Diaporama Les 10 plus gros parachutes dorés perçus par des dirigeants français

2e 13 millions d’euros pour Antoine Zacharias (Vinci - 2007)

Longtemps patron le mieux rémunéré de France, l’ancien patron de Vinci démissionne en 2007, avec une retraite de 2,5 millions d’euros par an, des jetons de présence et des plus-values sur 12 millions d’actions. La justice décide d'intervenir, lui reprochant d'avoir perçu des salaires et des indemnités de retraite démesurés. Antoine Zacharias rétorquera : "Je n'ai pas fait de mal, j'ai consacré ma vie à cette société. [...] Que j'aie touché beaucoup d'argent, c'est un fait, mais ce n'est pas une infraction à la loi." En 2012, Antoine Zacharias est cependant condamné à 375.000 euros d'amende pour abus de pouvoir par la Cour de cassation. (http://www.latribune.fr/entreprises-finance/services/transport-logistique/20120516trib000698843/l-ex-patron-de-vinci-antoine-zacharias-condamne-a-375.000-euros-pour-abus-de-pouvoir.html) (Crédits : )

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Un coup tonnerre résonne depuis quelques jours dans la presse, Michel Combes, PDG d'Alcatel-Lucent, quitterait ses fonctions avec une prime de départ évaluée à près de 14 millions d’euros. Un sujet épineux accentué par le fait qu'une telle pratique serait récurrente chez Alcatel-Lucent. Retour sur les plus gros parachutes dorés perçus par des dirigeants français. Source : graphique paru dans le Figaro en avril 2015. http://www.lefigaro.fr/societes/2015/04/09/20005-20150409ARTFIG00043-l-ex-pdg-de-la-halle-et-d-andre-serait-parti-avec-3-millions-d-euros.php

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