Grèce : les scénarios de l'après-référendum

Les partisans du "oui" et du "non" ont manifesté vendredi soir à Athènes. Mais que risque-t-il de se passer lundi une fois le résultat connu ? Tentative de réponses.
Partisans du "non" place Syntagma, à Athènes.

Une place Syntagma, au centre d'Athènes, noire de monde. Une foule qui s'étend dans les avenues et les rues environnantes et qui a été estimée à 25.000 personnes par l'AFP, mais à plus de 50.000 par Reuters. Vendredi 3 juillet au soir, la manifestation pour le « non » au référendum organisé ce dimanche en Grèce sur les propositions des créanciers du 25 juin dernier a fait le plein. Alexis Tsipras, le premier ministre hellénique, a prononcé un discours (que l'on peut lire ici traduit en français) pour donner confiance au partisans du « non. » « Nous célébrons aujourd'hui la victoire de la démocratie. Nous sommes déjà victorieux, quelle que soit l'issue du scrutin de dimanche, car la Grèce a envoyé un message de dignité, un message de fierté », a-t-il déclaré. Il a également présenté l'enjeu du scrutin de dimanche : «  nous ne laisserons pas l'Europe entre les mains de ceux qui souhaitent soustraire l'Europe à sa tradition démocratique, à ses conquêtes démocratiques, à ses principes fondateurs, aux principes de démocratie, de solidarité et de respect mutuel. »

A moins d'un kilomètre de là, dans le stade des Panathénées, les partisans du « oui » s'étaient aussi réunis. Ils étaient, selon l'AFP 22.000. La vedette de ce rassemblement a été le présentateur de télévision franco-grec Nikos Aliagas, arrivé de Paris, qui a déclaré que « le oui donnera un meilleur avenir à nos enfants. » Les partisans du « oui », qui se présentent volontiers comme des partisans de l'Europe et de l'euro, étaient certes moins nombreux vendredi soir mais ils ont actuellement le vent en poupe dans les sondages, aidé par la dégradation rapide de la situation économique et le ralliement quasiment complet des médias privés grecs. Dans les derniers sondages, le oui et le non sont donnés au coude-à-coude.

Les scénarios : la réunion cruciale de la BCE lundi

Quels sont les scénarios possibles après ce référendum ? Dès lundi 6 juillet, le Conseil des Gouverneurs de la BCE se réunira pour examiner l'accès du système bancaire grec au programme d'aide à la liquidité d'urgence (ELA). C'est une réunion très importante. Les banques grecques ont reconnu n'avoir de la liquidité que jusqu'à lundi midi. Si le « oui » l'emporte, la BCE devrait considérer qu'un accord est possible entre la Grèce et ses créanciers puisque le peuple grec a validé le plan des créanciers. Elle devrait alors relever le plafond de l'ELA disponible pour les banques grecques et permettre ainsi rapidement la réouverture des banques fermées depuis lundi. En cas de « non », la BCE pourrait considérer qu'aucun accord n'est en vue. Elle pourrait alors estimer que les garanties déposées par les banques grecques pour son accès à l'ELA ont une valeur moindre. Sans relever le plafond, elle pourrait réduire la valeur de ces garanties et donc en demander davantage. Dans ce cas, les banques grecques ne seraient plus en mesure de fournir des liquidités à l'économie grecque. Elles resteraient fermées et l'accès à l'argent liquide et aux comptes bancaires deviendraient pratiquement impossible.

En prenant une telle décision, la BCE prendrait donc le risque d'expulser de fait la Grèce de la zone euro. On voit déjà que sa décision du 29 juin de ne pas relever le plafond de l'ELA qui a conduit le gouvernement à imposer des restrictions d'accès aux comptes et un contrôle des capitaux a poussé la Grèce à la limite de la zone euro : les entreprises grecques n'ont plus accès au système de transfert électronique interne à la zone euro. Nul ne sait réellement jusqu'où ira la détermination de la BCE, mais, cette semaine, deux membres du directoire, Benoît Cœuré et Vitor Constancio, ont, pour la premier fois, estimé que le « Grexit » était possible. L'irréversibilité de l'euro n'existe donc plus et l'expulsion de la Grèce est une option. Etait-ce du bluff pour effrayer les électeurs grecs ? Etait-ce une vraie détermination ? On ne le saura que lundi 6 juillet en cas de « non. »

Les scénarios : le « oui » l'emporte, un accord ?

Le lendemain, mardi 7 juillet, l'Eurogroupe se réunit. La zone euro refuse toujours de traiter avec la Grèce, quel que soit le résultat, au niveau des chefs d'Etats et de gouvernements. La Grèce demeure un « problème technique » laissée aux techniciens. En cas de « oui », l'Eurogroupe sera sans doute ravi de signer un accord avec la partie grecque sur la base du texte validé par les électeurs. Mais ce ne sera pas pour autant la fin de l'histoire. D'abord, il faut tout reprendre depuis le début. Le programme de 2012 n'existe plus. Il faut refonder un programme avec le MES, dans un nouveau cadre. Bref, rédiger un troisième mémorandum qui reprennne les propositions du 25 juin. Il y aura donc nécessairement des négociations. Mais avec qui signer ? Avec qui négocier ? Sur qui s'appuyer pour l'appliquer ?

