L'équipementier industriel renoue avec des niveaux de marges précédant la chute de Lehman Brothers. La montée des exigences en matière de sécurité nucléaire pourrait constituer un bon vecteur de croissance
Le groupe conforte son statut de prédateur en verrouillant son capital tout en se dotant d'une nouvelle source de financement. Le marché applaudit.
Une fois de plus, le titre s'apprécie grâce à des rumeurs entourant une demande de hausse des tarifs d'électricité. Au-delà, les catalyseurs sont maigres.
Le groupe de spiritueux redouble d'efforts pour convaincre les investisseurs de miser sur son potentiel de croissance en Asie. Mais après une année boursière euphorique en 2010, la tâche est de moins en moins aisée.
Le groupe peut s'appuyer sur son statut de numéro un mondial de la sécurité numérique pour nouer des partenariats avec des acteurs de premier plan de l'industrie technologique et ainsi élargir son champ d'action. Mais sa trésorerie pléthor...
Le VIX, aussi baptisé baromètre de la peur à Wall Street, est revenu à ses plus hauts niveaux depuis juillet 2010, trois mois après l'éclatement de la crise grecque. Provoquant, au passage, des reports d'introductions en Bourse.
Les pertes de revenus au Japon pourraient nourrir davantage les velléités de rapprochements dans le secteur. LVMH a ouvert le bal de l'année 2011 en mettant la main sur Bulgari.
Le géant mondial du luxe met les moyens pour s'offrir le si convoité joyau italien, Bulgari. L'occasion pour le prédateur de se racheter une conduite.
L'instabilité et le risque géopolitique dans les pays du Maghreb et du Moyen-Orient ont vu nombre de places boursières sombrer dans le chaos. Contre toute attente, le Maroc résiste mieux que les autres pour plusieurs raisons.