Ce jour là, la commission des requêtes de la CJR aura trois possibilités: classer sans suite, ouvrir une enquête ou demander des informations supplémentaires avant de trancher. Pour ces faits, Christine Lagarde serait passible de cinq ans de prison et 75.000 euros d'amende. Si la commission d'instruction était finalement saisie, débuteraient de longues investigations qui pourraient aboutir au renvoi de Christine Lagarde devant la formation de jugement de la CJR, chargée de juger les crimes et délits commis par les membres du gouvernement «dans l'exercice de leurs fonctions».