La France a-t-elle un problème avec l’islam ?

La Tribune publie chaque jour des extraits issus de l'émission "28 minutes", diffusée sur Arte. Aujourd'hui, rassemblement de l’UOIF: la France a-t-elle un problème avec l’islam ?

28 minutes / Arte

17 Avr 2014, 20:18

Reuters

226 actes ou menaces antimusulmanes perpétrés en France en 2013, soit 11,3 points de plus qu'en 2012. C'est la hausse que révèle, pour la troisième année consécutive, le rapport annuel de la Commission nationale consultative des droits de l'Homme.

Alors que se tient dès demain, à Paris, la rencontre annuelle de l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), 28' s'interroge ce soir sur la place de l'Islam en France.

28 minutes

MISE AU POINT
Par Sandrine Lecalvez

RETROVISEUR
Par Marc-Antoine Deporet

Avril 1982, les grèves "saintes"
Des ouvriers, en majorité des immigrés, déclenchent un mouvement de grève au sein de l'industrie automobile. Retour sur la première politisation de la question musulmane.

VU D'AILLEURS
Par Juan Gomez

New York : la police surveillait les musulmans
C'est une annonce qui fait beaucoup de bruit : la police de New York ferme son unité chargée d'espionner la communauté musulmane. Secrètement, depuis plus de 10 ans, des policiers en civils surveillaient les lieux de culte, les restaurants, les librairies et magasins fréquentés par les musulmans. Cette unité avait été mise en place après les attentats du 11 septembre. Objectif affiché : détecter les menaces terroristes.

DEBAT
Pour en débattre, Marwan Mohammed, sociologue et chargé de recherche au CNRS, la journaliste Elisabeth Schemla, et Jean-Claude Kaufmann, sociologue et directeur de recherche au CNRS.

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Frédéric Valletoux : « Nous allons créer la consultation en soins infirmiers »

Commentaires 14

عبد السلام à écrit le 28/09/2014 à 21:35

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nanar2 à écrit le 23/04/2014 à 10:32

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Non la France n'a aucun problème avec l'islam, c'est plutôt l'inverse, car l'islam est incompatible avec la démocratie et pas seulement qu'en France. Dans tous les pays d'Europe ou des musulmans ont émigré, se pose le même problème. D'ailleurs cett...

lefranco à écrit le 21/04/2014 à 17:44

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Dans la nuit du29 au 30mars dernier, a EVRY, ville de Mr Valls, alors qu'elle sortait du RER, une jeune fille Française, est abordée par 4 jeunes et emmenée de force dans un parc voisin, pour la FRAPPER, LA VIOLER, et URINER DESSUS, ils l'on violer,...

taranis à écrit le 20/04/2014 à 17:51

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Les fondamentalismes sont des projets politiques qui utilisent la religion pour accéder au pouvoir et y rester. Ils recherchent le contrôle de l’État ou d’une collectivité par une lecture sélective des textes religieux afin d’aboutir à une identité c... Les fondamentalismes sont des projets politiques qui utilisent la religion pour accéder au pouvoir et y rester. Ils recherchent le contrôle de l’État ou d’une collectivité par une lecture sélective des textes religieux afin d’aboutir à une identité collective, unique, censée être « pure » ou « authentique ». Ces mouvements sont hostiles à la multiplicité des interprétations au sein de leurs propres traditions religieuses et aux tentatives de s’éloigner de ces traditions. La contestation est souvent considérée comme blasphème. De la même façon, les mouvements nationalistes extrémistes peuvent également se construire autour d’une origine ethnique « pure » et le mythe de l’origine. Pour atteindre leurs objectifs politiques, ces mouvements recherchent souvent le pouvoir par la peur, l’intimidation et le recours stratégique à la violence. La religion joue un rôle direct et indirect en politique, dans les affaires de l’État et dans la création de normes juridiques à partir d’interprétations discriminatoires des textes religieux qu’ils soient chrétiens, musulmans, judaïques, hindous, bouddhistes ou de tout autre secte ou croyance. Cela induit une subordination plus grande des femmes et une plus grande restriction de leurs choix. Dans ces contextes, toute idée extérieure aux sources religieuses, liée à l’universel, comme les concepts des droits humains et des droits des femmes, est diabolisée. Dans les contextes marqués par des extrémismes se replient sur elles-mêmes mais mettent en valeur symboliquement les femmes en tant que gardiennes « l’honneur » de la communauté. De nombreuses organisations fondamentalistes « réinventent la tradition » pour créer de nouvelles normes encore plus restrictives que les pratiques traditionnelles. Par exemple, dans des situations d’insécurité, les familles peuvent marier leurs filles à un âge plus jeune que celui des filles de la génération précédente. Ici, les droits des femmes à la sécurité, à la liberté de mouvement et à l’instruction sont de plus en plus menacés. Le contrôle de la vie des femmes – leur esprit et leur corps – occupe une place centrale dans les objectifs des intégrismes religieux et des nationalistes extrémistes Le pouvoir patriarcal, la mondialisation, la militarisation et les multiples formes d’extrémismes religieux et nationalistes constituent les principaux contextes ou environnements où les militants des droits humains doivent travailler. Les femmes défenseurs des droits humains doivent agir avec ces idéologies comme des entraves structurelles à leur propre liberté et leur action pour la réalisation des droits fondamentaux des autres. Résister aux conservatismes et autres intégrismes qui montent un peu partout, et impulser l’égalité entre femmes et hommes dans tous les enjeux politiques, économiques, sociaux, écologiques, diplomatiques. Des militant-e-s féministes portons un projet de construire une Europe des droits des femmes au mois de mai Profondément révolté-es par les reculs des droits des femmes observés ces derniers temps en Europe