L'avenir d'Alexis Tsipras

 En cas de victoire du « oui », en effet, la question du maintien au pouvoir d'Alexis Tsipras, qui s'est engagé pour le « non », se posera immédiatement. S'il reste au pouvoir, les créanciers n'auront eu qu'une victoire partielle. Depuis une semaine, ils ne cessent en effet de fustiger l'attitude du chef du gouvernement hellénique et affirment avoir perdu confiance en lui. Martin Schulz, le président du parlement européen, a ainsi prétendu dans le Handelsblatt du vendredi 3 juillet, que la Grèce devait « mettre fin à l'ère Syriza. » Accepteront-ils alors de traiter avec Alexis Tsipras ? Rien n'est moins sûr. Mais il n'est pas davantage sûr qu'Alexis Tsipras puisse se maintenir au pouvoir. Son parti acceptera-t-il en effet, malgré le verdict populaire, d'approuver au parlement, les accords et d'accompagner leur application ? Rapidement, la position du gouvernement risque d'être intenable. Sans compter que ledit gouvernement risque de se déliter rapidement. Le ministre des Finances Yanis Varoufakis a annoncé qu'il démissionnerait en cas de « oui » et il ne sera sans doute pas le seul.

Quel gouvernement ?

Il est plutôt probable donc qu'Alexis Tsipras démissionne en cas de « oui. » Mais alors, qui pour le remplacer ? Martin Schulz a proposé un gouvernement technique et chacun, en Grèce, sait que le président de la Banque centrale, Yannis Stournaras, brûle d'envie d'entrer à Maximou, le Matignon grec. Mais avec quelle majorité ? Compte tenu de l'opposition radicale des Communistes du KKE et des néo-nazis d'Aube Dorée à tout gouvernement, la majorité ne peut se faire pour ce gouvernement technique qu'avec un ralliement d'une grande partie des députés de Syriza. Tout dépendra donc des réactions de ces derniers à la démission d'Alexis Tsipras et de la décision du premier ministre de rester ou non à la tête de Syriza après sa démission. L'équation est donc très complexe. D'autant plus que ce gouvernement technique ne pourra sans doute pas tenir longtemps sans appeler à de nouvelles élections.

Crise politique

Or, l'issue de telles élections est très incertaine. Il n'y a pas en réalité dans le paysage politique grec d'alternatives à Syriza aujourd'hui. Le parti pro-européen To Potami, poulain de Bruxelles, peut sans doute profiter d'un « oui », mais son implantation reste très faible dans la population et les liens de son leader Stavros Theodorakis avec l'oligarchie et les anciennes élites politiques n'en font pas une vraie option. Les électeurs ont choisi Syriza en janvier aussi et surtout parce que ce parti représentait une chance de se débarrasser des partis traditionnels et de leur système clientéliste. Dans de nouvelles élections, et malgré un « oui », ils pourraient renouveler ce choix. D'autant que ces élections se feront dans des conditions moins extrêmes que le référendum et sous des pressions économiques moins fortes. Enfin, l'opposition « pro-troïka » est très divisée entre le Pasok, To Potami et Nouvelle Démocratie. Or, en Grèce, le parti arrivé en tête glane 50 des 300 députés de la Vouli, le parlement. Bref, les créanciers risquent de devoir, même avec un « oui », compter encore avec Syriza. Et comme les propositions soumises au peuple ce dimanche ne concernent que les années 2015 et 2016, la tension risque rapidement de revenir, compte tenu des besoins énormes de financement du pays et de la volonté d'un gouvernement Syriza à reprendre la main une fois le plan validé par le peuple arrivé à échéance. Surtout si, comme c'est probable, ce plan est encore un échec en termes d'objectifs chiffrés comme l'ont été tous les plans de la troïka depuis 2010...

Les scénarios : en cas de « non », blocage ou accord ?

Et en cas de « non » ? Alexis Tsipras sortira évidemment renforcé. Il a assuré que, dans ce cas, la position grecque sera plus forte dans les négociations et qu'il pourrait signer un accord dès mardi. C'est sans doute fort optimiste, mais il est vrai que l'accord avec les créanciers est en réalité assez proche. Le gouvernement grec a accepté l'essentiel des mesures d'austérité exigées par les créanciers, sauf la fin du rabais de TVA dans les îles et la suppression de la retraite complémentaire EKAS pour les plus fragiles en 2018 (il propose 2019). Le vrai point de désaccord, c'est la dette. Athènes ne veut pas d'une vague promesse sur la restructuration de la dette, mais un vrai calendrier engageant. Les créanciers refusent. Un « non » les fera-t-il fléchir ? Pas sûr. D'autant que, comme on l'a vu, la BCE pourrait rapidement remettre la pression sur le gouvernement grec en réduisant l'accès à l'ELA. Alexis Tsipras devra donc rapidement faire son choix entre une poursuite incertaine des négociations et un Grexit. Il a cependant toujours rejeté cette option, et ce n'est pas une posture. Syriza est fondamentalement et historiquement un parti pro-européen. Mais nécessité fait parfois loi.

