeture au bout de 10 ans ? Ma parole c'est encore mieux que David Copperfield, il faut vite autoriser ces...

à écrit le 21/10/2013 à 23:15
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L'élite française dans sa splendeur : parisienne, jacobine, hautaine, et toujours autant anti-allemande. Pendant ce temps là, l'Allemagne a une balance commerciale positive et nous avec notre beau nucléaire sorti des têtes de la crème de la crème on ...

le 22/10/2013 à 10:18
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pourquoi la France se doit de fournir de l'electricité a l'Allemagne qui se met aux éoliennes ? nous perdons du temps ......!!!!

à écrit le 21/10/2013 à 12:32
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L'auteur indique :"la probabilité d'un accident majeur est d'un millionième". D'où sort ce chiffre? Sur les 300 centrales construites dans le monde, on a eu 2 catastrophes majeurs: Fukushima et Tchernobyl (sans parler du reste!!!). Ca fait plutôt qu...

le 21/10/2013 à 13:10
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+1, prof d'économie et pas capable de faire une statistique simple. L'état peut fermer "Mine Paris tech". Ca sera toujours ça d'économisé. En tout cas avec des "élites" de cette trempe, pas étonnant que la situation de la France soit calamiteuse. C'e...

le 21/10/2013 à 14:22
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+2, En bon désinformateur, ce prof d'économie dont les activités sont financées par EDF (regardez son site internet), se garde bien de parler des 800 incidents répertoriés dans nos pétaudières radioactives pour la seule année 2012. Tout scientifique...

le 21/10/2013 à 14:50
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Un millionième par an*reacteur. Donc a multiplier par le nombre de reacteur et leur temps d'exploitation ! Lisez avec plus d'attention svp.

le 21/10/2013 à 17:44
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Il y a une catastrophe tous les 20 ans. La question est de savoir si on prend le risque ou pas. Vous avez plus de risque de mourrir dans un accident de voiture. Vous prenez le risque. Moi je prends le risque plutôt que celui du C02 qui sera bien...

le 21/10/2013 à 18:12
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Un accident grave en France et c'est la mort du tourisme, un secteur économique essentiel à notre pays, ajoutez à cela l'impact sur nos exportations agricoles, et nous nous retrouvons totalement démunis. Plus nos centrales vieillissent et moins elles...

le 21/10/2013 à 19:46
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Env. 500 réacteurs en fonctionnement ou en construction dans le monde en 2012. Dont 5 ont déjà connu des événements catastrophiques. 1%. C'est bien la raison qui empêche les assureurs privés de prendre en charge cette industrie... Ils savent compter....

le 22/10/2013 à 14:22
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Les accidents Ukrainiens et Japonais n'ont pas eu de cause technique mais humaine : à Tchernobyl des apparatchiks inconscients ont voulu faire un essai à haut risque, et au Japon, on a fait l'impasse sur le fait que des tsunamis de 20 m se produisaie...

le 23/10/2013 à 0:34
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@Alain 38 puisque vous détenez la science (supérieure ?) du nucléaire expliquez nous donc, sans mentir, à combien vous estimiez le risque d'accident au Japon avant mars 2011 ?

le 23/10/2013 à 10:03
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Je ne détiens aucune science supérieure, je me suis simplement un peu penché sur les principes de conception, avec un minimum de rigueur, ce qui ne semble pas le cas de tous ceux qui donnent un avis péremptoire sans bases sérieuses. Pour répondre dir...

le 24/10/2013 à 19:42
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@alain38: vous ecrivez que "Les accidents Ukrainiens et Japonais n'ont pas eu de cause technique mais humaine". En même temps vous dites que le risque en France est quasi zero et vous l'expliquez en vous referant à la technologie employée en France. ...

le 28/10/2013 à 19:53
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Tient on dirait que les pro-nucléaire sont un peu embarrassés par les 2 commentaires ci-dessus...qui ne dit rien consent ?

