"Shutdown" : Obama excédé met la pression pour en finir avec la paralysie budgétaire

Cela fait trois jours que l'administration américaine tourne au ralenti, conséquence du blocage entre républicains et démocrates sur le Budget. Barack Obama refuse de céder sur le financement de la réforme de santé, emblématique de sa présidence. Jeudi, il a encore mis un peu plus la pression sur les républicains.

Le bras de fer entre Barack Obama et les Républicains américains de la Chambre des représentants sur le vote du Budget des États-Unis s'intensifie. Le président américain reste inflexible, tel un capitaine à la barre en plein ouragan républicain. Au troisième jour de blocage, le voilà qui joue la carte de l'intransigeance, mettant la pression sur les républicains par différents moyens :

  • Obama jette l'opprobre sur le président de la Chambre des représentants

Après l'échec de la réunion de mercredi soir à la Maison Blanche, Barack Obama s'en est directement pris à John Boehner, le président de la Chambre des représentants, jeudi lui adressant en marge d'une visite de PME du Maryland : "Votez, arrêtez cette comédie et mettez fin à cette paralysie !". Avant d'insister :

"La seule chose qui paralyse l'État, la seule chose qui empêche les gens de travailler, la recherche fondamentale de redémarrer et les PME d'obtenir des prêts (…) la seule chose qui empêche cela de se produire dans les cinq prochaines minutes est que John Boehner ne veut même pas autoriser un vote sur le projet de loi (d'orientation budgétaire), parce qu'il ne veut pas s'aliéner les extrémistes de son parti".

Deux heures plus tard, le président américain excédé taxait les républicains d'"obsédés" : à propos du blocage des administrations publiques depuis mardi 1er octobre, il a déclaré : "Tout cela revient à une chose, l'obsession des républicains" contre la réforme de l'assurance-maladie (Obamacare), les accusant de s'unir simplement par peur des "extrémistes" du Tea Party, la branche la plus droitière du Grand Old Party. Il a répété qu'il ne cèderait pas aux demandes de "rançon" des républicains.

Ces déclarations interviennent alors que la veille, mercredi soir, une rencontre stérile entre Barack Obama et le chef de file du Congrès John Boehner s'était tenu à la Maison Blanche, sans qu'aucune avancée n'en ressorte malgré plus d'une heure de discussions. A sa sortie, M. Boehner n'avait pu que déplorer que le président ne veuille pas négocier sur la réforme de santé, qui cristallise aujourd'hui les tensions.

"La rencontre hier entre le président Obama et les leaders parlementaire a échoué à réaliser une quelconque avancée" déplorait ce jeudi la banque Wells Fargo à l'ouverture de la Bourse de New York.

  • Obama tente d'effrayer les marchés financiers

Invité à s'exprimer sur la chaîne d'informations financières CNBC mercredi soir, Barack Obama s'était non seulement dit "exaspéré" par une crise "complètement superflue", mais il est aussi allé plus loin, agitant le spectre de la crise sur les marchés financiers et du risque de nouvelle dépression, pour forcer les républicains à revoir leurs positions.

Ainsi, alors qu'un journaliste lui demandait : "Monsieur le président, les marchés sont pour l'instant assez calmes, ils pensent que c'est une énième querelle politique à Washington, ont-ils raison ?", le président des États-Unis a répondu : "Non cette fois, c'est différent. Ils devraient s'inquiéter".

