Grèce : le piège de Wolfgang Schäuble se referme

L'appel d'Alexis Tsipras à l'Allemagne à ne pas "jouer avec le feu" traduit surtout une impuissance face au jeu de Wolfgang Schäuble qui n'a jamais abandonné son projet d'une exclusion de la Grèce de la zone euro...
Alexis Tsipras, impuissant face à la stratégie de Wolfgang Schäuble

Alexis Tsipras a donc voulu se montrer ferme ce dimanche 12 février devant le congrès de Syriza en appelant le ministre fédéral allemand Wolfgang Schäuble à « ne pas jouer avec le feu ». Mais derrière ces énièmes rodomontades de l'hôte de Maximou, le Matignon hellénique, se cache en réalité un cri de désespoir. Car le Premier ministre grec, qui, depuis le mois de juillet 2015 tente d'obtenir la bienveillance des créanciers voit progressivement se refermer sur lui un piège redoutable, dont il doit se résoudre à n'être que le spectateur avant d'en être la victime.

La stratégie du gouvernement grec

Pour saisir la situation, il faut d'abord comprendre ce que le gouvernement grec a cherché à obtenir avec le troisième mémorandum signé en août 2015 et indirectement validé par les électeurs helléniques au cours des élections du 20 septembre suivant. Alexis Tsipras avait promis de respecter le programme signé, tout en préservant les intérêts grecs et en se voyant in fine « récompensé » par des concessions des créanciers. En clair : la Grèce entendait assouplir au maximum les exigences des créanciers, puis les appliquer et utiliser cette application pour obtenir des conditions plus avantageuses en termes d'objectifs et de restructuration de la dette. Il s'agissait, dans l'esprit d'Alexis Tsipras, de changer de logique face à l'application à la lettre des demandes de la troïka des gouvernements de 2010 à 2015.

Les objectifs d'Alexis Tsipras

L'objectif principal du gouvernement grec était notamment la révision de la dette publique, principalement détenue par les États de la zone euro et les institutions européennes. Pour cela, Alexis Tsipras pouvait compter sur une particularité de ce troisième mémorandum : la divergence radicale dès le départ entre les créanciers européens et le FMI. Le FMI refusait d'entrer dans le programme sans restructuration de la dette, tandis que les Européens refusaient toute coupe dans le stock de dettes, mais voulaient la participation du FMI. Dès lors, en se montrant bon élève sur le plan budgétaire, Alexis Tsipras pouvait espérer obtenir un ralliement des Européens aux positions du FMI et l'abandon par ce dernier de ses demandes de réformes radicales, notamment sur les retraites. Dans ce débat, Alexis Tsipras avait, du reste, choisi son camp : il n'a cessé pendant un an et demi de dénoncer le FMI, espérant ainsi pouvoir mieux négocier, seul, face à ses créanciers européens.

Impuissance grecque

Mais toute cette stratégie s'est révélée perdante. Avec le troisième mémorandum, la Grèce a définitivement perdu la maîtrise de son destin. A plusieurs titres. D'abord, parce que, comme les précédents, ce mémorandum était irréaliste dans ses exigences. Cet irréalisme a une fonction : celle de maintenir une pression permanente sur le gouvernement grec et, finalement, le réduire à l'impuissance. Aussi, face à Athènes, les créanciers peuvent toujours présenter une ligne non remplie de « réformes » qu'il faut réaliser avant de toucher les fonds promis. Ceci contraint Athènes à devoir accepter une tutelle permanente qui ne lui laisse aucune marge de manœuvre réelle. Les longues discussions pour la conclusion de la deuxième revue qui ont lieu actuellement succèdent aux mêmes scènes toujours renouvelées depuis 2010. En ceci, Alexis Tsipras n'a rien pu réellement changer. Bien au contraire, il lui a fallu accepter de nouvelles concessions comme les expulsions des résidences principales et même un vrai « troisième mémorandum et demi » au printemps 2016 prévoyant notamment des baisses « automatiques » de dépenses en cas de déviation de l'objectif d'excédent primaire.

Maigres bénéfices

Parallèlement, la capacité de résistance d'Alexis Tsipras aux exigences des créanciers  n'a guère été démontrée. Mieux même, les excellents résultats budgétaires de la Grèce (l'excédent primaire - hors service de la dette a été de 2 % du PIB en 2016 contre un objectif de 0,5 %), n'ont guère donné plus de force à la parole du gouvernement grec, comme l'a prouvé l'épisode de la prime aux retraités du mois de décembre. Voulant utiliser une faible partie de l'excédent, Alexis Tsipras avait annoncé une prime aux pensionnés les plus fragiles. Les créanciers ont réagi vivement, suspendant les mesures de réduction des intérêts futurs décidés un peu plus tôt, avant d'accepter cette prime moyennant un engagement futur à renoncer à toute annonce de ce type. Au printemps, la réforme des retraites promue par le gouvernement avait été acceptée par les créanciers moyennant des baisses automatiques de dépenses en 2018 en cas de déviation de l'objectif. Du reste, malgré ses résultats, le gouvernement grec n'a pas obtenu son intégration par la BCE (pourtant remboursée jusqu'ici rubis sur l'ongle par Athènes) dans le programme de rachats de titres de la banque, le QE, qui conduirait à des baisses de taux bienvenues. Bref, la stratégie d'Alexis Tsipras n'a que des succès très ponctuels à présenter.

