Souvenir  : le cas Vivendi

Par latribune.fr  |   |  68  mots
Le groupe présidé par Jean-Marie Messier jusqu'en juillet 2002 reste le recordman français de la dépréciation d'actifs. Vivendi Universal a déprécié la valeur dans ses comptes de ses actifs immobilisés pour respectivement 13,5 milliards d'euros au 31 décembre 2001 et 18,4 milliards d'euros au 31 décembre 2002. De 2001 à 2003 la seule bombe des dépréciations exceptionnelles d'écart d'acquisition aura coûté au groupe 20,7 milliards d'euros.