Il ne faut cependant pas oublier qu'un « non » serait un désaveu du peuple grec envers l'attitude des créanciers. Il leur sera alors difficile de ne pas tenir compte de ce vote. Eux aussi, avec la BCE, seront confrontés à un choix grave. Nier le « non » en refusant de négocier davantage et en coupant encore la Grèce de la zone euro serait désastreux à terme pour l'image de l'Europe et on ignore si la BCE est réellement prête à prendre le risque d'un Grexit.

Le scénario le plus « acceptable » semble donc être celle d'un « non » suivie d'un attentisme de la BCE, d'une courte négociation où les Grecs accepteraient un plan légèrement modifié des créanciers et accompagné d'un engagement à ouvrir des discussions sur la dette. Dans ce cas, on éviterait la crise politique en Grèce et chacune des parties sortirait la tête haute. L'économie grecque pourrait alors retrouver un fonctionnement normal, nonobstant les effets des mesures annoncées. Mais ce scénario n'est pas aujourd'hui le plus probable.

Commentaires 112
à écrit le 11/07/2015 à 11:00
Signaler
"Le scénario le plus « acceptable » semble donc être celle d'un « non » suivie d'un attentisme de la BCE, d'une courte négociation où les Grecs accepteraient un plan légèrement modifié des créanciers et accompagné d'un engagement à ouvrir des discuss...

à écrit le 06/07/2015 à 13:09
Signaler
Ca y est, ils ont voté Non. Je suggère maintenant un référendum Européen (sans la Grèce)pour déterminer si l'on garde la Grèce dans l'Europe. Oui : rééchelonnement la dette; Non : Remboursement immédiat de la dette et sortie définitive de l'Europe.

à écrit le 05/07/2015 à 22:56
Signaler
Hummm ! M'est avis que ça va "chanceler" dans les chancelleries ? Les chambellans de tous ordres et autres fonctionnaires "zuropéens" vont pouvoir se livrer aux calculs sordides dans lesquels ils excellent, pour finir par nous présenter l'addition de...

à écrit le 05/07/2015 à 21:26
Signaler
Et si l'Europe faisait pareil que la Grèce ? Soit faire un référendum pour savoir s'l faut garder la Grèce dans l'Europe ou demander le Grexit ? Cela éviterait, de la même manière que la Grèce, aux différents gouvernements européens de décider ...

à écrit le 05/07/2015 à 21:25
Signaler
Si je salue le superbe travail de vrai journaliste de M. Romaric Godin, en revanche je tiens à dire que je suis désolé pour La Tribune. Malgré tous vos efforts pour le "Oui" c'était le "NON" qui est sorti victorieux. Vous voyez, il ne faut pas se met...

à écrit le 05/07/2015 à 20:52
Signaler
Il faut respecter les choix démocratiques ! On connait maintenant la position du peuple grec... il reste aux états européens à demander à leur peuple de s'exprimer : "voulez-vous aller plus loin dans le financement de l'économie grecque ?" La démocr...

à écrit le 05/07/2015 à 14:45
Signaler
De toute façon, on l'aura une nouvelle fois bien profond.

à écrit le 05/07/2015 à 14:34
Signaler
a présent la GRECE a servi de bouclier pour faire oublier l ITALIE et apres la france

à écrit le 05/07/2015 à 13:49
Signaler
Tsipras a raison sur 1 point : il faut respecter les choix démocratiques... mais dans toute la zone euro ! Alors, en cas de victoire du Non, je propose que soit soumis à référendum dans toute la zone euro les questions suivantes : - " êtes-vous favo...

le 05/07/2015 à 15:56
Signaler
Au point de croire que l'euro et l'UE sont dans votre intérêt (national et personnel) ? Ou bien avez-vous simplement bien appris la leçon de Big Brother ? "L'Europe c'est la paix, la prospérité, le progrès"...

le 05/07/2015 à 16:11
Signaler
Il n'y a pas à faire de referendum.Un accord doit être ratifié par les 18 autres états. L'Allemagne (et d'autres pays) a beaucoup débattu, la réponse est maintenant tranchée plus aucun accord sans reforme en Grèce. Comment accepter le comportement ir...

le 05/07/2015 à 20:55
Signaler
Tiens, tiens.... la démocratie et la parole du peuple européen ne vous intéressent plus dès lors qu'il ne serait pas être favorable au financement de Tsipras ?

le 05/07/2015 à 21:00
Signaler
La Grèce FAIT des réformes, renseignez-vous : http://www.alterecoplus.fr/grece/budget-la-grece-est-en-realite-le-pays-le-plus-vertueux-deurope-201506290821-00001655.html C'est même le pays avec la meilleure gestion en Europe depuis 2 ans. Arrêtez de...

à écrit le 05/07/2015 à 12:49
Signaler
Ce qui serait rigolo, ce serait une victoire du OUI (meme si je suis convaincu de l'inverse). La BCE serait contrainte de rouvrir le robinet de liquidité, et donc d'alimenter encore sans fin la Grece. Si la BCE ne le fait pas, et que les banques res...

à écrit le 05/07/2015 à 11:31
Signaler
Les médias devraient indiquer plus "lourdement" que nos politiciens sont des incompétents en gestion économique et budgétaire. Ils NOUS faudrait avoir des objectifs de gestion de la part des partis politiques et surtout limiter leurs dépenses personn...

le 05/07/2015 à 13:53
Signaler
Et vous, qu'attendez vous pour nous montrer vos compétences ? Les yaka fokon qui peuplent les forums me font bien rire.

