"Les indices boursiers Américains proches de leurs records"

Le S&P et le Dow Jones ne sont plus très loin de leurs records absolus de 2007. Quelques pour cent. Hier c'est le père Noël, Ben Bernanke, qui a provoqué l'envolée des indices boursiers en indiquant clairement que la reprise économique n'était pas suffisamment puissante et qu'il était à nouveau prêt à distribuer des dollars à tout le monde.
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Le S&P et le Dow Jones ne sont plus très loin de leurs records absolus de 2007. Quelques pour cent. Hier c'est le père Noël, Ben Bernanke, qui a provoqué l'envolée des indices boursiers en indiquant clairement que la reprise économique n'était pas suffisamment puissante et qu'il était à nouveau prêt à distribuer des dollars à tout le monde.

Helicopter Ben
C'est le surnom de Ben Bernanke aux Etats Unis car il est toujours prêt à piloter son Canadair pour arroser l'économie Américaine de dollars. Effet garanti. A peine a t'il commencé à parler que les indices boursiers se sont envolés.

Le verre à moitié vide
Le parti de Rajoy a remporté l'Andalousie, fief socialiste, mais...il ne gouvernement probablement pas car il n'a pas obtenu la majorité absolue et c'est normalement une coalition de gauche qui prendra les rênes. Cette victoire a été analysée comme un semi échec par les investisseurs et comme un rejet de la politique d'austérité de l'austère Rajoy.

10 mois de chômage
c'est le dixième mois d'affilée que le chômage progresse en France et Nicolas Sarkozy a beau expliquer que la progression est moins forte que les mois précédents, c'est une mauvaise nouvelle.

Le oui mais de l'Allemagne
L'Allemagne est prêt à accepter que les fonds de soutien Européen continuent à opérer en parallèle mais ne souhaite pas augmenter la taille du fonds permanent de soutien. ...

Viré !
Les victimes de l'offensive de Free n'en finissent pas de s'accumuler. Le patron de SFR a été viré après 12 ans de bons et loyaux services...

16 millions d'euros
C'est ce que touchera Maurice Lévy en 2012. On comprend mieux pourquoi il y a quelques mois il a appelé de ses voeux une "contribution exceptionnelle des plus riches, des plus favorisés, des nantis".

Chacun son Qatar
Abu Dahbi pourrait acheter un tiers de la Royal Bank of Scotland à l'Angleterre qui en détient 82% depuis le sauvetage.

Marc Fiorentino, monfinancier.com

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