Édouard Ettedgui sur l'hôtellerie de luxe« Les palaces européens ont été moins affectés par la crise, particulièrement à Londres et Paris. La crise a en revanche affecté le reste du monde où le taux d'occupation est descendu parfois sous la barre des 50 %. Il a donc fallu baisser les prix. En Asie, on note actuellement un rebond de fréquentation, mais nous n'arrivons pas encore à relever nos prix. »Édouard Ettedgui, directeur général de Mandarin Oriental Group.