Pourquoi la survie à long terme de l'euro est improbable

Dans un long entretien à La Tribune, Niall Ferguson, professeur d'histoire à l'université de Harvard, porte un regard pessimiste sur l'Europe. Il se dit certain que les mouvements populistes ont de beaux jours devant eux. Et il s'interroge sur les effets de la montée en puissance de la Chine.
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Vous êtes l'un des premiers à avoir analysé la crise qui a touché l'économie mondiale à partir de 2007. Pouvons-nous dire que nous sommes aujourd'hui sortis de cette crise ?

Le monde a dû faire face une grande dépression. Heureusement, nous avons eu recours à des mesures fiscales et monétaires massives qui nous ont permis d'en atténuer les effets. Et aujourd'hui, après ces mesures de soutien excessives, nous avons la gueule de bois. Celle-ci prend la forme d'une crise de dette souveraine, qui s'étend chaque fois qu'un pays est attaqué par les marchés financiers, parce qu'il trop endetté. Est-ce que cet enchaînement va aller au-delà de la zone euro et traverser l'Atlantique ou prendre la direction du Japon ? J'en suis convaincu depuis un petit moment, parce que les déficits ou l'endettement de ces pays n'ont rien à envier à ceux que nous surnommons les Pigs, je veux parler du Portugal, de la Grèce, de l'Irlande ou de l'Espagne. Voilà pourquoi je m'attends à un changement significatif de la perception des investisseurs, sur l'aspect risqué des obligations japonaises ou américaines. Changement qui se traduirait par un mouvement à la hausse des taux d'intérêt nominaux, avec des conséquences très importantes pour ces pays. C'est le grand risque que court actuellement l'économie mondiale, étant donnée la taille des économies japonaise et américaine.

Lors du dernier World Economic Forum à Davos, de nombreux intervenants ont insisté sur l'écart croissant entre la bonne santé des économies émergentes et le marasme des pays industrialisés. Partagez-vous cette analyse?
Sur un plan historique la crise financière est un épiphénomène. Il s'agit d'un événement relativement discret qui intervient dans le contexte d'un déplacement massif du pouvoir économique de l'Occident vers l'Orient. En réalité, cette crise n'a fait qu'accélérer ce transfert, qui avait débuté bien avant 2007.


Est-ce que dans l'histoire, le monde a connu de tels transferts de pouvoir?
Si on regarde un peu plus d'un siècle en arrière, on a connu un phénomène comparable, lorsque les États-Unis et l'Allemagne ont pris le pas sur la Grande Bretagne dans le palmarès des puissances industrielles. Dans le premier cas, ce changement s'est fait en douceur, les Etats-Unis doublant la Grande Bretagne dans les années 1870, et cette dernière acceptant très bien sa relégation graduelle d'un statut de senior à celui de junior dans le cadre d'un partenariat anglo-américain. En revanche, dans le cas de l'Allemagne, même si ce pays avait des affinités culturelles avec la Grande Bretagne, le résultat a été un conflit désastreux. Aujourd'hui, lorsqu'on se penche sur la relation sino-américaine, on peut se poser des questions. Est-ce que le partenariat économique sino-américain va continuer à exister ? S'il devait disparaître, par quoi serait-il remplacé ? Par une simple compétition entre deux rivaux, ou par quelque chose de plus sérieux, voire par un conflit?


Quel est votre pronostic?
Je ne suis pas fondamentalement pessimiste et je ne crois pas que nous sommes à l'aube d'un nouveau type de guerre froide, ou qu'un jour éclateront de véritables guerres entre les États-Unis et la Chine. Ce n'est pas inévitable. Mais parallèlement, si l'on considère l'importance de la demande chinoise en matières première, demande qui va aller en s'amplifiant, et l'offre mondiale de ces ressources minières ou naturelles, il parait probable qu'une rivalité va s'instaurer entre les puissances occidentales et la Chine. Ce ne serait pas une surprenant, dans la mesure où la plupart des grands conflits de l'ère moderne ont eu pour enjeu des matières premières. Au XVIe et XVIIe, on s'est battu pour l'or et l'argent, au XVIIIe pour le sucre et les épices, au XIXe pour le charbon, au XXe siècle pour le pétrole...Voilà pourquoi je ne serais pas surpris de voir le partenariat sino-américain, qui remonte à 1972, prendre fin. Et je pense que nous assistons actuellement à sa désintégration.

Vous vous placez dans une perspective de long terme ?
Pas tant que ça. En fait, on entend déjà beaucoup de critiques chinoises sur la politique américaine. Quand j'étais à Pékin en novembre dernier, les Chinois ne cessaient de taper sur Ben Bernanke pour sa politique monétaire QE2. Sur le plan militaire, la visite à Pékin du Secrétaire à la défense Robert Gates en janvier a été marquée par des signaux très symboliques de la montée en puissance militaire de la Chine. Nous avons déjà des preuves que ce mariage prend l'eau. La réalité, c'est que ce qu'on appelle la Chinamérique se résumait à un mariage économique entre un épargnant et un dépensier et j'ai toujours pensé que des alliances de cette nature ne durent pas. Passé un certain point, il s'agit d'une amitié très illusoire. Et pour des raisons essentiellement économiques, on va surgir des frictions entre les deux puissances.
Au cours de la prochaine décennie, il est peu probable que ces tensions prennent un tour militaire mais sur le plan diplomatique, on voit déjà les Chinois entrain de se positionner dans la région Asie Pacifique. À Séoul par exemple, les Coréens reconnaissent que la Chine est déjà devenue la puissance dominante. Que c'est le pays avec lequel ils ne veulent pas avoir d'ennuis. Or Washington n'a pas encore pris la pleine mesure de ce changement. Sans doute parce qu'au cours de la dernière décennie, les administrations successives se sont surtout concentrées sur le Moyen Orient et les conflits en Irak et en Afghanistan. Mais au cours de la même période, la Chine a émergé si rapidement, qu'en termes de PIB calculé en parité de pouvoir d'achat, la Chine, en y incluant Taïwan et Hongkong a déjà atteint la taille des États-Unis. Et pourtant, les Américains sont toujours persuadés que le partenariat sino-américain est inscrit dans la durée. "Ils ont besoin de nous autant que nous avons besoin d'eux", expliquent les officiels américains. Mais ils se trompent : chaque année, la Chine a de moins en moins besoin des États-Unis. Inversement, les États-Unis ont de plus en plus besoin de la Chine.

