Les résultats des entreprises ont beau être bon, les investisseurs, angoissés par un potentiel jeu de domino sur la dette souveraine, appliquent désormais le vieux proverbe: "vendez en mai et revenez plus tard"
Les résultats des entreprises ont beau être bon, les investisseurs, angoissés par un potentiel jeu de domino sur la dette souveraine, appliquent désormais le vieux proverbe: "vendez en mai et revenez plus tard"