à écrit le 21/10/2013 à 10:56
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Après Tchernobyl et Fukushima, c'est vraiment incroyable de lire encore de telles âneries. Il faudrait que la France remette rapidement les 2 pieds sur terre car ça plane sévère. Finir atomisé et ruiné je ne vois pas quel progrès ça amène. Au contrai...

le 23/10/2013 à 16:28
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Encore des chiffres utilisés à mauvais escient, et avec parti pris. D'après les experts de la Cour des Comptes, l'EPR de série (et pas la tête de série de Flamanville dont le coût de revient n'a aucun sens industriel) "sortira" un kWh à 70 ?/MWh, soi...

à écrit le 21/10/2013 à 9:20
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merci pour cet article qui est au demeurant très exact , on prefere fermer des centrales nucléaires sous le coup de l'émotion et d'un risque conceptuel (au japon il y'a un tremblement de terre par jour et un risque de tsunami par semaine ) , fermer ...

le 21/10/2013 à 10:03
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La majorité des panneaux solaires utilisent encore comme matériau de base le silicium (le plus souvent polycristallin)

le 21/10/2013 à 10:13
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+1 ; d'ailleurs, en lisant leur factur d'électricité des Allemands commencent à en revenir (d'où peut-être le résultat des dernières élections là-bas). En France, c'est dans 10 ans, quand les prix de l'électricité auront triplé et qu'on aura ajouté u...

le 21/10/2013 à 13:28
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-1 dans 10 ans notre prix d'electricite aura triple, oui, mais parce qu'on se sera rendu conpte du cout reel de demantelement de nos centrales ainsi que du cout de realisation du centre d'enfouissement de dechets de Bure. Ce jour-la je parie que vous...

le 21/10/2013 à 14:28
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-2, dès aujourd'hui dans la moitié sud de la France une installation solaire pv en autoconsommation produit une électricité moins couteuse que celle achetée à EDF aux Heures Pleines. Le nucléaire avec sa courbe d'apprentissage négative, a perdu la ...

le 21/10/2013 à 20:30
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a jardinier , les panneaux solaires sont comme un mille feuille tout comme votre écran de telephone portable ainsi que votre dernière TV LCD ou votre moniteur de PC , il contient du silicium mais aussi de l'Indium , cherchez bien , ce matériau est de...

le 21/10/2013 à 21:10
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Je crois que vous faites un amalgame de plusieurs technologies concurrentes de cellules photovoltaïques. Dans les cellules couches minces CIGS (Cuivre, Indium, Gallium, Sélénium), il y a effectivement de l'Indium et du gallium, ce sont des matériaux...

le 21/10/2013 à 21:21
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Et en plus on ne connait pas encore les impacts pour une exploitation de masse sur notre planète (faune, flore, climat...) Comme toujours on cherche à produire plus en ne s'occupant pas des conséquence pour notre avenir, ne serait il pas préférable d...

le 21/10/2013 à 21:25
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a jardinier , les technologies évoluent très vite ces dernières années , en écrans plats aujourd'hui nous sommes au Led , bientôt a l'OLED , seul les process de fabrication demeurent délicats , enfin meme si il y'a quelques grammes d'indium dans un é...

le 21/10/2013 à 21:33
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A j'ai aussi zappé pour réduire notre consommation LES ETATS pourraient incité à avoir moins d'enfants. On est quand même en surpopulation par rapport à ce que notre planète peux supporter. En plus dans le contexte économique de crise si on étaient m...

le 21/10/2013 à 22:01
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j'ai déjà fait des posts a ce sujet , lisez dans la tribune les posts liés a l'énergie ou la démographie , c'est vrai nous sommes nombreux , trop , les pays qui ont une natalité plus faible peuvent partager de plus grosses parts que ceux qui doivent ...

à écrit le 21/10/2013 à 4:49
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concernant les accidents, c est 1 tout les 25 ans avec un parc donne qui augmente chaque annee.d ici 20 ans on peut raisonnablement penser qu il y en aura 1 tout les 10ans

à écrit le 21/10/2013 à 2:51
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Depuis quand les économistes se prennent pour des écologistes et/ou des humanistes ou encore simplement des gens rationnels. Alors profil bas et on ferme son clapets car ce sont bien eux qui nous ont mis dans la mouise avec l'aide d'autres autistes ...

le 21/10/2013 à 9:23
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a propos des fenêtres double vitrage , rien contre , au contraire mais les prix sont multipliés par deux au client final , car l'entreprise sait que comme le contribuable va récupérer une somme par l'état , il peut gonfler ses prix aisément , alors q...