La crise de la dette souveraine semble s'être calmée en Europe, et pourtant vous restez pessimiste. Pourquoi ?
Il y a déjà dix ans, j'avais annoncé que la zone euro serait une entité instable parce qu'une union monétaire sans une union fiscale n'est pas durable. Cette analyse a été validée par la crise. Actuellement, je crois que la situation reste très fragile, et peut aisément se résumer par une question : l'électeur chrétien-démocrate allemand est-il prêt à accepter un changement institutionnel conduisant à des transferts de revenus de l'Allemagne vers la périphérie de l'Europe? La réponse est non ! Jusqu'à la réunification du pays, il était admis que l'Allemagne était le financier du processus d'intégration européenne. Elle devait fournir la première contribution au budget européen : pour la génération d'Helmut Kohl, il s'agissait d'une sorte de réparation après la Deuxième Guerre Mondiale. Les nouvelles générations allemandes ne ressentent pas la même obligation. Ce qui pose un problème majeur, parce que s'il n'y a plus personne pour faire des chèques, le processus d'intégration européenne ne peut pas continuer. En fait, il pourrait même aller à rebours.
Donc le premier problème est cet obstacle politique, Angela Merkel ne peut pas ou ne veut pas expliquer aux citoyens allemands ordinaires pourquoi ils doivent continuer à financer ce processus. Il y aurait pourtant une réponse très simple : si les Allemands refusent de continuer à payer, les banques des Lander allemands vont couler. Car il ne s'agit pas d'une crise de la dette souveraine, mais d'une crise bancaire, dont l'épicentre se situe en Allemagne. Mais ce raisonnement échappe complètement à l'opinion allemande, qui pense qu'elle travaille dur et doit payer pour ses voisins paresseux.


Pourquoi dites-vous que la construction européenne peut même aller à rebours ?
Nous vivons une période de désintégration économique, qui est très profonde et structurelle. Si vous regardez les coûts unitaires du travail, depuis la création de la zone euro en 1999, vous constatez une divergence, et non une convergence, ce qui est très problématique. Dans la période précédente, on aurait résolu le problème avec des dévaluations dans les pays devenus trop chers. Aujourd'hui, le seul ajustement possible passerait par des réductions nominales de salaires aux travailleurs Grecs, Irlandais, Portugais ou Espagnols, ce qui semble très difficile.

Vous voyez un risque d'éclatement de la zone euro ?
Ce risque est réel et je pense que ce serait une grande erreur de croire que simplement parce que l'Euro existe maintenant, il sera toujours là dans 10 ans. Le manque de volonté politique en Allemagne et la désintégration structurelle à l'?uvre dans la zone euro sont les deux facteurs qui rendent la survie à long terme de l'euro improbable. Parallèlement, du point de vue de Berlin, l'euro est un mal nécessaire, parce que sans lui, les Allemands auraient les mêmes problèmes que les Suisses avec leur monnaie trop forte. Le meilleur argument pour la survie de la zone euro est qu'elle sert très efficacement les intérêts de l'industrie allemande.


Vous voulez dire à cause de son taux de change ?
Exactement ! Rappelez-vous de la signification de la zone euro : il s'agit d'un accord qui donnait aux pays excessivement endettés comme la Belgique ou l'Italie les taux d'intérêt bas allemands, l'Allemagne bénéficiant en retour d'un taux de change plus faible. C'était ça, le deal ! Mais le problème aujourd'hui, est qu'en l'absence de transferts du centre vers la périphérie et sans une véritable intégration du marché du travail, le seul moyen de maintenir la zone euro dans sa forme actuelle passe par la déflation dans les pays périphériques. Ou alors,  il faudrait que la Banque centrale européenne introduise des assouplissements quantitatifs, du type QE2 et se montre beaucoup plus agressive dans la monétisation de la dette...

Ca vous parait envisageable ?
La solution la plus simple pour résoudre la crise de la zone euro serait que Trichet se transforme en Bernanke, adopte le QE2 et achète des obligations, et affaiblisse un peu l'euro. Les chinois pourraient répondre favorablement à cela en achetant encore plus de la dette des Pigs. L'autre solution, plus dure, serait de demander aux Grecs ou aux Irlandais de transformer leur déficit de 10% du PIB en un excédent de 5% du PIB, et c'est impossible ! D'autant qu'il y a un facteur qu'il ne faut jamais sous estimer en période d'après crise:  ce sont les conséquences politiques.