Croissance fragile et insensible

Le retour à la croissance est lui même très fragile, dépendant largement du contexte de négociations avec les créanciers. De plus, même si le taux de croissance promis par la Commission européenne en 2017 (2,7 %à, se réalisait, ceci ne réglerait en rien le problème du gouvernement : cette reprise est non seulement tardive, mais, acquise avec des baisses de salaires et de dépenses sociales, elle ne sera pas en mesure de réduire les inégalités et les maux de la plupart des citoyens grecs. L'OCDE a récemment montré combien ce type de croissance renforçait les inégalités. La forte pression fiscale sur la classe moyenne et les plus faibles, encore renforcée par la dernière hausse de la TVA, va continuer de peser lourd dans l'appréciation d'un niveau de vie en chute libre depuis 2010. Alexis Tsipras ne pourra guère jouer sur la croissance pour retrouver la confiance de son peuple.

L'impossible décision « politique »

La colère d'Alexis Tsipras s'explique donc sans doute par ce sentiment d'avoir été joué, une fois de plus. Alors qu'il a cherché en permanence des négociations avec ses créanciers, il s'est retrouvé en permanence face aux exigences de l'Eurogroupe. En bref, alors qu'il voulait une négociation « politique », Alexis Tsipras a été renvoyé à des discussions « techniques ». C'est exactement ce qui s'est passé lors du premier semestre 2015. Devant le congrès de Syriza, Alexis Tsipras a donc, sans surprise, « demandé à la chancelière » de mettre au pas Wolfgang Schäuble. Demande qui ressemble à s'y méprendre aux appels de juin 2015 lorsqu'il attendait de ses rencontres avec la chancelière une issue au bras de fer avec l'Eurogroupe. En réalité, la chancelière, plus que jamais en délicatesse dans les sondages, n'a pas de raison de faire ce plaisir à Alexis Tsipras contre le très populaire Wolfgang Schäuble. Ce dernier a donc les mains libres. L'Eurogroupe peut donc continuer à faire pression sur la Grèce. Cette semaine doit donc déterminer de nouveaux « efforts » et de nouvelles « réformes ». Un travail de Sisyphe qui, évidemment, épuise le pays et sa population. Alexis Tsipras est donc enfermé dans une stratégie perdante, condamné à pousser au bout une logique dont l'absence de résultats a fait ses preuves.

Le non-dit du mémorandum de 2015

Or, parallèlement, le dernier acte du débat avec le FMI semble se dessiner. Pendant dix-huit moins, Eurogroupe et FMI ont joué un jeu de faux-semblants, faisant croire que leurs positions pouvaient s'accorder. En réalité, l'accord était impossible et le refus du FMI de rejoindre le plan en 2015 en était la preuve. Le Fonds a dû en 2010 et 2012 tordre le bras de ses propres statuts pour entrer dans la cavalerie financière inventée par Bruxelles, Berlin et Francfort. En 2015, il n'était pas possible de renouveler l'opération : ni les États-Unis ni les émergents n'acceptent plus une telle méthode au profit d'Européens dont les méthodes ont si clairement échoué. Aussi le Fonds a-t-il réclamé un changement de méthode, passant par des coupes massives dans le stock de dettes et certaines réformes ciblées en retour. Un retour à la démarche habituelle du FMI qui a été réaffirmée la semaine dernière par le Fonds.

Le piège se referme

Or, ces exigences sont simplement inadmissibles pour Wolfgang Schäuble qui reste fidèle à la doctrine édictée par Angela Merkel en 2010 : « pas un euro pour la Grèce ». Cette doctrine pouvait supposer des prêts, mais exclut toute coupe dans la dette, ce qui signifierait des dons. Wolfgang Schäuble n'a jamais eu l'intention d'accepter un tel geste. Pas plus aujourd'hui qu'en août 2013, lorsqu'il a accepté le mémorandum sous condition d'une participation future du FMI. Le ministre allemand des Finances savait donc parfaitement ce qu'il faisait : la participation du FMI n'était, en réalité, pas possible. Une fois cette vérité découverte, Wolfgang Schäuble pourra rouvrir la question refermée en 2015 de la participation de la Grèce à la zone euro. Car, si le FMI refuse de participer au programme, ce dernier deviendra caduc pour Berlin, une des conditions de son existence étant tombée. Sans argent du programme, la Grèce n'aura alors que deux options : ou réclamer une nouvelle « aide » au seul MES, sans appel au FMI et donc en excluant définitivement l'option d'une coupe dans la dette publique ou bien une sortie de la zone euro de la Grèce qui ne réglera pas le problème (sauf à faire défaut) puisque la dette publique est sous contrat international et libellée en euros.

L'application du programme Schäuble ?