à écrit le 21/10/2013 à 0:29
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Article intéressant, argumenté et équilibré. Il n'est toutefois pas tout à fait reproductible à la France car le coût de la transition en Allemagne tient beaucoup au fait qu'une zone qui produit beaucoup d'énergie notamment éolienne offshore est au N...

le 21/10/2013 à 9:58
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"Nous avons une meilleure répartition des sites de production et consommation." Il n'en est rien. La "doxa" éolienne soutient qu'avec 3 zones climatiques ( océanique, nord, méditerranée ) la production éolienne globale de la France devrait être asse...

à écrit le 20/10/2013 à 22:31
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La sortie du nucléaire est impossible sans stabiliser, dans un premier temps, nos consommations énergétiques. Il est vain de se disputer sans tenter cette première étape..qui sera une révolution pour nos concitoyens. Cette analyse pose, ou tente de p...

le 20/10/2013 à 23:10
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@ Bili, Dans ce cas cette analyse n'apporte rien par ce que ça fait plus de 30 ans que la chasse au gaspi existe. Si on est resté au même niveau global de consommations d'énergie c'est pas à cause de la technologie (qui fonctionne) mais uniquement à ...

le 21/10/2013 à 20:33
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a Atom'cratie , n'oubliez pas les 10 millions de foyers qui sont avec des isolations thermiques inqualifiables , que certains refusent de faire les travaux sous prétexte de voir leurs biens être fiscalement rehaussés en terme d'impôts fonciers , ils ...

à écrit le 20/10/2013 à 20:07
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Au stade actuel de notre dépendance à la consommation d'électricité débridée (merci la généralisation du chauffage et du cumulus électrique) la sortie de l'hégémonie nucléaire civile ne pourra se faire au mieux que sur sur une génération (25 ans).Mal...

le 20/10/2013 à 21:25
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Puis-je vous demander comment chauffez-vous votre maison et comment l'alimentez-vous en eau chaude?

le 20/10/2013 à 22:50
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Bioman a raison, le rejet continue de faibles doses à la Hague contamine toute le mer du Nord depuis 30 ans car les "faibles doses" sont cumulatives. Et puis on en expédie aussi un gros paquet dans la poubelle nucléaire Russe située Tomsk (à revoir d...

le 20/10/2013 à 23:05
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Revoila Jardinier et sa morale consumériste radioactive à 2 euros. Personnellement j'ai construit avec mes petites mains et sans gros budget ma maison passive à énergie positive et plutot que de rechercher mon bonheur en accumulant des vampires énerg...

le 20/10/2013 à 23:51
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C'est très beau! continuez.

le 21/10/2013 à 8:09
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Réponse à "jardinier".Notre maison exposée plein sud (merci le solaire passif) est en classification énergétique "B" avec un combi solaire de marque Allemande (ECS + préchauffage chauffage central) et également panneaux solaires photovoltaïques dédié...

le 21/10/2013 à 9:59
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Vos solutions me paraissent intéressantes mais il est normal que vous consommiez beaucoup moins d'électricité puisque vous vous chauffez au bois (ou équivalent) et que vous utilisez un 'combi solaire'. Il serait instructif de chiffrer avec plus de dé...

le 21/10/2013 à 10:08
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La plupart des français habitent en ville en appartement. Toutes les constructions ne peuvent pas être plein sud. La reconstruction du parc ancien de logement aurait un cout financier et environnemental énorme. Si les panneaux solaires produisent du ...

le 21/10/2013 à 21:16
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Vous avez malheureusement raison et c'est bien la faiblesse du photovoltaique mais aussi de l'éolien qui ne produise pas forcément du courant quand on en a besoin. Seule des méthodes de stockage de l'électricité efficaces et économiques pourraient co...

le 21/10/2013 à 21:26
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"jardinier",nos consommations se résument de la façon suivante : 1600Kw par an pour l'électricité (ENERCOOP),10 000Kw de gaz par an (GDF et bientôt LAMPIRIS grâce à l'initiative de l' UFC QUE CHOISIR),3 ou 4 stères de bois par hiver. La maison a 23 a...