Résultat, jeudi, à l'ouverture de Wall Street, le Dow Jones cédait 0,31% à 15.086,45 points et le Nasdaq 0,009% à 3.811,7 points. Vers 19h45, heure française, le Nasdaq continuait son repli, en recul de 0,92% à 3.779,9 points. Selon des analystes de la société de courtage en Bourse Charles Schab Corporation, "un accord budgétaire au Congrès apparaît encore hors d'atteinte, entretenant la crainte d'une fermeture prolongée des services publics et l'incertitude à l'approche de l'échéance sur le plafond de la dette". Car en effet, les républicains n'ont pas seulement lié leur vote du Budget au retrait du financement de l'Obamacare, ils ont également menacé - et ce serait autrement plus grave pour l'économie américaine - de ne pas donner leur accord pour un relèvement du plafond de la dette des États-Unis. Ce plafond doit être atteint le 17 octobre prochain d'après le Trésor américain, autant dire que les jours sont comptés. Obama a souligné jeudi qu'il était hors de question de négocier sur ce relèvement.

A ce sujet, le Trésor a lancé un avertissement sévère jeudi. Dans un rapport publié ce 3 octobre, il prévient que si un blocage de la dette survient,"le marché du crédit pourrait se geler, la valeur du dollar plonger et les taux d'intérêt américains monter en flèche conduisant à une crise financière et à une récession qui rappelleraient les événements de 2008, voire pire".

La directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) Christine Lagarde a appuyé ce cri d'alarme lors d'un discours prononcé à Washington jeudi :

"La paralysie budgétaire est déjà assez néfaste mais l'incapacité de relever le plafond de la dette serait pire encore, et pourrait non seulement endommager les États-Unis mais également l'ensemble de l'économie mondial" a-t-elle prévenu.

  •  Obama prend à témoin ses 37.481.981 « followers » sur Twitter

L'équipe de communication du président américain ne cesse de mobiliser sur le célèbre réseau social à l'oiseau. Des dizaines de tweets sont envoyé chaque jours aux 37.481.981 personnes (ou entreprises) qui « suivent » les publications de Barack Obama.

L'un d'eux a particulièrement été "retweetés" (transféré) plsu de 28.366 fois, et pour cause, c'était une façon de mettre la pression sur les républicains:

 Au final, ce "shutdown" américain marque le pic de 33 mois d'affrontements sur le Budget entre démocrates et républicains, qui ont repris le contrôle de la Chambre des représentants en janvier 2011. Ce blocage, qui pousse met environ 800.000 fonctionnaires au chômage technique (sur deux millions au total) est une première depuis 1996. Vue du Vieux Continent, il inquiète. Mario Draghi, le président de la Banque centrale européenne (BCE) a estimé que cette paralysie représente "si elle se prolongeait, un risque pour les États-Unis et pour le reste du monde".

En France, Pierre Moscovici confiait également son inquiétude sur les conséquences de ce blocage lors du Conseil des ministres de mercredi.

>> Moscovici craint que le shutdown américain ne "freine la reprise économique en France"

Commentaires 57
à écrit le 05/10/2013 à 13:24
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La sécurité sociale, sans le blocage effectif des revenus des dentistes chirurgiens et médecins, cela ne sert à rien. Si il vivait en France, Obama aurait compris cela, les républicains n'ont donc pas tort sur le fond de s'opposer aux réformes voulue...

à écrit le 05/10/2013 à 12:15
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Repris le contrôle de la chambre des représentants? Par le biais d'un incroyable charcutage électoral jamais encore vu: avec 7 états sur les 51 les républicains ont obtenu les sièges d'avance et la majorité! Les démocrates eux ont laissé faire ça, de...

à écrit le 04/10/2013 à 16:07
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La réaction violente aux projets d?Obama interpelle aussi la France et l?Europe. Les médias et les politiques français sont totalement surpris par la vigueur de l?opposition qui s?exprime aux Etats unis contre les projets d?Obama en matière de S...

le 04/10/2013 à 19:13
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TOUT LE MONDE POLITIQUE SAIT QUE AUCUN PAYS NE POURRAS PAYEES LES DETTES ACUMULEES. ILS TROUVERONT UNE SOLUTION C EST DE LEURS RESPONSABILITES? ONT NE PEUT PAS ARRETEZ LE MONDE ECONOMIQUE ? PERSONNE Y A INTERES ???

le 05/10/2013 à 5:45
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leur solution c'est que vous, vous payerez. sachez le.