Wolfgang Schäuble, en juillet 2015, avait proposé la sortie de la Grèce de la zone euro pour « cinq ans ». Cette option avait alors été rejetée par Angela Merkel, mais le ministre fédéral des finances n'a pas dit son dernier mot. Il a placé un ver dans le mémorandum qui a fini par le ronger et qui, inévitablement, va venir reposer la question. Wolfgang Schäuble avance dans son projet propre d'organisation européenne conforme à son fameux projet de 1994, signé avec Karl Lamers : celle d'un « noyau dur » de la zone euro. Et dans les deux cas cités plus haut, cette option va se rapprocher : il s'agira de corriger la zone euro actuelle, soit par une exclusion des « mauvais élèves », soit par une correction encore plus sévère avec plus de réformes et plus de conditions d'excédents primaires après 2018. Dans les deux cas, il s'agit aussi de présenter de nouvelles règles non-écrites aux autres pays de la zone euro pour l'avenir : s'ajuster unilatéralement ou sortir. Au-delà de la Grèce, c'est donc l'avenir de la zone euro qui se joue en Grèce : si les plans de Wolfgang Schäuble s'appliquent, c'en sera fini des rêves de zone euro plus équilibrée et plus solidaire.

Duel avec Angela Merkel

Quand cette épreuve de vérité aura-t-elle lieu ? On pourrait penser qu'Angela Merkel n'a guère intérêt à voir la crise grecque s'enflammer à nouveau. Mais si la CDU est en réelle difficulté, elle pourrait tenter de montrer sa fermeté face aux « Grecs indolents » et, ainsi, rassembler autour de la popularité de Wolfgang Schäuble pour ramener vers elle une partie de l'électorat conservateur. Dans ces conditions, le débat entre la chancelière et son ministre des Finances sera déterminant. En 2015, Angela Merkel avait utilisé Wolfgang Schäuble comme « père fouettard » utile pour faire monter les enchères. Cette fois, saura-t-elle maîtriser la situation, souhaitera-t-elle faire contrepoids à son très populaire ministre ? L'avenir le dira. En attendant, le FMI est conscient de la situation et reste prudent pour ne pas déclencher la crise. Mais cette prudence ne saurait durer éternellement : le programme se termine dans moins de deux ans. En tout cas, toutes les conditions d'une nouvelle déflagration sont réunies et cette dernière semble inévitable.

Quant à Alexis Tsipras, il ne peut rien faire contre cette logique infernale dont il est à la fois spectateur et victime. Il voit le piège se refermer lentement, à mesure que le FMI s'éloigne du programme. Il tente donc de se raccrocher à une fantomatique stratégie « politique », mais il sait que son sort et celui du peuple grec ne dépendent que du bon vouloir de l'Eurogroupe, c'est-à-dire de Wolfgang Schäuble.

Commentaires 105
à écrit le 06/03/2017 à 22:06
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IL y a longtemps que ce pays devrait être exclu de la zone euro , mais avec des chiffes comme Hollande cela n'est pas facile ; mais ça vient tout doucement .......

à écrit le 06/03/2017 à 18:12
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Varoufakis avait raison, c'est toujours le cas . Il a démissionné le jour même où Tsipras a trahi le référendum de ses concitoyens . Maintenant, il ne reste toujours comme issue que la sortie de l'euro, voire de l'Ue . La Grèce a été saignée entretem...

à écrit le 06/03/2017 à 15:05
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Et si les grecs décident de sortir de l'Europe, de recréer leur monnaie, de relancer leur marché intérieur par la demande, et de ne pas payer leur dette artificielle aux marchés... Quelle sera la conséquence pour eux à part la perte de leur marché ex...

le 06/03/2017 à 18:13
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@ Arktor: "Les Grecs ont des terres, ils ont un marché intérieur, ils peuvent faire sans la charité des autres européens." Ce serait vrai s'ils n'étaient pas aussi fainéants et roublards. "Ils sont tellement au fond du trou qu'ils n'ont rien à perdre...

à écrit le 16/02/2017 à 20:06
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Qui veut et peut remettre ses dettes à la Grèce? L'Europe a déjà plumé les russes qui avaient des dépôts à Chypre qui a fait faillite avec les impayés grecs. En fait personne, pas plus les français. Suffit de voir comment l'Europe a aidé le Grèce à f...

le 17/02/2017 à 21:42
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ça fait longtemps que je n'ai lu autant de conneries ! l'europe aurait plumé la russie................!!!!!! argghh plié en 12 je suis mon conseil : changez de négociant en vins.

à écrit le 14/02/2017 à 23:23
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Le problème grec est assez révélateur de la faille de l'UE. Cette UE a été bâtie sur une promesse alléchante économique et financière. Les pays qui on adhéré l'ont fait plus pour l'argent qu'il peuvent retirer de l'UE ( celui des contributeurs nets e...

le 15/02/2017 à 10:43
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La France a bénéficié de la majeure partie de la PAC. Le problème de la grèce est géopolitique, depuis plus de 40 ans, du fait de son contrôle de la mer Egée. Si elle n'est pas dans l'UE, elle s'accoquine avec la Russie, ce qui est la plus grande ...

le 15/02/2017 à 12:19
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C'est une des raisons du départ des Anglais : la contribution nette de dix milliards par an. La nôtre est de 7 milliards qui va enrichir les fabricants d'armes US ( Pays de l'Est ) . Plus rien ne va en Europe de l'Ouest depuis l'arrivée de l'Europe d...

le 15/02/2017 à 12:22
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@Pod Malgré la PAC la France reste contributrice Nette au budget de l'UE...

le 17/02/2017 à 10:34
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Oui 22-13 = ~7 Mds. La déstabilisation de l'Afrique est aussi de notre fait lorque le poulet surgelé bas de gamme ou le poisson (entre autres) subventionnés européens sont moins cher que les produits locaux. L'autre raison est que les pays africains ...

