L'embarrassant passé du président de la CCI Lyon

La présidence de la CCI Lyon qu'il accomplit non sans succès depuis 2010, Philippe Grillot l'a conquise après avoir occupé celles du Tribunal de commerce de Lyon (2004-2008) puis du syndicat national des transporteurs TLF (2008-2011). Une double responsabilité dont l'examen révèle de troublants constats : selon nos informations, sa trajectoire professionnelle n'était pas compatible avec l'exercice de la justice consulaire, c'est au prix d'un séisme interne qu'il pratiqua le syndicalisme patronal.
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Sur sa biographie officielle, le chapitre professionnel de Philippe Grillot est succinct et moins nourri que les étapes de son cheminement institutionnel ou syndical, marqué notamment par la vice-présidence nationale du Centre des jeunes dirigeants. Ni dates ni détails quant aux sociétés "PHG Développement, EM2S, EM2S 18, NCT, ABL, Transrad" qu'il dirige ou aurait dirigées, et aucune précision quant à ce que l'on suppose être son activité actuelle, "transports nationaux et internationaux de matières dangereuses, 100 personnes". Louable modestie, suspecte opacité, coupables omissions ? Ces méandres aspirent-ils à masquer des errements et à romancer l'histoire ? L'examen circonstancié de sa trajectoire entrepreneuriale éclaire d'importantes zones d'ombre.
Selon lui, c'est en 1971 que Philippe Grillot intègre, en qualité de simple coursier en douanes, la société de transports Gondrand. Vite remarqué pour ses dispositions et ses ambitions, il y occupe successivement des responsabilités commerciales, crée des agences (Dole, Chalon-sur-Saône), assure la responsabilité des régions Bourgogne puis Rhône-Alpes. Sa clientèle, notamment Framatome, le spécialise naturellement dans le transport de produits et matériels nucléaires, le convainc en 1982 de fonder sur cette niche sa propre société, EM2S, et ainsi de quitter Gondrand. Officiellement parce que l'insuffisante activité d'EM2S ne peut lui assurer des revenus, il exerce en parallèle comme "cadre" chez Extrans, propriété des Transports Aubry, de 1988 à 1991. Mais la réalité pour partie diffère. Selon nos sources, il n'est plus salarié de Gondrand à partir du 16 mai 1988, et l'activité d'EM2S, initiée le 22 avril de cette même année sous la raison sociale EMIIS suite à l'achat d'un fonds de commerce avant d'être rebaptisée de son libellé définitif en 1993, aurait été créée simultanément au sein d'Extrans, dont il est davantage qu'un simple cadre : directeur général.

Dépôt de bilan

Or Extrans, qui emploie au moins 1 200 salariés, entretient plus de 1 000 véhicules et produit 1,1 milliard de francs de chiffre d'affaires, est rachetée en juillet 1991 par le groupe Norbert Dentressangle. Le capital de l'entreprise étant détenu à 49 % par des établissements financiers qu'elle pense suffisamment précautionneux de la gestion, la direction du transporteur drômois conclut l'acquisition avant d'achever l'audit financier.
Ce dernier, confié à Coopers & Lybrand, révèle alors une situation apocalyptique : des anomalies dans la présentation des comptes et dans certaines opérations effectuées, surtout un passif réel proche des 800 millions de francs et donc... 30 fois supérieur à celui présenté par le PDG cédant Patrick Aubry, propriétaire de 51 % du capital. Le dépôt de bilan s'impose, entraînant dans sa chute des centaines de sous-traitants, tractionnaires et affrétés permanents, que le consortium composé des groupes Bourgey Montreuil, Charles André, Giraud et Samat, retenu le 26 février 1992 par le Tribunal de commerce de Lyon pour reprendre l'activité d'Extrans et de ses filiales, s'engage à indemniser à hauteur de 11 768 197 francs.
Alain Ribeyre, alors avocat du groupe Norbert Dentressangle, épargne Philippe Grillot : "Il exerçait certes de hautes responsabilités, mails il n'était pas complice ou seulement informé des agissements ou dissimulations". Jean-Claude Michel, directeur général du groupe Norbert Dentressangle et nommé président d'Extrans une fois Patrick Aubry débarqué, est davantage circonspect. "La situation financière dont nous avons hérité résultait au moins autant d'interprétations comptables contestables que de véritables malversations. Philippe Grillot était-il au courant ? Le doute subsiste. Rien de concret ne le laisse penser, et je n'ai jamais disposé de preuves. Mais je m'interroge : un directeur général pouvait-il ne pas savoir ?".