Jusqu'à présent, on est plutôt parvenu à les éviter...
Oui, mais il s'agit d'une combustion lente ! Les gens ont souvent du mal à réaliser que l'histoire ne se déroule pas au rythme d'un match de football. Les événements vont à leur rythme, mais déjà nous voyons dans de nombreux pays européens des tournants politiques majeurs, brisant de façon irréversible le consensus qui existait entre les chrétiens et sociaux démocrates depuis l'après-guerre. Je suis convaincu que le populisme va devenir de plus en plus puissant en Europe. Or il est difficile de croire que les populistes seront de vibrants défenseurs du projet européen, car leur fonds de commerce, c'est le nationalisme et la xénophobie.
 

Quand on regarde l'Histoire, quelle est la meilleure solution pour sortir d'une crise de la dette ? Et combien de temps cela peut prendre ?
Il y a bien eu un pays qui avait une dette dépassant 200% de son PIB, qui n'a pas fait défaut, et qui n'a pas connu l'inflation. Il s'agit de la Grande Bretagne après la bataille de Waterloo. Entre 1815 et 1914, la dette britannique a été réduite, grâce à une croissance forte, grâce à des excédents du budget primaire et grâce enfin à des taux d'intérêts bas. La Grande Bretagne pouvait, c'est vrai, compter sur deux avantages : la révolution industrielle et l'apport de son empire colonial. Malheureusement, c'est le seul cas que je connaisse. Et en dehors de cette exception, tous les pays ayant accumulé des dettes trop importantes au regard de leur PIB ont été conduits au défaut ou à l'inflation, selon que la dette était libellée dans leur propre monnaie ou dans une devise étrangère. Nous voyons donc bien ce qui risque de se passer : les pays qui ne peuvent pas imprimer de la monnaie vont faire défaut, comme l'Irlande, la Grèce et peut-être d'autres.  Les autres, ceux qui peuvent créer de la monnaie, à commencer par les États-Unis, connaîtront l'inflation et des dépréciations monétaires. C'est aussi cela, la leçon de l'Histoire.

 

 

PORTRAIT

Niall Ferguson, un écossais à la fibre braudélienne

Niall Ferguson, professeur d'histoire à Harvard mais aussi auteur d'ouvrages historico-économiques et de documentaires pour la télévision et commentateur très recherché par les médias, fait rarement dans la sobriété. Le prochain livre de ce quadragénaire écossais diplômé d'Oxford, qui sortira en Grande Bretagne au mois de mars, s'intitule tout simplement « Civilization ». Un ouvrage que son auteur qualifie de « braudélien », en référence au célèbre historien français (1902-1985), et qui a pour ambition de décrypter les différents facteurs ayant permis l'essor et la domination de l'Occident sur le reste du monde pendant 5 siècles. Facteurs qui, ont diparu ou dont l'Occident n'a plus le monopole, analyse l'auteur.


 

Commentaires 123
à écrit le 24/01/2014 à 3:41
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la devaluation ne gene que les banques (autrement dit le cartel bancaire petro genocidaire). Mais ca ne gene absolument pas le peuple.

à écrit le 07/11/2011 à 6:45
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Selon les traités on ne peut pas sortir de l'Euro sans sortir de l'UE. Il y a en Allemagne un certain nombre d'experts financiers qui proposent de scinder la Zone Euro en deux, la zone Euro Sud et la Zone Euro Nord. Je pense que cela n'est pas vraime...

à écrit le 06/04/2011 à 21:20
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Fergusson a raison : http://0z.fr/VAL0h Vidéo ici, aussi : http://0z.fr/mf0ux

à écrit le 07/03/2011 à 8:40
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"se montre beaucoup plus agressive dans la monétisation de la dette..." Donc le gars nous dit que la seule solution est de faire marche la planche à billets. Il est aussi favorable à l'inflation pour payer la dette. Ce qu'il ne dit pas c'est que ce d...

à écrit le 05/03/2011 à 17:38
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nouvelle devinette ".la terre est devenu un village " donc les marchandises ne sont soumises ni a l espace ni aux temps ....donc pour rentrer dans" le jeu" il faut définir un autre terrain..".la partie" a déjà commence ... a priori la grece a un l...

à écrit le 04/03/2011 à 22:00
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J'ai bien lu cet article et tous les commentaires qui s'y réfèrent. Mr Ferguson se trompe en ce qui concerne les relations chino-américaines. Les chinois rachètent les dettes US et les dollars qui ne valent même pas le papier sur lequel ils sont impr...

à écrit le 02/03/2011 à 9:59
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L'Euro n'a pas d'avenir ! Le dollar en a-t-il davantage ?!!! Qu'il arrête de nous faire rire !!! Voila encore un américain typique...

le 27/03/2011 à 13:04
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On verra bien!! Aucune union monétaire n'a tenu dans le temps....

à écrit le 02/03/2011 à 8:48
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analyse inepte de la situation par un dandy narcissique

à écrit le 01/03/2011 à 22:58
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ferguson est en train de gagner la partie...il a raison sur tout ...diogene(s.d.f)le tonneau des danaïdes ( la dette)..... c est un banquier .... qui a donne le dernier élément....." la boite de pandore" (euro) la grece....quelle histoire! c est...

à écrit le 01/03/2011 à 10:19
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Il ne suffit pas de dire que l'EURO va mal pour sauver pour sauver le Royaume Uni et la livre sterling de la banqueroute.

