Grèce : la "stabilité de la zone euro" menacée par l'absence d'accord de l'Eurogroupe selon Samaras

Après douze heures de discussions infructueuses, les membres de l'Eurogroupe se sont séparés sans accord sur l'aide à la Grèce. Ce qui a fait sortir Antonis Samaras, le Premier ministre grec de ses gonds. Mercredi, il a considéré que la stabilité de la zone euro était menacée.
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Le Premier ministre grec, Antonis Samaras, a mis en garde les partenaires et bailleurs de fonds du pays contre le risque d'une déstabilisation de la zone euro, en réagissant mercredi à leur échec à s'entendre dans la nuit sur les moyens de remettre la Grèce à flot.

 Décision reportée à lundi

"Nos partenaires et le FMI ont le devoir de faire ce qu'ils ont assumé, ce n'est pas seulement l'avenir de notre pays mais la stabilité de toute la zone euro qui dépend du succès de la conclusion de cet effort ces prochains jours", a déclaré le Premier ministre de la Grèce, cité par un communiqué. Athènes attendait de ses partenaires, qui ont finalement renvoyé une décision à lundi, sa remise sous perfusion financière et un règlement de son surendettement.

Douze heures de discussion pour rien

Au terme de douze heures de discussion, les membres de l'Eurogroupe se sont séparés sans accord. Ils doivent se retrouver lundi 26 novembre pour tenter de débloquer l'aide promise à la Grèce et gelée depuis plusieurs mois. Officiellement, ce sont des détails techniques qui doivent être réglés, indique un communiqué publié par les ministres des Finances de la zone euro. Plus profondément, la cause des blocages tient aux désaccords sur la méthode à appliquer pour tenter de réduire la dette du pays qui menace d'atteindre 190% du PIB en 2014.

Commentaires 22
à écrit le 21/11/2012 à 18:22
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et en plus soumis a approbation lol je ni remettrai plus les pieds sur votre site

à écrit le 21/11/2012 à 18:21
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Seigneur ....... a lire les commentaires je suis sur le cul moyenne 0 sur 19 Vous avez tous compris .....juste rien ,désolant , peuple de veaux

à écrit le 21/11/2012 à 14:41
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Ras le bol du chantage des Grecs. Il est mieux pour eux de quitter la zone Euro. Le plus tôt, le moins cher pour les contribuables européens. J'espère que les européens ont prévu un pare-feu suffisamment solide pour contenir la vague et rassurer sur ...

à écrit le 21/11/2012 à 14:38
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Les "EUROPEENS" vont faire amèrement regretter le bon temps de l'ouzo et de la drachme à des grecs qui pensaient être bien au chaud dans un pays idyllique qui ne lève pas l'impôt et où il suffit de demander des sous à la banque pour en avoir.

à écrit le 21/11/2012 à 10:52
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Vous parlez tragédie on nous sort des farces et attrapes. La tragédie grècque pose la question de savoir qui a fait entrer la Grèce dans l'Europe afin de la détruire. Sachant bien que c'est un pays aux comptes publics traffiqués et à l'économie paral...

le 21/11/2012 à 14:49
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Bonne question : J'avais été très surpris à l'époque de l'admission, connaissant le passé (en réalité le passif) des finances Grecques et étonné de l'enthousiasme que suscitait son adhésion auprès des autres pays. J'avais lu à l'époque un économiste ...

à écrit le 21/11/2012 à 10:40
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Les meilleures tragédies étant les tragédies grecques, le gouvenement Grec nous ressort son arme fatale : le pognon pour nous ou le chaos ! Et comme cela fonctionne depuis 2 ans, pourquoi s'en priverait-il ? Le recouvrement efficace des impôts n'exis...

le 21/11/2012 à 11:43
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"seuls les pauvres souffrent, eux, et terriblement, c'est honteux" ...le malheur d'être pauvres , du peuple, eh! oui, comme toujours, c'est effectivement plus que honteux, cruel ce qu'endurent les honnetes gens en Grèce en ce moment, car il y a des g...

à écrit le 21/11/2012 à 10:28
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L'emballement des taux qui se profile au niveau français et allemand par l'excès de dette improductive, est entrain de mettre la société française à bas, comme l'éviction du secteur privé en cours, montre le bon travail des bureaucrates de l'Etat que...

à écrit le 21/11/2012 à 10:18
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Depuis son entrée dans la zone euro, la Grèce fait du chantage. Les créanciers ne sont plus dupes.

à écrit le 21/11/2012 à 10:06
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La Grèce a été conduite à l'explosion par le parti socialiste de Papandréou. Que ça soit l'euro ou bien le laxisme, le peuple grec qui voit la moitié de ses jeunes sans avenir, est victime d'une bande de bourreau: les bureaucrates!

à écrit le 21/11/2012 à 9:39
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"" mais la stabilité de toute la zone euro qui dépend du succès de la conclusion de cet effort ces prochains jours"" <-- la prise d'otages recommence, mais c'est pas evident que ca marche aussi bien que par le passe! petite question... est ce qu'ils ...

à écrit le 21/11/2012 à 9:26
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il faut virer la grèce de l'europe,aucune réforme n'est démarrer

à écrit le 21/11/2012 à 9:26
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Qu'on laisse la Grèce de son coté. On ne peut pas continuer à subir la mal gérance d'un pays. Qu'ils sortent de l'Euro.

à écrit le 21/11/2012 à 9:15
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C'est du chantage déguisé

à écrit le 21/11/2012 à 9:05
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Mais je ne comprends pas, Sarkozy nous avait dit droit dans les yeux lors d'un sommet sur la Grèce, que cette fois c'était définitif, le problème venait d'être réglé. Alors quoi, on nous mentirait ? j'ai du mal à imaginer que de hauts responsables po...

le 21/11/2012 à 9:45
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C'est un article concernant l'Europe, pas la politique francaise... Et les actions effectuées pour la Grèce n'est pas le ressort d'un seul homme.

à écrit le 21/11/2012 à 8:56
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les prets à la grèce ne servent à rien et l'austérité non plus si ce n'est à retarder le crash. il faut arreter de croire à ce cinéma des pays du sud qui ne font que pomper de l'argent à des gens assez naifs pour leur en donner.

le 21/11/2012 à 11:04
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Vous parlez austérité, ne doit-on pas dire vertu? Souvenez-vous en 74 de la relance chirac coup d'épée dans l'eau? Relances suivantes qui ne font qu'agraver la balance. Rebelotte. Et le politique n'apprend rien, il fait du mauvais travail et tout le ...

à écrit le 21/11/2012 à 8:32
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Mais l'argent sera versée comme d'habitude et au printemps se sera rebelote car l'Eurogroup ne sait pas faire autrement. Il a raison Samaras de faire semblant de menacer.

le 21/11/2012 à 9:21
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TOUT A FAIT D' ACCORD,ET CA REPOUSSE LE PROBLEME !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

le 22/11/2012 à 19:36
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La Grèce sait parfaitement que ses frontières stratégiques sont au_delà des soucis de cadastre, d'armateurs et politiques pourris depuis longtemps, depuis le XIX° siècle! Ses frontières sont à considérer en ces temps difficiles. L'Iran n'est pas bête...

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