Incompatibilité juridique

Toutefois Philippe Grillot n'est pas "que" directeur général d'Extrans ; il préside également les filiales R. Ollivier, Padijou, Transports Philippon, Onasud et Onater déclarées en cessation de paiements le 21 octobre 1991, et placées en redressement judiciaire deux jours plus tard. La déclaration de cessation de paiement d'Onater fait état d'un passif de 78 millions de francs qui, une fois l'actif retranché, atteint 10 millions. "Des filiales d'Extrans, Onater était celle qui avait le plus "planté" les affrétés", affirme Jacques Sorlin, délégué Rhône-Alpes de la FNTR (Fédération nationale des transporteurs routiers).
Des sous-traitants pour la plupart "modestes transporteurs" parmi lesquels, se remémore Jean-Claude Michel, certains connaissent de "dramatiques issues". La situation interroge au-delà de l'échec, respectable et consubstantiel à toute responsabilité entrepreneuriale, du "patron" Grillot - également directeur général ou administrateur de Marquis frères, PA Extrans, Transports Drouilhou-Lascombes, autres sociétés précipitées dans les mêmes limbes - : les statuts du Tribunal de commerce (articles L723-4 du Code de Commerce), qui considèrent "inéligibles à la fonction de juge ceux qui ont fait l'objet d'une procédure de redressement ou de liquidation judiciaires", mettent donc en cause sinon sa légitimité - son bilan final plaidera en sa faveur -, au moins la légalité de sa désignation aux rangs de juge (à partir de 1998) puis de président du Tribunal de commerce de Lyon (de 2004 à 2008) et de membre du Conseil national des tribunaux de commerce (2 006). Des statuts auxquels il s'était pourtant engagé par serment à souscrire.

Parcours franc-maçon

"Jamais, si j'avais connu une telle situation personnelle, je n'aurais osé postuler à la fonction de juge", affirme un ancien président de tribunal. Par le truchement de quels appuis, de quelles dérogations, de quelles dissimulations ou protections, l'ancien président d'Onater a-t-il pu ainsi accéder à une telle responsabilité juridique qui lui était... juridiquement inaccessible ? Un mystère que le parcours franc-maçon de l'intéressé - officiellement séparé de la GLNF depuis 2009 - peut permettre d'éclairer, et dont les répercussions collatérales pourraient réserver des surprises.
Lors de l'assemblée générale de la CCI Lyon qui s'est tenue le 18 mars et en conclusion de laquelle il s'est longuement « répandu » sur cette enquête publiée cinq jours plus tôt dans « Acteurs de l'économie », lui-même aurait évoqué les contestations dont pourraient faire l'objet les « 700 » dossiers traités du temps de sa présidence.

Mystérieuse Agape

Simultanément à la croissance d'EM2S - qui comptera jusqu'à une centaine de collaborateurs et réalisera un chiffre d'affaires de 27 millions d'euros -, Philippe Grillot développe EM2S 18, rachète NCT et sa filiale belge Transrad, et regroupe ces entités au sein d'une société holding, PHG Développement. En 2006, il cède au groupe orléanais Deret l'ensemble de ses activités, exceptée EM2S 18 - en 2011, cette société dont il détient 80 % du capital, employait 15 salariés, produisait 2,019 millions d'euros de chiffre d'affaires et 2 300 euros de résultat.
Mais, immatriculée à Saint-Florent-sur-cher, EM2S 18 ne peut conférer à Philippe Grillot le droit de se présenter à la présidence de la CCI Lyon en 2010. C'est donc au nom de la société immobilière Agape, domiciliée quai Charles de Gaulle, que l'intéressé, par ailleurs PDG de Lyon Basket Féminin, exercera sa responsabilité consulaire. Une société affectée à la location de logements meublés et dont les bilans comptables 2008, 2010, 2011 dissonent pour le moins des règles financières élémentaires : les pertes (respectivement 32 502, 33 200 et 30 900 euros) sont supérieures... aux (maigres) chiffres d'affaires (28 173, 26 200, 27 800 euros).