à écrit le 28/02/2011 à 23:19
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sortir de l europe vite

à écrit le 28/02/2011 à 11:42
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On ne sait pas trop bien pourquoi certains anglo-saxons se réjouissent des malheurs de l'Europe, pourquoi ils veulent couler la réputation d'une monnaie qui a pourtant pas mal bien traversé les épreuves, pourquoi cet entêtement à la haine de la const...

à écrit le 28/02/2011 à 6:41
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Brillante analyse, mais qui n'intègre pas une autre voie : la guerre

le 16/03/2011 à 17:55
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tu as tord... La seconde guerre mondial a fini avec" les explosions atomiques"...regarde bien le Japon....aucun rapport....? note 12sur20

à écrit le 25/02/2011 à 21:01
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Je vis aux USA et l'Europe n'a rien à leur envier. On le voit tout les jours que l'économie américaine est sur la corde raide. Technologiquement, ils ne font pas le poids. Mais ils retourneront sur leurs pattes beaucoup plus vite que la France qui e...

à écrit le 25/02/2011 à 18:07
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On voit où nous a amené l'Euro que nos "élites" nous ont fait ingurgiter de force: 8 millions de chômeurs, dont seulement à peine 4 millions indemnisés, 12 millions de personnes sous le seuil de pauvreté!, 1200 milliards d'euros de dette!, qui rembou...

le 26/02/2011 à 2:16
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J'ai cherché la première fois du boulot en 94 avec 12% de chômeurs ... a une période ou il y avait les 40h et le Franc !!!! fin 90 (après les 35h) le chômage est retombé en dessous de 10% puis vers les 8% ... L'Euro est arrivé après !!!! a priori l'...

le 27/02/2011 à 23:37
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@Tonio: tout ces arguments bidons contre l'Euro sont fatigants, tant d'inculture économique! Un des arguments préférés des anti-euro c'est dire que sous l'Euro tout est devenu cher!! Alors que dans tous les pays, tout est devenu cher. Si nous avions ...

le 28/02/2011 à 16:28
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la france a été le pays le plus endetté pendant le 18eme siecle, le 19eme siecle et le debut du 20eme siecle, et le redeviendra peut-etre au cours du 21eme siecle, l'euro ? rien à voir, ce sont de mauvaises habitudes de gestion à la française le prob...

le 28/02/2011 à 16:34
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il aurait fallut interdire l'endettement du pays avant de rentrer dans l'euroland, condition necessaire pour eviter une spirale d'endettement infinie, avec ses consequences politiques certainement tragiques à venir pour le peuple et la construction e...

le 01/03/2011 à 11:08
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xavier-marc Ne perdez pas de temps à expliquer aux bornés, ils ne comprendrons jamais rien!.

le 02/03/2011 à 2:47
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La grande majorité des pays est endettée ... certes , quel est le rapport avec l'Euro ? Un des rare pays excédentaire que je connaisse et la Norvège , grande superficie , du pétrole, du gaz , et la moitié de Paris en population (5millions d'habitants...

le 03/03/2011 à 23:56
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la france a l'equivalent du petrole( un apport de devises), c'est le tourisme. l'absence de petrole et gaz pour se desendetter est donc une fausse excuse.

le 09/03/2011 à 3:11
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Pour que le tourisme rapporte vraiment il faudrait qu'on soit moins râleurs, plus souriants et plus optimistes ... oui on a beaucoup de touristes ...qui nous traversent pour aller en Espagne et en Italie ....

à écrit le 24/02/2011 à 19:57
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J'avoue ne pas bien distinguer le devenir de l'Euro et même de l'Europe qui aurait dû devenir une force extraordinaire. Mais trop de disparité dans tous les domaines risque de tuer et l'Europe et sa monnaie : PIB, Salaires, Fiscalité, Politiques, not...

le 25/02/2011 à 3:23
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Parce qu'aux US entre un noir au chômage dans sa maison bouffée aux termites dans un état du sud et un Golden Boy de la finance à New York à Manhattan , il n'y a pas de disparité ?????

à écrit le 24/02/2011 à 19:50
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et pourquoi 2011 sera l'année de la faillite financière des USA, tu sais pourquoi?

le 24/02/2011 à 20:06
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1.2011 = 11.09 (11.00). 2001

à écrit le 24/02/2011 à 19:33
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il ne fallait pas être grand clerc pour s'apercevoir que l'euro ne passerait pas le cap des 20ans et encore je suis obtimiste trop de différences entre les pays européens cette marche forcée vers la monnaie unique a été une énorme bêtise et je suis ...

à écrit le 24/02/2011 à 19:22
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« Or il est difficile de croire que les populistes seront de vibrants défenseurs du projet européen, car leur fonds de commerce, c'est le nationalisme et la xénophobie ». En même temps, ce monsieur est professeur d'histoire à Harvard, pas professe...

à écrit le 24/02/2011 à 18:46
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Il ne va pas assez loin, pourquoi ne pas évoquer la crise majeure à venir du marché des changes. Pourquoi ne pas parler de la sous évaluation du Yuan, et qu'il est prévu de toute façon dans le cadre d'un nouvel ordre mondiale de se mettre en accord p...

à écrit le 24/02/2011 à 17:34
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Notre bel américain en pince pour Marine pour avoir autant de certitudes !

