Comment Booster Academy aide les entrepreneurs, cadres, commerciaux à doper leurs ventes

En période de crise, plus que jamais, il faut savoir vendre. Booster Academy, qui se positionne comme le seul centre d'entraînement intensif à la vente en France, garantit une augmentation du business de 20 à 200%. Fort de son succès dans l'Hexagone, sa dirigeante, songe désormais à développer son concept à l'international
Présente au cœur des grandes villes de l'Hexagone, Paris, Lille, Bordeaux, Lyon, la société va s'installer à Nantes en septembre, puis Grenoble et Marseille dans les mois suivants. A l'international, elle pourrait commencer par s'implanter notamment au Maroc et en Afrique noire, où la demande est forte, d'ici 2015. © Booster Academy

« Désormais, se former à la vente chez nous fait partie intégrante des choix stratégiques de nombreuses entreprises », lance Evelyne Platnic Cohen. Pourtant, lorsque cette spécialiste reconnue de la vente - élue meilleur vendeur à 22 ans de Vivendi dont elle est devenue par la suite directrice des ventes et directrice commerciale - a créé Booster Academy en 2008, beaucoup étaient sceptiques. Le concept était novateur : un centre qui propose un véritable entraînement à la vente. Et, qui s'adresse tout aussi bien aux commerciaux, aux cadres, qu'aux chefs d'entreprises... Aujourd'hui, cela la fait sourire. Sa société a été rentable dès la première année et a connu une croissance de 15 % par an. Booster Academy a réalisé 2,5 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2012 avec ses 17 salariés et vise les 3,5 millions cette année.

L'efficacité du coaching est mesurée

Sa méthode est bien rodée : évaluation, simulation, jeux de rôles et coaching. Chaque candidat est préparé de façon personnalisée et intensive en l'espace de six demi journées en moyenne. Dans un premier temps, le niveau de vente des candidats est évalué sur une grille de 1 à 12. Chacun achète les niveaux, dont il a besoin pour devenir un « vendeur d'élite ». On apprend, entre autres, que vendre, ce n'est pas parler, mais d'abord écouter et poser des questions. Comptez entre 1 000 et 3 500 euros pour obtenir un niveau. Une somme non négligeable, mais Booster Academy se différencie en promettant des résultats. « Il y a une augmentation immédiate du business de 20 à 200 % », assure Evelyne Platnic Cohen. « Depuis 2009, tous nos vendeurs, soit 150 personnes, sont évalués et formés par Booster Academy. Et, nous avons gagné des parts de marché », confirme Pierre Janthial, directeur commercial de Volvo Automobiles.
Parmi les clients d'Evelyne Platnic Cohen, il n'y a pas que des grands comptes. 50% de l'activité concerne « Mr tout le monde », entrepreneur, vendeur, cadre. « L'acte de vente me faisait peur. Grâce à Booster Academy, je le vois comme quelque chose de passionnant », raconte Henri Gayet, 47 ans, ancien directeur administratif et financier à GDF-Suez, qui vient de créer sa société de conseils en économies d'énergie dans le tertiaire.

Ambitions et projets

Présente au c?ur des grandes villes de l'Hexagone, Paris, Lille, Bordeaux, Lyon, Evelyne Platnic Cohen, propriétaire à 95% de sa société, déborde d'ambitions et de projets. Elle envisage maintenant d'exporter son concept à l'international avant 2015. « Ces règles et le sens dans lequel on doit maintenir un entretien de vente, sont identiques partout dans le monde », précise-t-elle.
Booster Academy pourrait commencer par s'implanter notamment au Maroc et en Afrique noire, où la demande est forte. Mais, d'ici là, elle va s'installer à Nantes en septembre, puis Grenoble et Marseille dans les mois suivants. Jusque-là, Evelyne Platnic Cohen a réalisé un parcours sans faute. Souvent sollicitée par les médias, auteur d'un best-seller - « Le pouvoir de vendre » aux éditions Eyrolles en 2011 - elle a parfaitement réussi à... « se vendre » et à vendre son concept.
 

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Commentaires 12
à écrit le 07/02/2013 à 2:54
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Tiens on parle encore d'elle... Elle doit vraiment avoir de sacrés relais pour qu'autant de journalistes fassent des articles sur sa boîte et les rédacteurs en chef les suivre.

à écrit le 06/02/2013 à 11:33
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Je suis assez d'accord avec Flora. Quelles sont les méthodes utilisées? Répondre au besoin du client, bien entendu c'est la base de la vente, mais lui créer des besoins et le "manipuler", allez osons le mot, pour le faire passer à l'acte d'achat... a...

le 06/02/2013 à 15:20
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"ça peut donner l'idée à d'autres de se lancer" pas de problème cette société cherche à se développer en France et à l'étranger raison pour laquelle elle fait parler d'elle pour attirer les candidats ( voir son site ) preuve s'il en est qu'elle sait ...

le 06/02/2013 à 18:18
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Vous êtes un de leur concurrent ou quoi? Relaxe...

à écrit le 06/02/2013 à 11:11
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Ce genre de publireportage n'a rien à faire dans les colonnes de La Tribune. Zéro recul journalistique, aucun professionnalisme. Article scandaleux. A jeter.

à écrit le 06/02/2013 à 10:55
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Très bon sujet, essentiel à l'heure du e-commerce : quand vous allez dans un magasin, c'est pour avoir des conseils donnés par un vendeur ou une vendeuse, des conseils que vous n'avez pas sur Internet. Or bien souvent, soit il n'y a pas de vendeur ou...

à écrit le 06/02/2013 à 10:44
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Il me semble que le journaliste cite Mr Pierre Janthial et Mr Henri Gayet... deux clients visiblement satisfaits...certains étaient peut-être insatisfaits, qu'ils s'expriment ici et nous racontent leur expérience. Je serai curieuse de connaître ...

à écrit le 06/02/2013 à 10:15
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Cet article ressemble étrangement à un publi reportage !!! S'il se veut etre de l'information il faudrait que le journaliste questionne ceux qui ont fait cette formation et vérifie les résultats.Se contenter de rapporter les dires de la chef d'entrep...

le 06/02/2013 à 10:31
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Non, ce n'est pas un publi-reportage. Avant d'insulter le travail des journalistes, il faudrait lire l'article dans sa globalité. Deux personnes qui ont participé à la formation sont interrogées :« Depuis 2009, tous nos vendeurs, soit 150 personnes, ...

le 06/02/2013 à 11:12
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L'article ne parle pas d'une méthode mais cite une entreprise et en fait la promotion ce que je considère ( peut etre en me trompant) que cela est à la limite de la déontologie du journalisme ! Par ailleurs en quoi est ce une insulte d'exprimer son...

le 06/02/2013 à 11:46
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C'est hallucinant, quels sont les médias qui pratiquent cela? Des noms, des noms! :-)

le 06/02/2013 à 15:16
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Dans la presse magazine vous avez régulièrement des encarts publicitaires ventant les bienfaits de tel ou tel produit ( miracle !!) pour raviver vos meubles ou donner une nouvelle jeunesse à vos genoux !!!! et pour vous convaincre vous avez le témoig...

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