
N'en jetez plus ! Depuis le début de l'année, 736 plans de sauvegarde de l'emploi ont été notifiés à l'administration. Et Arnaud Montebourg, le ministre du Redressement productif, lui-même, reconnait que 15.000 emplois ont été perdus en 18 mois dans plus de 1.000 entreprises en difficulté.
Et, dernièrement, la longue litanie des plans sociaux semble s'allonger encore : Alstom prévoit 1.300 suppressions d'emplois, principalement en Europe, sans que l'on sache vraiment encore si la France sera concernée, La Redoute devrait supprimer environ 700 emplois, le volailler Tilly-Sabco va aussi se séparer de salariés, comme Gad ou encore le fabricant d'électroménager FagorBrandt. Sans oublier auparavant PSA. Mais comment expliquer un tel mouvement alors que la croissance française connaît un frémissement (0,4% de croissance attendu au dernier trimestre, puis O,9% en 2014 et 1,2% en 2015) ?
La réponse tient en plusieurs éléments aussi bien économiques que juridiques.
Les entreprises connaitraient des sureffectifs
D'abord, en moyenne, depuis 2008, la croissance française à quasiment fait du surplace. Concrètement, cela signifie que le PIB hexagonal n'est pas plus élevé en 2013 qu'il y a cinq ans, avant que n'éclate la crise financière. Or, plusieurs analystes estiment, c'est notamment le cas de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) que les entreprises installées en France sont encore en situation de sureffectifs.
L'OFCE chiffre même à 250.000 le nombre d'emplois en plus qui auraient pu être détruits depuis la crise de 2008. Pourquoi? Il y a toujours un décalage d'au moins trois trimestres en France entre des éléments affectant la production et les conséquences sur l'emploi. Or, la crise a été très forte en 2008 puis un rebond est intervenu à compter de 2010, aussi les entreprises n'ont finalement pas autant licencié que ce qui avait été craint. Puis nouvelle cassure à la fin du deuxième trimestre 2011 qui s'est accentuée ensuite.
C'est maintenant que l'on attaque le dur
Résultat, depuis en effet 9 mois, les entreprises commencent à s'ajuster. Surtout que, traditionnellement, la campagnes pour l'élection présidentielle a tendance également à retarder les choses. C'est donc maintenant que l'on se retrouve dans le dur. Des faits aggravés par le manque de confiance et de visibilité qui règne actuellement chez les entrepreneurs en raison des hésitations gouvernementales, notamment sur la politique fiscale. Et, même si quelques indices montrent en effet une possible sortie de crise - attestée par les récentes déclarations du Commissaire à l'investissement Louis Gallois - cela ne suffit pas.
Lire aussi "250.000 personnes en sureffectifs dans les entreprises"
Dans l'entourage du gouvernement, on cherche à se rassurer en estimant que ces plans sociaux reflètent le passé. Ils seraient une sorte d'aboutissement de la grave crise traversée par la France. Les licenciement économiques devraient être moins nombreux à l'avenir… A voir.
Le nouveau droit des licenciements économiques commence à jouer
Un deuxième élément, moins mis en exergue, joue certainement pour expliquer cette "avalanche" de plans sociaux : les modifications intervenues dans le droit des licenciements collectifs, à la suite de l'accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013 signé entre le patronat et une partie des syndicats.
Cet accord a été repris par une loi sur "la sécurisation de l'emploi" du 14 juin. Et les dispositions relatives aux licenciements économiques sont applicables depuis le 1er juillet de cette année. Or, il semble évident que les DRH des grandes entreprises ayant l'intention d'annoncer un plan social ont dû conseiller à leurs direction d'attendre cette date avant de le faire. Pourquoi ? Il est indéniable que la nouvelle législation sécurise les plans sociaux et réduit considérablement les risques juridiques pesant sur la validité du PSE.
En effet, avant le 1er juillet, des syndicats ou des salariés pouvaient attaquer une entreprise sur la réalité du motif économique ou sur l'insuffisance du contenu du plan social. Dans les faits, ces recours restent encore possibles. Mais ils sont nettement moins évidents du fait du nouveau rôle joué en amont par les Directions régionales des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi (Direccte).
