Le Mobile World Congress réunit dans la capitale catalane les fabricants de mobiles et de composants, les opérateurs télécoms, les éditeurs de logiciels et de services internet, et les développeurs d'application mobile.
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Dans les mobiles, les smartphones et les tablettes, les microprocesseurs sont un enjeu clé. Numéro un mondial sur ce segment, l'américain Qualcomm apparaît comme le grand gagnant de l'accord entre Nokia et Microsoft. Le numéro un mondial sur les PC, Intel, n'abandonne pas pour autant la partie.
Les premiers jours du congrès ont été dominés par l'accord entre Nokia et Microsoft annoncé le 11 février.
Face au succès d'Apple avec son iPhone et l'Appstore et à celui de Google avec son système d'exploitation Android, les opérateurs télécoms tels Orange, Vodafone, Deutsche Telekom ou China Mobile accélèrent dans le déploiement de leur plateforme commune d'applications mobile.
Du côté des fabricants, Samsung est en grande forme. Sony Ericsson mise sur le marché du jeu sur mobile en lançant un "Playstation phone". L'autre sud-coréen LG mise lui sur la 3D et la 4G. Le taiwanais HTC a frappé fort avec le lancement de six produits sous Android dont deux téléphones Facebook. La concurrence fait rage également dans les composants, où STMicroelectronics connaît une forte croissance de ses ventes de microsystèmes. Ces gyroscopes, boussoles et autres accéléromètres se retrouvent dans de plus en plus de mobiles.
Facebook également est de la partie, notamment grâce à une nouvelle carte SIM développée par Gemalto qui permet de se connecter au réseau social sans passer par Internet.
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