à écrit le 14/02/2017 à 19:54
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On peut aussi voir les choses d'une manière diamétralement opposée. Sans un noyau dur, parfaitement intégré, tel qu'il était envisagé en 1994, il ne peut pas y avoir de locomotive suffisamment forte pour permettre de la solidarité avec d'autres pays ...

à écrit le 14/02/2017 à 19:46
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@doze Vous comprendrez mieux l' origine de nos problèmes qui ramène à la création de l' euro et qui se terminera avec La seule solution, le Frexit d' Asselineau. Tout le reste est explication superfétatoire. https:/...

à écrit le 14/02/2017 à 19:23
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Tout ceux qui defendent bec et ongles la Grece n'ont pas compris ce que signifie la dette de la Grece .Encore et encore une fois ,il faut reppeller que la France et l'Allemagne empruntent sur les marchés pour preter A TAUX LES PLUS BAS à la Grece .Ca...

le 14/02/2017 à 20:30
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Tisane de plantes, deux fois par jour .......ça devrait vous apaiser un peu ....

le 15/02/2017 à 12:26
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C'est la Grèce et les grecs qui payent de par les intérêts sur les prêts que soit disant généreusement nous leurs octroyons... Mais ce n'est nous citoyens qui touchons l'argent, c'est nos banques. C'est compliqué la vie Mr Dose pas vrai?

le 06/03/2017 à 20:12
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J'avais compris que nous empruntions à 0,5% pour repréter à 8% aux grecs. Il existe un accord ou ces excédents devraient être redonnés aux grecs ce qui n'est pas fait. Les états Européens se sont chargés de la dette greque pour éviter que les banqu...

à écrit le 14/02/2017 à 19:22
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Le piège se referme ...celà est sur ! mais , mr Godin , ce n'est pas le piège de Shauble, c'est le piège que mr Tsipras s'est lui meme tendu ...en mentant effrontement pour prendre le pouvoir ..c'est le piège que mr Tsipras s'est lui meme tendu , a...

à écrit le 14/02/2017 à 17:46
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Les ennemis de l'Europe peuvent, pleins de reconnaissance, dresser une statue à Monsieur Schäuble ! Personne n'aura autant fait pour la démolir dans l'esprit des peuples. Même Barroso et Juncker réunis !

le 14/02/2017 à 18:40
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Exact.

le 14/02/2017 à 19:19
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@JL6: c'est tellement plus commode d'accuser les autres ! Mais toi et tes potes socialos, vous n'avez pas participé au déclassement de la France sous toutes ses coutures ? Le bac pour tous, avec des gens qui ne savent ni lire, ni écrire correctement,...

le 15/02/2017 à 11:34
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@Patrickb, quel rapport avec les socialos SVP? Ce n'est pas comme s'ils avaient l’apanage du n'importe quoi qui nous ont amené à la situation actuel !

le 15/02/2017 à 15:29
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Je trouve l'intervention de "Patrickb" désarmante par sa vulgarité. Je ne suis pas "socialo" (!) et je ne vois pas le rapport entre les problèmes de l'Europe et ceux de l'école, ou ceux de l'immigration, etc, etc ...

le 16/02/2017 à 18:16
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@JPL6: Tu ne cotises pas au parti, mais tes idées sont du parti :-)

à écrit le 14/02/2017 à 17:11
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merci pour cet excellant article

le 14/02/2017 à 19:24
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merci de ne pas avoir écrit ...excellent ...

à écrit le 14/02/2017 à 14:29
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Ce personnage travaille à la dislocation de l'Europe par son intransigeance et au développement des partis comme le FN. A la prochaine Marine Le Pen sera peut être battu, mais dans cinq ans ?

le 14/02/2017 à 15:45
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@iciailleurs: sûr que quand on vit aux crochets des autres, on ne tient pas à ce que cela change, n'est-ce pas :-)

à écrit le 14/02/2017 à 14:22
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La conclusion est claire, Schäuble risque fort de gagner et d’obtenir l’exclusion de la Grèce de la zone euro sans annulation de sa dette. Il paraît donc évident que la seule option qui reste, c’est une sortie de l’Europe décidée par les Grecs eux-mê...

à écrit le 14/02/2017 à 14:07
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La réalité est que les Grecs indolents ne doivent plus vivre au dessus de leurs moyens. Il leur appartient par contre de mieux répartir les efforts nécessaires entre les riches armateurs et les classes moyennes.