L'homologation des plans par l'administration rend les recours plus difficiles
De fait, depuis le 1er juillet, il revient à cette administration d'homologuer un plan social. C'est-à-dire qu'elle doit vérifier que : les modalités d'information et de consultation du comité d'entreprise ont bien été suivies ; la mise en œuvre des licenciements (critères dans l'ordre des départs, calendrier, etc.) a été respectée ; les mesures de reclassement sont effectives et suffisantes.
Si, après vérification de ces obligations, la Direccte délivre une homologation du plan social, il sera très dur de venir contester cette décision devant un tribunal administratif. Les très longs contentieux connus dans le passé (le fameux Arrêt Samaritaine de la Cour de cassation en 1997 par exemple), devraient donc être plus rares. Ce qui a pour effet de sécuriser les plans sociaux… Certes, mais l'attentisme avant de connaitre les nouvelles règles du jeu se paie maintenant.
On ne se bat pas avec les mains nues contre un homme muni d'un sabre... On se fait couper la tête... C'est vrai que l'on paye beaucoup d'impôts, que l'on a une lourdeur administrative mais je ne veux pas que notre modèle soit celui du néo esclavagisme !!!
Le chômage est le résultat des entreprises qui ferment car elles ne sont plus compétitives, elles ne trouvent plus preneurs pour les produits qu'elles fabriquent, il devient urgent de sortir des dogmes de gauche et de baisser les charges sociales pour retrouver la compétitivité, il faut arrêter de matraquer tout le monde de taxes et impôts qui font baisser le pouvoir d'achat, il faut que les syndicats défendent vraiment les emplois et les entreprises au lieux de s’agripper qu'aux privilèges qui gangrènent le tissus social du pays, la lutte des classes c'est finit depuis longtemps, il faut laisser les employés volontaires de travailler le dimanche.
Le gouvernement devrait baisser ses dépenses, il fait le contraire, ils s'applique consciencieusement à les augmenter ????? c'est à ne plus rien y comprendre.
LA GRECE C EST MAINTENANT
LOL
Il n'est pas compliqué de comprendre que 1 mec qui bosse pour créer de la richesse pour payer 1 autre qui se secoue la nouille et qui se casse en vacance dès le 1er Juillet...ça ne peut aller que dans un monde d'esclavagiste !!!
Mais VOTRE modèle est BEAU......sauf pour NOS ENFANTS
Le gouvernement à raison les plans finiront par baisser, puisque plus d'entreprise en France.
-Augmentations de la TVA a 25%
-Suppression d'un jour ferie (ce qui rapporte 2 milliards, soit plus que tax a 75% et ecotax reuni)
Baisses des depenses:
-APL, allocation rentre donne aux assistance sociales
-Pensions de reversions a 40% avec limite du minimun viellesse
-Allocation familliales jusqu'a 5 enfants, dans notre societe moderne 6 enfants ne peuvent recevoir une education correcte eleve par 2 parents.
-CMU devrait etre un pret pas un droit
-2eme jours de carence pour fonctionnaire
- Allocation chomage verse le mois suivant, souvent les entreprises donnent un mois de salaire.
-Creation de systeme retraites a 3 pilliers comme en Suisse.
- Suppression de l'ISF pour les chefs d'entreprises 1ere generation.
Choc de competitivite finance par la hausse de TVA
-Baisses de l'IS
-Baisse des charges salariales
-Baisse du prix de l'electricite de 15% pour les entreprises
-Baisse du SMIC de 15%
Liberalisation de la croissance:
-Ouverture des magasin le dimanche (de 11 du mat jusqu'a 5h du soir).
-flexibilite de la loi sur les grandes surfaces pour les mettre en competition et creeer une baisse des prix
-Interdiction pour les grandes surfaces de payer petits producteurs sous 90J, 30j max
-Liberalisation des casinos et du jeux en France
-Politique de promotion du tourisme dans les regions les moins touristiques
Donc aucun changement pour vous? Etes-vous un fonctionnaire pantouflard? N'ayez pas peut du liberalisme, a moins que ça ne vous fasse dire "zut, va fallout bosser". Decidement, liberalisme est un Gros mot en France...