à écrit le 04/10/2013 à 15:28
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Monsieur OBAMA, tenez bon face ce groupe de Républicains réactionnaire et haineux , sans avenir ....et réalisez votre réforme de la Santé qui vous inscrira définitivement dans l'Histoire !!!!....

le 04/10/2013 à 17:44
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Yes ! +++UN !

à écrit le 04/10/2013 à 13:54
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Mr OBAMA, ne lâchez rien !! ce n'est pas à vous de le faire !! Républicains , SHAME ON YOU!!!

à écrit le 04/10/2013 à 12:27
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Échec, le géant américain a les genoux à terre plus qu'une question de temps pour qu'ils lui coupent la tête. Je crois qu'on peut saluer la subtile stratégie de l'adversaire, dommage qu'il préfère rester anonyme, m'enfin je le comprends l'anonymat c'...

le 04/10/2013 à 12:59
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@Sylo : Ils n'ont pas compris les regles du jeu "go".

à écrit le 04/10/2013 à 11:55
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ça c'est du prix Nobel de la paix. Mettre la pression pour fermer Guantanamo il sait pas faire, mais mettre la pression pour augmenter la dette US et réduire les libertés ...

le 04/10/2013 à 12:13
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Comme quoi la politique de la discrimination positive mène toujours à la discrimination. La chasse aux riches est ouverte et bon safari!

le 04/10/2013 à 17:45
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Avant de dire n'importe quoi, réfléchissez svp..Merci !

à écrit le 04/10/2013 à 10:41
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BARAK DOIT TENIR TOUS LES RICHES CRIENT ? mais comme dit un proverbe les chiens aboient mais la caravane passe LES AMERICAINS ONT BESSOIN D UNE COUVERTURE SOCIALE???

le 04/10/2013 à 15:17
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Et d'une pauvrete a la Francaise.

le 04/10/2013 à 17:46
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une couverture sociale, ce ne serait pas en reste! Allez OBAMA !!

à écrit le 04/10/2013 à 10:19
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au final je ne comprends pas l homme . H O M M E

à écrit le 04/10/2013 à 9:21
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A quoi sert de repousser le plafond de la dette ? Dans 6 mois, il sera de nouveau atteint ! Ce sera pour le repousser encore ?... Pourtant tout le monde sait que les arbres ne montent pas jusqu'au ciel. Et qu'au moment le plus mal choisi, la bulle éc...

à écrit le 04/10/2013 à 8:45
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Comment comprendre ses ''hippies de droite'' (''libertarian'' du Tea Party) s'accoquinant au parti républicain - des récipiendaires par consentement mutuel - qui prennent en otage les USA aux risques de déstabliser - encore une fois - l'économie modi...

le 04/10/2013 à 12:56
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Ils sont optimistes sur ZH... No impact no impact, en attendant les spreads bougent deja pas mal ce qui laisse penser qu'ils pourraient eclater si un accord n'est pas trouve avant la date fatidique...

à écrit le 04/10/2013 à 8:24
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voilà ou mène des extrémistes , le tea party qui a fait de la surenchère sur la droite américaine , ils ont joué avec le feu les républicains et aujourd'hui ils sont devenus moutonniers du Tea party au point de mettre le pays par terre , ils avaient ...

le 04/10/2013 à 8:53
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La droite, partout où elle passe, est responsable de grands désastres. Cette histoire l'illustre parfaitement. Aussi, il serait nécessaire d'interdire les mouvements conservateurs, qui mettent en péril la démocratie populaire au profit des plus ric...

le 04/10/2013 à 9:18
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Le Tea party n'est pas de droite, et la situation est catastrophique par la faute des gouvernements successifs. Il est temps de sonner la fin de partie, et de commencer à être sérieux. La catastrophe, c'est justement de ne pas le faire.

