La chancelière allemande, Angela Merkel, a « fermement » appelé hier les dirigeants iraniens à « procéder à un nouveau décompte des voix de la présidentielle » et à autoriser les « manifestations pacifiques ». Même tonalité à Washington et à Londres, où David Miliband a « rejeté les accusations de complot » dont Téhéran accuse son pays. Pour le président de la Banque centrale européenne, Jean-Claude Trichet, « toute tension géostratégique supplémentaire rajoute évidemment un risque pour l'économie internationale ». Et cela au moment où s'observe « un ralentissement dans la baisse de l'activit頻.