le 22/10/2013 à 1:15
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Notre maison bioclimatique à énergie positive est partagée en 2 pour 2 familles, chacune ayant 100 M2. Ma conso: chauffage poel à bois = 2 steres / an, achat électricité = 30 euros / mois, eau chaude solaire gratuite 90% du temps, gaz = 40 euros / a...

le 22/10/2013 à 8:55
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"solarhome",votre initiative est très originale et avantgardiste. Suggestion,plutôt que d'investir dans des batteries lithium à vos frais,je vous engage à acheter une voiture électrique type "zoé" (15 000 euros) qui permettra le double usage : stock...

le 23/10/2013 à 2:20
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Merci des compliments, je suis dans la maison depuis 3 ans et c'est vrai que désormais il me serait très difficile de retourner vivre dans une maison traditionnelle ( cerise sur le gâteau: on a aussi un jardin potager en Permaculture et quasiment plu...

le 23/10/2013 à 10:30
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@Solarhome Votre choix est respectable, surtout s'il satisfait vos aspirations. Que vous l'exposiez avec fierté est aussi respectable. Mais le temps que vous passez à développer votre passion et surtout le budget que vous y consacrez, ne sont sûremen...

à écrit le 20/10/2013 à 19:10
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En France, le danger du nucléaire n'existe pas, il s'arrête aux frontières. D'ailleurs, Areva forme bien ses ingénieurs de telle sorte qu'ils ne soient pas inquiets eux-mêmes.

le 20/10/2013 à 23:16
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C'est clair c'est le même genre d'ingénieurs prétentieux diplômés de l'X, des Ponts ou des Mines qui ont "stoppé" le nuage de Tchernobyl à nos frontières qui ont aussi stoppé les Allemands avec leurs géniales fortifications Maginot...c'est vachement ...

le 21/10/2013 à 10:06
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@Radio-actif : pour vous corriger, c'est un journaliste qui avait déclaré que le nuage de Tchernobyl s'arrêtait à notre frontière. Les vrais scientifiques ont toujours mesuré une décroissance plus on allait à l'ouest mais pas une annulation !

le 21/10/2013 à 14:30
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Faux c'est un diplomé universitaire Français niveau bac +10: le Pr Pellerin !

le 23/10/2013 à 10:16
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Vous avez tout faux. Ce sont bien des journalistes comme Mamère qui ont inventé cette fable du nuage qui s'arrête à la frontière. Et qui a été condamné à plusieurs reprises, jusqu'en cassation, pour diffamation. Un vrai scientifique tel que le Pr Pe...

à écrit le 20/10/2013 à 18:36
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La différence: En Allemagne les déchets radioactifs seront dangereux jusque dans 50.000 ans. En France seulement 2 jours au pire. Et la radioactivité après un accident est grave en Allemagne et partout, mais pas du tout en France. Il faut juste compr...

à écrit le 20/10/2013 à 18:09
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Très drole cet article sur la sortie du nucléaire ! Peut importe que des intellectuels (financés par EDF) nous fassent rêver sur la sortie progressive ou accélérée du nucléaire, de toutes façon dans la vraie vie il n'y aura aucune sortie. C'est plié,...

à écrit le 20/10/2013 à 17:34
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Plutot qu'un texte soporifique pour faire avaler la couleuvre nucléaire au braves grenouilles Françaises, ça aurait été bien plus instructif que M. Leveque nous fasse bénéficier de sa haute intelligence et décrive comment notre Technocratie devrait f...

à écrit le 20/10/2013 à 17:29
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M. Leveque, tout diplômé que vous êtes, vos analyses du risque nucléaire sont une insulte à la réalité des faits (1 catastrophe tous les 20 ans) et un supplice de plus infligé aux gens qui subiront pendant des siècles les conséquences des catastrophe...

le 20/10/2013 à 23:25
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Les Allemands que nos gros decideurs nationaux aiment a depeindre comme pas tres serieux (!) ont tout simplement pese le pour et le contre de promouvoir les EnR au lieu du nuke et en tirent aujourd'hui les benefices : industrie florissante et exporta...