le 04/10/2013 à 9:42
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Tiens, l'imbécile de service est de retour. Quand donc cesserez vous de dire des âneries et de rapporter des propos inintéressants ? En attendant, on sent bien chez vous que mépris et haine pour le peuple, que vous souhaitez voir ruiner. J'espère qu...

le 04/10/2013 à 10:30
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allons ...calmez vous ... 9h40 et deja au taquet !!! on discute calmement les gars !

le 04/10/2013 à 11:25
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Le Tea Party est à gauche, les démocrates sont à droite, le KKK est un mouvement de libération, et la NSA est une dangereuse ONG marxiste. john galt a encore raison, comme toujours !

le 04/10/2013 à 12:24
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Cher John vous racontez vraiment n importe quoi sur un sujet que vous ne maitrisez pas du tout Je penses que vous ne regardez pas les news américaines et que vous n avez pas mis les pieds aux USA depuis trés longtemps Quand vous entendez parler le...

le 04/10/2013 à 12:46
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@ @blazac et les autres: en meme temps c'est un peu limite comme commentaire non? Ca ne vous fait pas reagir? "La droite, partout ou elle passe, est responsable de grands desastres". Blazac, un esprit eclaire, un historien des plus rigoureux comme on...

le 04/10/2013 à 15:10
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@Mordrakheen : cette situation semble prouver la faiblesse actuelle des républicains. Ils sont prisonniers d'une minorité extrémiste qui n'a l'écoute que d'une faible partie de l'électorat, mais qui utilise efficacement ses financements. Que ce soien...

le 04/10/2013 à 15:39
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@@jonh galt, mordrakeen : les posts du genre : l'imbécile est de retour, où, vous nesavez pas parceque moi ej sais, et cela sans preuve ni arguments développées ne montreque votre dogmatisme aveugle, bien normal pour des constructivistes étatistes d...

le 04/10/2013 à 15:41
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@EBT : Le Tea Party, aujourd'hui, est un mouvement hétéroclite qui se confond partiellement avec le mouvement politique libertarien US. Il est très difficile de classifier le Tea Party, car certains de ses membres défendent des thèmes de la droite du...

le 04/10/2013 à 15:43
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Cher Mordrakheen, vous racontez vraiment, mais vraiment n'importe quoi. Je vous conseille cette étude sur l'obamacare : http://www.contrepoints.org/2013/09/02/137232-obamacare-sante-contrainte et j'en reprend ses conclusions : ILS N'EXISTE PAS DE DRO...

le 04/10/2013 à 15:51
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@EBT : vous connaissez Ron Paul et son fils ? Ils font partie du Tea Party pour info... @l'autre excité @john galt : c'est par des budget en équilibre et un désengagement de l'état que le peuple évitera les soupes populaires. Pourquoi vouloir essa...

le 04/10/2013 à 17:04
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a john galt , le tea party tire de son nom une revisitation historique contre l'anglais et ses impôts au roi Georges V , ce qui en découlait par la révolution américaine que la france a soutenue financièrement sous louis XV et entrainé une révolution...

à écrit le 04/10/2013 à 0:31
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wow, il etait sur le point d'aller faire un massacre au peuple syrien cependant il a décide de rester donner de l'espoir a son peuple avec obamacare. bravo au président obama.

à écrit le 03/10/2013 à 23:53
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Les américains ont eu tort de ne pas donner une majorité à Obama. De même les français vont avoir tort de vouloir voter à contre sens de Hollande aux municipales et européennes en pensant faire un soi disant vote sanction. Quand on fait un choix, il ...

le 04/10/2013 à 1:18
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Excellent parallèle. Comme on fait son lit, on se couche. En France, tous les indicateurs de reprises sont au vert (lire l'article de La Tribune parue ce jour à ce sujet). Si les français choisissent de sanctionner le président, tout cela se bloquera...

