Le rapprochement capitalistique révélé par "La Tribune" fin janvier entre Keolis, filiale de la SNCF, et le britannique Arriva, n'aura pas lieu. Dans un communiqué, Arriva indique qu'"aucun accord n'a été conclu et les discussions sont désormais terminées".
L'union d'Arriva et de Keolis aurait donné naissance à l'un des premiers acteurs du transport en Europe.
Très présent dans les bus et les trains, Arriva a connu des déboires dans son développement à l'étranger et cherche pourtant des partenaires financiers.
Il n'y a actuellement aucun commentaire concernant cet article.
Soyez le premier à donner votre avis !