Non ! Suppression des charges patronales ! Pourquoi une entreprise paierait-elle pour le fait d'embaucher quelqu'un, et donc l'empêcher d'être à la charge de la collectivité ? Un peu de bon sens, bande de républicains aveuglés !
On pourrait ajouter :
- Révision totale, de A à Z, du système social. Au lieu de l'imposer, offrez le choix : Soit vous acceptez d'entrer dans la danse et vous faire assassiner par les prélèvements, soit vous décidez de ne pas pouvoir bénéficier du "système" et vous vous débrouillez pour cotiser volontairement auprès d'organismes privés (assurances, mutuelles, caisses de retraite complémentaires, etc.), auquel cas le brut salarial deviendrait quasiment le net à payer. Et, dans ces conditions, stop à la CSG/CRDS, cette ponction insupportable car touchant même les plus faibles revenus ! Que m'opposer ? La solidarité ? En quel honneur ? Fini de favoriser des colonies de profiteurs qui usent et abusent de la couverture sociale ! Là, on n'a pas entendu parler de "l'inversion de la courbe" quand il s'agit des dépenses sociales ! Les déficits continuent de grossir, la baudruche n'e parvenant pas exploser encore. On a déjà trop à faire à supporter que les nouvelles générations du 4ème âge survivent bien plus longtemps que nos aînés après l'entrée en retraite : La moyenne d'âge de décès de jadis dépassait à peine l'âge de la retraite, tandis qu'aujoudhui le nouveau retraité a de grandes chances de passer entre vingt et trente ans de sa fin de vie sans contribuer. D'accord pour aider cette importante frange de la population mais à condition de laisser respirer celle qui travaille encore ou, à tout le moins, tente de trouver du travail rémunéré...
- Supprimer les charges patronales sur les salaires inférieurs à 1500€ = C'est deja en place pour les salaires au SMIC, il y a des allegement de charges sociales, le MINUS c'est que cela pousse les entreprises a ne pas augmenter leurs employes sous peine de re-payer des charges. C'est pourquoi la FRance a 16% d'employees au SMIC alors que cela ne depasse pas 1% dans les autres pays Europeens.
-Abandon des dépenses culturelles hors de France = C'est un goutte d'eau dans la marre des depenses
-Diminution par deux de la formation professionnelle qu'il faut rediriger sur les chômeurs plutôt que d'en faire des séminaires pour cadres = C'est discuttable
- Limitation des primes des fonctionnaires de catégorie A et plus = On tape encore sur les fonctionnaires, il y a une vrai confusion entre les fonctionnaire et certainnes professions trop privilegiees (EDF, SNCF, etc), je vous assure que les fonctionnaires ne sont pas ou du moins ne sont plus des privilegies, ils leurs restent la garantie de l'emploi et leurs yeux pour pleurer.
-Diminution par deux du nombre des élus = Vrai mais l'economie n'est pas immense
Les entreprises sont trop taxées de charges sociales et n'en peuvent plus dans un contexte très difficile
Comme il n'y a pas de changement prévu ce n'est pas malheureusement pas fini
Pauvre France
Les entrepreneurs français ont été traités comme des voyous, ils sont maintenant un peu découragés, et n'ont pas forcément envie de s'user la santé pour des ingrats
De nombreux investisseurs ayant une fortune personne ont fui la France à cause de l'ISF version "Hollande", et donc manquent cruellement pour financer des investissements dans notre pays.
Hollande a déclenché ces catastrophes. Les socialistes sont cruellement incompétents, et tuent la France, pour le malheur des salariés
Qoui de plus insécurisant pour un entrepreneur ,q'une réglementation fiscale qui change tous les 3 jours.... Tu tires des plans économiques 3 jours après tu as tout faut .... Impossible de développer sa société dans ce cas , seul les licenciements assurent ton avenir ....Il nous faut de la STABILITE à long terme, et ne pas encore dire "on essuie les difficultés de la crise de 2008/2010.... N'être jamais responsable de rien prouve son imcompétance
Qoui de plus insécurisant pour un entrepreneur ,q'une réglementation fiscale qui change tous les 3 jours.... Tu tires des plans économiques 3 jours après tu as tout faut .... Impossible de développer sa société dans ce cas , seul les licenciements assurent ton avenir ....Il nous faut de la STABILITE à long terme, et ne pas encore dire "on essuie les difficultés de la crise de 2008/2010.... N'être jamais responsable de rien prouve son imcompétance
Si on sabre trop dans les dépenses, on n'aura que peu de rentrées fiscales (stabilisateurs économiques nécessaires à la bonne tenue de l'éco) , donc vraiment je ne vois vraiment pas comment, sans sabrer dans les dépenses, on aura une baisse de 2 % du déficit du PIB en un an, c'est tout simplement énorme ! Seule l'Irlande sous assistance de l'UE a pu le faire, mais nous ne sommes ni l'irlande ni l'espagne qui n'a pas réussit non plus un ajustement aussi violent alors que là bas les coupes ont été drastiques.