le 04/10/2013 à 7:13
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@ mecatroid : le problème, c'est que les français n'ont pas votre quotient intellectuel mirifique. Heureusement que vous êtes là pour nous rappeler que vous seul avez raison, même quand vous avez tort. Bref, vous êtes un inutile heureux....

le 04/10/2013 à 7:51
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En théorie, le vote aux municipales et aux européennes ne devrait ni suivre une logique de vote sanction, ni une logique moutonnière. Aux municipales, les administrés choisiraient avant tout un gestionnaire local et non un représentant national. Aux ...

le 04/10/2013 à 13:35
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@Mecatroid Dans la catégorie je sème la propagande socialiste par la terreur, cela se voit que vous avez de la bouteille. Néanmoins à force de crier au loup...

le 04/10/2013 à 17:47
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+ 1000 !

à écrit le 03/10/2013 à 22:37
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BRAVO les republicains il faut absolument combattre cet Obama a croire qu'il fait parti d'un complot islamiste.

le 04/10/2013 à 0:04
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j'espère au contraire qu'Obama ne lâchera rien non plus ! pour une fois qu'il peut y avoir du mieux pour la santé des Américains! au moins ça! 0 BAS les REPUBLICAINS !!!!!

le 04/10/2013 à 1:00
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Ouah, vous avez trop regardé Foxnews vous.

le 04/10/2013 à 17:49
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à 100% avec vous!

à écrit le 03/10/2013 à 22:03
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Les Men in Black sont passés voir Obama, un peu d'hystérie ca permet de faire oublier la déculotée avec Poutine.. http://armstrongeconomics.com/2013/10/03/the-ny-untouchables-warn-obama-about-no-defaults-or-else/

à écrit le 03/10/2013 à 21:16
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Le non relèvement du seuil n'est pas une option envisageable pour la très grande majorité des congressistes des deux camps. Le véritable enjeu est de négocier l'inflexion de la dette. Une grande partie des démocrates et des républicaines modérés part...

le 03/10/2013 à 21:45
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@cerise : Le président Obama a la responsabilité du pays. La seule stratégie valable à adopter est de mettre une pression maximale sur le Tea Party et les républicains, en frappant là ou ça leur fait le plus mal. Il ne peut pas laisser pourrir la sit...

le 03/10/2013 à 22:35
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@Mecatroid Je ne partage pas votre point de vue sur cette méthode, mais j'espère néanmoins que la suite des événements vous donnera rapidement raison, sinon ça va secouer très fort pour tout le monde.

le 03/10/2013 à 22:40
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Bien sur Obama a raison et les republicains tort. Lui détient le bien et la science , les autres sont nuls... conception très interessante du dialogue.

le 04/10/2013 à 1:12
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Il y a un temps pour chaque chose. Il y a eu largement le temps de discuter, d'essayer de trouver des compromis, et je pense sincèrement que de part et d'autre, il y a eu des bonnes volontés. Mais à un moment, il faut savoir prendre des décisions, fi...

le 04/10/2013 à 1:45
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Petite info au passage : Selon une enquête CBS publiée jeudi, les americains sont massivement derriere Obama : 72% des Américains ne sont pas d'accord avec l'idée de paralyser l'Etat en raison d'un désaccord sur la réforme de l'assurance-maladie, con...

le 04/10/2013 à 8:13
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Vite ! Instaurons une dictature ! les gens de droite n'ont pas à s'exprimer, étant stupides par nature !

le 04/10/2013 à 9:10
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@ (04.10.2013/08:13). Nous la vivons déjà '' presque tous '' la dictature (nouveau paradigme) Celle des marchés financiers (http://www.youtube.com/watch?v=lpY8awYmOwQ)

le 04/10/2013 à 9:43
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Non, mais là je parle uniquement des propos de Mecatroid qui me semblent pour le moins déraisonnés. C'est tout pour le moment.

le 04/10/2013 à 13:52
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++++ un !

le 04/10/2013 à 17:50
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