Retard à l'allumage pour le gisement de gaz géant de Chtokman

Par latribune.fr  |   |  127  mots
Gazprom a annoncé dans un communiqué qu'il retardait de trois ans, de 2013 à 2016, l'exploitation du gisement en raison de changements importants intervenus sur le marché mondial du gaz.

Chtokman : derrière ce nom se cache un projet mythique, celui d'eun des plus grands gisements de gaz du monde, situé en Russie, en mer de Barents. Un projet qui pourrait nécessiter plus de 10 milliards d'euros d'investissements pour sa première phase et qui ne cesse de connaître des rebondissements et des changements d'alliance avec le groupe public Gazprom aux manettes.

Et ce vendredi, Gazprom a annoncé dans un communiqué qu'il retardait de trois ans, de 2013 à 2016, l'exploitation du gisement en raison de changements importants intervenus sur le marché mondial du gaz et notamment du GNL (Gaz naturel liquéfié).

Il précise s'être mis d'accord avec ses partenaires Total et Statoil. La production de gaz naturel liquéfié débutera en 2017 au lieu de 2014.