ALORS qu'il vient d'être nommé aux commandes de la SNCF, Loïk Le Floch-Prigent donne pour la première fois sa version de l'affaire Bidermann. Il répond aux accusations concernant sa gestion des participations financières d'Elf Aquitaine dont il fut le président de 1989 à 1993. Il conteste un rapport confidentiel de la Cour des comptes, qui n'a pas souhaité l'entendre, et affirme que les explications fournies par son successeur se révèlent « partielles, voire fausses ». Voir Evenement