« Je crois que l'image du nucléaire correspond aujourd'hui beaucoup plus à la réalité. Nous y avons beaucoup travaillé, partout dans le monde. Le nucléaire apparaît maintenant non pas comme la solution, mais comme une partie de la solution, pour à la fois résoudre l'urgence - fournir de l'électricité au maximum de gens, mais aussi pour le faire avec toujours moins de CO2. Et dans une grande indépendance. Les pays recherchent l'indépendance énergétique à nouveau, ils savent que c'est un sujet sur lequel peuvent peser beaucoup de menaces. »Anne Lauvergeon, présidente du directoire d'Areva.Retrouvez aussi d'autres grands témoins entendus sur BFM en page 12.