Constatant que les mauvaises conditions de vie et d'hygiène tuaient les soldats aussi sûrement que les balles, le jeune médecin se consacre, dès son retour du front, à l'élaboration de remèdes simples accessibles au plus grand nombre. Il crée son antigrippal L52 en 1922, dans la foulée de la grippe espagnole, et dirige ses laboratoires jusqu'à son décès, en 1975.