à écrit le 05/07/2015 à 9:47
Signaler
Si on se place du point de vue des créanciers, le pire à éviter est le grexit car dans ce cas aucune créance grecque ne sera recouvrée. Donc en cas de "non" il y aura nécessairement reprise des négociations. En cas de "oui" le peuple grec aura fait s...

le 05/07/2015 à 13:53
Signaler
Le pire a éviter, c'est que le Portugal, l'Irlande, l'Espagne, l'Italie,... et pourquoi pas la France, demandent eux aussi le même traitement que la Grèce !! Pourquoi s'endetterait-on pour que Tsipras augmente le nombre de fonctionnaires grecs ?? Le...

le 05/07/2015 à 18:28
Signaler
Seul l'UPR milite pour retrouver notre souveraineté nationale. Il ne faut compter sur le FN pour cela.

à écrit le 05/07/2015 à 8:40
Signaler
J'attends avec impatience le choix des Grecques...Que chaque pays retrouvent son autonomie et arrêtons cette utopie. Les français avaient dit non en 2005 pour les raison suivantes : "Selon un sondage Ipsos, le vote « non » était surtout tourné contre...

le 05/07/2015 à 13:17
Signaler
Vous vous trompez . En 2005 il y a avait les habituels partis anti Européens à voter non (minoritaire). Ce qui a fait pencher la balance c'est la gauche de la gauche qui a rejeté le référendum car négocié par Giscard et pas assez social pour elle. Po...

le 05/07/2015 à 13:58
Signaler
Votre vérité n'est pas celle des électeurs qui se sont prononcés en 2005. Il fallait en rester là.

à écrit le 05/07/2015 à 8:28
Signaler
Quand on aura un -léger- mieux sur cette affaire, on ne manquera pas d'entendre : "L'Europe avance par ses crises, allons vers le fédéralisme !". Faut s'y préparer tout de suite, sinon ça risque de faire un choc. Preparez-vous quand même à retrouver ...

le 05/07/2015 à 13:21
Signaler
"L'Europe avance par ses crises, allons vers le fédéralisme !" Effectivement, les grands journaux ont déjà leurs titres de la semaine prochaine.

à écrit le 05/07/2015 à 1:26
Signaler
L'article n'insiste pas assez sur le premier aspect négatif de ce référendum, la division de la société grecque. La division est profonde et personnellement je trouve que M. Tsipras s'est défaussé sur le peuple Grec lui laissant peu de temps pour pes...

le 05/07/2015 à 8:18
Signaler
Resumé de vos poncifs: 1) Tsipras est un fou responsable de tout ça (malgré un historique de plus de 5 ans de gestion européens stupide). 2) les grecs doivent se "réformer" (désolé pour vous mais le médecin à déjà tué le patient). Mais vive le "rêve"...

à écrit le 05/07/2015 à 0:49
Signaler
Le scenario du non est tout tracé: l'ElA se termine. Les banques grecques ne re-ouvrent pas et le gouvernement preleve l'epargne des grecs pour restructurer ces dernieres. Tout cela prendra des semaines avant que quelques banques ne re-ouvrent, les a...

le 05/07/2015 à 15:03
Signaler
Pour moi la victoire du non est acquise, et hélas une dérive fascisante du régime Tsipras n'est pas du tout à exclure. Son ministre de la défense d'extrême-droit a déjà annoncé que l'armée assurait l'ordre... Après la fuite en avant avec le référendu...

à écrit le 04/07/2015 à 23:59
Signaler
(2) Voter non, et rester dans la vraie Europe des nations, pas celle construite par les financiers ! Analysons le système bancaire éthique de base ! D’abord, qu’est-ce qu’une dette ? Si un individu appelé Jacques emprunte 10 euros à Pierre qu...

le 05/07/2015 à 14:01
Signaler
Dès le départ, votre explication enfantine est FAUSSE ! Ce ne sont pas les banques qui prêtent à la Grèce ( celles ci se sont retirés depuis quelques années, en y laissant pas mal de plumes, et un haircut de 75%. Il y a qu'à regarder le cout de l'a...

à écrit le 04/07/2015 à 23:49
Signaler
(1) Mon voeu : que les grecs votent non, et que les autres nations européennes changent leur système bancaire inique ! Car il existe un système éthique bancaire de base, respectable par les banquiers et les citoyen(ne)s : [ Sur une île vivent 3 p...

à écrit le 04/07/2015 à 23:20
Signaler
Je vous rafraichis juste un brin la mémoire sur votre beau pays... A l'ère moderne, de l'indépendance de la Grèce dans les années 1830 à nos jours, la Grèce a fait défaut envers ses créanciers pendant environ 90 années, soit la moitié du temps : cin...

à écrit le 04/07/2015 à 22:42
Signaler
Nul ne peut prévoir le résultat du référendum qui se tiendra en Grèce le 5 juillet prochain. Les électeurs grecs sont soumis à une pression tant économique que médiatique sans précédents pour les convaincre de voter « oui ». Les exemples ici abondent...

le 04/07/2015 à 23:40
Signaler
Donc conclusion,la situation de crise a renforcé l'Euro car elle le montre puissant et inflexible,genre une arme au service de l'euro groupe comme le dollar au service de l'Amérique.

