Dans l'optique des prochaines privatisations, Alger se prépare aussi à mettre en place un environnement boursier capable, selon les termes d'un responsable, de supporter la comparaison avec les marchés émergents de la Méditerranée et de drainer une partie des 400 millions de dinars (40 millions de francs) qui circulent dans le marché informel. Plusieurs textes législatifs portant création d'une Bourse ont été élaborés et la création d'une future COB vient d'être annoncée. « Nous sommes assez prudents car nous avançons en terrain inconnu. Pour l'heure nous voulons favoriser la formation des futurs opérateurs en Bourse mais les vocations sont rares », explique un haut responsable à la banque d'Algérie.