Michel à écrit le 20/04/2014 à 12:22

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Ce serait plutôt l'Islam et ses dignitaires religieux qui ont un problème avec la France et les valeurs de la république... car seul l'autorité divine est reconnue.

Réponse de JEANPIN le 22/04/2014 à 15:50

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PARFAITEMENT BIEN DIT

L'Irak a-t-il problème avec les chrétriens ? à écrit le 20/04/2014 à 8:49

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Jour après jour, l'exode des chrétiens d'Orient LEMONDE | 02.11.10 | 13h20 Difficile de parler de "terrorisme aveugle" quand des prêtres et des fidèles assistant à la messe dominicale sont tués dans leur église, à la veille de la Toussaint. C'e... Jour après jour, l'exode des chrétiens d'Orient LEMONDE | 02.11.10 | 13h20 Difficile de parler de "terrorisme aveugle" quand des prêtres et des fidèles assistant à la messe dominicale sont tués dans leur église, à la veille de la Toussaint. C'est ce qui vient de se passer à Bagdad, où une prise d'otages s'est achevée dans un bain de sang, dimanche 31 octobre, après l'intervention de l'armée irakienne. Bilan : plus de cinquante morts, en majorité des femmes et des enfants. Près de l'église Sayidat Al-Nejat, au lendemain de l'explosion. Le massacre de Bagdad accentue le désarroi des chrétiens d'Irak La prise d'otages visait la communauté chrétienne du pays, régulièrement prise pour cible par les "milices islamistes" qui déstabilisent l'Irak depuis la chute de Saddam Hussein. Ce nouveau jalon tragique d'une histoire récente, qui en compte beaucoup d'autres, ne manquera pas d'alimenter une tragédie en cours depuis plusieurs années : l'exil des chrétiens d'Orient. Islamisme, guerres, conflits divers, notamment israélo-palestinien, pauvreté, les causes sont nombreuses qui expliquent ce drame : les chrétiens fuient les lieux qui sont le berceau de leur foi. L'archevêque de Kirkouk, autre ville irakienne, disait redouter un "exode mortel" lors du synode consacré aux chrétiens d'Orient, du 10 au 24 octobre, au Vatican. Le gouvernement français, qui a accueilli 1 300 chrétiens d'Irak depuis 2008, a proposé, lundi 1er novembre, d'en recevoir 150 autres. Ils rejoindront dans l'exil près de la moitié de la population chrétienne d'Irak qui a fui le pays depuis une vingtaine d'années. Avec quelque 500 000 chrétiens encore sur place, l'Irak est le pays du Moyen-Orient qui a connu la plus forte hémorragie ces dernières décennies. Une accélération est à l'oeuvre depuis l'invasion américaine de 2003 et les violences qui en ont découlé. Le problème concerne toute la région. Pour le jésuite égyptien Samir Khalil Samir, l'un des artisans du synode, la disparition des chrétiens d'Orient n'est pas "une simple hypothèse" : en un siècle, la population chrétienne de Turquie est passée de 20 % à 0,2 %. Sur la même période, la part des chrétiens dans les pays qui ont vu naître et prospérer le christianisme est passée de 15 % à 6 % aujourd'hui. En l'absence de statistiques fiables, les chiffres communément admis font état de quelque 20 millions de personnes sur une population de 350 millions, au Proche et Moyen-Orient. Le Liban abrite toujours la plus forte proportion de chrétiens. Un ensemble de raisons économiques, politiques, démographiques et religieuses explique cette lente évaporation. Mais, depuis quelques années, le clergé et les fidèles mettent surtout en avant l'islamisation croissante des sociétés dans lesquelles ils vivent. "Les musulmans ne distinguent pas religion et politique", rappelaient les évêques lors du synode. Pour les communautés concernées, au-delà de l'islam radical, c'est désormais la confrontation au quotidien avec un islam politique qui rend difficile la survie de la culture et des traditions chrétiennes. Le Vatican a dit son désarroi. Il ne devrait pas être seul : l'exode des chrétiens d'Orient est un drame qui nous concerne tous. Article paru dans l'édition du 03.11.10