à écrit le 24/02/2011 à 17:27
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vous avez raison de comparer ces propos à ceux de Marine Le Pen, Ce type est un néo conservateur américain qui cherche tjs à prouver au monde que les Etats Unis s'est sortent mieux que l'Europe en déclin. Il présente l'Europe comme un agrégat de pa...

le 02/03/2011 à 14:08
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je rejoins complètement l'analyse de ABCD. Article avec peu de fondements que j'ai pris le temps d'étudier. L'euro pourrait bien devenir une monnaie de réserve pour la stabilité de la zone et les efforts incroyables consentis par la BCE. j'ai juste...

à écrit le 24/02/2011 à 17:09
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Analyse très éclairante et surtout aux arguments bien justifiés. Merci pour cet article!

le 25/02/2011 à 3:28
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Ouai bof .... il est gentil mais il est du genre a voir acheté des subprimes a gogo ... en tout cas si il avait su que c'était des conneries il ne l'avait pas dit ... peut être pas si compétent cet expert de la finance .

à écrit le 24/02/2011 à 16:59
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Le problème c'est que tant que l'Allemagne n'aura pas la même politique budgétaire que le reste de l'Europe, les jours de l'euro seront comptées....

à écrit le 24/02/2011 à 16:32
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Quand je pense qu'on ridiculise Marine le Pen quand elle dit que l'euro va s'effondrer...! Un prof d'Harvard c'est quand même du sérieux !

le 25/02/2011 à 3:33
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Enfin il ne dit pas non plus que le Dollar ne va pas s'effondrer lui aussi , il n'y a pas besoin d'être de Harvard pour compter les centaines de milliards dépensés par le gouvernement américain pour renflouer les banques , que le gouvernement américa...

à écrit le 24/02/2011 à 16:12
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Tout ce que vdisent les économistes est du pipeau ! on en a la preuve tous les jours;l'euro est une monnaie efficace et sympa pôur les Européens:il aura la vie dure..

à écrit le 24/02/2011 à 15:26
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Moi j'aime bien l'Euro, cela me permet d'avoir des choses a l?étranger sans coûts de change , voyager ici et la , retirer de l'argent aux DAB sans surcoût, etc etc etc... De plus si l'Angleterre et tout les autres en UE mais pas dans la zone Euro ét...

le 24/02/2011 à 18:37
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"sans coûts de change" Quelle naïveté.

le 25/02/2011 à 3:37
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Oui mais pour tous les rêveurs du retour au Franc (faible et dévalué tous les 4 matins) imaginez une inflation du double ou du triple de maintenant et des taux d'intérêts au dessus de 10% ... Ahhh le paradis du Franc ....

à écrit le 24/02/2011 à 14:11
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arrêtons d'acheter autre chose que Français et revenons au franc

le 25/02/2011 à 3:39
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Moi j'achète Français et en Euros .... mais la plupart des français veulent acheter Chinois ou Américain ou Allemand mais en Franc, a priori cela ne sera pas une bonne affaire !!! mdr ...

à écrit le 24/02/2011 à 12:32
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Il faut abolir l'Union Eureopéenne et l'Euro et revenir à la Communauté Européenne avec la souvereineté de chaque pays!

le 25/02/2011 à 9:07
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ouais et les etrangers dehors!! (sauf les touristes hein... lol)

à écrit le 24/02/2011 à 11:54
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avis à la population : n'ayez pas peur de ce genre d'article. Ca s'appelle la guerre économique. Aux US, les émissions, articles anti EUROS sont quotidiens. Les écarts existent partout même là bas (va comparer le revenu moyen du mississippi et de la ...

le 24/02/2011 à 14:15
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Les arguments exposés sont détaillés, et l'opinion de ce monsieur est tout à fait recevable. Contrairement à lui, je ne pense pas que la survie de l'euro à long terme est improbable et comme vous dites, les USA ont déjà beaucoup à faire avec leur pro...

à écrit le 24/02/2011 à 10:33
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Il faudrait revenir à l'Europe des 15 maximum. L'entrée des pays de l'Est a été une folie. Seule la Slovénie a joué le jeu.

à écrit le 24/02/2011 à 10:16
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Très bon article, les analyses de M. Ferguson sont tout à fait pertinentes. Certains points sont déjà vérifiés : la montée des populismes est une évidence, les élites du monde préparent déjà la fin du "pacte" sino-américain sur fond de crise de matiè...

à écrit le 24/02/2011 à 10:11
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La question est : ? est ce que la notion de Pays (ou de Nation) inclus aussi celle de finance liée à l'intérêt fiscal général dans la responsabilité citoyenne ?? particulièrement dans les faits ou depuis des dizaines d'années, l'on nous claironne la...

à écrit le 24/02/2011 à 9:42
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Le problème c'est qu'on a élargi beaucoup trop vite la zone euro,et en plus avec des tricheurs,il s'en est suivi des déséquilibres intolérables en peu de temps. Quoiqu'il en soit,je pense qu'un retour en arrière serait catastrophique et que l'euro su...

à écrit le 24/02/2011 à 8:41
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L'avenir est tellement incertain ...

le 24/02/2011 à 17:15
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par définition

à écrit le 24/02/2011 à 8:24
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bon article, par contre difficile à lire du fait des nombreuses fautes.... vous n'avez donc pas de lecteur-correcteur à la tribune ??

à écrit le 24/02/2011 à 7:56
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L'Europe, telle qu'elle est, est une usine à gaz: les écarts des niveaux de vie des pays sont trop importants, les politiques (fiscales, sociales...) trop différentes, ainsi que les mentalités. Et les langues multiples compliquent cet ensemble (avec ...

