
La commission de réflexion sur le grand emprunt vient d'être installée à l'Elysée. Et son montant n'a toujours pas été dévoilé. Nicolas Sarkozy a seulement déclaré que le montant de l'emprunt national dépendra des besoins identifiés et de la capacité d'endettement que de la France. Néanmoins, le président de la République a souligné qu'il privilégierait la solution la moins coûteuse.
La commission devra se pencher sur "trois défis majeurs" qui sont "l'économie de la connaissance", la "compétitivité des entreprises" et les "équipements industriels innovants". Mais le président de la République a aussi demandé à Alain Juppé et Michel Rocard de définir "des domaines majeurs" parmi "l'énergie solaire, les énergies marines, la fibre optique, les nanotechnologies, le stockage de l'énergie électrique, les biotechnologies".
Juste avant l'installation de la commission, ce mercredi matin sur RTL, Alain Juppé, un de ses coprésidents, a déclaré : "notre mission est de convaincre l'opinion, les Français, les décideurs économiques que cet emprunt ne sera pas un emprunt comme les autres. (...). Il faut que ce soit un emprunt différent, un emprunt qui serve à enrichir la nation".
Les objectifs de cette commission sont clairs. Il s'agit "d'identifier les opérations qui pourront contribuer à améliorer la compétitivité de l'économie française, sa capacité de croissance, son emploi, et qui rapporteront aussi des recettes ou des économies de nature à rééquilibrer les dépenses publiques" a ajouté l'ancien Premier ministre. Le but est également, selon lui, de "vérifier que cet argent va bien là où nous voulons qu'il aille, sa traçabilité" et d'en mesurer "les résultats".
Alors le pauvre Henri risque de l'avoir mauvaise alors même qu'a été proposé :
http://bonob0.skyrock.com/
ce qui permet de continuer une vie économique et social au maximum, a un gouvernement qui en va que de tête dans le sable a erreures monumentales !
Ne parlons même pas de cette possibilité :
L'Insurrection qui vient
http://www.defnat.com/acc_frames/resultat.asp?cid_article=20090702&ccodoper=3&cid=200907&ctypeencours=2
Quand "l'Insurrection qui vient" séduit la Revue de la Défense nationale
http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2009/07/quand-linsurrection-qui-vient-s%C3%A9duit-la-revue-de-la-d%C3%A9fense-nationale.html?xtor=EPR-450206
en cas d'attaque massive et d'un mutation ayant rendu inutile le fameux TOUT vaccins !!!
Bref !
que le produit servira à finir les fins de mois de l'Etat,
et continuer à faire la fête.
Même si le remboursement de l'emprunt est multiplié par 100, le pays sortira gagnant s'il a consacré cet emprunt à débarrasser la moitié des français de leur épouvantail numéro un : devenir SDF.
- Un projet qui démontre financièrement et quantitativement, sur 10 ans, que les projets qui seront financés produisent un flux de résultats une valeur ajoutée pour les acteurs économiques supérieurs aux frais financiers de l'emprunts et aux amortissements des projets financés, amortissements permettant d'assurer les remboursement en capital
- Un projet qui démontre le projet stratégique et innovant de la France pour faire face aux pays émergents et à la capacité de compétrition de pionier des USA qui permettra à ceux ci de relativiser le déclein sur lequel ils sont engagés
- Un plan draconien de réduction des déficits et de la dette sur 10 ans, dont le solde des résultats produits par les projets financés par cette dette seront un des moyens de réduction des déficits et donc de la dette.
- Le courage politique de faire ratifier ce projet par référendum ( plan de réduction de la dette et des déficits sur 10 ans, vision stratégique industrielle et plan financier) pour mettre les français devant leurs responsabilités.
A défaut de ces conditions, n'ayant plus confiance dans l'ensemble de nos élites, pour cette opération, nous devons refuser de faire un chéque en blanc. Toutefois le choix de N SARKOZY avec le tandem JUPPE/ROCARD est d'une grande intelligence à la fois politique et pragmatique qui lui donne la crédibilité et les moyens de mobiliser le peuple français sur son avenir à condition de mettre en place ces conditions.
Dans le cadre financier actuel de faillite de la FRANCE, la dette est un risque, mais c'est un levier d'action qui peut produire des résultats source de redressement qu'aux conditions que je viens d'indiquer.
A défaut aucune visibilité et donc nécessité de ne pas soutenir ce nouvel endettement. Les conditions sont réunies la prise de risque financière est possible sous réserve de mettre les moyens de contrôle en face et qu'il y ait N SARKOZY comme président sur la durée de l'emprunt car faire un emprunt avec le retour des socialistes en 2012 serait une catastrophe économique car c'est eux qui depuis 81 ont introduit la drogue des déficits et le poison de la dette par irresponsabilité économique et clientélisme
Non ! Non ! et Non ! au vaccin contre la grippe ... le chaîne " ARTE "à dévoilé hier que la grippe espagnole est issue à la suite de vaccinations !!! et qu'il ne faut pas utiliser ce vaccin pour les femmes enceintes !!!
Pourquoi les journalistes de la Tribune sont-ils aussi discrets ???