Réponse de taranis le 20/04/2014 à 18:25

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Les actes de répression et d’intimidation que subissent les populations civiles irakiennes en général, les chrétiens en particulier, visent à vider l’Orient arabe de sa plus vieille composante humaine et à défaire sa pluralité civilisationnelle, ains...

Le Nigeira a-t-il un problème avec les chrétriens ? à écrit le 19/04/2014 à 14:20

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Le Monde.fr avec AFP | 30.12.2012 à 18h39• Mis à jour le 30.12.2012 à 18h41 Quinze chrétiens ont été égorgés dans leur sommeil par des islamistes présumés au cours d'une attaque survenue vendredi 28 décembre à Musari, un village du nord-est du Ni...

La Syrie a-t-elle un problème avec les religions chrétiennes ? à écrit le 19/04/2014 à 12:44

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Syrie: Une religieuse dénonce des crucifixions de chrétiens par des djihadistes Créé le 19/04/2014 à 09h37 -- Mis à jour le 19/04/2014 à 09h40 MONDE - Sur Radio Vatican... Des chrétiens qui refusaient de prononcer la profession de foi mus... Syrie: Une religieuse dénonce des crucifixions de chrétiens par des djihadistes Créé le 19/04/2014 à 09h37 -- Mis à jour le 19/04/2014 à 09h40 MONDE - Sur Radio Vatican... Des chrétiens qui refusaient de prononcer la profession de foi musulmane ou de verser une rançon ont été crucifiés par des djihadistes en Syrie, a dénoncé ce vendredi à Radio Vatican une religieuse syrienne. Selon Sœur Raghid, qui a dirigé l'école du patriarcat gréco-catholique à Damas, et qui vit maintenant en France, «dans les villes ou villages qui sont occupés par les éléments armés, les djihadistes et tous les groupes musulmans extrémistes proposent aux chrétiens soit la chahada (la profession de foi musulmane) soit la mort. Quelques fois, on demande une rançon». «C'est impossible, a-t-elle ajouté, de renier leur foi donc, ils subissent le martyr. Et le martyr d'une façon extrêmement inhumaine, d'une extrême violence qui n'a pas de nom. Si vous voulez des exemples, à Maaloula, ils ont crucifié deux jeunes gens parce qu'ils n'ont pas voulu dire la chahada. Ils disent "alors, vous voulez mourir comme votre maître en qui vous croyez. Vous avez le choix: soit vous dites la chahada, soit vous êtes crucifiés."» Ils joueraient au football avec des têtes «Il y en a un qui a été crucifié devant son papa. On a même tué son papa. Ce qui s'est passé par exemple à Abra, dans la zone industrielle, dans la banlieue de Damas», a-t-elle rapporté. Selon elle, après des massacres, des djihadistes ont parfois «pris les têtes et joué au foot avec elles», ont pris les bébés des femmes et «les ont accroché aux arbres avec leurs cordons ombilicaux». Radio Vatican a publié cette interview le jour où l'Eglise commémore la crucifixion du Christ à Jérusalem. Alors que la guerre civile donne lieu à des massacres commis par toutes les parties, la minorité chrétienne s'est en majorité prononcée pour le régime laïc de Bachar al-Assad, par crainte précisément des islamistes. — Avec AFP

Bof à écrit le 18/04/2014 à 21:06

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Bof, mieux vaut rien dire sur le sujet, cela risque d'être mal interprété.

Lemans à écrit le 18/04/2014 à 15:20

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nous, pourquoi? dans le sens contraire, ne serait ce pas eux, qui ont un problème envers nous..? on peut retourner la question, non?....

Réponse de @ Lemans le 18/04/2014 à 18:30

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Tous a fait; ils nous imposent chez nous leur idées comme nos ancêtres en temps que catholique l'avaient fait chez eux ils y a à peine quelques siècles. Et en plus ils nous reprochent ce que nos ancêtres ont fait aux leurs...

Bref à écrit le 18/04/2014 à 14:43

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Il n'y a que les médias pour avoir un problème avec l'Islam comme avec le Judaïsme c'est "l'image"... de trop!

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