"Autocrate"

Le parcours entrepreneurial n'est pas seul à interroger la crédibilité de Philippe Grillot ; le bilan du "syndicaliste" y contribue également. C'est de janvier 2008 à mars 2011 qu'il occupe la présidence nationale de TLF (fédération des entreprises de Transport et Logistique de France), dont il avait assuré quatre ans plus tôt la délégation Rhône-Alpes. C'est, à l'instar de sa désignation à la tête du Tribunal de commerce de Lyon, "choisi" non sans surprendre qu'il accède à cette responsabilité jusqu'alors bicéphale.
Ses prédécesseurs Alain Bréau et Alain Fauqueur l'adoubent, et la faculté de leur successeur à établir le dialogue et le consensus au sein de la formation patronale adhérente du Medef comme à apaiser les tensions endémiques avec les autres syndicats rivaux du secteur des transports, FNTR en tête (affiliée à la CGPME), est plébiscitée. Mais l'unanimité se lézarde rapidement.
Présidents de groupes de transports ou anciens dirigeants de l'organisation professionnelle dénoncent l'éviction "inacceptable et incompréhensible" d'une partie de l'équipe décisionnelle, une approche "dictatoriale" de la gouvernance, et un exercice "autocrate" du pouvoir qui rompent d'avec les pratiques qui prévalaient jusqu'alors. Le délégué général Hervé Cornède et d'autres cadres sont écartés, l'espace décisionnel faisant alors place à un conseiller spécial, appelé, selon l'un d'eux, à "mettre de l'ordre". Un conseiller très spécial, à l'aune d'un parcours et d'un passé singuliers. Claude Blot, Saint-Cyrien et parachutiste, qui partage avec Philippe Grillot une même entente avec l'ancien ministre des... Transports Dominique Perben qu'ils soutinrent lors de sa candidature à la mairie de Lyon en 2008, a en effet été directeur de cabinet du Préfet des Landes, directeur adjoint du cabinet de l'ancien édile lyonnais Michel Noir alors ministre du Commerce extérieur, directeur général du Centre Français du Commerce Extérieur et du Palais des Congrès de Paris, président de la Société Financière du Domaine de Divonne (exploitant le casino) ou de la société de transports Transalliance alors aux mains du Consortium de réalisation (CDR)...
Celui que le journaliste spécialisé Louis Guarino (L'Officiel des transporteurs) rebaptise "spin doctor de Philippe Grillot" fait ainsi irruption sans que quiconque puisse en circonscrire véritablement la genèse ou le dessein. Reste que cette forte personnalité, aujourd'hui vice-président du syndicat, membre du comité exécutif du Medef, et président du Groupement Interprofessionnel du Transport et de la Logistique (GITL), participe à sceller le sort du successeur d'Hervé Cornède, Hervé Le Jeune, qui démissionne le 7 janvier 2010... un mois après sa nomination.

