En dépit des divisions qui empêchent le Congrès d'adopter une loi sur le climat, l'administration Obama continue à donner des gages à la communauté internationale. Après que la Maison-Blanche s'est engagée à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) des États-Unis de 17 % d'ici à 2020 par rapport à 2005, l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) a décrété lundi que ces émissions étaient nocives pour la santé. Une décision cruciale qui lui permettra de limiter les émissions provenant des plus gros pollueurs industriels sans l'aval du Capitole. Cette décision constituera une carte de plus dans la main de Barack Obama lors de sa visite prévue à Copenhague, pour la clôture du sommet. E. C., à New York