à écrit le 24/02/2011 à 5:42
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"une union monétaire sans une union fiscale n'est pas durable" Pourtant le dollar est une monnaie qui existe depuis plus de deux siècles alors que la fiscalité des différents états n'est absolument pas comparable. Essayez de comparer ce que paient u...

le 24/02/2011 à 10:31
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Pas de comparaison possible avec l'UE : déjà parce qu'il existe une fiscalité au niveau fédéral, et surtout des différences historiques majeures. Les Etats-Unis sont une entité savamment entretenue depuis la Constitution; en cas de danger au niveau g...

à écrit le 24/02/2011 à 1:43
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Si l'euro est dans une telle situation, c'est bien parce que nous avons sauvé nos banques, grandes détentrices de dollars. Mais le dollar ne vaut plus rien, la Chine est de facto ruiné, et le seul endroit sur Terre où il restera un semblant d'organis...

à écrit le 24/02/2011 à 0:37
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Il me semble que l'auteur se trompe sur la vision des Allemands. Certes les électeurs sanctionnent Angela Merkel aux élections, mais les ménages sont aussi très optimistes en Allemagne. C'est donc qu'ils ont un espoir nourri que leur économie ne va p...

à écrit le 23/02/2011 à 21:33
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l'euro fut la plus belle erreur du XXIème siècle, si l'euro avait été supervisé par M. le Gl De Gaulle, par M. Georges Pompidou ou par M. Valéry Giscard d'Estaing, le résultat aurait peut être été bon sans plus, mais débattu et supervisé par mittera...

le 24/02/2011 à 19:43
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L'euro a son prix initial AHAHAH Comme s'il ne s'était pas passé 10 ans depuis l'euro et que l'inflation a ete nulle et que la France n'aurait pas devalué depuis ces 10 ans et la crise Quelle naïveté !!! en Franc actuel l'essence vaut 20 Fr le li...

le 25/02/2011 à 3:52
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Le franc a toujours été faible (moins que la lire mais bon ...) alors revenir au franc , a ses dévaluations répétitives, à l'inflation galopante , aux taux d'intérêts énormes ... boffff

le 01/03/2011 à 21:41
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1 peu de calcul: quand le Francs existait les augmentation du coût de la vie étaient de 0,10-0,20 voir 0,50 FRS, lorsqu'à présent une augmentation se fait, elle est toujours de 0,10-0,20 ou 0,50 mais en euros ce qui donne en FRS 0,66-1,34 ou 3,40Frs...

à écrit le 23/02/2011 à 15:00
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Voilà un bon exemple du torysme actuel sur l'Europe; et ne pas oublier que l'auteur est un ami de D Cameron; l'Europe avancera mais les Britanniques chercheront à s'y raccrocher quoiqu'il arrive à l'actuelle coalition au pouvoir à Londres.

le 25/02/2011 à 3:57
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Que les Anglais sortent de l'Europe et que les journalistes arrêtent de mettre en avant les théories anglo-saxones .... Si quelqu'un veut les défendre qu'il achète d'abord un de ces fameux produits financier anglo-saxon complexe (Américain, Anglais, ...

à écrit le 23/02/2011 à 13:01
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Le vrai problème est qu'il aurait fallu faire l'Europe sociale avant d'ouvrir les marchés. Les seules qui en ont profité, ce sont les patrons c'est tout. Les pays riches ont durement payé pour les plus pauvres et aujourd'hui il faudrait faire marche ...

à écrit le 22/02/2011 à 17:05
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J'ai toujours été opposé à l'euro. D'abord parce que la monnaie est un élément de souveraineté dont nous prive la BCE. Ensuite il est illusoire de vouloir mettre dans le même moule des nations aussi différentes que l'Allemagne et la Grèce. La seule c...

le 23/02/2011 à 18:35
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Et moi qui croyais aujourd'hui avoir tout lu ! Quant à votre épargne elle subira une dévaluation de 40 % Il vous restera la lessiveuse de ma grand mère.

le 24/02/2011 à 7:51
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c'est pls que nul

le 25/02/2011 à 4:00
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Barrosi Sarkoso ...même combat ...certains rêvent que la Banque de France aurait pu faire autre chose que d'appliquer ce que les marchés financiers mondiaux lui auraient demandé ... doux rêve ...

à écrit le 22/02/2011 à 14:29
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il faudra bien revenir au franc.

le 23/02/2011 à 21:44
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Merci pour cette analyse, c'est tres utile et constructif.

à écrit le 22/02/2011 à 13:21
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Bla Bla Bla, quand on veut tuer son chien on dit qu'il a la rage. Pauvres américains, je ne voudrai pas être à leur place même si la mienne n'est pas la plus réjouissante. OUi nous avons l Euro et ça les embête bien alors ils vont tout faire pour ess...

le 24/02/2011 à 9:17
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Bonne analyse que je partage tout-à-fait.

le 25/02/2011 à 13:48
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Pour aller asser tres souvent aux USA suis assez d accord avec vous Raoul

à écrit le 22/02/2011 à 13:05
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Serait-il excessif de demander à des journalistes professionnels de relire leur copie, pour éviter les erreurs de formulation et les mots qui manquent ?