à écrit le 04/07/2015 à 22:38
Signaler
Mardi on rase gratis, c'est le jour du haircutt

à écrit le 04/07/2015 à 21:38
Signaler
au de la des affirmations de certains, aucune des situations ne sont fermée , tout peut évolué aussi bien pour le oui que pour le non qui je pense sera le bon choix dans la situation actuelle.

à écrit le 04/07/2015 à 21:18
Signaler
L'euro n'est pas une monnaie mais une religion à laquelle s'accrochent beaucoup de naïfs qui y voient un outil du Salut (outil de l'UE), pour compenser la disparition des états souverains, la soumission aux USA... Les Grecs semblent encore beaucoup y...

à écrit le 04/07/2015 à 20:11
Signaler
La Grece servira de cas d'ecole pendant des decennis de comment l'aleas moral finit TOUJOURS par faire imploser les unions monetaires. Pourquoi faire des reformes et se serrer la ceinture quand on peut envoyer la facture a ses voisins...?

à écrit le 04/07/2015 à 19:31
Signaler
En cas de non, et contrairement à ce que vous dites, il ne pourra pas y avoir de négociation. Stipras est un menteur : il a menti à ses partisans (en leur faisant croire que les européens, trop lâches, cèderaient) et à l'Europe (en lui faisant croir...

le 04/07/2015 à 20:32
Signaler
parfaitement en accord, encore que la Tribune offre un forum au discussion, ce qui est tres meritoire. D'accord qu'avec le Non il n'y aura pas d'accord. Mais meme avec un Oui je ne vois pas non plus. Avec les chiffre de T4 2014 le FMI parle de 50mld...

à écrit le 04/07/2015 à 18:30
Signaler
Je peux rêver .... création d'un euro du SUD et un autre de NORD ! (la France euro du SUD avec ses fonctionnaires et ses 35H)

le 04/07/2015 à 18:59
Signaler
.... avec une cigale comme emblème !

à écrit le 04/07/2015 à 18:27
Signaler
Un très bon article d'un philosophe grec sur la situation : https://sarafidis.wordpress.com/2015/07/01/quest-ce-quun-bon-europeen/

à écrit le 04/07/2015 à 18:22
Signaler
Ce serait pas mal... de lire un article " LES CONSÉQUENCES POUR LA FRANCE " !

à écrit le 04/07/2015 à 18:11
Signaler
oui ou non au referendum (pour gagner théoriquement du temps)... il n'y a pas de plan "B" mis en place. L'inflation de l'euro aurait pu aider, l’Europe du Sud ... pour les pays cigales (dont la France qui va voir sa ...

à écrit le 04/07/2015 à 18:11
Signaler
oui ou non au referendum (pour gagner théoriquement du temps)... il n'y a pas de plan "B" mis en place. L'inflation de l'euro aurait pu aider, l’Europe du Sud ... pour les pays cigales (dont la France qui va voir sa ...

à écrit le 04/07/2015 à 17:22
Signaler
V

à écrit le 04/07/2015 à 17:19
Signaler
Selon Bernard Lietaer, un des fondateurs et architectes de l'Euro, cette situation peut au-delà de la Grèce contaminer le reste de l’Europe. Inquiétant. La crise grecque qui touche l’Union européenne peut pousser la Grèce à quitter l’Union Européenne...

à écrit le 04/07/2015 à 16:49
Signaler
ANNONCE : Banquiers échangent fausse monnaie contre dette sans fin avec à la clé pillage complet du pays (la Grèce a de grosses réserves en gaz et en pétrole en mer Egée, non compris ses 300 tonnes d'or potentielles dans ses mines, et le reste...), e...

le 04/07/2015 à 18:24
Signaler
@ptitpère: dans quel film as-tu vu que la Grèce avait d'énormes réserves énergétiques ? La Grèce importe quasiment 100 % de son énergie et raffine le pétrole pour le réexporter, principalement dans les pays méditérannéens. Quant aux autres ressources...

le 04/07/2015 à 22:58
Signaler
Y a aussi... l'huile...solaire! A ce sujet, sur Bloomberg : 40 pourcents d'annulations touristiques.

le 05/07/2015 à 9:28
Signaler
Tu ne vois pas, parce que tu ne veux pas voir. Un jour tu ouvriras un site sérieux concernant la Grece, et tu comprendras. Enfin j'espère pour toi.

à écrit le 04/07/2015 à 16:44
Signaler
un joker bien plus productif et durable : alléger la fonction publique de 30% !

le 05/07/2015 à 9:30
Signaler
C'est le chemin le plus court vers la catastrophe. Les administrations sont deja en sous effectifs chroniques (la Grece est un des pays d'Europe avec la plus faible dépense publique, 40%, c'est moins que l'Allemagne et ses 45% !!!). La réduire encore...