à écrit le 14/02/2017 à 14:03
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L'Europe n'existe plus. Il faut rayer ce terme de notre vocabulaire. Il faut employer le terme exact qui est "Empire Allemand". Le maître de cet empire est le kaiser Schauble qui se comporte comme son rang l'y autorise, c'est à dire en Empereur et to...

le 14/02/2017 à 16:02
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@landruc N’oubliez jamais la devise allemande........ « deutschland uber alles » c'est toujours très profondément ancré dans l'âme allemande.

le 14/02/2017 à 16:28
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@landruc: "la raison du plus fort est toujours la meilleure". La question n'étant pas de geindre, mais de se demander pourquoi ils sont les plus forts...et de faire mieux qu'eux. Bon, j'admets qu'avec le système d'assistanat ambiant, y a du pain sur ...

le 14/02/2017 à 18:45
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Ce que sont les allemands ,ils se le sont gagnés et personne ne leur a donné la prosperité économique qui est la leur .C'est bien français de taper toujours sur les vainqueurs, un esprit d'inferiorité ....peut etre !Pour moi plutot que de jalouser mo...

le 17/02/2017 à 15:10
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Analyse juste et pertinente : Le moteur de l'Europe réside dans le couple Franco-Allemand .....Merci Hollande ( Père UBU ) pour l'avoir fait exploser depuis 2012 . L'Allemagne ne veut pas dominer l'Europe.....mais "de facto " elle la dirige sur le p...

le 06/03/2017 à 18:18
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Tout à fait Landruc, depuis (au moins) 10 ans les dirigeants français nous soumettent au "protectorat "allemand : un Hinterland taillé sur mesure pour nos seigneurs . Merci Sarkho-Hollande !

à écrit le 14/02/2017 à 13:50
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J' analyse assez facilement la situation.. Pépé Schaüble l' intransigeant devrait être capable de constater que le Brexit est avéré, le FREXIT suit avec ASSELINEAU et Juncker sent arriver la fin de l' Union, cf ses propos du jour. ...

le 14/02/2017 à 18:50
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Si vous croyez à ce scenario ,vous avez de gros soucis à vous faire pour vous ,votre situation ,votre pouvoir d'achat ,qui d'une maniere ou d'une autre serra fortement impacté !L'union fait la force ,la desunion la faiblesse .Vous voyez pas venir l'o...

à écrit le 14/02/2017 à 13:22
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Il a loupé la porte sortie de l'Euro qui n'est pas adapté aux problèmes de la Grèce , il a cru en la bonne parole et maintenant il perçoit la voie sans issue où il a mené son peuple a une servitude des puissances de l'argent et impossible de faire m...

à écrit le 14/02/2017 à 13:01
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Une seule critique à cet article : il s’agit ici pour Schäuble de parvenir à un double but : assurer la suprématie de l’Allemagne sur l’Europe, domination que deux guerres mondiales ont échoué à établir au vingtième siècle ; c’est cela qui explique s...

à écrit le 14/02/2017 à 12:46
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Je ne pense pas que Schaüble veuille que la Grèce sorte. Son intérêt est de maintenir la crise à son paroxisme pour maintenir la dette allemande comme valeur refuge te bénéficier de taux d'intérêts négatifs.

à écrit le 14/02/2017 à 12:16
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D'un pays à l'autre, le populisme prend différentes formes. La position de mr Wolfgang Schäuble ressemble à une variation allemande de cette maladie contagieuse qui traverse le monde.

à écrit le 14/02/2017 à 11:06
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Pas grave la France mettra son veto contre une sortie de la Grèce de l'€uros et pour garder un €uros et des taux faible et compétitif :))

le 14/02/2017 à 13:08
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quelle naïveté !!!! La France a été un paillasson face à Merkel et je ne vois, ni Fillon, encore moins Macron, pas plus qu'Hamon qui n'a jamais mis l'accent sur cette question avoir une attitude différente.... Marine Le Pen applaudira à ce début d'éc...

le 14/02/2017 à 13:53
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Tout est dit ici et bien dit .... "Cependant, les relations entre le « boss » — c'est-à-dire les États-Unis — et son représentant plénipotentiaire l'Allemagne sont en train de changer, a-t-il raconté à Sputnik. L'Italie, selon lui, doit saisi...

à écrit le 14/02/2017 à 10:59
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Il faut noter qu’il faut vraiment qu’un pays soit dans la zone euro, pour que la Banque centrale, en l’occurrence la BCE, soit susceptible de lui refuser, des quantitatives sur la dette souveraine. Par exemple, lorsque est intervenue la crise de 2007...

le 14/02/2017 à 18:52
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L'Angleterre n'a jamais fait partie de l'€ et la £ a toujours été libre .Comparer à la Grece est impossible .............

à écrit le 14/02/2017 à 10:40
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Moi je veux bien que les Grecs payent pour leurs erreurs passé, mais ce n'est plus le problème il me semble, après 7 ans de crise... Car nous payons tous, par une croissance molle et un chaumage de masse, pour cette crise de l'Euro(pe) sans fin, et ...

à écrit le 14/02/2017 à 10:29
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L'Allemagne n'a vraiment pas de leçons à donner à la Grèce. Au cours de son histoire, depuis 1848, à six reprises, elle n'est jamais allé jusqu'au remboursement de ses dettes. Il faut rappeler aussi qu'au départ, la France et l'Allemagne notamment on...

le 14/02/2017 à 18:55
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Mais bien sur !Et les 300 milliards de dette de la Grece sont parti ou ,en fumée !Les grecs ont inventés le tonneau des danaides ils s'y connaissent .Arretez de faire croire que seuls les riches en ont profités ........