à écrit le 22/02/2011 à 12:47
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Analyse pertinente... un bon exemple de bonne vulgarisation macroéconomique

à écrit le 22/02/2011 à 12:37
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Réduire les deux guerres mondiales à un conflit entre la Grande-Bretagne et l'Allemagne pour la suprématie ! Chamberlain n'avait pas l'air de voir les choses de cette façon à Munich, en 1938. Si le reste des analyses de Niall Ferguson est de ce calib...

le 24/02/2011 à 10:07
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Tlön, Je vous comprends mais il demeure vrai que la GB est devenue allié de la France parce qu'elle craignait la domination allemande. L'Entente Cordiale ne s'est pas fait parce que les Britanniques aimaient les Français (ou vice-versa) mais parce qu...

à écrit le 22/02/2011 à 11:36
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Analyse intéressante... La question qui se pose à la lecture de cet article, qui est une vision au delà de 2012, c'est : et que se passera t il si cela se réalise? rivalité/conflit UAS - Chine, désintégration de la zone euro. Qu'adviendra t il et que...

le 22/02/2011 à 12:04
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Quelle question! Lorsque les riches s'appauvrissent, les pauvres crèvent à la guerre.

à écrit le 22/02/2011 à 11:09
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un type d'harvard était très persuadé de l'existence d'une guerre de religions et de la présence d'armes de destructions massives

à écrit le 22/02/2011 à 11:00
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Tout n'est pas faux, mais tout n'est pas vrai non plus (genre les EU puissance mondiale en 1870?? Même la Belgique était devant...). Ce que ça dit surtout, c'est qu'il est grand temps de remettre des règles. C'est nous qui laissons la Chine devenir u...

le 22/02/2011 à 14:37
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Je suis d'accord ! Quand j'ai su que la Chine avait signée des contrats avec l'Espagne, je me suis dit que la Chine était en train d'étendre ses tentacules économiques mais il me semble que cela va aller au-delà de l'économie.

à écrit le 22/02/2011 à 11:00
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votre raisonnement Chris76 est un peu simpliste,car en cas de faillite des etats europeens ,c'est la famine assurée pour bon nombre de personnes ,ceux qui habitent les campagnes pourront peut-etre vivre en autarcie mais les citadins seront penalisés ...

le 22/02/2011 à 11:57
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Cher Moeri16, Ce qui va créer la famine, c'est la dépendance alimentaire créée artificiellement par les grands cartels type Monsanto dont l'ambition passe par la privatisation du vivant, qu'il s'agisse de l'Humain ou de la Nature. Arrêtons cette conc...

à écrit le 22/02/2011 à 10:49
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"Au XVIe et XVIIe, on s'est battu pour l'or et l'argent, au XVIIIe pour le sucre et les épices, au XIXe pour le charbon, au XXe siècle pour le pétrole" des cértineries aussi simplistes sont réjouissantes : les deux guerres mondiales, la guerre de cor...

à écrit le 22/02/2011 à 10:25
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Tout ça c'est bien joli, mais que deviennent les gens, les êtres humains ? En gros ce type nous dit que l'on va finir par renoncer à l'UE et se battre avec la Chine ? Et si je ne veux pas ? Et si je veux faire des enfants et vivre heureux et en paix ...

à écrit le 22/02/2011 à 2:30
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ce gars est assez bon dans son analyse et en plus son approche historico-économique nous change des sempiternelles approches géopolitiques qui sont semblent aujourd hui insuffisantes pour expliquer les mouvement actuels du capitalisme. Ce qui est sur...

le 22/02/2011 à 10:19
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Sacré Gertrude ! Tu dis "peaux de saucisson devant les yeux" à ceux qui pensent qu'une croissance infinie dans un monde fini est une chimère ?!!!... Tu n'y vas pas avec le dos de la cuillère... Un peu de modération, que diable !... Le QE2 ou la nouve...

le 22/02/2011 à 10:24
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Sacré Gertrude ! Tu dis "peaux de saucisson devant les yeux" à ceux qui pensent qu'une croissance infinie dans un monde fini est une chimère ?!!!... Tu n'y vas pas avec le dos de la cuillère... Un peu de modération, que diable !... Le QE2 ou la nouve...

à écrit le 21/02/2011 à 23:26
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Djaici: la competitivite c ce qui te fait travailler. Si on se fait distancer on ne peut plus vendre, on devient donc pauvre , on est alors a la merci de n importe qui: demain envahi et colonise par la chine ?

le 22/02/2011 à 3:31
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qui se croit assez puissant pour empêcher la chine de rattraper le retard qu'on lui avait imposer ces derniers siècles? on lui as fournit les mêmes jouets économiques que nous et maintenant ils vont vite nous montrer qu'ils connaissent très bien les ...

à écrit le 21/02/2011 à 21:30
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Chacun a sa propre perception du monde, mais ce qui est sure, c'est que personne ne sait pourquoi il faut suivre cette culture de la compétitivité à tout prix qui est plus que débile.

à écrit le 21/02/2011 à 20:42
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personne donne de définition des troubles aux Maghreb donc son nom sera le grand changement pourquoi, après tout il faut déduire...car première déduction de la théorie Eugène, philosophe grec qui vivait dans un tonneau ta crise a bien commence en...

le 22/02/2011 à 10:31
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Eugène , ou bien Diogene ,,,,

à écrit le 21/02/2011 à 10:44
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Avec ou sans l'euro, avec ou sans Bruxelles, mille formes de collaboration sont possibles entre les Etats européens, et, surtout, leurs populations. Ces cinquante dernières années, les peuples ont appris à se connaître, et s'apprécier. (Rappelons qu'...

le 22/02/2011 à 11:03
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Y a pas besoin de voyager pour être tolérant et ouvert à la discussion, Et c'est pas parce qu'on voyage qu'on ne peut pas rester intolérant et fermé aux autres. Par contre, tant qu'on acceptera pas que d'autres aient les mêmes prétentions que nous, e...