le 20/10/2013 à 23:51
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Ouais, le Coq est bien embarqué sur la voie express du tiers monde énergétique et économique. Même l?Angleterre, dès 2014, aura plus d'installations solaires que la France, trop la honte !

le 21/10/2013 à 9:33
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ah continuons dans le catastrophisme , bon vous voulez atom des accidents ? , je peux vous fournir une liste de pays nucléaires aussi ou le risque est très grand , armenie , russie , japon , chine , inde , pakistan , là vous aurez votre prochain tche...

le 21/10/2013 à 10:03
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Et si un réacteur tchèque pète à la frontière des Allemands (ce que je n'espère pas), ils auront eu bonne mine de polluer toute l'Europe avec leurs émissions liées au charbon et au lignite ! Néanmoins un tsunami ou un tremblement de terre catastrophi...

le 23/10/2013 à 2:38
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@ balzac et a1039 c'est vous qui faites du fatalisme ! Les Allemands ont pleins de défauts mais ne venez pas leur reprocher de se comporter en autruches: le risque nucléaire est important donc ils en sortent et commencent par le faire chez eux. Quoi ...

à écrit le 20/10/2013 à 16:28
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Quelques commentaires: - à ce jour, plus d'un pour cent des réacteurs construits ont vécu un accident nucléaire grave. Donc les statistiques prises ici m'étonnent. - la région de Fukushima est agricole, je doute que le même accident en banlieue de...

à écrit le 20/10/2013 à 16:08
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Le calcul "gain par reduction de risque d'accident = probabilité d'un accident * coût d'un accident/an" est fort simpliste et ne peut pas être utilisé pour evaluer le benefice d'une sortie du nucleaire. Soit un accident n'arrive pas alors la sortie d...

le 20/10/2013 à 16:36
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Peut-être une raison pour laquelle EDF aimerait que les 40ans soient dépassés (réacteurs amortis financièrement, démantèlement = onéreux (à étaler sur 30 ans, ça se verra moins sur les factures, l'argent prévu pour aurait été dépensé), et si faut en ...

le 20/10/2013 à 21:06
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Oui, je pense que c'est clairement la raison de l'allongement: tout est fait pour prolonger suffisamment la durée des centrales actuelles pour éviter de découvrir trop tôt le coût réel de démantèlement des installations nucléaires: il ne faut pas que...

le 20/10/2013 à 23:45
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@40 Absolument vrai et révélateur ! Y'a as un seul Apparatchik du Corps des Mines qui est pret a ranger un inoffensif petit godet de plutonium dans son jardin, ça prouve à quel point le risque "infinitésimal" du danger nucléaire est assumé.

le 21/10/2013 à 14:39
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Le seul accident nucléaire civil mortel sur un réacteur electro-nucléaire est celui de Tchernobyl. Three Miles Island : 0 morts par radioactivité biens privés détruits par radioactivité : 0 Fukushima : 0 morts par radioactivité biens privés détruit...

le 21/10/2013 à 19:29
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Le calcul de l'espérance en probabilité comme évaluation du coût du risque s'applique sur une population importante sur laquelle surviennent des évènements redoutés. Là l'espérance en terme de coût moyen à un sens. Dans le cadre du nucléaire cet esti...

le 25/10/2013 à 2:28
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La probabilité de 10E-6 d'accident par année et par réacteur n'est pas issue d'une "mesure" comme beaucoup de commentateurs semblent le croire, mais est un choix de niveau de sécurité pour dimensionner et concevoir les équipements. La probabilité d'u...

le 27/10/2013 à 10:53
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Merci DSJ pour cette démonstration efficace et la défense d'un journalisme didactique respectueux des phénomènes physiques élémentaires.

le 29/07/2014 à 23:36
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@uranium 239 sans me sentir à tout prix anti-nucléaire, j'ai quand même l'impression que certains "phénomènes physiques élémentaires" sont traités un peu par-dessus la jambe dans cet article et dans certains commentaires. j'aimerais savoir ce que le...

le 29/12/2014 à 23:49
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J'ai pris connaissance de tous les débats de cette tribune. Je donnerai mon avis dans quelques jours. Je respecte la perception du danger que formulent certaines des personnes qui se sont exprimées. Sans vouloir être pédant, je dirais qu'ayant partic...

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