à écrit le 14/02/2017 à 10:11
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tsipras est effectivement impuissant il a promis n'importe quoi et pensait faire une prise d'otage avec la zone euro, ca ne marche pas ca lui retombe dessus --------------- je vous dit comment on resoud le pb grec le pib est de 170 mds s'ils ont...

à écrit le 14/02/2017 à 9:33
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Attendez, ce n'est pas l'Allemagne qui a maquillé les comptes publics mais la Grèce, et c'est bien les Grecs qui ont vécu au-dessus de leurs moyens pendant des années. Maintenant ils n'arrivent pas à payer. Et Tsipras est arrivé en cowboy en insultan...

le 14/02/2017 à 10:35
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Très drôle, votre observation voulant qu'aucun gouvernement ne devrait accepter un abandon de créance : on ne compte plus les pays qui ont renoncé à leurs créances sur l'Allemagne à temps moments de l'Histoire et, au rang de ces pays, figure la Grèce...

le 14/02/2017 à 10:48
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Faux ! C'est votre président français amateur d'accordéons et e diamants africains qui a magouillé avec Goldman Sachs pour truquer les comptes de la Grèce. But de l'opération : permettre à la Grèce de rentrer dans la zone euro pour renflouer les ban...

à écrit le 14/02/2017 à 9:28
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Aujourd'hui l'Allemagne n'a pas besoin de chars pour envahir un pays et le détruire, mais le résultat est le même. Faire de la Grèce un ghetto enfermer ses habitants et les laisser mourir à petit feu.La France ne reniera pas sa collaboration. De beau...

le 14/02/2017 à 11:07
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Ceci est un commentaire extrême ou bien est-ce la réalité qui est devenue extrême ? J'opte pour le second choix sans hésitation. Comment justifier cette germanisation totale de l'UE ? Vite un frexit.

le 14/02/2017 à 13:54
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Frexit décisif avec ASSELINEAU et vite .

le 06/03/2017 à 18:34
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Vous avez raison . De fait, l'ue est l'hinterland (pas seulement économique) de l'Allemagne, la France (grace à Sarkho-Hollande) son principal "protectorat" .

à écrit le 14/02/2017 à 9:25
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Le comportement de l'Allemagne, et de l'UE par Allemagne interposée, est celui d'un colonisateur. Et l'histoire a montré qu'un jour le colonisé se révolte.

à écrit le 14/02/2017 à 9:21
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L'UE n' a pas l'air de comprendre qu' elle est en danger. La Grèce est surendettée et elle ne pourra pas rembourser sa dette, a quoi bon affamer tout un peuple dans ce cas. Restructurer la dette est la seule solution raisonnable mais le monde financi...

le 14/02/2017 à 11:25
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L'UE demande à la Grèce de se réformer avant de restructurer sa dette, ça ne me semble pas déraisonnable. Si vous prêtiez de l'argent à un membre de votre famille, accepteriez vous de réduire sa dette s'il continuait d'aller au casino toutes les sem...

le 14/02/2017 à 12:21
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@Mooonn : quels créanciers privés ? Les banques françaises et allemandes, bien informées, avaient revendu leurs créances bien avant le fameux PSI. Par contre, les fonds publics grecs - en particulier les caisses de retraites - ont été convertis de f...

le 14/02/2017 à 14:53
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@moon La Grèce a un excédent primaire de 2% tandis que la France est en déficit, ça c'est pour les réformes. La Grèce a largement de quoi rembourser, si on ramène les taux d’intérêts au niveau de l'inflation et si on rééchelonne la dette, et croyez ...

à écrit le 14/02/2017 à 9:19
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Le peuple grec est victime de tous les illusionnistes qui sont au pouvoir depuis tant d'années : conservateurs, socialistes et gauche. Aucun n'a été en mesure de dire non à l'Europe pour bénéficier d'argent frais alors même que la réforme des financ...

le 14/02/2017 à 19:09
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@Réponse de johnmckagan ;Mais justement vous avez rien compris !France et Allemagne empruntent à taux trés bas sur les marchés pour preter toujours à taux trés bas (avec une trés faible marge fonctionnelle ) à la Grece .Que la Grece libre aille empru...

à écrit le 14/02/2017 à 9:14
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Sans vouloir minorée le poids de l Allemagne, vous leur donnez quand même bon dos aux Allemands...Ils ne sont pas seuls dans l Eurogroupe et on n'entend personne crier, "moi je veux payer pour les Grecs". Ensuite qu on l'accepte ou pas cela ne cha...

à écrit le 14/02/2017 à 9:14
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Pourquoi un pays devrait partir avec un budget systématiquement déficitaire en début d'année? La croissance jusqu'au ciel, c'est terminé. Est-ce que vous faites ça avec le budget familiale ou celui de votre entreprise? Moi non et ça me parait très lo...