à écrit le 20/02/2011 à 19:03
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Vous voulez un beau t-shirt? OK. Pas cher? OK. Fabriqué chez nous? euh, ça, c'est plus difficile... La solution? acheter plus cher? comment ça pas question? alors faut pas vous étonner. La vraie solution ? sa mise en ?uvre prendra du temps, une géné...

le 20/02/2011 à 20:26
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Après le populisme de la finance (néolibéraux, moins d'état, GATT , OMC, suppression des droits de douane, moins de taxes et d'impôts) qui devait nous amener à la prospérité (pour les multinationales et les riches oui ça à marché !! pour les pauvres:...

à écrit le 20/02/2011 à 17:55
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On dirait que pour lui Europe = Allemagne !

à écrit le 20/02/2011 à 17:53
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Les Européens ont une botte secrète aussi. L'épargne. La population Européenne emprunte autant qu'elle épargne. Seulement les américains eux s'endettent avec très très peu de contrepartie.

le 20/02/2011 à 18:59
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faux : exemple, d'après le rapport de la cour des comptes (de tête, le chiffres exacts sont dans le pavé) la france à environ 2000 milliards d'épargne, et 5000 milliards de dette en cumulé (état+ collectivités locales +...) vive la décentralisation -...

le 21/02/2011 à 22:19
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C'est les chiffres inverse !!!

le 23/02/2011 à 15:12
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mdr oui encore un qui n'a rien compris ! c'est tout l'inverse et la dette de l'état et des collectivités locales, et bien c'est la même !

à écrit le 20/02/2011 à 11:23
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article de monsieur ferguson note 13 sur 20 t lire des vérité sur la palisse c est pas trop mon truc mais malgré ces manquements ces omissions ou ces oublies je rajoute 1 point cet article est intéressant ,est ce vraiment la vérité j en doute un pe...

à écrit le 20/02/2011 à 11:10
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devinette/ la théorie d Eugène débouche directement sur les problèmes des pays musulman le président a appelé le grand Maghreb donc si vous arrivez a définir la déduction de cette théorie ...l avenir vous appartient vous rentrez dans la syntaxe de...

à écrit le 20/02/2011 à 8:00
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L'euro est foutu, disparition avant 5 à 6 ans...

le 20/02/2011 à 18:41
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ça sera pas trop tot

le 25/02/2011 à 4:13
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Avant ou après que le dollar s'effondre. ... Et puis le Franc , ses dévaluations, son inflation, ses taux d'intérêt énormes ... quelle nostalgie ... mdr

à écrit le 20/02/2011 à 7:36
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l'euro tiendra et l'Europe se fera, contrairement aux souhaits des anglos saxons qui contrôlant la presse économique essaient de nous convaincre du contraire. Le est appelé a s'effondrer avant la fin 2011 eu égard à la dette abyssale des usa, je ...

à écrit le 19/02/2011 à 23:47
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Question à deux améros : de quelle fraternité occulte fait parti ce monsieur?

à écrit le 19/02/2011 à 23:47
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Franchement les commentaires sur l'Europe des anglo-saxons je ne les lit même pas. Ce sont bien eux qui sont à l'origine des systèmes financiers actuels qui nous tueront tous. Au lieu de raconter des bêtises à propos de la fin de l'euro, on ferait mi...

le 22/02/2011 à 12:46
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Parfaitement d'accord. Le capitalisme est un système qui fonctionne bien partout, sauf chez les anglo-saxons.

à écrit le 19/02/2011 à 22:25
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Sous l'administration Nixon les Américains ont créé un système par lequel en saturant le monde de Dollars ils pouvaient faire partager leur déficits pharamineux par le reste du monde. Nous arrivons à la fin de cette période. La politique du "Le dolla...

le 20/02/2011 à 17:53
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Les US font tourner la planche a billet a plein régime. La Chine commence a placer ses exedents budgetaires sur l'Euro. L'euro monte et du coup l'Europe ne peut plus exporter quoique ce soit. C'est la BCE et ce sont les gouvernements Europeen qui son...

à écrit le 19/02/2011 à 22:03
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Une vue braudelienne de l'Histoire ne ressemble absolument pas aux propos rapportés dans cet entretien : c'est superficiel sur la question financière et monétaire, c'est carrément malhonnête sur les causes et conséquences d'un défaut de dette, et ça ...

à écrit le 19/02/2011 à 21:54
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je pense qu'on devrait surement remettre les monaies de chaque pays, chaque pays sa monaie.

à écrit le 19/02/2011 à 20:49
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Comment l'euro peut-il survivre sans une politique fiscale et sociale commune ainsi qu'avec une banque centrale qui n'a pas beaucoup (voir pas du tout) de pouvoir ? Il est urgent de revoir tout cela.

à écrit le 19/02/2011 à 17:57
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Bon pour amener du grain à moudre ..voyez les commentaires de Mr Sapir et de Mr Todd sur France culture en fin d'année 2010. C'est ma foi très simple : 10 ans de chaos monétaires avant la montée en puissance de nouvelles monnaies de reserves (rouble ...

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