Saignée

C'est dans ce contexte que Philippe Grillot conduit, à l'automne 2009, la négociation avec les pouvoirs publics, à l'issue de laquelle TLF va connaître une brutale dislocation. L'environnement de cette négociation est alors explosif, les syndicats de salariés menaçant de paralyser le pays. TLF, qui rassemble davantage de sociétés de messagerie ou commissionnaires de (tous types de) transport(s) - et dont l'activité est particulièrement concernée par les menaces à l'approche des fêtes de fin d'année - que d'entrepreneurs routiers, conclut le 11 décembre avec le ministère ad hoc alors aux mains de Dominique Bussereau un accord stipulant une augmentation de salaire de 4% pour les chauffeurs routiers.
"Trahison", clament alors des dirigeants d'entreprises de transport affectées par cette mesure. "Trahison" que le président de l'une d'elles corrèle à la "stratégie" de Philippe Grillot "mobilisé" à instrumentaliser l'intérêt général au profit de son intérêt personnel. Et "trahison" qui prend la forme d'un départ hémorragique d'adhérents historiques du syndicat qui, synthétise Alain Bréau, punissent là autant l'accord intrinsèque que les méthodes organisationnelles et managériales du président. Le traumatisme est immense au sein de la profession, et la déliquescence semble inexorable. Claude Blot, par ailleurs laudateur sur son ancien président, le concède lui-même : "Nous avons mal communiqué, et c'est à mettre au débit de Philippe. L'insuffisance des relais territoriaux nous a également affaibli". Des délégations régionales (Poitou-Charentes, Pays de Loire) de l'organisation sont exsangues. TPE, PME, ETI, et, nonobstant les dénégations de Philippe Grillot, quelques enseignes emblématiques, prennent le large : groupes Norbert Dentressangle - par ailleurs en conflit avec l'un des poids lourds de TLF : SNCF-Géodis -, EB Trans, De Rijke, Capelle, Girard, Fedex. Et même Mory, présidée par... Alain Bréau.

Détérioration des réserves

Pire, certaines d'entre elles s'arriment à "l'ennemi" historique, la FNTR, dont elles intègrent les organes décisionnels. "Nous nous sommes considérablement renforcé", se félicite le directeur général Nicolas Paulissen. L'histoire du groupe rhônalpin Samat, transfuge en 2012, est symptomatique : son ancien président Georges Meylan avait été à l'origine de la création de TLF, et sa fille Florence Dupasquier est désormais vice-présidente de la FNTR. "Pour comprendre l'ampleur de ces transferts, c'est comme si PSA ou Total rejoignaient la CGPME", contextualise un ancien dirigeant de TLF.
Selon plusieurs sources, la cotisation annuelle de ces entreprises indexée aux effectifs et au chiffre d'affaires pouvant dépasser 50 000 euros - et même culminer au-delà de 100 000 -, les répercussions financières sont instantanées, et face à la détérioration des réserves des mesures d'économie sont aussitôt engagées. Parmi elles, le déménagement du siège dans le XIXe arrondissement de Paris. "Je ne veux aucun mal à Philippe Grillot. Je constate simplement qu'il a démoli cette fédération patronale alors leader, il a anémié la capacité de collaboration, de travail, et de mobilisation, y compris financière, qui la caractérisait. Tout cela parce qu'il n'inspirait plus confiance", résume Alain Bréau.

Contraste

L'auscultation de cet épisode clé de son parcours syndical fournit autant d'interrogations que d'informations sur Philippe Grillot. L'opprobre apparaît disproportionné. Ainsi, l'examen de son comportement lors des négociations accouchant de l'accord est contrasté. Des dirigeants d'entreprises jugent avoir été "écartés" de l'évolution des négociations et avoir pâti d'une défaillance grave de la gouvernance syndicale. En revanche, d'autres voix, celles de Claude Blot ou de l'ancien délégué aux affaires routières Stéphane Levesque, mais celles aussi d'observateurs clés peu proches de l'intéressé ou contempteurs de l'accord final, estiment que "patrons" et administrateurs ont été scrupuleusement associés, jusqu'à "approuver à l'unanimité" chaque étape du mandat des négociateurs.
Quant à l'unité professionnelle entre organisations patronales qui aurait dû dominer lors desdites négociations, Philippe Grillot l'a-t-il "rompue" comme l'affirme Jacques Sorlin, délégué Rhône-Alpes de la FNTR ? Là encore, l'interprétation du déroulement précis des tractations ne peut blanchir cette dernière, suspectée de les avoir soutenues longtemps avant de s'en retirer au tout dernier moment, par peur de subir les mêmes réactions internes qui atrophièrent plus tard l'organisation rivale. "La marge de man?uvre de Philippe Grillot, sur laquelle les entreprises de messagerie qui composent l'essentiel des adhésions exerçaient une forte pression, était très étroite", concède un acteur majeur des négociations. Pourtant hostile à leur conclusion, il dédouane leur signataire, "dont l'intégrité ne peut être contestée".

