Gérard Rameix sur les banques et l'État« Mon expérience passée de régulateur m'a amené à toujours distinguer le prêt obligataire, où vous prenez un risque de signature, et le prêt action, où vous prenez un risque de marché et de cours sur action. Là, l'État courrait à vrai dire très peu de risques de ne pas être remboursé, ni par la BNP, ni par la Société Généralecute; Générale. Donc pas de risque : pas de gain lié à l'évolution de l'action. Ça me paraît logique. »Gérard Rameix, médiateur du crédit.En page ?, retrouvez d'autres grands témoins de l'actualité entendus sur BFM