« Les avocats américains essayent d'extorquer de l'argent à la société, c'est-à-dire aux actionnaires de la société. Ça s'apparente à du chantage... Des experts américains en calcul de dommages ont regardé quel pourrait être le montant que Vivendi pourrait avoir à payer. Nous avons provisionné 550 millions d'euros. Ça ne veut pas dire qu'on va les payer ! On continue à se battre pour défendre nos actionnaires et pour éviter à avoir à payer une somme pour des faits qui remontent à 2000-2001. »Jean-Bernard Lévy, président du directoire de Vivendi Retrouvez aussi, en page 10, d'autres grands témoins entendus sur BFM.Bloomberg