à écrit le 14/02/2017 à 9:12
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Merci M. Godin pour la clarté et la profondeur de vos analyses. Et croyez bien que je regrette et désapprouve cette annonce de la disparition de votre signature de "La Tribune" où vous nous donnez tant à voir et à comprendre.

le 14/02/2017 à 11:19
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On peut ne pas etre toujours d'accord avec Mr Godin, mais son travail ,d'une grande logique ,repose sur des bases solides.Je m'associe aux regrets de JDM

à écrit le 14/02/2017 à 8:59
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c'est une salle affaire... exclure la Grèce de la zone euro c'est le début du jeu de dominos. ça conduira automatiquement à un Grexit puis un Portugexit un Espexit et surement un Frexit au final. Bref du suicide et surtout la fin de la construc...

à écrit le 14/02/2017 à 8:44
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Un peu de patience et tout le monde s'en sortira joyeusement, sauf les berniques qui s'accrochent à leur caissette!

à écrit le 13/02/2017 à 22:11
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L'Allemagne nous conduit a une explosion de l'Europe.......... une fois de plus ! En raison de leur volonté d'hégémonie et de leur cupidité !! Et surtout, ne pas punir les anciens dirigeants grecs, alliés de Merkel et Cie, mais punissons a outrance...

le 14/02/2017 à 9:09
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Les allemands n ont aucune volonte hegemonique, contrairement aux francais qui se revent leader de l UE. Les allemands savent tres bien comment ca c est terminee la derniere fois qu ils ont voulu dominer. Par contre c est sur que le contribuable all...

le 14/02/2017 à 12:38
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L'hégémonie allemande est une réalité depuis un peu plus de 10 ans en Europe. La faute à notre faiblesse et notre désengagement de l'union européenne. Les Allemands vont, une fois de plus, faire sauter l'Europe. La Grèce est en ligne de mire actuel...

à écrit le 13/02/2017 à 20:36
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M. Godin pourrait-il nous expliquer pourquoi les contribuables européens, français par exemple, devraient faire des cadeaux aux Grecs en réduisant leur dette ? Pourquoi devrions-nous travailler pour les Grecs ?

le 14/02/2017 à 7:40
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Ce sont les pauvres Grecs qui travaillent pour enrichir les riches Allemands. A un certain niveau de taux d’intérêts on arrive jamais à rembourser. Mais on a perdu de vue l'immoralité de l'usure. Combien de baisses de salaire et de coupes dans les re...

le 14/02/2017 à 9:19
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Cette question aurait du être réglée il y a bien longtemps, c'était une paille à l'époque Merkozy. Ce choix n'a pas été fait et on le paye tous avec une crise de l'Euro interminable et une dette qui a grossit énormément. Ensuite, tout simplement c...

le 14/02/2017 à 9:45
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Le budget Grec présente un excédent primaire ! Rassurez vous vous ne travaillez pas pour les grecs, c'est eux qui travaillent pour nos banques en remboursant des intérêts indus... Ce qui profitent de nous c'est les industriels allemands grâce à l'eur...

le 14/02/2017 à 10:06
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@c’est le contraire Je partage tout à fait votre vue de l’affaire grecque. Pour rappel à@ cassandre Nous avons un recul sur les opérations de prêt à la Grèce de 2010 à2013. De 2010 à 2013 la Grèce a reçu 207 Milliards d’euros en prêts des États e...

à écrit le 13/02/2017 à 20:27
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Contrairement à ce que dit M. Godin c'est Schaüble et l'Allemagne qui se retrouvera isolée. On attend toujours que l'Allemagne rembourse son énorme dette (que les alliés ont annulé) suite aux dégâts provoqués de la seconde guerre mondiale. Ce sont de...

le 14/02/2017 à 3:49
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Les Neerlandais et Belges eux attendents toujours que la France rembourse son énorme dette suite aux dégats provoques par Napoleon Boneparte. Et quand les Neerlandais, les Belges et les Allemands comprendont que les signatures sous la traite du Maas...

le 14/02/2017 à 6:27
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celui qui se retrouve isolé c'est celui qui ne produit rien et qui s'endette et vit sur les autres et les grecs ne sont pas les seuls dans ce cas !!!

le 14/02/2017 à 15:49
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@revo & bertrand : vous comprenez pas grand chose à la géostratégie, désolé ! regardez une carte et vous verrez que l'Allemagne sans la France n'est.....pas grand chose. Vous croyez que la dette est importante dans ces considérations ? Vous êtes vrai...

le 14/02/2017 à 19:45
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Un allié qui ne tients pas ses engagements on apelle un tricheur.

le 14/02/2017 à 20:32
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Chacun rembourse ses dettes de guerre, chiche! Ouvrons le livre de compte: La campagne de Belgique de Napoléon a duré moins d'une semaine et les combats se sont déroulés en rase campagne, destructions civiles et d'infrastructures:0, aux Pays Bas l'oc...

à écrit le 13/02/2017 à 19:11
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Il y a une phrase qui prête à sourire, "le remboursement rubis sur l'ongle", sauf que Mr Tsipras rembourse avec l'argent que lui prête l'Europe. Donc le rubis ne lui appartient pas. Mais c'est bien triste pour nos amis Grecs. J'étais partisans d'une...

