« En matière de politique énergétique, le pouvoir n'ose pas faire le choix entre permettre la prospérité d'une entreprise, GDF Suez, ou permettre à EDF de faire des provisions pour garantir la sûreté nucléaire. Si le pays aujourd'hui était dirigé par un homme d'État, le choix se ferait en fonction de la sécurité nucléaire, fût-ce au détriment des intérêts des actionnaires de GDF Suez [...]. C'est une indécision coupable du pouvoir. »