A mon avis c'est une coquille c'est pas possible.
Mes prévisions : fin 2016, un croissance au maximum de 1.5 % et un déficit de 3.8 % et en 2017, au maximum 1.4 à 1. 5 % de croissance et un déficit à 3.5 % au mieux (en partant en plus du principe qu'il n'y ai pas un incident de crédit sur l'oat qui sera amené à augmenté, avec un oat à 4 % suite à une dégradation par standart and poor's , tout ce beau scénario s'évanouit ! Adieu françois hollande !
Si on sabre trop dans les dépenses, on n'aura que peu de rentrées fiscales (stabilisateurs économiques nécessaires à la bonne tenue de l'éco) , donc vraiment je ne vois vraiment pas comment, sans sabrer dans les dépenses, on aura une baisse de 2 % du déficit du PIB en un an, c'est tout simplement énorme ! Seule l'Irlande sous assistance de l'UE a pu le faire, mais nous ne sommes ni l'irlande ni l'espagne qui n'a pas réussit non plus un ajustement aussi violent alors que là bas les coupes ont été drastiques.
A mon avis c'est une coquille c'est pas possible.
Mes prévisions : fin 2016, un croissance au maximum de 1.5 % et un déficit de 3.8 % et en 2017, au maximum 1.4 à 1. 5 % de croissance et un déficit à 3.5 % au mieux (en partant en plus du principe qu'il n'y ai pas un incident de crédit sur l'oat qui sera amené à augmenté, avec un oat à 4 % suite à une dégradation par standart and poor's , tout ce beau scénario s'évanouit ! Adieu françois hollande !
Pas de second mandat, premier : FN , marine le pen à 25 %, second , nicolas sarkozy, 19 %, troisième, françois hollande à 18 %; quatrième mélenchon à 11 % et bayrou autour de 10 %. Second tour : nicolas sarkozy élu à 60 40 contre marine le pen, et énorme abstention du peuple de gauche suite à l'émoi suscitté par l'affaire leonarda qui l'a définitivement disqualifié à gauche, d'où l'absention et la poussé du FDG et du FN. Beaucoup de bulletins blancs aussi (plus de 5 millions).
Suite à la réelection de sarkozy, énorme tension dans la société française déjà en crise économique sociale et morale, émeute dans les banlieues , etat d'urgence. Coup d'Etat de l'armée en 2020 pour rétablir l'ordre comme en Egypte, énorme émoi dans le monde entier . Le soir titre le 1 er janvier 2021 : la france qui a inventé le débat politique est devenu une dictature, ultime humiliation pour le pays des Lumières d'habitude si prompt à donner des leçons de morale au monde entier.
La france baffouée, la france humiliée ! Finkielkrault et elyzabeth levy avait raison : la france est définitivement gangréné par le multi culturalisme et une partie du 93 veut faire sécession pour imposer la charia, tout comme trappes et d'autres banlieue. Tout ceci avant la grande guerre civile de 2025 entre chrétiens remontés et islamistes fanatisés !
D'autant qu'ailleurs le soleil peut briller aussi bien qu'en France, malgré la peur de passer la frontière qu'on nous apprend dès le plus jeune age.
Logique en somme.
Les Français d' en bas sont nationalistes et les grand patrons des apatrides, un début d' explication .
mais une fois de plus elle avait raison!!!! c'est maintenant que tout dérive ne laissons pas faire les patrons des grosses entreprises ont joués juste et maintenant les salariés trinquent et les retraités aussi!!!!!!!