à écrit le 13/02/2017 à 19:07
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Il est vrai aussi que l'Histoire s'accélère sous nos yeux avec ce grand jeu de massacre au sein des .."élites" euro-atlantistes. Ne voilà t-il pas que JC Juncker lui-même ne veut pas rempiler à la tête de la commission parce qu'il ne croit plus... en...

à écrit le 13/02/2017 à 18:28
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Ils auraient due sortir de l'euro le moment venu, Tsipras a fait dans son pantalon alors que Varoufakis avait assuré ses arrières... Tsipras doit partir, et laisser au grecs un espoir d'avoir un dirigeant cohérent avec la politique que la Grèce m...

le 13/02/2017 à 21:22
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Sortir de l'€ !La trés grande majorité des grecs sont contre ,tout au moins tout ceux qui en comprennent l’enjeu .Que vaudrait la drachme sur le marché des changes !Quasiment rien !!!Comment alors importer tout ce dont le pays à besoin ? Il y aurait ...

le 13/02/2017 à 22:15
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Un vice qui rapporte une balance commerciale et un budget dans le vert.

le 14/02/2017 à 6:18
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Oui c'est le refrain de Nicolas doze... On a compris.

le 14/02/2017 à 6:31
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sortir de l'€ quand on est riche et sans dette ne pose aucun problème. En revanche sortir de l'€ quand on ne produit rien et que l'on est surendetté devient un immense problème : à quand le tour de la France : la situation sera pire que la Grèce !!!!...

le 14/02/2017 à 9:51
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" Ils auraient due sortir de l'euro le moment venu, Tsipras a fait dans son pantalon alors que Varoufakis avait assuré ses arrières..." Il faut qu'ils sortent maintenant, le budget Grec présente un excédent primaire ce qui n’était pas le cas en 20...

le 14/02/2017 à 9:56
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"Comment alors importer tout ce dont le pays à besoin ?" Mais oui il faudra produire beaucoup plus sur place... C'est un problème ? ""sortir de l'€ quand on est riche et sans dette ne pose aucun problème. En revanche sortir de l'€ quand on ne p...

à écrit le 13/02/2017 à 18:21
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"mais il sait que son sort et celui du peuple grec ne dépendent que du bon vouloir de l'Eurogroupe, c'est-à-dire de Wolfgang Schäuble." Belle analyse mais déprimante europe sous la coupe des banquiers allemands. Avouez qu'avec une façon de faire ...

le 13/02/2017 à 19:09
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L'important, ce n'est pas la langue qu'ils parlent mais le monde dans lequel ils vivent. L'Europe ne pourra changer en positif que si on la pousse dans ses derniers retranchement. Soyons près a en finir. Après, camarade je sais ta position. Mai...

le 13/02/2017 à 21:32
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Vous etes donc pour un retour au franc !Libre à vous mais preparez vous à une chute brutale de votre pouvoir d'achat !Que vaudrait le franc sur le marché des changes ,tout ce que la France achetera serra renrcherit trés fortement!Quand à retrouver de...

le 14/02/2017 à 6:33
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la France va sortir de l'€ car elle n'en peut plus et comme nous n'avons plus que des fonctionnaires; ceux-ci devront rembourser la dette : bien normal, après avoir fait crever le pays , ceux-ci devront payer !!!

le 14/02/2017 à 8:33
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"Libre à vous mais preparez vous à une chute brutale de votre pouvoir d'achat !" J'y suis près depuis longtemps et tant qu'à le perdre progressivement autant le perdre d'un coup et que cela mène quelque part au moins. Ah ok vous ne pensez déc...

le 14/02/2017 à 9:59
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@doze "Vous etes donc pour un retour au franc !Libre à vous mais preparez vous à une chute brutale de votre pouvoir d'achat !Que vaudrait le franc sur le marché des changes ,tout ce que la France achètera serra renrcherit trés fortement!" Oui ...

à écrit le 13/02/2017 à 18:01
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Le piège de Schaüble va lui exploser à la figure quand il ne restera plus que l'Allemagne dans l'Europe. Entre les élections en NL puis en France plus l'Italie , ça risque d'arriver plus vite qu'il ne pense

le 13/02/2017 à 21:42
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Vous avez tout faux .L'Allemagne a deja été seule avec son mark et se portait trés trés bien avec un pouvoir d'achat allemand bien superieur au pays du sud de l'Europe y compris la France .C'est l'Allemagne qui a sauvé le franc au cours de la grande ...

le 13/02/2017 à 22:24
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@Réponse de Doze Sur le plan économique vous avez raison, mais les faits politiques peuvent très bien faire écrouler le beau tableau économique Allemand. Le Monde est en plein pré-chaos politique attisé par les nationalismes..Et...Il est d'ores et d...

le 14/02/2017 à 6:37
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@valbel : vous avez raison parce que vous avez tord : pour faire la guerre, il faut être riche, très riche et avoir une population apte à se battre, chose que nous ne possèdons pas en France !!!! l'Allemagne ne craint rien : elle est très performa...

le 14/02/2017 à 10:03
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"Vous avez tout faux .L'Allemagne a deja été seule avec son mark et se portait trés trés bien avec un pouvoir d'achat allemand bien superieur au pays du sud de l'Europe y compris la France " @doze Oui c'est vrai mais l'Allemagne n'avait pas une...

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