« Avec la faiblesse du dollar, qui est appelée à durer du fait des taux lilliputiens de la Fed et des déficits publics américains abyssaux, nous pourrions voir l'euro dépasser ses plus-hauts historiques à 1,60 pour 1 dollar », expliquait en substance, mardi, Véronique Riche Flores, chef économiste de la Société Généralecute; Générale, lors de la présentation des prévisions de la banque. Cette anémie du billet vert est aussi à l'origine de « la flambée des cours du brut et dans une certaine mesure de celle de l'or », précisait Frédérique Lasserre, directeur de la recherche matières premières, qui ne voit toujours pas de redémarrage de la demande. De quoi garder un ?il sur l'ETN Short Oil de Lyxor.