Zones d'ombre

Toutefois, des zones d'ombre subsistent. Parmi elle les motivations qui ont conduit TLF, à l'issue de l'accord du 7 décembre 2009 élargissant la complémentaire santé à l'ensemble de la profession, à retenir Klesia (Institution de protection sociale issue du mariage entre Groupe Mornay et D&O) et sa mutuelle Carcept comme assureur unique. Sont-elles teintées d'entente ou de népotisme, dès lors que le directeur général de Klésia Christian Schmidt de la Blérie est neveu de Claude Blot - qui s'abrite "derrière l'appel d'offres" et "son refus" de toute immixtion dans ce dossier pour éteindre la braise ? Des rémunérations ont-elles été versées à des intermédiaires ou facilitateurs ?
Par ailleurs, d'aucuns "lisent" la présidence de Philippe Grillot à la tête de TLF à l'aune de l'adversité Medef-CGPME aigüe dans le secteur du transport, mais aussi des intérêts du "candidat" Grillot à la CCI Lyon, alors "bien vu" au ministère des Transports depuis l'accord salarial de 2009 et habile manipulateur d'un double adoubement - selon l'ancien président du Medef Rhône-Alpes Patrick Martin, symptomatique de « l'ambiguïté » du personnage - : celui du Medef en sa qualité institutionnelle - il participe même au comité exécutif - et celui de la CGPME à titre entrepreneurial.

Dualité

L'un de ses anciens proches collaborateurs exhorte à dissocier radicalement l'homme de Paris de celui de Lyon, qui avaient érigé une barrière "de cristal. Tout dans sa trajectoire nationale a visé à servir sa légitimité et ses ambitions locales". Une dualité qui s'applique jusqu'à l'exercice même du pouvoir. "Il est aussi rond, affable, urbain, effacé à Lyon que tranchant, cassant, direct et même brutal à Paris", souligne l'une de ses relations.
Alain Bréau analyse l'ensemble des man?uvres d'une personnalité "totalement" dichotomique dans le prisme de son ambition véritable : "Exercer de manière secrète les pleins pouvoirs. Tout, y compris son hostilité à l'égard de son directeur général, concourait à faire le vide autour de lui pour régner seul. Jamais je ne m'en étais douté avant de le proposer à ma succession".

 

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Commentaires 6
à écrit le 22/02/2016 à 21:10
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Cet homme vereux est un incapable qui use de toutes les strategies pour obtenir les pleins pourvoirs. A son compteur, de nombreuses chutes et dislocations ainsi que des carnages ( dont TLF).

à écrit le 24/05/2013 à 7:47
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http://www.leprogres.fr/sports/2013/05/24/nicolas-forel-remplace-philippe-grillot

à écrit le 29/04/2013 à 10:53
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Voilà qui permet d'expliquer ses différentes prises de position sur OL Land qui dépassent le cadre de ses compétences et de ses attributions... http://lesgonespourgerland.blogspot.fr/2013/04/ol-land-lettre-ouverte-au-president-de.html

à écrit le 30/03/2013 à 15:41
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Très bon article bien documenté, basé sur des faits, citant ses sources. Merci à la Tribune et à Mr Lafay. Un éclairage (de plus) sur notre chère oligarchie.

à écrit le 28/03/2013 à 19:24
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Ca sent le FM à plein nez. On se croirait revenu au bon temps de l'affaire Urba...

à écrit le 28/03/2013 à 0:07
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Lourd passé, zones d'ombre...mais ce sont là les qualifications pour devenir maire de Bordeaux et ministre d'État !!! Veut-il faire mieux et devenir président de la république bananière de France ? ;-)

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