à écrit le 04/07/2015 à 16:22
Signaler
notre gouvernement a un joker en cas de besoin ,la collecte des assurances vies des francais places en fonds euro,un decret et on ponctionne

à écrit le 04/07/2015 à 16:16
Signaler
Il faut se répéter : La Grèce ne peut absolument pas sortir de la zone euro. Non pas parce qu'elle ne le voudrait pas ou qu'elle en serait interdite mais tout simplement parce que c'est impossible. Créer une monnaie c'est créer un échange en économie...

le 04/07/2015 à 16:39
Signaler
Un non lundi et Le plafond ELA sera mis à zéro car les banques Grecques seront considérées comme non solvables (pas d'accord de financement avec les créanciers donc mise en défaut validé par le peuple). Ca obligera le gouvernement à nationaliser et à...

le 04/07/2015 à 17:03
Signaler
C'est l'économie qui fait la monnaie et non pas une monnaie qui fait l'économie, c'est le constat, si on n'en doutai, que l'on peu faire dans la zone euro!

le 04/07/2015 à 17:20
Signaler
Quelque soit le scénario qui suivra le NON au référendum, sera LE BON.

le 04/07/2015 à 17:25
Signaler
@Corso, La Grèce est en excédent primaire (pas la France). Si elle fait défaut et sort de l'Euro, elle pourra avoir sa monnaie comme tous les pays dans le monde sans exception aucun. Les entreprises Grecques qui ont survécu avec une monnaie "Allemand...

le 04/07/2015 à 17:58
Signaler
Bien entendu je ne suis pas d'accord avec vous, @Rosetta, la grèce n'est pas du tout en mesure d'éditer une monnaie. Il faut être en bonne position pour éventuellement le faire. Ensuite l'excédent primaire est une blague entendue sur les ondes. On a ...

le 04/07/2015 à 19:48
Signaler
La monnaie sert aussi en interne. Par exemple pour acheter du pain. Je serais curieux de savoir avec quels billets les banques grecques vont garnir leur distributeurs lundi si c'est non. Pour payer les gens, au cas il le souhaiterait, il faudra donc ...

à écrit le 04/07/2015 à 16:15
Signaler
Pour cette article Romaric Godin fait du journalisme enfin... Pertinent. Reste juste la dernière option qui n'est pas dite (pour ne pas effrayer les Grecs ???). Si c'est non. C'est non. Plus de plan et rien à négocier donc arrêt des financements m...

à écrit le 04/07/2015 à 16:15
Signaler
A chypre après la réouverture les comptes avaient été allégés de plusieurs milliers d'euros pour les heureux possesseurs de comptes bien garnis.Alors oui ou non ceux qui sont censés se réjouir de leur victoire auront la douche froide de s'être fait "...

à écrit le 04/07/2015 à 16:08
Signaler
Il ne faut pas oublier que la Grèce se porte mieux que la France puisqu'elle est en excédent primaire! Tsipras a choisi de rester dans l'Euro par idéologie universaliste, mais c'est un Homme d'Etat et à ce titre nous lui devons notre respect. Une cho...

le 04/07/2015 à 18:49
Signaler
@rosetta +1 votre analogie avec Gorbatchev est remarquable !

le 05/07/2015 à 0:13
Signaler
@Rosetta: L'Allemagne n'a pas d'empire. Le Bundestag a jusqu'à présent approuvé tous les prêts accordés à la Grèce, avec des dates de remboursements bien grecques, mais comme bien d'autres nations européennes, les Allemands n'ont pas de cadeaux à fai...

à écrit le 04/07/2015 à 16:04
Signaler
Donc même Godin affirme que au mieux le référendum n'améliore rien.

à écrit le 04/07/2015 à 16:02
Signaler
La Grèce, un caprice européen et aujourd'hui, une bataille pour prouver que le modèle européen est absolue et fantastique. Dès le début, les comptes ont été trafiqués, avec l'aval des pays occidentaux pour intégrer Athènes dans le giron des plus puis...

à écrit le 04/07/2015 à 15:57
Signaler
Extrait: "Last Friday morning (26/06), the Greek prime minister, Alexis Tsipras, gathered his closest advisers in a Brussels hotel room for a meeting that was meant to be secret. All the participants had to leave their phones outside the door to p...

à écrit le 04/07/2015 à 15:48
Signaler
"retrouver un fonctionnement normal" ?!! La gréce part à la derive quant à son fonctionnement :administration demesurée (tient ,ça ressemble..) mais totalement inefficace ,economie de pays pauvre .culture de la fraude difficile à eradiquer ..non ,la ...

le 04/07/2015 à 16:01
Signaler
La fonction en % du PIB en Grece est pourtant une des moins lourdes d'Europe. C'est meme moins que l'Allemagne. Vérifiez les chiffres officiels de l'Europe !

à écrit le 04/07/2015 à 15:46
Signaler
Voici un article du New York Times, qui dénonce les créanciers (extraits de conversations secrète) d'avoir volontairement refusé un accord et pousser la Grèce au défaut. Tsipras, n'a eu d'autre choix d'invoquer un référendum et explique pourquoi il a...

le 04/07/2015 à 16:07
Signaler
Tout ce qui est dit sur le sujet doit être lu avec une certaine méfiance car en matière d'intox nous avons beaucoup à ,apprendre des Américains qui ne laissent fuiter que les conversations secrètes qui servent leurs intérêts ce qui après tout est no...

