La remise à plat de la France
Chaque matin, l'actualité commentée par Marc Fiorentino...
Chaque matin, l'actualité commentée par Marc Fiorentino...
Les responsables de la chaîne de restauration ont été convoqués par une Commission parlementaire pour s'expliquer de ses pratiques fiscales au Royaume-Uni où le groupe ne déclare presque rien alors qu'il y dégage d'importants profits
Le chef de l'État, dont le programme électoral prévoyait une forte taxation des entreprises, est prêt à l'adoucir sur certains points. Ainsi, la non déductibilité des intérêts d'emprunt pour l'achat de titres de participation serait amendée...
Une majorité de Canadiens accepteraient de payer plus d'impôts pour réduire les inégalités, perçues comme un danger "pour les valeurs canadiennes", selon un sondage rendu public mardi.
Par Jean-Charles Simon, directeur des études chez Scor
Par Jean-Charles Simon, chef économiste de Scor SE.
Xavier Bertrand se dit favorable à ce que les fortes rémunérations ne soient plus déductibles de l'impôt sur les sociétés.
Dans un entretien à La Tribune, Algirdas Semeta, le commissaire européen chargé de la fiscalité, plaide pour une harmonisation rapide de l'assiette de l'impôt sur les sociétés dans l'UE, le cas échéant par une coopération renforcée.
Dans un entretien à « La Tribune », Algirdas Semeta, le commissaire européen chargé de la fiscalité, plaide pour une harmonisation rapide de l'assiette de l'impôt sur les sociétés dans l'UE, le cas échéant par une coopération renforcée.
Classé première économie africaine depuis peu, le Nigéria est en proie, malgré sa forte croissance, à de lourds problèmes structurels : corruption, climat des affaires désastreux, absence d'Etat, hausse de la pauvreté.. Par Quentin Gollier,...
En marge du conseil des ministres conjoint, la proposition de François Hollande de créer un "Airbus de l'énergie" n'a pas rencontré un grand succès en Allemagne. Peu de décisions concrètes sont attendues malgré des débats houleux sur la fis...
L'austérité est en fait un renoncement des responsables politiques à leur pouvoir économique. Ils attendent tout des banques centrales, qui n'en peuvent mais. Par Michel Santi*