Il ne nous reste finalement qu'à nous protéger nous-mêmes.

Par latribune.fr  |   |  152  mots
quick editTrop tard C'est entendu, tous les experts l'affirment à Istanbul, la nouvelle priorité est de sauver l'eau, « avant qu'il ne soit trop tard ». Ce nouveau cri d'alarme est nécessaire, mais il fait peur. Comme toujours, l'alerte est donnée lorsqu'il est déjà trop tard. Rappelez-vous, le GIEC, ce groupe de chercheurs, Prix Nobel de la paix, a mobilisé le monde pour protéger l'air des émissions de CO2. Trop tard pourtant pour éviter le réchauffement climatique et ses conséquences, reconnaît ce même GIEC, dépassé par ses propres scénarios « catastrophes ». Et les forêts primaires, qu'il faut protéger depuis les années 70. Trop tard également, elles ont quasiment disparu de la surface du globe, Amazonie exceptée (pour le moment). Il ne nous reste finalement qu'à nous protéger nous-mêmes. En espérant qu'il ne soit pas, cette fois-ci, trop tard. ParLe Tribu