à écrit le 04/07/2015 à 15:38
Signaler
Monsieur Godin,, votre scenario en cas du victoire du "oui" parait deborde d'optimisme. Quel que soit le resultat, les banques sont insolvables et sont au bord de la faillite. D'apres les statuts de la BCE, celle-ci ne peut pas fournir de liquidites ...

à écrit le 04/07/2015 à 15:25
Signaler
Il faut lire "les confessions d'un assassin financier" de John Perkins (ou visionner ses entretiens sur YouTube), qui explique précisément comment on pille une Nation et asservit son peuple, par la dette - ceci explique également les objectifs visés ...

à écrit le 04/07/2015 à 15:20
Signaler
Il faut savoir que rien n'arrive jamais comme on le prévoit.Tous ces experts ne sont que des Madame Irma .Ils ont de fortes chances de se tromper.Faire des plans sur la Comète ça sert à rien étant donné que les vrais enjeux sont ailleurs.Le Poker men...

à écrit le 04/07/2015 à 14:53
Signaler
Je crois qu'il convient de prendre en compte l'irrationalité de l'Allemagne, particulièrement de Schauble dont la ligne domine le gouvernement, avec l'accord de Merkel. Dejà, Schulz qui ne supporte pas la démocratie et prône la désignation d'un gaule...

le 04/07/2015 à 23:56
Signaler
Dans toute cette affaire, la première chose irrationelle semble être votre germanophobie.

à écrit le 04/07/2015 à 14:34
Signaler
Qu'est-ce qui n'a pas été raconté sur ce référendum ? Pour être clair, les questions de fonds sont : 1/< La raison d'Etât exclut la démocratie > 2/ < Acceptez-vous que la perte de souveraineté de fait soit validée par les institutions du pays ? > C...

le 04/07/2015 à 15:58
Signaler
En quoi la démocratie est exclue de ce processus ? Les créanciers sont principalement, directement ou indirectement, des Etats démocratiques ! Personne n'a obligé la Grèce à s'endetter. Ce sont ses dirigeants, démocratiquement élus qui ont pris des e...

à écrit le 04/07/2015 à 14:09
Signaler
je pense que Mr Godin a une mauvaise de la situation. Syriza n'est Europeen que pour profiter de la gabegie de Brusselles a titre personnel et prolonger les subventions. L'accord pour lequel les Grecs pensent voter n'est plus sur la table. Cet acco...

le 04/07/2015 à 16:25
Signaler
Je partage une partie de votre analyse. Syriza a été trop loin, pour rester dans l'Europe même si un oui est la. Ca va être dur pour les Grecs car il va falloir colmater le chavirage actuel provoquer par le gouvernement Grec qui est en place. Bref c...

à écrit le 04/07/2015 à 13:30
Signaler
Ils ont raison de vouloir sortir de cette Europe pourrie. Il faut que le peuple Grec sorte de ce système pour mieux vivre leur indépendance et de vivre pleinement en liberté. L'Europe est un pressoir à citron. Tout les états étaient regroupés pour ...

le 04/07/2015 à 14:55
Signaler
Si le non passe, l'UE va dégringoler plus vite encore et il n'y aura plus d'euro en 2016. Si c'est le oui, l'UE va tenter de mettre l'un de ses fantoches à la tête du gouvernement grec mais le trou est trop profond déjà et cela ne va faire que reta...

à écrit le 04/07/2015 à 13:25
Signaler
Voici une petite vidéo amateur qui montre comment les médias ont monté de toute pièce un scénario de "files" autour de distributeur automatique ATM/ En fait, visiblement ce sont des personnes probablement payés qui font semblant de faire la fille et...

à écrit le 04/07/2015 à 13:07
Signaler
"Le scénario le plus « acceptable » semble donc être celle d'un « non » suivie d'un attentisme de la BCE, d'une courte négociation où les Grecs accepteraient un plan légèrement modifié des créanciers et accompagné d'un engagement à ouvrir des discuss...

à écrit le 04/07/2015 à 13:00
Signaler
Ne plus vouloir payer ses dettes, un message de fierté et dignité! Ah bon?

le 04/07/2015 à 17:15
Signaler
Ce sont des dettes imposés afin que les plus pauvres rattrapes les plus riches de l'UE tout en appauvrissant ceux ci pour les mettre au niveau des moins fortunés!

le 04/07/2015 à 17:32
Signaler
Ces dettes scélérates sont surtout imposées par le cartel mafieux bancaire qui ne prospère que sur la bêtise et l'ignorance de ceux qui se croient à l'abris de cette "bête sauvage" Si les grecs votent oui par peur et désinformation, par effet domin...

à écrit le 04/07/2015 à 12:55
Signaler
Nous ne pouvons pas oublier que la crise est en soi une distraction. Quelle que soit la douleur que nous devrons ressentir demain, ou le lendemain, ou la prochaine décennie, il faudra rappeler qui était à l’origine de tout cela : les banques internat...

à écrit le 04/07/2015 à 12:22
Signaler
la finance.la finance.la finance.la finance.la finance......Que ce mot pue la M.....!!!!

