Des parcours boursiers opposés

Le groupe de Detroit a ainsi récemment relevé son objectif de réduction des frais de structure de plus d'un milliard de dollars, à 7,5 milliards. Il a également vendu le contrôle de son bras financier Gmac pour 14 milliards de dollars. De quoi redorer son blason auprès des agences de notation qui l'ont placé en junk bonds (obligations pourries) depuis longtemps. Renault, de son côté, a profité des restructurations réalisées ces dernières années, de la commercialisation de nouveaux produits et de " l'effet Ghosn ", très bien vu de la communauté financière.
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