à écrit le 04/07/2015 à 12:06
Signaler
"et les liens de son leader Stavros Theodorakis avec l'oligarchie et les anciennes élites politiques n'en font pas une vraie option et les liens de son leader Stavros Theodorakis avec l'oligarchie et les anciennes élites politiques n'en font pas une ...

à écrit le 04/07/2015 à 12:02
Signaler
Vu la pression que la BCE a mis sur les grecs en leur coupant les vivres, le 'oui' semble le plus probable. Mais si c'était le 'non', l'europe pourrait convoquer un référendum : "acceptez-vous de restructurer la dette grecque et de prendre vos 'pert...

le 04/07/2015 à 15:57
Signaler
transferer la dette detenue par les banques francaises ?mais ,monsieur ça c'est de l'intox ! les banques dans leur ensemble ont abandonné plus de 100 miliards de creance

le 04/07/2015 à 16:02
Signaler
"Démocratie réelle" ? Qu'entendez-vous par là ? De gouverner par référendum, en permanence ? C'est un des grands dangers de la démocratie ! Vous confondez populisme et démocratie.

le 04/07/2015 à 16:09
Signaler
Il serait plus profitable de carrément reprendre l'argent aux banques, en les nationalisant par exemple, puisqu'au final ce sont elles qui ont empoché les fameuses aides a la Grece. Mais ça n'arrivera pas, nationaliser ça fait trop communiste ...

le 04/07/2015 à 19:35
Signaler
@Pedro : mais oui, mais oui... La démocratie, c'est pour ceux qui maquillent les comptes d'un pays ou qui regardent ailleurs pour qu'il puisse entrer dans l'UE et ce faisant, mettent le pays dans l'état où il est aujourd'hui, sans demander quoiqu...

le 05/07/2015 à 10:43
Signaler
Le problème n'est pas d'accepter ou non de prendre ses pertes...Le problème est d'éviter de tout perdre. Et sur ce point il est évident que c'est la Grèce qui nous tient et non l'inverse.

à écrit le 04/07/2015 à 11:43
Signaler
Moi je vais vous dire si le NON l'emporte ce qu'il va se passer. Le gouvernement grec va attendre lundi la décision de la BCE, si elle est négative, IMMEDIATEMENT après (dans la seconde qui suit, c'est un ORDRE) le gouvernement grec va se tourner ve...

le 04/07/2015 à 16:40
Signaler
Ca serait une possibilité pour obtenir immédiatement de l argent frais et rouvrir les banques, mais ca ne règlerait pas les problèmes suivants : acharnement médiatique des chaînes privées (on imagine le déchaînement...) Instabilité de la coalition,...

le 04/07/2015 à 20:50
Signaler
Lol, les chinois et les russes vont faire quoi avec ça ? La dernière fois que j'ai entendu une bêtise pareil c'était Besancenot, faut arrêter de rêver, la Grèce sans la perfusion de l'Europe c'est même pas le niveau du Maroc, et ils en sont conscient...

le 05/07/2015 à 9:34
Signaler
Ne vous inquiétez pas pour les chinois ou les russes, vvaaddoorr, ils sont bien plus malins que vous ;)

à écrit le 04/07/2015 à 11:30
Signaler
si le non passe c'est plie si le oui passe tsipras demissionne; elections dans 2 mois, oui le seul pb c'est que les banques sont exangues, la croissance que le fmi a revisee a 0 qui est largement en dessous, les deficits qui explosent! le fmi dit qu...

le 04/07/2015 à 15:04
Signaler
Vous oubliezq ue si la Grèce n'est plus une vache à lait, vos banques française croulent immédiatement (sauf nouvelles arnaques françaises) puisqu'elles son mal gérées et ne peuvent survivre qu'en pillant d'autres pays. C'st pour cela que la Grèce es...

le 04/07/2015 à 15:48
Signaler
L'abus de sonneries peut nuire à la santé.

le 04/07/2015 à 22:21
Signaler
VGE n'a rien à voir avec l'entrée de la Grèce dans la zone euro !!!

le 05/07/2015 à 12:42
Signaler
On pourra encadrer cette citation de peaudane, c'est beau comme les mensonges de l'URSS ! http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRPAE79B0DH20111012

à écrit le 04/07/2015 à 11:29
Signaler
"Une foule qui s'étend dans les avenues et les rues environnantes et qui a été estimé à 25.000 personnes par l'AFP" Sur cette place, quand elle est noir de monde et qu'en plus la foule s'étend dans les avenues et les rues environnantes, c'est impo...

le 05/07/2015 à 13:22
Signaler
Les médias anglais faisaient état de plus de 100 000 personnes, mais en France, on semble avoir du mal avec les chiffres. C'est ptet pour ça que l'économie va si mal chez nous, en fait !

le 05/07/2015 à 13:22
Signaler
Les médias anglais faisaient état de plus de 100 000 personnes, mais en France, on semble avoir du mal avec les chiffres. C'est ptet pour ça que l'économie va si mal chez nous, en fait !

à écrit le 04/07/2015 à 11:04
Signaler
Bof, peu importe, le scenario est déjà écrit, là, ce ne sont que des gesticulations pour passer l'été...

Votre email ne sera pas affiché publiquement.
Tous les champs sont obligatoires.

-

Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.